Quelques traductions de captions de divers auteurs présents sur Deviantart: Privaa et Rina Lane...
Recits et Captions de féminisation imposée ou les jolies femmes et les belles jeunes filles n'en sont pas vraiment. Bien evidement tout ici est fantasmé et la contrainte n'est qu'imaginaire. Un univers réservé aux adultes...
CHAPITRE 11
Lucy n’appela pas sa sœur à son retour de Loxley Hall et ne répondit pas quand sa sœur l’appela, trois fois. Elle était trop fatiguée pour faire face à ce qu’elle savait être une conversation très difficile, mais le matin, elle ne pouvait pas l’éviter:
Anna appella peu après huit heures, alors que Lucy était encore à moitié endormie.
- Allo ? Alors, tu l’as récupéré ?
- Euh, euh, non.
- Non ?
- Eh bien, pas encore tout à fait... dans quelques semaines peut-être.
- Lucy, tu devais y aller hier pour le ramener à la maison. Que s’est-il passé ?
- C’est compliqué.
- Non, ce n’est pas le cas. Tu as décidé d’aller le chercher et de le ramener à la maison. C’est ce que tu allais faire, tu es sa mère, bon sang.
- Oui, je sais tout ça. Le problème, c’est... c'est qu’il aime être là-bas.
- Il aime ça ?
- Eh bien, ce n’est pas exactement qu’il aime ça, c’est plus…
- Lucy, tu n’es pas saoule, n’est-ce pas ? Ou défoncée ?
- Ne sois pas ridicule. Il est huit heures du matin.
- D’accord. Mais tu dois me dire pourquoi Jake n’est pas à la maison avec toi. Tu es à la maison pour un moment ?
- Oui... Oui mais c'est moi qui passerait te voir.
Anna dit d’accord, elle mettrait du café.
Une demi-heure plus tard, Lucy frappait à sa porte. Anna ouvrit et dit que Ted avait emmené les enfants au parc pour qu’ils puissent avoir un peu de paix. Quelques minutes plus tard, elles étaient assises à la table de la cuisine, chacune avec une tasse de café fumant.
- Honnêtement Anna, commença Lucy, j’ai failli m’évanouir quand il est entré dans la pièce. Il a des mèches roses dans les cheveux…
- Quoi ?
- Oui, mais il était absolument magnifique… des yeux charbonneux, ce rouge à lèvres rouge vif que portent les enfants de nos jours, de grosses créoles et une petite robe qu’il avait achetée la veille.
- Jake a acheté une robe ?
- Oui. Je sais, je n’arrivais pas à y croire non plus. Mais il l’a fait. C’était une robe noire sans manches avec une jupe courte froncée à rayures noires et blanches. Il la portait avec des collants noirs et il était fabuleux. Je ne l’avais jamais remarqué avant, mais il a de belles jambes.
Bref, une fois le choc passé, nous avons commencé à discuter et tout s’est bien passé jusqu’à ce que je lui dise que je le ramenais à la maison. Je m’attendais à ce qu’il saute de joie. Au lieu de cela, il est immédiatement passé en mode Jake, a retroussé sa lèvre inférieure et a fait un mouvement tremblant. Il a dit qu’il ne voulait pas rentrer chez lui, qu’il voulait rester à Loxley, puis il est parti en colère sans un mot.
- A-t-il dit pourquoi il voulait rester ?
- Non, seulement que c’était son affaire. J’étais perplexe, alors je suis allée voir Julia Bagnall pour essayer de savoir ce qui se passait et après un moment, elle a admis que Jake était en couple avec un autre garçon et que cela semblait être sérieux et qu’elle était presque sûre que c’était la raison pour laquelle il ne voulait pas partir.
- Une relation ? Tu crois qu’ils ont des relations sexuelles ?
- Anna ! Je ne sais pas et je ne veux pas le savoir. Je ne veux même pas y penser. En fait, au début, j’ai pensé que Jake était peut-être en couple avec une fille parce que Julia n’arrêtait pas de parler de cette personne Georgina, mais ensuite j’ai réalisé, bien sûr, que Georgina devait être un garçon. Elle utilise toujours des pronoms féminins pour ses élèves et ils ont tous des noms féminins…
- Pour l’amour de Dieu !
- Oui, je sais, il faut s’y habituer. Quoi qu’il en soit, elle a continué en expliquant que Georgina devait partir à la fin du mois prochain et qu’elle était certaine que lorsque cela arriverait, Jake serait parfaitement heureux de rentrer à la maison. Elle a souligné qu’il serait très difficile de faire partir Jake contre son gré et a suggéré que la meilleure chose à faire serait de le laisser rester jusqu’à ce que Georgina soit partie. C’est donc ce que j’ai décidé de faire…
- Tu n’aurais pas pu le convaincre ?
- Je ne pense pas. Tu sais à quel point Jake est têtu. Je veux dire, il était clair pour moi dès les premières minutes qu’il était parfaitement à l’aise en s’habillant en fille, donc il n’y avait aucune raison pour qu’il rentre à la maison. Et qu’est-ce que j’allais faire ? Le traîner jusqu’à la voiture et l’enfermer ?
- C'est ce que tu aurait dû faire !
- Je suppose que oui.
- Que s’est-il passé ensuite ?
- Elle est partie annoncer la bonne nouvelle à Jake et quelques minutes plus tard, il est arrivé en trombe, tout sourire, m’a fait un gros câlin et m’a dit qu’il avait emprunté un sac à main pour que nous puissions aller faire du shopping…
- Mon Dieu, je n’arrive pas à y croire.
