mardi 27 février 2018

500 !

Barre franchie ce soir...

Déjà 500 visites depuis l'ouverture du blog il y a seulement 15 jours.

Merci a tous.

CAPTIONS (492-493)

 
492
 
 
493 

 


lundi 26 février 2018

RECIT COQUIN


Et voici un petit recit de féminisation intitulé "LA SECRETAIRE", une agreable histoire que son auteur n'a semble t-il jamais achevée... si l'auteur se reconnait (dont j'ignore le nom) ou si l'un d'entre vous se sent l'ame d'un ecrivain la suite reste a ecrire.


                                                  LA SECRETAIRE

           
- Candice, avez-vous reçu le dossier Quaremer ?
- Il est à l'impression, Mademoiselle.
- Dès qu'il est prêt, vous viendrez dans mon bureau.
- Bien, Mademoiselle."

C'est une nouvelle journée qui commence chez Baygue. Une journée particulière pour Candice car c'est sa dernière journée de travail comme secrétaire personnelle de Tina.

Candice récupère le dossier, le relie et prend la direction du bureau de sa patronne. Elle croise quelques collègues sur le chemin qui n'hésite pas à la siffler à son passage. Cela ne la dérange guère. Au contraire, elle prend ça comme de la flatterie, alors elle en rajoute un peu avec une démarche la plus sexy possible.

Il faut dire que Candice a un corps qui appelle le sexe et qu'elle en joue beaucoup. Une longue crinière brune, des yeux de biche, une bouche pulpeuse recouvert d'un gloss rose flashy, un bonnet E qu'elle ne manque pas de mettre en valeur avec le décolleté de son tailleur blanc, une taille de guêpe, des hanches bien dessinées, de longues jambes gainées de bas et des fesses bien rondes moulée dans une courte jupe et remontée d'escarpin de la même couleur. Un léger foulard autour du cou et quelques bijoux parant quelques membres complète son look de bimbo très apprécié par ses collègues. Mais derrière la secrétaire délurée se cache une toute autre personne une fois entrée dans le bureau de sa patronne …

En effet, personne n'est au courant de la vraie relation qui lie les deux femmes. Pas même les plus proches collaborateurs. Officieusement, elles sont un couple de lesbienne vivant sous le même toit depuis plusieurs années. Officiellement Tina a offert son toit à Candice en échange de sa soumission totale à sa patronne.

Tina est la PDG de Baygue, le groupe industriel le plus riche de France implanté en plein cœur de Paris. Elle est le parfait contraste de sa secrétaire. Des cheveux blonds attaché en une longue queue de cheval, un visage d'ange, légèrement maquillé, presque naturel, de jolies formes qu'elle cache sous un tailleur pantalon noir. Sa veste entrouverte montrait un ferme bonnet C par-dessous sa blouse. Tina est une femme désirable et appréciée de ses inférieurs, mais qui ne cherche en aucun cas à séduire.

Candice entre dans le bureau et retire machinalement son foulard. Celui-ci cachait un collier en cuir blanc sertie d'une boucle sur l'avant, signe de soumission à Tina. Elle lui tend le dossier. Sans rien dire, sa maîtresse lui fait signe de fermer la porte à clé et de venir en dessous du bureau.

Candice s'exécute rapidement et voit que Tina avait déjà retiré son pantalon. Elle ne portait aucun dessous. La soumise prend soin de retirer les escarpins de sa maîtresse et se plaça entre ses jambes écartées. Tina la lie à sa chaise d'une fine chaîne qu'elle attache au collier de Candice.

D'une langue experte, Candice parcourt la vulve de Tina, fouille ses moindres recoins, la faisant gémir de plaisir. Les yeux dans les yeux, elle monte doucement vers le clitoris. Elle sent Tina onduler sous ses coups de langues bien placés. En à peine quelques minutes, la soumise réussit à faire jouir sa maîtresse, libérant un nectar que Candice se dépêche d'avaler.

Candice la regarda dans les yeux et sourit, pleine de reconnaissance. Tina le lui rend.

- Tu sais que c'est ton dernier jour parmi nous ?
- … J'ai peur Mademoiselle ...
- Peur de quoi ?
- … De tout, Mademoiselle …
- Allons, allons, tu sais très bien que si je t'ai vendue à Adrien, c'est parce qu'il est bon pour toi.
- Mais, Mademoiselle … il habite très loin. Je ne pourrai plus vous revoir …
- C'est ta nouvelle vie qui commence. Je n'ai fait que de te conduire dans cette voie.
- … Pourquoi je ne peux pas rester avec vous ?
- Parce que je ne suis pas la bonne personne avec qui tu dois vivre. Je suis une femme lesbienne qui se mariera bientôt avec Annika. Je t'ai éduquée pour que tu puisses vivre en compagnie des hommes …
- …
- Regarde-toi. Qui aurait pu croire que du pauvre type repoussant qu'était Charles Baygue, je puisse en faire la magnifique et désirable femme qu'est Candice ? Puis, tu m'as dit aimer voir les hommes bander pour toi, non ?
- Oui, Mademoiselle … Vous avez raison."

