Petit récit assez agreable trouvé sur le net.
CHAPITRE 1
Je me présente, je me nomme Camille Harrison, je suis un homme d’une trentaine d’années environ avec des cheveux bruns courts, coiffés en brosse et des yeux bleus. Je suis célibataire et je n’ai jamais eu de relation amoureuse sérieuse. J’ai une formation de secrétaire ou d’assistant administratif et je suis, après plusieurs expériences professionnelles où je n’ai pas été gardé à cause du changement de hiérarchie, en recherche d’emploi. Je candidate donc sur une majorité d’offres correspondantes à mon profil sur des sites d’emploi.
Un jour, en plein mois de juillet, mon téléphone sonne et c’est la DRH d’une entreprise chargée d’organisation d’évènements culturels pour des communes. Elle me propose un entretien avec la directrice la semaine suivante l’appel un lundi matin à 10 heures pour un poste de secrétaire en CDI. J’ai une belle opportunité à saisir pour décrocher un emploi durable et je saisis donc l’occasion. Je révise cet entretien pour faire la meilleure figure possible à ma future patronne.
Le jour de l’entretien arrive et je me présente aux bureaux de l’entreprise. La directrice me reçoit à l’heure. Elle est vêtue d’un chemisier en satin blanc nacré et d’une jupe en cuir avec des bottines à ses pieds. Elle me fait rentrer dans son bureau, elle fait rapidement les présentations tout en m’expliquant ce qu’elle attend de moi. Elle me dit :
« Bonjour M. Harrison, je me présente, je me nomme Patricia Enkelberg, je suis la directrice de l’entreprise Villes en fête chargée d’organiser des festivités dans les communes lorsque celles-ci sollicitent nos services.
Cependant, je n’ai pas pour habitude de travailler avec des hommes et l’entreprise est composée uniquement de femmes. Mais les secrétaires précédentes que j’ai eu ne faisaient pas l’affaire ou n’avaient pas les compétences nécessaires. Votre profil m’a attiré car il est très complet et que vos compétences pour ce poste sont celles que je recherche. Enfin, il n’y aura qu’une seule contrainte, vous devrez travailler en tenue féminine, je ne travaille qu’avec des femmes … Si vous refusez, tant pis, je rechercherai un autre profil … »
Je réfléchis un bref instant mais une opportunité comme celle-là ne se représentera peut-être pas à l’avenir et si la seule contrainte est de me transformer en femme, je suis prêt à prendre ce risque … Je lui réponds donc :
« Mme Enkelberg, j’accepte la proposition, puis-je savoir quand je commencerais à travailler dans votre entreprise ? »
Elle me regarde et me dit :
« Allez directement au vestiaire, notre styliste s’occupera de vous préparer et de vous habiller, vous commencez cet après-midi »
Je sors de cet entretien, avec une appréhension car je n’ai jamais été amené à penser comme une femme mais satisfait d’avoir retrouvé un emploi. La styliste m’amène donc au vestiaire. Une fois dans le vestiaire, elle me prie de me déshabiller et une fois nu, elle commence à m’épiler, à me mettre du vernis sur les ongles de pieds et sur les ongles de la main. Là elle me fait une pédicure et une manucure, j’ai vraiment le sentiment d’avoir des pieds et des mains de femme. Ensuite, elle me cherche des sous-vêtements féminins à ma taille et trouve un joli ensemble nacré en coton que j’enfile … Une fois les sous-vêtements enfilés, elle me met, dans le soutien-gorge, une paire de prothèses mammaires pour que je ressemble à une femme. Elle ajoute une perruque blonde mi longue qu’elle coiffe en une queue de cheval, elle me maquille le contour des yeux avec un fard à paupières bleu et un crayon sous les yeux ainsi qu’une légère touche de rouge à lèvres.