- Je lui ai demandé s’il était d’accord pour sortir en robe et il a dit que oui, et nous sommes donc allés au centre commercial. Honnêtement, Anna, tu n’aurais jamais cru que ce n’était pas ma fille si tu le voyais. J’étais comme hébétée la plupart du temps... je n’arrivais pas à croire que j’étais en train de faire du shopping avec mon fils qui non seulement portait une robe mais battait des cils en regardant les garçons.
- Mon dieu...
- Il savait que les garçons le regardaient et je pouvais voir qu’il aimait ça.
Lucy a décrit ce qui s’est passé dans le restaurant quand il est sorti des toilettes pour dames.
- Il marche comme un mannequin, mettant un pied directement devant l’autre, je suppose que c’est ce qu’on lui a appris à Loxley, et quand il s’est rendu compte que des gars le regardaient, il a commencé à balancer ses hanches. C’était très léger, mais je pouvais clairement voir ce qu’il faisait.
Anna a ri et a secoué la tête.
- Je n’arrive pas à y croire... a-t-elle répété. Jake en tentatrice. Bon Dieu, et après ?
Lucy termina son café et se leva pour laver sa tasse à l’évier. Puis elle se tourna vers sa sœur.
- Tu n’aimeras pas ce que je vais dire, prévint-elle. L’apparence physique de Jake a changé, évidemment, mais c’est plus que ça. Il était plus joyeux, plus bavard et plus affectueux hier que je ne l’ai jamais vu. À plusieurs reprises, alors que nous faisions le tour du centre commercial hier, il m’a pris le bras, ce qu’il n’aurait jamais fait normalement. Pour te dire la vérité, je ne l’ai jamais vu aussi détendu et heureux. Ce garçon maussade et misérable que j’ai livré à Loxley Hall semble avoir disparu, Dieu merci.... La seule conclusion que je peux tirer, et c’est ce que tu n’aimeras pas, c’est que cette discipline du jupon semble fonctionnée.
A LOXLEY HALL
- J’ai une surprise pour toi, murmura Georgina.
- Est-ce une bonne surprise ou une mauvaise surprise ? demanda Judith-Ann.
- Cela dépend, répondit mystérieusement Georgina.
Elles étaient allongés nues sur le petit lit de la chambre de Judith-Ann après ce qu’elles appelaient désormais la traite mutuelle. (Judith-Ann trouvait toujours hilarant le concept de traite mutuelle, auquel Georgina l’avait initiée.
Si on continue comme ça, avait-il un jour gloussé à son amie, on va commencer à meugler.
- Ça dépend de quoi ? Georgina resta silencieuse un moment, puis elle dit:
- Ça dépend si tu aimes quand je te baiserai.
Judith-Ann déglutit pour cacher sa surprise.
- Qu’est-ce qui te fait croire que je vais te laisser me baiser ?
- Parce que, ma chérie, nous avons fait tout le reste. Il est temps de passer à autre chose.
Elle se pencha sur le lit, attrapa quelque chose par terre, prit un tube de quelque chose et l’agita devant le visage de Judith-Ann.
- Tu sais ce que c’est ?
- Je ne sais pas. Du dentifrice ?
Georgina rit.
- Non, ma chérie, c’est un gel lubrifiant et tu sais ce que je vais en faire ?
Judith-Ann avait une très bonne idée, mais secoua la tête. Elle aimait ce genre de jeu d’actrice.
- Je vais en étaler dans et autour de ton trou et ensuite je vais te baiser à mort, dit-elle en dévissant le bouchon du tube et souriant à Judith-Ann.
- Je ne veux pas être baisé à mort, monsieur... Dit Judith-Ann, adoptant une voix aiguë de fille. Mais ça ne me dérangerait pas d’être baisée...
Georgina rit à nouveau. Elle s’agenouilla sur le lit entre les jambes de Jake, puis les souleva et les repoussa doucement pour que les cuisses de Judith-Ann soient pressées contre sa poitrine.
- Reste dans cette position. Est-ce que ça va ? Judith-Ann sourit et hocha la tête.
D’une certaine manière, elle pensait que lorsqu’elles auraient eu des relations sexuelles pour la première fois, ce serait plus romantique, ce n’était pas très romantique d’être allongé sur le dos avec les jambes en l’air.
Elle regarda Georgina presser le tube dans sa main, puis il se pencha et sembla examiner minutieusement le trou du cul de Judith-Ann.
- C’est si doux, dit-elle en levant les yeux vers Judith-Ann.
Judith-Ann, le cœur battant, pouvait sentir les doigts lubrifiés de Gorgina dans son rectum. Ce n’était pas désagréable. Puis il sentit l’érection de son amie pousser contre son anus, mais rien ne se passa.
Gorgina, le visage rouge, marmonna:
- Je ne peux pas entrer. Essaie de te détendre.
Judith-Ann faillit rire.
- Me détendre ? Dit-elle. Tu plaisantes ?
Gorgina lui demanda de se pencher avec les deux mains et d’écarter les fesses de son cul, mais cela ne fonctionna pas non plus.
- Essayons une position différente... Retourne-toi et mets-toi à quatre pattes. On verra si la position de levrette est meilleure.
Judith-Ann fit ce qu’on lui disait. Gorgina attrapa ses hanches et tira littéralement Judith-Ann sur son pénis. Une douleur brûlante qui semblait traverser tout son corps indiqua à Judith-Ann que son amie était enfin entré en elle.
- Tu me fais mal... S’il te plaît, arrête...
- Je suis en toi maintenant. Tu iras bien dans une minute.
La douleur s’aggrava. Judith-Ann était furieuse que son amie soit si inconsidéré.
- Non, je ne veux pas bien ! S’exclama Judith-Ann.
Elle se tortilla et sentit la trique de Gorgina lui échapper.
- Quelle partie de non ne comprends-tu pas ? Demanda Judith-Ann avec colère.