Oui, Candice n'était pas seulement la secrétaire personnelle de Tina. Trois ans auparavant, Elle était encore Charles Baygue, fils richissime du fondateur de l'entreprise dans laquelle il occupait le poste qu'a maintenant Tina, son ancienne secrétaire personnelle.

Candice avait été vendue à un riche homme d'affaires français, Monsieur Adrien. Elle ne sait rien de lui. Elle ne connaît pas son nom, ne l'a jamais vu et encore moins où il vit. Elle sait simplement qu'il lui sera impossible de revenir à Paris.

Elle devait partir demain selon le désir de Monsieur Adrien: Candice devra porter un ensemble rouge, Dim-up noirs et talons aiguilles de 12 cm et enfermée dans une valise comme simple bagage avec les autres contenant ses affaires. Il avait aussi précisé que Candice devait être à jeun, sans vraiment donner plus de détails …

- Mademoiselle, puis je vous poser une question ?
- Vas-y.
- Est-ce que je pourrai au moins dire au revoir à mes amies avant de partir ?
- Ne t'en fais pas. Ce soir, je t'ai réservé une belle surprise.
- C'est vrai ? Oh, merci Mademoiselle !
- Ta remplaçante arrive dans une heure. Je compte sur toi pour lui faire un bel accueil.
- Oui, Mademoiselle.

Tina se rhabille et renvoie Candice au travail. Elle décroche le téléphone et compose un numéro.

- … Oui, bonjour. Mademoiselle Engel à l'appareil. Puis-je parler à Monsieur Quaremer ? … Bien, j'attends …

Allô, Adrien ? C'est Tina. Le dossier est prêt, tu peux venir cette après-midi. … Non, elle ne sait pas que c'est toi … Oui, elle est prête, sa vaginoplastie aura lieu ce soir … À tout à l'heure !

Tina raccroche et s'affale sur sa chaise. Rêveuse, elle se souvient de comment tout ceci a débuté

C'était il y a 2 ans. Tina n'était encore qu'une simple employée de Baygue Tel&Com. Ses collègues l'appréciaient et elle le leur rendait bien. Ils aimaient bien la taquiner sur son léger accent allemand qu'elle doit de ses origines. Tina avait vécu à Leipzig jusqu'à ses 21 ans. Elle partit vivre à Paris dès la fin de ses études pour rejoindre Paris, un rêve depuis qu'elle était toute petite.

Son travail d'une rigueur exemplaire permit à Tina de passer d'employée à adjointe du Directeur Commercial de la boîte. Seulement, elle n'eut à peine le temps de le connaître que celui-ci disparu subitement, sans que personne ne sache vraiment pourquoi. Il se disait dans les bureaux qu'il avait démissionné pour une reconversion professionnel.

Il fut donc remplacé par un nouveau Directeur Commercial. Il s'agissait du fils du fondateur du groupe Baygue: Charles. À peine plus âgé qu'elle, c'était l'homme tout ce qu'il y a de plus normal. Une barbe et des cheveux bruns mi-longs le différenciait de ses collègues.

Les premières semaines se déroulèrent sans problèmes. Novice en la matière, il se faisait aider par son adjointe. Une certaine complicité s'installa au fil du temps. De petits surnoms commençaient à s'entendre, des sous-entendus, des gestes tactiles devenant des mains baladeuses … Le problème dans cette histoire, c'est que Charles prenait de plus en plus d'initiative envers Tina qui n'était pas vraiment attirée par lui. Le Charles sympathique qu'elle avait connu changeait peu à peu et montrait une image assez glauque.

Tina devait l'arrêter dans ses intentions qui devenaient de plus en plus perverses. Elle essaya de faire comprendre à Charles qu'il commençait à être désagréable et qu'elle préférait ne se tenir qu'aux relations professionnels qu'ils entretenaient. Tina évita donc un maximum son patron et coupa court à toute conversation quand elle était obligée de le voir. Mais lui ne semblait pas vouloir l'entendre de cette oreille.

Un jour, alors qu'il ne restait qu'eux deux les bureaux, Charles demanda à avoir une conversation sérieuse avec Tina.