Elle achève ma préparation par une tenue sobre, une jupe plissée courte et bleue marine avec des bas résilles pour le bas ainsi qu’un chemisier blanc pour le haut du corps ainsi qu’un léger collier de perles, un bracelet en argent et des boucles d’oreilles créoles. Elle m’invite enfin à enfiler des escarpins nus pieds adaptés à ma pointure, me voilà donc féminisé …
A 14h, je commence donc mon nouvel emploi de secrétaire et ma directrice me convoque de suite dans son bureau, là elle m’ordonne de me tourner et de lui montrer mon dos. Elle inspecte ma tenue et une fois après qu’elle ait fait l’inspection de ma féminisation totale, elle me prend les poignets, me les ramène dans le dos et commence à les attacher avec une corde, elle serre le lien au maximum m’empêchant ainsi tout mouvement. Elle lie ensuite une nouvelle corde au-dessus de mes coudes et finit avec quelques liens autour de ma fausse poitrine et un dernier à ma ceinture passant sur ma jupe et en dessous, sur mon sexe, qu’elle attache à mes poignets. Je regarde ma patronne et je lui demande, en essayant de faire une voix féminine :
« Madame, est-ce vraiment nécessaire que je sois attachée dès les premières heures de travail ? »
Elle ne dit rien sur le coup, me fait asseoir sur une chaise en bois et m’attache le tour de la taille à la chaise, elle lie ensuite mes chevilles et quelques liens au-dessus et en dessous de mes genoux. Elle relie un dernier lien entre mes chevilles et mes poignets et ouvre quelques boutons de mon chemisier laissant ainsi entrevoir mon soutien-gorge au milieu des cordes. Elle attrape enfin dans son tiroir, une sorte de balle en latex rouge, soutenue par deux lanières, elle me l’insère dans la bouche et sangle au cran maximum le bâillon … Quelle efficacité ! Seuls quelques grognements étouffés sortent de ma bouche. Une fois l’ouvrage achevé, ma patronne s’approche de moi et me dit :
« Ma chérie, saches qu’ici être secrétaire entraîne des sacrifices, alors tu seras attachée selon mes désirs et quand je le déciderai. Ma secrétaire doit aussi prendre part aux évènements que l’on organise en bonne place et exposée de tous comme une attraction … En attendant, j’ai une réunion à 15h, j’ai le temps de m’y rendre, reste bien sage le temps de cette réunion, c’est-à-dire que ta première après-midi sera une après-midi prisonnière dans mon bureau … Profitema bien de ta première journée d’initiation … »
A ces mots elle quitte le bureau qu’elle verrouille pour qu’on me laisse tranquille dans mes liens …. Je ne m’attendais pas à débuter un emploi de cette manière-là que me réserve donc la suite des évènements ?
CHAPITRE 2
Cela fait près de trois mois que j’ai été embauché en tant que secrétaire et que j’ai été contraint, pour obtenir ce poste de la dernière chance pour moi, de subir une féminisation forcée car c’est une entreprise entièrement féminine. Depuis ma journée d’embauche, où j’ai été ligoté et bâillonné dans le bureau de ma boss, j’ai fait mon travail du mieux possible, en gérant les rendez-vous, l’agenda de Madame Enkelberg et en répondant aux appels téléphoniques, sans qu’elle ne me convoque dans son bureau. Et c’est étrange, Je commence à m’habituer doucement à ma condition féminine alors que ma période d'essai est terminée depuis un mois et que j'ai mon CDI en poche
Or un lundi, elle m’appelle dans son bureau pour une réunion de travail urgente, je m’assieds donc devant elle et j’attends qu’elle me dise ce qu’elle attend de moi. Elle arrive à son bureau, me fixe dans les yeux et me dit :
« Ma chère Camille, je vous ai convoquée pour plusieurs évoquer avec vous plusieurs points. Tout d’abord samedi on doit organiser la fête de la mer dans une station balnéaire et, pour le char, il ne manque que la sirène.qui sera dessus J’ai décidé que ça serait vous. Vous serez allongée sur une plage fictive et vous serez maintenue en place par des menottes transparentes fixées au char. Vous serez bâillonnée avec un morceau de scotch transparent qui maintiendra votre sourire.