Judith-Ann grimaçait:
- Tu me faisais vraiment mal.
Gorgina avait honte. Son érection avait disparu.
- Je suis désolée, Judith-Ann. Évidemment, je ne voulais pas te faire mal, mais je pensais qu’une fois dedans, tout irait bien.
- Eh bien, ce n’était pas le cas ! Dit Judith-Ann en se levant du lit avec précaution. Ses fesses semblaient en feu.
- Je veux que tu retournes dans ta chambre maintenant.
Miss Bagnall, qui avait regardé tout le spectacle, avait énormément apprécié.
Elle attendait que cela se produise depuis que Sam, le jardinier, lui avait rapporté que Georgina lui avait donné de l’argent et lui avait demandé de lui acheter un tube de gel de lubrifiant la prochaine fois qu’il serait en ville.
Sam oublia de mentionner à Miss Bagnall que le prix qu’il avait soutiré à Georgina était une fellation dans la remise, mais il suivit consciencieusement ses instructions de lui rendre compte du moment où il aurait remis le tube à Georgina.
C’est ainsi que Miss Bagnall s’attendait à voir de l’action lorsqu’elle alluma l’écran de surveillance dans sa chambre ce soir-là et se concentra sur la chambre de Judith-Ann, où cette était à genoux en train de sucer et de masturber alternativement la bite de Georgina. Une fois que Georgina eut fini, elles échangèrent leurs positions.
C’était un événement presque nocturne et Miss Bagnall n’y prêta pas beaucoup d’attention jusqu’à un peu plus tard, lorsque Georgina sortit soudainement un tube de dessous sa robe, qui gisait sur le sol où il avait été laissé après que Judith-Ann l’ait déshabillée. Elle ne put entendre la conversation qui s’ensuivit alors que Georgina agitait le tube sous le nez de son amie, mais elle pouvait voir que Judith-Ann souriait et gloussait et était manifestement un partenaire consentant dans ce qui allait se passer.
Miss Bagnall éclata de rire devant les tentatives de sexe anal de Georgina, initialement vaines. Elle tenait son pénis engorgé d’une main et le poussait à plusieurs reprises contre un anus qui restait résolument fermé, devenant visiblement de plus en plus frustrée à chaque instant. Miss Bagnall ne pensait pas qu’elle s’en sortirait mieux lorsqu’elles changèrent de position, mais Georgina réussit à attraper les hanches de Judith-Ann et il était clair, à en juger par l’expression angoissée de Judith-Ann, que Georgina était enfin entrée en elle et lui faisait mal.
Miss Bagnall était presque sûre que Jackie demandait à son amie d’arrêter, elle disait certainement quelque chose de très fort. Elle réussit à se dégager de sous son amie et se glissa hors du lit en criant toujours sur Georgina et en désignant la porte. Georgina ramassa ses vêtements et sortit. Lorsqu’elle fut partie, Judith-Ann se jeta sur le lit et se mit à pleurer.
Le lendemain matin, Miss Bagnall fut surprise de les trouver assises côte à côte au petit déjeuner, comme elles le faisaient d’habitude, rigolant et chuchotant comme si de rien n’était. Miss Bagnall était ravie. Elle voulait qu’elles restent amis, non seulement pour le divertissement nocturne qu’ils leur procuraient, mais aussi parce qu’ils étaient les élèves vedettes de l’académie de Loxley Hall, deux vilains garçons qui, grâce à la magie de la disciplne du jupon étaient devenus de gentilles filles.
Ce n’était pas tout à fait la vérité, mais c’était ainsi que Miss Bagnall choisissait de le voir.
Miss Bagnall n’avait pas non plus été entièrement honnête avec la mère de Judith-Ann. En fait, elle n’avait aucune idée de la date à laquelle Georgina prévoyait de quitter Loxley Hall, mais c’était la meilleure excuse qu’elle pouvait trouver dans un délai aussi court pour empêcher Judith-Ann de partir.
Et ça a marché. C’était tout ce qui comptait pour Miss Bagnall.
A SUIVRE...
BIMBO SOUS COUVERTURE PARTIE 13
Chapitre 3 : Faire un exemple
David prit une gorgée de son café alors qu'il se dirigeait avec contentement vers l'ascenseur.
Cela faisait maintenant quelques jours que s'était écoulée sa soirée avec Elvira, et la nuit avec une dominatrice s'était révélée être d'une très bonne aide contre son stress. En tant que patron, cela faisait des merveilles de n’avoir aucun contrôle le temps d’une soirée.
Mais alors qu'il se dirigeait vers l'ascenseur, il vit l'équipe de Jonathan à l'œuvre.
Il remarqua que Jonathan portait clairement un chemisier de femme. Il se souvint qu'Elvira avait mentionné l'autre soir qu'elle apporterait des changements à Jonathan, mais il ne s'attendait pas à ce type de changement, il ne savait pas vraiment ce que cela voulait dire.
Il se dirigea vers son bureau pendant que les autres étaient occupés.
- Elvira, puis-je te parler ? A t-il demandé.
- Mais bien sûr, monsieur.
Et ils se dirigèrent tous les deux vers l'ascenseur et traînèrent autour des portes.
Que porte Jonathan ? Ne me dit pas que c'est ce que tu voulais dire l'autre soir ? Dit David en essayant de conserver un certain calme.
- Si... je t'ai dit que je ferais quelques changements et tu as dit que c'était bien. Je vais juste le mettre en contact avec son côté féminin si tu veux savoir. A-t-elle dit répondue sechement .
- Et David est d'accord avec ça ?
- Et alors, peu importe non ? A t-elle dit.
En vérité, Jonathan n’était pas du tout d’accord avec ça.