- Faites vite, je n'ai pas le temps …
- J'aimerais savoir pourquoi vous essayez de m'éviter depuis plusieurs jours.
- Écoutez Monsieur Baygue, vous m'êtes sympathique et je vous aime bien, mais il faut que vous compreniez que je ne suis pas attirée par vous et que vos allusions sexuelles me dérangent fortement.
- C'est dommage, parce que vous, vous m'attirez beaucoup. Et, ne me mentez pas, je sais que c'est réciproque.
- Je … euh, désolée, mais vous vous trompez.
- Arrête, tu tortilles du cul comme une salope en manque toute la journée dans ta jupe droite. Tu le sais que ça m'excite, mais tu continues ton petit jeu parce que tu espères te faire prendre hein ? Tu aimes exciter les hommes !
- Je crois qu'il vaut mieux que l'on en reste là, Monsieur Baygue !

Tina ne reconnaissait plus le Charles qu'elle avait l'habitude de voir. Sa façon de lui parler avait changé. Elle en eut peur, tourna des talons et se dépêcha de sortir du bureau.

- Sors d'ici et je m'arrange pour que tu ne retrouves plus jamais du travail !"

Tina s'arrêta à la porte. Ne sachant pas quoi faire. Elle se retourna et vit Charles sortir son sexe.

- Je vais faire bref. Soit tu restes ici et tu deviens ma salope, soit je te dénonce pour les quelques dizaines de millions que tu as détourné ces 3 dernières années. La seule issue qui te sera proposée pour éponger ta dette sera de "travailler" pour moi.
- Mais je … C'est faux ! Je n'ai rien fait de mal !
- Je sais. Mais à ton avis, qui croira-t-on ? Le fils du fondateur ou sa pute de secrétaire ?

Tina était prise au piège. Dans les deux cas, elle servirait de pute au service de Charles. Sans un mot, le regard haineux, elle se dirigea vers Charles qui affichait un grand sourire.

- C'est bien, tu comprends vite. Maintenant, suce !

Tina resta plantée devant lui. Charles dû la pousser vers le bas. Tina s'accroupit et commença à le branler. Elle sourit intérieurement à la vue du sexe de son bourreau. Il devait faire à peine plus de 10 cm en érection. Une fois bandé, elle se mit à sucer le gland.

- Et tu me regardes pendant que tu me suces. Je veux voir le plaisir que tu ressens.

Tina lui lança un nouveau regard emplit de haine, ce qui fit sourire Charles. Il avait réussi à avoir ce qu'il voulait. Il rêvait depuis son arrivée de la soumettre à lui. Il venait de toucher au but et prit un pied énorme en la voyant à genoux devant lui, son sexe en bouche ... Mais il ne voulait pas s'en tenir à de simples fellations …

- Dorénavant tu es à moi. Au jour d'aujourd'hui, tu feras tout ce que je te dirai de faire. Tu viendras me vider les couilles tous les matins à 8h tapantes dans mon bureau et tu resteras disponible lorsque j'aurai envie de t'utiliser. Dans le cas où tu refuserais mes avances, tu seras condamnée à éponger ta dette comme bonniche. Tu entends ? Tu seras la salope du patron !

Tina se retint d'enfoncer ses dents dans la petite colonne de chair de son bourreau. Une larme coulait le long de sa joue. Elle rageait à l'intérieur d'elle-même après ce que Charles venait de lui dire. Elle était coincée, obligée de devenir "la salope du patron".

Fort heureusement, l'excitation de l'homme eut raison de lui et déchargea dans la gorge de la belle blonde. Elle ne put qu'avaler le flot de sperme qui s'écoula avec un dégoût certain. Elle se releva rapidement et voulu partir quand Charles la retint.

- Ma petite Tina, vous n'allez pas partir comme ça.
- Ah, oui c'est vrai, j'oubliais …

Suivit une claque magistrale qui atterrit sur la joue de Charles. Elle lui tourna le dos et partit. Charles se mit à rire.

- Je vous attendrai à 8h tapante demain. N'oubliez pas, vous savez ce qu'il vous attend !

Tina quitta le bureau en claquant la porte, jurant de se venger de ce monstre.


Les semaines qui suivirent furent un véritable calvaire. Tina fut réduite à un simple objet sexuel devant assouvir les vices de son patron. Le premier jour, elle fit comme si rien ne s’était passé, espérant que Charles l’avait oublié. Elle était arrivée comme à son habitude à 8h30. À peine s’était-elle installée que le téléphone de son bureau sonna.

- Tina ?
- Monsieur Baygue ?
- Sais-tu quelle heure il est ?
- 8h30.
- Bien et pourquoi tu n’es pas venue ?
-…
- Tu as 30 secondes, sinon tu sais ce qu’il se passera.