Ensuite, je suis contrariée car votre féminisation n’est pas encore parfaite Mademoiselle, on vous a aperçu aller aux toilettes debout et parler avec votre voix d’homme…c’est pourquoi après l’événement de ce week-end, vous aurez rendez-vous pour rendre votre féminisation définitive, vous bénéficierez pour cela de quinze jours pour finir de devenir une femme à part entière … Je vous libère, retournez travailler ! »
Je retourne à mon poste avec la convocation chez un chirurgien plastique qui sera chargé d’achever ma transformation en femme … Durant la semaine, je stresse par rapport à la fin de ma vie d’homme. On arrive au samedi, je fais le trajet à Ecume-sur-mer avec ma patronne. A l’arrivée sur place, je suis amené dans un grand camion où je suis tenue de me mettre à nu. Là, on défait les cheveux de ma perruque blonde les laissant libres au vent, on me maquille, on m’enfile une queue de sirène et on m’installe sur le char.
Là on me fixe sur le char avec un anneau pour maintenir la queue. On me met des bracelets de perles aux poignets et un soutien-gorge avec des coquilles Saint-Jaques dans lesquelles on insère mes prothèses mammaires. On m’ordonne de sourire et une fois le sourire en place, on me bâillonne avec du tape transparent. On fixe enfin mon poignet gauche sur le char et on me laisse le droit libre pour saluer les passants … Le défilé se déroule et je suis exposée, comme une poupée, exactement comme Patricia me l’avais présenté …
A la fin du défilé, je suis conduit à un hôpital et internée pour « transformation et changement de sexe » … Là je ne me rappelle de rien, juste de l’anesthésie … A mon réveil, on m’a ôté tout mon appareil génital masculin et je me retrouve désormais avec un vagin, je suis attachée à une table, ma perruque est définitive et on m’a greffé des prothèses mammaires qui me font me retrouver avec une belle poitrine. De plus ma silhouette fine se prête à cette poitrine… A la radiographie, on me montre mon nouvel appareil génital, je pleure car je suis devenu une femme et je suis gardée quinze jours, le temps que mon corps s’habitue aux transformations….
C’est donc en femme que je retourne à mon travail au bout de quinze jours, et dès ma reprise la chef me convoque… Elle me déshabille et me met entièrement nue c’est à dire sans rien ni sous-vêtements ni chaussures … .Là elle m’attache les bras dans le dos, mes coudes se touchent et elle attache un lien qui passe en huit autour de ma nouvelle poitrine …Tout mon haut du corps est un paquet solide et, pendant ce temps elle passe un nouveau lien sur mon vagin tout neuf attaché à mes poignets et lié comme une ceinture autour de ma taille ...
Elle m’attache ensuite les chevilles ensemble et les genoux … Je suis désormais saucissonnée … Au moment où je vais parler, elle m’insère un ballgag rouge dans la bouche qu’elle sangle au cran maximum et elle me pose sur son bureau. Là elle lie mes chevilles en hogtie à la boucle du bâillon, ce qui me fait me redresser et qui me restreint à l’impuissance totale… Elle dit :
« Ma chérie, tu es une vraie femme désormais, j’adore ta nouvelle silhouette et ta soumission à moi, j'ai hâte d'entendre ta jolie voix de soumise… Maintenant tu n’es plus un homme mais tu vas en attirer des beaux mâles, ma belle gazelle… J’espère qu’ils t’attacheront aussi et aussi solidement c'est d'une saveur de te voir prisonnière... Allez ma petite Camillette,je te laisse réfléchir aux conséquences que cela te coûte de travailler pour moi… »
Elle quitte le bureau en ricanant et me laisse ainsi exposée du matin 8h jusqu’au début de l’après-midi, je suis tombée dans un piège et désormais, je ne peux plus ni quitter mon travail ni redevenir un homme … J’ai payé mon audace en finissant en femme … Pauvre de moi, je suis une femme jusqu'à la fin de mes jours .... Est-ce que le prix à payer pour cet emploi n'est pas trop fort ? J'en doute désormais ....
FIN
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