Quelques jours auparavant, Elvira était entrée dans le bureau de Jonathan munie d'une paire de ciseaux, et avec autorité avait découpé sa chemise pour la lui faire remplacé par le chemisier typiquement féminin qu'elle avait apportée. Depuis, c'était son uniforme.
Bien sûr il avait essayé de venir avec une nouvelle chemise, mais Elvira l'avait de nouveau découpé et donné un chemisier de rechange, mais elle ne s'était pas contenté de ça.
Elvira avait également ajouté un étroit corset a l'accoutrement de Jonathan, avec la menace d'ajouter un sous-vetement ou un vêtements féminin pour chaque chemise d'homme qu'il apporterait, ce qui le dissuada aussitôt de réessayer.
- D'accord... Tant que cela ne gêne pas son travail. Soupira David.
- Ce ne sera pas le cas. Assura Elvira.
David lui demanda:
- Est-ce qu'on est toujours d'accord pour ce soir ?
- Je crains que non. Puis-je modifier notre réservation pour demain soir ? A t-elle a demandé.
- Bien sûr, mais pourquoi ?
- Je viens juste de trouver un nouveau client pour mes activitées annexes, quelqu'un que tu devrais forcément connaître puisque c'est ton PDG, Ron Howard ? Répondit Elvira avec un sourire narquois.
David ne pouvait pas dire si elle lui faisait juste une conversation ou si c'était une menace voilée de sa part car il semblait remettre en question ce qu'elle faisait a Jonathan. Faisant ainsi savoir à David qu'elle pouvait avoir une certaine influence par l'entremise de son PDG.
David se dirigea vers l'ascenseur en disant a Elvira:
- J'allais oublier, un autre membre de l'équipe, Richard, sera de retour aujourd'hui. Il était en congé depuis quelques mois pour une raison personnelle. J'en ai déjà parlé au reste de l'équipe. Je suis sûr que vous travaillerez bien ensemble.
Elvira n'avait pas hâte d'avoir un autre homme dans l'équipe, cela pourrait ruiner ses projets avec Jonathan autant que les promesses qu'elle avait faites aux filles.
Pendant ce temps, Jonathan avait passé la journée caché dans son bureau.
Ses collègues féminines n'avaient pas fait de commentaires au sujet de son chemisier féminin ces derniers jours, mais elles l'avaient certainement vu. Ce qu'il ne savait pas c'était que Elvira avait conseillé a ces dernieres de ne rien dire pour éviter des problèmes inutiles avant que son travail ne soit pleinement terminé.
Jonathan avait été informé par email ce matin du retour de son collègue Richard, et même s'il devrait probablement lui réserver un accueil chaleureux en tant que supérieur, il ne voulait pas qu'il le voie ainsi.
Richard revint au travail peu de temps avant le déjeuner, il se rendit à la réception et remarqua tout de suite la nouvelle secrétaire.
- Bonjour mademoiselle, je m'appelle Richard. C'est agréable de rencontrer un nouveau visage.
Elvira ne leva pas même les yeux de son écran d'ordinateur.
- Enchanté de vous rencontrer... Dit-elle par politesse.
Richard dit bonjour à Patricia et Cynthia puis se dirigea vers le bureau de Jonathan.
Pendant qu'il était là, Elvira se tourna rapidement vers les filles.
- Les filles, vos opinions sur Richard ?
Cynthia resta muette mais Patricia intervint tout de suite:
- David m'a dit qu'il était le prochain sur la liste pour une promotion. Solidarité masculine sans doute parce que mes résultats de ventes dépassent largement les siens...
- Il sera parti d'ici la fin de la journée, ne t'inquiète pas pour ça ! Répondit Elvira.
Dans le bureau de Jonathan, Richard entra et s'assit en face de lui.
Richard était un gars plutôt sympathique et qui n'avait aucun problème avec Jonathan. Il avait vraiment l'esprit d'équipe.
- Alors tout va bien ? Demanda-t-il a Jonathan.
- Oui, je vais bien, c'est bon de te revoir... Dit doucement Jonathan.
Richard remarqua son inconfort avant de remarquer le chemisier.
- Mais qu'est-ce que tu portes ? Demanda Richard.
Jonathan essaya de balbutier une réponse. Mais il n'en eu pas le courage et resta silencieux.
- Putain mais c'est un chemisier ? Pourquoi tu portes un chemisier de bonne femme ?
Le rire auquel Jonathan s'attendait était en fait une simple inquiétude de la part de son collègue, ce qui lui donna une lueur d'espoir.
- Si tu veux le savoir... en fait c'est vraiment difficile à dire, mais la nouvelle secrétaire est en fait une de mes anciennes camarades de college. C'est elle qui me force porter ça, elle me fait chanter.
Jonathan était heureux de pouvoir enfin partager cela avec quelqu'un.
- Sérieusement ? Et bien crois moi que je ne vais pas la laisser faire. On va s'asseoir et avoir une petite conversation pour te remonter le moral ensuite j'irai discuter avec elle, d'accord ?
- Vraiment ? Merci Richard, cela compte beaucoup pour moi. A déclaré Jonathan.
Environ une heure plus tard, Richard quitta le bureau de Jonathan et se dirigea directement vers celui d'Elvira.
- Qu'est-ce que vous croiyez faire avec Jonathan ? Cria t-il.
- Oh, tu veux surement dire Jennifer ? Répondit Elvira, nullement impressionnée.
- Tu es nouvelle ici et je ne vais pas te laisser intimider mes collègues. Écoute-moi...
Avant même que Richard n'ait pu finir sa phrase, un agent de sécurité lui a tapoté sur l'épaule. Il s'est retourné et a vu deux gardes de sécurité et une femme d'âge moyen qui travaillait aux ressources humaines.
Jonathan sortit timidement de son bureau lorsqu'il entendit le tumulte.