Malheureusement pour elle, Charles n’avait pas oublié. La rage s’empara d’elle. Elle arriva en trombe dans le bureau de Charles et lui lança le même regard que le jour avant. Elle vint se placer sous le bureau et déboutonna sèchement le pantalon de son patron. Elle commença à le masturber en le regardant droit dans les yeux. La mauvaise humeur et le dégoût se lisaient sur son visage. Sans un mot, elle enfourna ce sexe dans sa bouche et se mit à le sucer.

Charles fut satisfait. Son petit manège avait fonctionné et Tina était coincée. Il avait la mainmise sur elle et pouvait en faire ce qu’il voulait. Elle le vit sourire en la regardant s’activer entre ses jambes. Il avait trouvé une salope à son service et s’imaginait certainement toutes les perversités qu’il pouvait faire avec elle. Son excitation fut tel qu’il finit par se décharger au fond de la gorge de la pauvre Tina qui n’eut d’autres choix que d’avaler.

Elle reboutonna le pantalon de Charles en lui lançant un nouveau regard assassin et se dirigea vers la porte. Mais Charles ne sembla pas en avoir terminé avec sa secrétaire. Il la rattrapa et la plaqua contre le mur. Elle était dos à son patron qui ne se gêna pas de lui relever la jupe fourreau et de lui triturer les fesses.

Sans même la préparer, il enfonça son sexe dans celui de Tina qui dû se retenir de hurler pour ne pas ameuter les collègues. La pauvre, n’étant pas excitée par cette scène, subit le va-et-vient à peine lubrifié par sa fellation de Charles qui n’avait aucun remords à la culbuter. Il se foutait bien du plaisir qu’il ne donnait pas tant que lui prenait son pied.

La chevelure blonde de la belle dans ses mains, Charles chevaucha sa proie comme un simple jouet. Tina regarda le mur, restant de marbre. Elle était humiliée d’être prise comme un simple pantin désarticulé attendant désespérément la fin de son supplice, mais elle ne voulait en aucun cas montrer à son patron une quelconque émotion. Elle fut libérée de son bourreau après que l’excitation eu de nouveau raison de lui. Il la laissa se rhabiller.

- Je déteste la désobéissance. La prochaine fois que tu ne te ramènes pas lorsque je t’en donne l’ordre, tu passeras le restant de ta vie en enfer.
-…
- Quand je te donne un ordre, tu réponds par "Oui, Monsieur".
- Vous pouvez encore crever…
- Fais très attention à ce que tu dis, salope !
-…
- Alors ?
-… Oui, Monsieur…
- C’est un bon début… Et tu m’éviteras ces petits regards à l’avenir. Je veux que tu implores ma queue de se décharger en toi.
-… Oui, Monsieur…
- Maintenant tu retournes à ton travail de godiche et tu m’enlèves ce string. Je te veux aussi disponible que possible.
-… Oui, Monsieur…"

Elle avait juré de se venger. Sa haine l’aveuglait, mais elle était coincée par les menaces de Charles.

Deux mois avait passé depuis la première fois. Elle s’était vue obligée de respecter un code vestimentaire très restrictif qui la privait de tout sous-vêtement. Chemisier échancré, jupe courte et escarpins étaient devenus sa seule tenue de travail. Du moins, la journée. Une fois 17h arrivé et le personnel parti, Tina avait l’obligation de tout enlever hormis les escarpins. Elle restait ainsi jusqu’à 19h30, lorsque Charles était rassasié et partait sans dire un mot.

Elle se rappelle qu’elle était vite devenue l’objet de toutes les attentions. Les mains baladeuses, les regards vicieux et les avances faisaient son quotidien. Sa réputation en avait pris un sérieux coup. Elle qui était de nature si réservée, elle était devenue la salope du bureau. Tout le monde était au courant du contenu des entrevues de Tina dans le bureau de Charles. Il ne se gênait d'ailleurs pas de faire des allusions à celles-ci devant tout le personnel.

Comme si cela ne suffisait pas, il laissait tout le travail à sa secrétaire. Tina étouffait sous les piles de dossiers en retard qu'elle dû boucler à une vitesse grand V. Elle n'avait aucun répit. Même les week-ends se résumaient à du travail pour ratt****r le temps que Charles perdait à se vautrer sur sa chaise pour ne rien faire. Mais bien sûr, une fois le dossier terminé, c'était lui qui récoltait les lauriers …

Une véritable petite bonniche, comme Charles le souhaitait. Mais un jour, s'en fut trop pour Tina. C’était un vendredi après que tout le personnel fut parti. Elle subissait un nouvel assaut de son patron lorsque l’envie de lui faire payer prit le dessus. Avant même qu’il n’éjacule dans sa "gueule" comme il disait, un poing vint voler dans les parties intimes de Charles. Celui-ci s’écroula le souffle coupé. Elle profita de ce moment pour décamper du bureau et de rentrer chez elle pleurer toutes les larmes de son corps.