- J'ai bien peur que nous devions vous escorter hors du bâtiment, Richard ! A déclaré la femme.
- Quoi ? Et pourquoi ? A-t-il crié.
- Nous en discuterons dehors ! A-t-elle répondu.
Les gardes ont emmené Richard jusqu'à l'ascenseur et la femme des ressources humaine est restée un moment pour s'adresser au service.
- Si je pouvais avoir votre attention. En raison d'allégations extrêmement graves de harcèlement sexuel formulées par une employée ici présente et corroborées par deux témoins, Richard s'est vu définitivement interdire l'accès au bâtiment. C'est un choc pour nous tous alors si quelqu'un veut parler car il ou elle serait au courant de certaines choses mon bureau est ouvert.
Puis elle est partie.
Pendant ce discours, Elvira a passé tout son temps à regarder Jonathan. Puis elle se leva et le poussa dans son bureau.
- Tu comprends le niveau de contrôle que j'ai maintenant, salope ? Lui dit Elvira tout en le poussant avec force sur une chaise.
- Je t'en prie laisse-moi en paix. S'il te plaît ne fais rien d'autre, Elvira. J'étais enfin heureux ici avant que tu n'arrives... Dit désespérément Jonathan.
- C'est bien ça le problème ! Dit Elvira a Jonathan en lui jetant son manteau a la figure.
- Où allons-nous ? Demanda Jonathan.
- Ton visage est blanc comme un linge depuis le petit spectacle que l'on viens de voir, je pense que nous pouvons faire quelque chose à ce sujet ! A-t-elle répondu.
Et lorsque Jonathan a quitté le travail ce jour-là, non seulement il portait son chemisier de femme et son corset, mais il était aussi désormais entièrement maquillé !
C'était un maquillage encore assez discret, mais on pouvait quand même dire qu'il était là.
Jonathan est parti précipitamment pendant qu'Elvira allait voir ses collègues.
- Tu es pleine de surprises, Elvira, je n'arrive pas à croire à quelle vitesse tu t'es débarrassée de Richard... Dit Patricia en tapotant le dos d'Elvira.
- Et ce bureau sera bientôt entièrement féminin... A déclaré Elvira, fière de son travail jusqu'à présent.
Cynthia s'étonna:
- Finalement tu veux aussi faire viré Jonathan ?
Elvira posa ses mains sur ses hanches:
- Surtout pas... Aujourd'hui notre chere Jennifer a tout simplement commencé à prendre ses premieres doses d'hormones féminines !
Cynthia et Patricia echangerent un regard presque gené:
- Des... des hormones ? Je... je pensait juste...
Elvira pouffa:
- Que quoi ? Que j'allais me contenté de faire de Jennifer une simple travestie ? Après m'être débarrassée de Richard, je lui ai fait comprendre que c'était désormais moi qui dirigeais presque tout ici et qu'à partir de maintenant elle devait avaler un comprimé d'hormones en ma présence matins et soir !
Après quelques hésitations les deux filles approuverent la décision d'Elvira:
- Je suis tellement excitée. En tout cas le maquillage de Jonathan était superbe. Déclara Cynthia.
- Et il y a encore bien plus à venir cette semaine. Croyez-moi d'ici la fin de la semaine prochaine vous aurez reprise la direction du bureau.
- Je suis impatiente de voir ça ! Se rejouie Patricia.
- C'est mon métier, je suis une professionnelle, mesdames. A déclaré Elvira.
Alors que les deux femmes s'agitaient à l'idée de ne plus avoir a dépendre de Jonathan et de diriger le bureau, Elvira mouillait à l'idée de faire à nouveau de la vie de Jonathan un enfer.
Chapitre 4 : La fin de partie d'Elvira approche
Patricia a levé les yeux de son ordinateur pour voir Jonathan arriver au travail.
C'était jeudi et Elvira avait dit aux filles que son plan serait terminé vendredi.
Patricia se demandait quelle humiliation la secrétaire allait infliger à son patron aujourd'hui, mais pas suffisamment pour l'empêcher de travailler.
Patricia était une femme qui ne perdait pas de temps. Elle savait ce qu'elle voulait et savait comment l'avoir. Le père de Patricia l'avait quittée, elle et sa mère, quand elle était très jeune et cela lui avait laissé une impression durable.
Depuis, elle n’a jamais été une grande fan des hommes, ils n’étaient pour elle qu’un moyen d’arriver à ses fins. Hormis Jonathan, elle était de loin la travailleuse la plus acharnée du bureau.
Ses bonnes évaluations de performances lui avaient valu quelques bonus dans le passé, mais comme Jonathan était le manager de l'équipe et travaillait le plus dur, elle n'avait jamais obtenue beaucoup plus.
Elle espérait donc que ce qu'Elvira avait prévu pour Jonathan serait bon pour elle et sa carriere.
Elvira lui avait dit, ainsi qu'à Cynthia, qu'elle emmènerait Jonathan faire une petite sortie.
Patricia l'a soutenue. Plus Jonathan passait du temps en dehors du bureau à faire Dieu sait quelles choses de fille avec Elvira, moins il était efficace dans son travail.
Dans son bureau, Jonathan était stressé.
Au cours des deux dernières semaines, Elvira était arrivée et avait pris le contrôle total de sa vie professionnelle. Elle l'avait habillé de sous-vêtements et de chemisiers féminins, lui avait fait les ongles et l'avait maquillé.
Les faux-ongles rouge en résine laqués d'un verni rougie vif étaient restés depuis qu'Elvira les lui avait posés, mais le maquillage lui appliqué tous les jours depuis une semaine par Elvira.
La veille Elvira l'avait emmené dans un salon de coiffure haut de gamme et lui avait fait posés des extensions de cheveux qu'elle avait faite coiffés de manière féminine. C'était tellement humiliant et émasculant de s'asseoir dans son bureau et de savoir qu'il avait tous ces changements féminins sur son visage et son corps.
Il ne semblait pas pouvoir trouver d'issue à sa situation.
Il savait qu'Elvira avait maintenant suffisamment de pouvoir et d'influence pour qu'il ne travaille plus dans la carrière qu'il avait choisie, et après que Richard ait été expulsé du bureau, il savait qu'elle ne plaisantait pas, qu'elle pouvait ruiner sa vie d'un simple claquement de doigts.
Il passait la plupart de son temps à réfléchir à une issue, un moyen d'échappé a ce calvaire au lieu de faire son travail, mais il ne trouvait aucune échapatoire.
Et puis un matin.
- Jennifer ! Dit Elvira en entrant dans son bureau sans frapper.
- Que veux-tu ?
- Je veux que tu viennes avec moi pour une petite sortie.
- Je ne veux pas ! Regarde-moi ! Tu ne penses pas que tu en as fait assez ?
- Je n'en ai pas fait assez. Oh non, nous n'avons pas encore fini... loin de là ! A-t-elle déclaré.
Elvira posa son téléphone sur son bureau, lui montrant une conversation par SMS.
- Regarde ça, c'est Ron ton PDG ? Nous avons eu une longue discussion ce matin à propos de notre rendez-vous de ce soir. Tu peut voir a quel point il est intéressé par mes services ... et il serait surement très intéressé de voir a quoi ressemble à un de ses managers, surtout quand je lui montre les photos d'enfance.
Jonathan baissa la tête, vaincu.
- D'accord. Soupira dit-il.
- Merveilleux. Alors allons au centre commercial.
Quand Elvira et Jonathan ont quitté le centre commercial, il portait un tailleur-pantalon noir pour femme avec un chemisier blanc, une cravate assortie et des chaussures a talons noirs hauts de 4 ou 5 CM.
Après qu'une femme ait pris méthodiquement ses mesures, Elvira lui a fait acheter cette tenue et l'a fait attendre devant les magasins pendant qu'elle entrait et lui achetait des choses.
Elle n'a rien révélé de ses achats, mais Jonathan était loin de se douté qu'elle lui avait acheté une garde-robe féminine toute entiere !!!
Lorsqu'elle a été pressée par Jonathan, elle a simplement répondu:
- Je peux seulement te dire que tu porte le seul pantalon que je t'ai acheté aujourd'hui !
Jonathan était livide alors qu'ils retournaient à sa voiture. Elle le reconduisit chez lui et a laissé les nouveaux achats de Jonathan dans sa voiture, mais elle lui a ordonné de porter les vêtements qu'il portait demain au bureau.
A SUIVRE...
Voici les deux premiers chapitre d'un roman que j'ai traduite. C'est assez court, seulement 6 chapitres... Malheureusement.
Chapitre 1 : Réunification
- Dis Jonathan, serais-tu prêt à recevoir la nouvelle secrétaire ?
Jonathan a levé les yeux de son ordinateur portable et a vu David, son patron.
- Je suis un peu débordé en ce moment, pourriez-vous le faire vous-même ? Dit-il un peu gêné de devoir délégue cette tâche a son patron.
Pourtant Jonathan avait travaillé toute la journée d'arrache-pied sur ses dossiers, mais il était toujours un peu en retard.
- Bien sûr, pas de problème, continuez à faire ce que vous faites le mieux ! Dit l'homme avant de partir.
David était un bon patron. Il n'était pas trop dur et il avait une attitude très amicale avec ses salariés et cela faisait du bureau un lieu de travail agréable ou tout le monde était heureux d'accomplir son travail.
Jonathan travaillait ici depuis 4 ans et était heureux du poste qu'il occupait.
C'était une petite équipe.
Il y avait tout d'abord bien sûr son patron, David.
Puis Jonathan lui-même, qui avait deux employées sous ses ordres directs, Cynthia et Patricia.
Cynthia était ce que l'on pouvait appellée une bombe sexuelle, qui jouait habilement le rôle de blonde idiote, flirtant et se montrant bien volontié afin d'obtenir une avance sur salaire ou un week-end a rallonge. Ormis ces légers défauts de personalité, elle était vraiment intelligente et efficace dans son travail.
Patricia était bien plus réservée. C'était une jolie femme brune, travailleuse et déterminée à exceller.
C'était donc une petite équipe mais qui fonctionnait parfaitement bien. Jonathan aimait penser qu'il contrôlait efficacement les filles. Le petit groupe ne voyaient pas beaucoup David parce ce dernier était souvent en rendez-vous a l'extérieur ou il était occupé à diriger les choses, donc la plupart du temps, ils n'étaient qu'eux trois.
Mais ils prenaient un peu de retard, alors David décida d'embauché une secrétaire.
C'était la fin de la journée et Jonathan quittait son bureau lorsqu'il entendit des discussions dans le couloir.
C'était David avec la nouvelle recrue.
- Jonathan, viens rencontrer notre nouvelle secrétaire Lui cria David.
Jonathan sourit en fermant sa porte pour allez la saluer, mais il changea bien vite de couleur lorsqu'il la vit. Il se retrouva face à face avec une femme qu'il espérait ne plus jamais revoir malgré les années passées, une certaine Elvira.
- Jonathan... C'est si bon de te voir ! Dit Elvira avec son sourire méchant.
Elle serra Jonathan dans ses bras et il frissonna.
Elvira était la brute de son enfance. Elle avait pourtant un an de moins que lui à l'école, mais cela n'avait pas d'importance. Elle a utilisé à son avantage le fait que les garçons ne devaient pas frapper les filles et elle a ainsi passé la plupart de ses années d'école à le tourmenter.