Elle s’attendait à de lourdes répercussions. Le scandale était proche. Elle savait que le retour de flammes allait arriver. Que Charles ne resterait pas sans rien faire. Elle se doutait qu’elle allait subir sa vengeance, mais elle n’aurait jamais pu deviner ce qui allait arriver le lundi suivant.

Elle ne sait plus vraiment ce qu’il s’est passé. Elle se souvient simplement s’être dirigée à sa voiture dans le parking de l’immeuble et se réveiller nue quelques instants plus tard aux pieds de Charles dans ce qui semblait être une cave.

- Salope… Tu pensais franchement t’en sortir ?
-…
- Réponds !
- N… Non…
- Tu as déjà oublié les bonnes manières ? !
-… Non… Monsieur…
- Tu m’as beaucoup déçu cette semaine… Je pensais que tu commençais à comprendre, mais je vois que c’est encore loin d’être le cas…
- Où… Où suis-je ?
- Chez moi. Tu as voulu jouer à la plus maligne, tu vas payer d'avoir osé t'attaquer à moi.
- Je … Je suis désolée …
- Trop tard, je t'ai virée ce matin. Je t'avais prévenu. Désormais, tu vas "travailler" sous mon toit comme esclave. Annika t'enseigneras tout ce qu'il faut pour devenir une parfaite petite pute docile et obéissante.

Charles partit sans dire un mot de plus. La tête encore embrouillée, Tina mit du temps avant de réaliser dans quelle situation elle s’était mise. La peur l'envahit. Un pas avait été franchi, il n'était plus possible de revenir en arrière …


Elle n'oubliera jamais l'instant où Annika est entrée dans cette cave. Elle avait vu une femme approchant de la trentaine, nue comme elle et l'air hagard. Cette jolie blonde toute menue n'aspirait en rien la joie de vivre, semblant résignée à sa vie d'esclave.

Elles se regardaient sans dire un mot. Le visage d'Annika en disait long sur son quotidien. Ses yeux cernés appelaient à l'aide. Elle n'avait pas besoin de dire qu'elle voulait quitter cette vie de pute qui faisait sa routine, son visage le faisait pour elle.

Tina se doutait en la voyant que ce qu'elle a vécu les dernières semaines n'était qu'une infime partie de l'enfer qu'Annika vivait au quotidien. Celui qui serait le sien désormais. Mais elle n'en voulait pas. Elle s'est jurée de mettre un terme à tout ceci à n'importe quel prix.

- Monsieur Charles m'a ordonné de vous enseigner comment vous deviez vous comporter devant lui et les clients …
- … Les … clients ?
- Vous êtes dans la "maison de passe" de Monsieur Charles. Monsieur veut que vous deveniez une prostituée à ses ordres.
- Mais c'est n'importe quoi ! Je ne suis pas une pute !
- … Maintenant si … Ce que Monsieur veut, Monsieur obtient …
- Non. Je refuse d'être traitée comme la dernière des traînées. Il ne peut pas me faire ça. Je ne suis pas une pute. J'ai encore ma dignité et du respect sur moi-même. Je …

Annika baissa la tête. Une larme tomba sur le sol. Tina comprit qu'elle venait de la blesser.

- Je suis désolée, je ne voulais pas dire ça pour toi. Tu sais, je ne sais pas ce qu'il m'arrive et …

Trop tard, Annika partit sans dire un mot. Tina l'entendit monter des escaliers et fermer une porte. Elle s'en voulu d'avoir pu blesser Annika. Elle qui a dû vivre les pires atrocités que peut lui faire ces "clients", mais surtout Charles …

Elle se décida à sortir de son clapier. Elle vit une porte ouverte au-dessus d'une série de marches en pierre. Elle monta jusqu'à ce qu'il semblait être le couloir d'entrée. Elle se trouvait dans une maison sans étage. La porte d'entrée présentait une petite fenêtre opaque sur le côté.

Face à elle se présentait trois autres portes. L'une d'elles était fermée. Tina se dirigea sur celle-ci et entendit Annika sangloter. Elle ouvrit la porte et vit sa désormais compagne de l'enfer recroquevillée sur un lit double. Tina était peinée … Elle vint s'asseoir sur le lit. Elle ne dit rien. Elle ne savait pas quelle pouvait être sa réaction. Elle se contenta simplement de lui caresser le bras en signe de consolation. Annika se calma, jeta un œil vers elle et brisa le silence.