Elle faisait venir Jonathan chez elle, l'attachait et l'habillait avec toutes sortes de vêtements de fille. Ensuite, elle prennait des photos et les utilisaient comme moyen de pression pour l'amener à faire ce qu'elle voulait.
Ce furent les pires jours de la vie de Jonathan.
- Bonjour Elvira, je ne m'attendais pas à te voir ici... Dit-il doucement.
- Non. Je parie que non... Souria Elvira.
- Vous vous connaissez ? S'étonna David.
Elvira regarda Jonathan du coin de l'oeil
- Jonathan et moi avons fait les 400 coups tout les deux quand nous étions enfant... enfin surtout moi n'est-ce pas ? Dit Elvira en tapotant l'épaule de Jonathan, lui faisant comprendre qu'elle n'avait rien oublier des petits tourments qu'elle lui avait fait subir.
David s'est joint à la conversation.
- Je suis content que vous vous connaissiez, cela rendra les choses beaucoup plus faciles... A t-il déclaré.
Jonathan osa intevenir, mollement:
- Ne devrions-nous pas d'abord voir d'autres candidates ? Dit Jonathan, espérant qu'il pourrait trouver un moyen d'empêché David de l'embaucher.
Mais les Dés étaient jetés:
- Inutile de recevoir d'autres candidates, Elvira est parfaite. En fait elle est même surqualifiée, elle aurait sans probleme put trouvée un meilleur poste et un meilleur salaire ailleurs mais elle tenait absolument travaillée chez nous... Bon, sur ce je file. Je vous reverrai tout les deux demain matin.
Puis David est parti. Elvira fit de même, mais avant de franchir la porte elle se retourna vers Jonathan et lui dit avec un petit sourire qui ne présageait rien de bon:
- Si tu savait comme j'ai hâte de travailler avec toi... Jennifer.
Lorsqu'il entendit ce surnom dont-elle l'avait affublé lorsqu'elle l'habilait en fille, un frisson lui parcourut le dos.
Jonathan rentra alors chez lui, dans une nuit blanche.
Lorsque Jonathan au travail le lendemain, Elvira était déjà à son bureau en train de discuter avec Cynthia et Patricia.
Cette fois et contrairement a ses habitudes, Jonathan n'alla pas saluer ses deux collègues, mais se rendit directement à son bureau et ferma la porte, voulant continuer son travail et faire comme si Elvira n'était pas là, à seulement quelques mètres.
Après environ une demi-heure, Cynthia est venue a son bureau:
- Jonathan, tu vas bien ? Tu ne nous as pas dit un mot depuis ton arrivée. Elvira est adorable tu sais, tu devrais venir discuter avec nous. Dit-elle, un joli sourire aux lèvres.
- Non merci. J'ai beaucoup de travail à faire et je veux me concentrer là-dessus, peut-être que tu devrais penser à faire de même. Répondit-il avec un peu d'agressivité dans la voix.
Cynthia squitta le bureau, vexée. Il avait été peut-être trop dur, pensa t-il tout en sentant le stress l'envahir.
À l'extérieur de son bureau, Elvira parlait à Patricia lorsque Cynthia est sortie.
- Qu'est-ce qui ne va pas, Cynthia ? Lui a demandé Patricia.
- C'est Jonathan, je ne sais pas ce qu'il a mais il est plutôt de mauvaise humeur aujourd'hui. Dit Cynthia en boudant sur sa chaise.
- C'est comment de travailler avec lui ? Demanda Elvira.
- C'est un gars plutôt sympa, mais il peut parfois être très autoritaire. Il ne le montre pas, mais je pense que pour exister il a besoin d'avoir quelques personnes sous ses ordres. Déclara Patricia qui visiblement n'appréciait pas Jonathan plus que ça .
- Je l'aime bien. Mais son caractère est la seule chose que je n'aime pas chez lui. Ajouta Cynthia.
- Et comment est David ? demanda Elvira.
- Par contre David est adorable. Il maintient une bonne ambiance ici. Tu as dit que tu connaissais Jonathan, n'est-ce pas ? Demanda Patricia.
- Oui... Disons simplement que nous avions un peu de rivalité à l'école, j'étais généralement meilleure élève que lui. Je l'ai connu tout au long de l'école... Puis il a déménagé pour allez au lycée et on s'est perdu de vue.
- Tu travaillais pour quelle boite avant ? Questionna Cynthia.
- En fait j'avais une acticité un peu spéciale... j'était dominatrice dans un club !
Cynthia et Patricia étaient stupéfaites.
- Dominatrice ? Tu veux dire avec ces trucs en latex, en cuir, les martinets et tout ça ?
Elvira hocha la tête de maniere affirmative.
- Trop cool ! Dit Cynthia.
Elvira eue un petit sourire et se rapprocha des deux filles:
- En parlant de ça, et si je vous disais que je pourrais rapidement et facilement me débarrasser du sale caractère de Jonathan pour toujours ?
- Je dirais mission impossible... Ricana Patricia.
- J'avais pourtant un excellent moyen de lui tenir la bride quand nous étions à l'école.
A ce moment-là, Elvira a sorti une photo de son sac à main. Il s'agissait d'une photo de Jonathan adolescent, habillé comme une fille en uniforme scolaire. Portant une Mini-jupe a carreau, un chemisier et socquettes blanche, des souliers en cuir verni, maquillé et coiffé a la garçonne il ressemblait a s'y meprendre a une fille.
C'était une photo tellement convaincante que Patricia et Cynthia ont dû la regarder un moment avant de la comprendre.
- Oh mon Dieu... Mais... mais c'est Jonathan ! Dit Cynthia.
- Son prénom était Jennifer quand je l'habillait ainsi. Souria Elvira.