- Je sais qui tu es. Monsieur Charles me parle souvent de toi. Ce que tu as pu vivre au bureau avec lui n'est rien comparé à ce que je vis depuis que je suis son esclave …
- Je suis désolée, je ne voulais pas te blesser …
- Ce n'est pas grave … J'en vois bien pire avec les clients.

Une fois calmée, Annika lui déballa tout. Originaire de Suède, elle était venue à Paris à ses 20 ans pour terminer ses études de médecine. Elle s'était trouvée un petit boulot de standardiste chez Baygue afin de pouvoir financer ses études. C'est là qu'elle a rencontré le fils du PDG, Charles. Il avait 16 ans à peine, mais semblait déjà déterminé à vouloir prendre la place de son père dans le futur.

Charles semblait plutôt sympathique. Annika l'aimait bien. Ils parlaient souvent ensemble. Les 2 se rapprochaient un peu plus avec le temps et finirent par coucher ensemble un soir où ils avaient un peu trop bu.

Prise de remords vu le jeune âge de l'adolescent, elle demanda à Charles qu'ils ne se voient plus. Mais au lieu de le voir comprendre et d'arrêter, elle découvrit qu'elle venait de se faire piéger par le jeune homme. Charles l'avait droguée et avait filmé toute la scène en se faisant passer pour une victime de viol. Il menaça Annika de tout révéler à la police si elle ne faisait pas ce qu'il lui disait. Ce qui aurait pu avoir de grave conséquence pour elle, Charles étant encore mineur.

Il l'obligea donc d'arrêter ses études et la fit travailler comme "domestique" à la résidence de la famille Baygue. Elle n'avait de domestique que le nom car Charles se servait surtout de ses services sexuelles pour calmer ses pulsions. Ses seuls moments de répit était lorsque Charles allait en cours et était au service de la mère, souffrant d'un cancer incurable.

Elle y vécut deux ans et découvrit au jour le jour la vraie personnalité de Charles. Il était le genre d’homme qu’il ne valait mieux pas fréquenter. D’un genre sympathique au premier abord, il se révélait être le parfait connard que tout le monde détestait. Un type prétentieux et imbu de sa personne qui n’hésitait pas une seule seconde à vendre père et mère pour ses propres intérêts. Il n'afficha même pas une quelconque émotion lorsque sa mère décéda des suites de son cancer … Il arrivait toujours à avoir ce qu’il veut, comme il veut, quand il veut.

Pour ne rien arranger, il avait un profond sentiment de mépris envers le sexe féminin. Selon lui, les femmes n’étaient que de faibles personnes, juste bonne à servir l’homme en tout point. Comme l'était devenue Annika.

Lorsque Charles fut majeur, il l'obligea partir de la résidence avec lui. Elle n'avait de toute façon plus rien en dehors des Baygue. Plus d'argent, plus de toit, plus d'études … Ils s'installèrent donc dans un appartement luxueux de la banlieue de Paris.

Charles n'avait pas le même souci économique qu'Annika, mais il ne voulait pas voir son esclave perdre son temps à faire le ménage quand il n'était pas là. C'est là qu'il a eu l'idée de "rentabiliser" son temps libre en achetant un logement d'étudiant qui devint une maison de passe, celle dans laquelle Annika et Tina se trouvaient au moment où elle lui raconta son histoire.

Les clients étaient surtout des étudiants de l'université dans laquelle Charles suivait ses cours. Des mecs de la même trempe venus pour simplement tirer leur coup avec une chienne ou pour assouvir leur vices les plus pervers et inavouables. Vaginale, annale, fist, insertions, étouffement, tout y passe, même les plus inimaginables …

Bien sûr, le soir venu, Charles vint la rechercher et reprit son rôle de domestique, souillée et humiliée, jusqu'au jour suivant. Il arrivait aussi que Charles lui réserve en plus une "Soirée Saillie", une soirée entre amis où elle sert de vide-couilles aux invités. C'était ainsi depuis 6 ans maintenant …

- Tu n'as jamais pensé à t'enfuir ?
- Impossible, la porte n'est ouvrable que par un code numérique propre à chaque client.
- Bien ! Profitons d'un moment de distraction au moment où la porte est ouverte pour retrouver la liberté !
- Je ne sais même pas où nous sommes. Monsieur Charles a opacifié toutes les fenêtres de la maison. Tous les matins et soir, il me met une cagoule qui me cache la vue et l'ouïe et m'installe dans le coffre de sa voiture pour m'empêcher de me repérer …
- Ce n'est pas grave ça, tant qu'on arrive à rejoindre une civilisation avec un téléphone …
- Monsieur Charles nous retrouvera avant. Il nous a implanté une puce dans le cou. À peine sortie et une alarme se déclenchera. Il a juste besoin d'appuyer sur un bouton pour nous envoyer une décharge électrique ... Il t'a implanté la tienne ce matin si tu veux savoir …
- C'est … c'est impossible !
- Puis à quoi bon s'enfuir … J'ai tout perdu … Ma famille, mes amis à Göteborg me croient morte. Monsieur Charles a fait croire à une disparition et a brulé tous mes papiers … Et ce matin, il a fait pareil pour les tiens devant moi …

Tina était piégée dans cet enfer. Elle réalisa que toute tentative de liberté et de retrouver une vie normale lui était futile. Elle allait devenir une pute et rien ne pourra faire changer ce destin. Les larmes l'envahirent et éclata en sanglot …

Dépravée, humiliée, ayant perdu tout sens de dignité et de respect, c'est avec la peur au ventre que Tina et Annika débutaient leurs journées. Cela faisait 3 mois que Tina était devenue une pute pour le compte de Charles. Elle passait 12 heures par jour à subir l'assaut de ce qu'étaient maintenant ses clients.

Un morceau de viande en bikini juché sur des plates-formes, voilà ce qu'elle était devenue. Un vulgaire appât prêt à se faire embrocher par des bêtes en rut. Des connaissances, nouvelles et anciennes de Charles prêt à mettre un petit billet de 50 pour se soulager.

Et si ce n'était que ça … L'heure de rentrer venue, Charles revenait, prenait l'argent de la journée et plantait les filles dans le coffre de sa voiture, après leur avoir bien sûr couvert la tête d'une cagoule. Seul un trou au niveau de la bouche permettaient aux filles de pouvoir respirer … et de Charles de trouver une ouverture pour sa queue lorsqu'il ne pouvait pas attendre …

Une fois rentré dans son appartement, c'était toujours la même rengaine. Elles devaient enlever le peu de vêtements qui les habillaient et rester nue. Il choisissait l'une des 2 filles qu'il baisait le temps que l'autre préparait son repas. Une fois celui-ci terminé, il s'installa sur le canapé et regardait la télévision pendant que les filles mangeaient à leur tour ou faisaient le ménage. Il arrivait qu'une envie soudaine de prendre sauvagement l'une des 2 arrive avant que l'autre ne subisse la même chose juste avant qu'il n'aille dormir.

Elles n'avaient pas de lit, juste une sorte de paillasse et une couverture était posée en guise de couche à partager. Les matelas de la maison de passe était bien la seule chose dont elle pouvait regretter venant de là-bas.

Tina, voulant tenir la tête haute, était encore résistante à cette ambiance de vie putassière. Annika ne l'était plus. La première essayait alors de lui rendre la vie moins difficile à la deuxième, lui offrant un peu de douceur en la prenant dans ses bras.

Le week-end, les filles allaient dans la maison de passe le soir. La journée se passait alors comme un en semaine. Charles profitait pour satisfaire ses pulsions sur l'une ou l'autre, quel que soit l'heure de la journée. Il arrivait qu'elles restent le samedi soir car Charles avait préparé une soirée. Une soirée entre hommes ou, bien sûr, Tina et Annika étaient les objets de convoitise de ces bêtes en rut. C'était toujours pour se terminer au petit matin après plusieurs heures de gang bangs où elles finissaient dans un état lamentable.

C'est lors de l'une de ces soirées que vint un miracle. L'homme qui les fit sortir de cette vie misérable. Au contraire des autres soirées qui se passaient en groupe, l'homme était seul. Il n'était pas comme les autres: Grand, brun, bien bâti, habillé d'un costume noir très classieux, chapeau sur la tête et tenant une canne avec un pommeau garni de tâches léopard. Il avait la quarantaine bien entamée, plus vieux que tous les clients réguliers des 2 filles. Il respirait le charisme à plein nez et faisait passer Charles pour un être aussi ridicule qu'un bouton sa veste.

Charles semblait à peine connaître l'homme et ne parlait pas à lui comme il parlait aux autres. Il l'appelait le Bélial et l'avait rencontré la semaine qui précédait lors de l'une de ses sorties en boîte. De passage à Paris pour la semaine, le Bélial était à la recherche de soumises. Il était prêt à "essayer la marchandise" et à y mettre le prix si elle lui convenait. La vénalité de Charles n'a alors fait qu'un bond et a proposé de venir chez lui pour lui montrer ses putes.

Tina avait néanmoins remarqué quelque chose d'anormal … le Bélial avait l'air de porter plus d'attention à Charles qu'à elles. Les regards qu'ils portaient sur Charles étaient intenses, comme s'il se faisait une description physique du fils Baygue dans sa tête.
Une fois assis sur le fauteuil, il fit face aux 2 filles assises par terre. Il montra Tina avec sa canne.

- Toi, la blonde, fait ce que tu as à faire.