- Je ne savais pas que Jonathan était un travesti... Lâcha Patricia un peu surprise.
- Il ne l'était pas... enfin pas par choix. Je le faisait chanter et le forcerais à porter des robes comme celles-ci, ce sont des photos comme celles-ci m'ont valu beaucoup de services et aucun problème de sa part tout au long de l'école ! Déclaré fièrement Elvira.
- Cela devait être incroyablement drôle ! Jubila Cynthia.
- Jonathan n'a pas beaucoup changé vous savez. Il ne faudrait pas longtemps avant que je ne le reprenne en main et que vous puissiez reprendre la direction du bureau.. Déclara Elvira.
Les filles souriaient, avec une pointe d'incrédulité et d'excitation dans les yeux. Elvira ajouta:
- Ce petit jeu d'école m'a vraiment manqué au fil des années et cela me ferait grand plaisir de remettre Jonathan à sa place. En plus je ne compte pas rester ici trop longtemps, et si jamais cela ne marche pas, ce qui m'étonnerait fort, c'est moi qui prendrait les sanctions du Patron.
Cynthia et Patricia hochèrent la tête et sourirent à Elvira.
- Quelle est la première étape ?
- Pour le moment rien pour vous, mais j'ai besoin d'un petit rendez-vous avec David afin de parlé de l'avenir de Jonathan. Répondit Elvira.
Chapitre 2 : Reprendre le bureau
Elvira resserra les menottes des mains de David alors qu'elle le chevauchait sur le lit.
Elle l'avait emmené à un délicieux dîner en tête a tête ou ils passèrent quelques heures à flirter et à discuter autour de bons plats et de bons vins avant qu'elle propose à David de venir chez elle.
Une fois chez elle, ils se déshabillèrent et Elvira le poussa sur le lit, lui banda les yeux et lui attacha les poignets à la tête de lit.
- Est-ce que tu aimes ça ? Murmura-t-elle en déposant des baisers tout le long de son cou.
- Bon sang oui, j'adore quand la fille prend le contrôle ! A-t-il répondu.
- Profitez-en... Dit-elle en lui baissant son boxer et en s'asseyant sur son énorme érection .
Elle a commencé à rebondir sur sa queue, faisant gémir David. Elle lui caressa la poitrine tout en travaillant sa queue et il ne fallut pas longtemps avant qu'il ne soit proche du bord.
- Tu veux jouir ? Tu veux jouir, grand garçon ? Dit-elle.
- Putain oui... Oh oui, s'il te plaît !
- Est-ce que c'est ce que tu veux ? Est-ce que c'est ce que tu veux chaque semaine ? Lui murmura t-elle à l'oreille alors qu'elle poussait de plus en plus vite sur sa queue.
- Oh oui... Gémit-il.
- Alors je veux que tu fasses quelque chose pour moi. Dit-elle.
- N'importe quoi, je ferai n'importe quoi ! Supplia-t-il.
- Bon garçon.. A t-elle dit en faisant entré la bite profondément dans sa chatte.
PLUS TARD...
Elvira attrapa le manteau de David sur le porte-manteau alors qu'il prenait une dernière gorgée du café qu'elle lui avait préparé.
- Désolé, mais tu ne peux pas passer la nuit ici.
- Pas de problème, je n'habite pas loin. Dit David en souriant et en enfilant son manteau.
Elvira dit a David:
- Comme je vous l'ai dit lors de l'entretien d'embauche, j'ai déménagé ici pour chercher de nouveaux clients pour ma future activité de dominatrice dans cette ville, j'ai donc accepté ce travail de secrétaire pour me sécuriser financièrement pendant que je met sur pieds mon projet. Puis-je vous offrir gratuitement mes services pour ce soir en échange d'un service ?
- Si vous le voulez... Mais je serai heureux de payer pour vos services, c'est si difficile de trouver des femmes de nos jours qui ont ce genre de motivation. Lui dit David qui se révélait être un homme gentil et honnête.
Elvira espérait que cette gentillesse ne la gênerait pas dans ses futur projets pour Jonathan et qu'elle pourrait plutôt l'utiliser comme une faiblesse pour capturé Jonathan dans ses filets.
- Mais quel est-ce service que tu me demandais ?
- Il s'agit de Jonathan qui travaille pour toi, je souhaite faire quelques changements avec lui... des changements assez importants pour etre parfaitement franche. Mais je dois te demander de fermer les yeux quoi qu'il se passe et quoi que tu vois.
- Des changements chez lui ? Aura-t-il le choix ? Demanda nerveusement David.
- En ce qui te concerne, cela n'a pas d'importance. J'avais une façon de garder Jonathan sous contrôle quand nous étions plus jeunes et j'ai cette fois l'intention de la perfectionner pour me faciliter la vie au travail. A-t-elle expliqué.
David se dirigea vers la porte en traînant les pieds.
- Ecoute, je...
Elvira ne le laissa pas finir:
- Le travail de Jonathan n'en sera pas affecté, en fait j'ai même l'intention d'augmenter sa production. Quand vous remarquerez des changements dans l'apparence et dans le comportement de Jonathan, vous devrez les ignorer. Et si son travail ne vous satisfait plus venez me voir et nous réglerons le problème ensemble. C'est tout ce que je demande, en échange, vous pourrez utiliser mes services chaque semaine... à un prix réduit.
David accepta:
- D'accord. Cela ne fera pas de toute façon pas de mal a Jonathan d'avoir un oeil neuf pour le remotivé a nouveau dans son travail. Vous vous connaissez depuis des années, je suis sûr que votre aide lui sera profitable et ne pourra lui faire que du bien.
Elvira rit toute seule alors qu'il partait.
- C'est ce que tu penses, David... Pensa t-elle.
A SUIVRE...