Si Charles a utilisé les menaces pour soumettre Tina et Annika, le ton autoritaire du Bélial était suffisant. Elle s'avança vers son entre-jambe et ouvrit délicatement le pantalon de l'homme. Une pièce gigantesque en sortit. Cette immense queue avait la même épaisseur que le bras de Tina et plus de 2 fois la taille du sexe de Charles.

Une colonne de chair que Tina eu bien du mal à faire entrer en bouche. Elle dû s'y remettre à plusieurs fois avant de pouvoir engloutir le gland du Bélial. Elle se mit à suçoter ainsi pendant un certain temps avant que la main de l'homme ne pousse l'arrière de sa tête pour f***er l'entrée de la cavité buccale.

Il lui fallut un moment et un peu d'aide pour faire entrer la moitié du colosse dans sa gorge. Elle en eu des nausées et n'était pas loin de vomir lorsque le Bélial relâcha la pression.

- Elle a plus l'habitude de faire avec des petites queues à ce que je vois. Il y a du travail à produire. Toi là, viens la remplacer.

Tina se dégagea et laisse la place à Annika. Le regard noir de Charles en disait long sur ses pensées. Il venait de prendre une humiliation et Tina allait le regretter. Annika ne fit pas mieux qu'elle. Bien que lubrifié par la salive de son amie, elle eut beaucoup de mal à insérer le membre dans sa gorge. Mais une fois de plus, Tina vit que le Bélial ne semblait pas plus intéressé par Annika. Il préférait plutôt reluquer l'entre-jambe de Charles qui commençait à gonfler de plaisir.

- Elle aussi, il lui faut du travail.
- Je suis désolé Bélial. Elles vous ont déçues ?
- C'est vous qui m'avez déçu, mon cher. Vous me les avez présentés comme des expertes, mais à voir la grosseur de votre érection dans votre pantalon, elles ont l'air plus habitués aux petites queues. Et je suppose que c'est pareil pour les clients …
- Je …
- Écoutez, je vais vous faire une proposition. Je les prends avec moi pour un mois. Je vous promets qu'à leur retour, vous pourrez les considérer comme des professionnels.
- Euh … D'accord.

Le Bélial sortit son téléphone et passa un coup de fil. Pas deux minutes plus tard, un homme au costume simple entra. Il sortit un contrat d'une bonne taille d'un porte-document et le tendit à Charles. Il ne lut que la première des dizaines de pages qui lui avait été donnée et le rendit au Bélial.

Elles partirent dès le contrat signé. Le Bélial leur a simplement demandé de mettre quelque chose sur elle avant de partir. N'ayant que leur tenue de la maison de passe avec elles. C'est ainsi qu'elles sortirent de l'appartement.

Une limousine attendait au bas de l'immeuble. L'homme au costume simple entra à l'avant. C'était le chauffer. Une fois tous à l'intérieur, elles virent une femme blonde platine au corps de rêve et aux faux airs de Charlize Theron les attendre. Elle aussi était habillée d'une façon classieuse. Un tailleur d'un blanc éclatant laissant entrevoir une paire de seins assez volumineuse. Sous ses bas couleurs chair, Tina pouvait voir des tâches de léopard tatouées le long de sa jambe.
La femme sortit un petit appareil d'un tiroir en dessous de son siège et la fit passer dans le cou des 2 filles, désactivant la puce que Charles leur avait implanté. Le Bélial regardait les 2 filles craintives alors que la voiture se mit à rouler ...

Elle n'avait pas vraiment compris ce qu'il se passait. Annika et elle venaient d'être "prêtées" à un homme qu'elles ne connaissaient pas pour le mois qui suivait. Elle se souvient avoir eu peur. Elle qui ne se gênait pas de défier Charles du regard, elle n'osait même pas croiser celui du Bélial. Celui-ci l'impressionnait tellement qu'elle n'osait même pas le regarder, ni même de prononcer un mot. Ce dût être la femme de briser ce silence qui régnait dans la voiture.

- Vous me semblez fort craintive, je me trompe …
- Euh … oui ...
- Détendez-vous, nous n'allons pas vous faire de mal.
- Je … bien, madame …
- Pas de ça avec moi, s'il te plaît. Vous pouvez m'appeler Ariane.

Le sourire sincère qu'affichait Ariane rassura un peu Tina.

- Nous sommes désolés pour cette entrée en matière un peu brutale, mais nous ne voulions pas semer le doute auprès de cet homme qui se prétend être votre maître. Nous pouvons vous assurer que cela ne se reproduira plus. Sauf si vous en avez envie, bien sûr. N'empêche que ça a quand même dû vous changer de la petite chose que ce Charles traîne sur lui …

Tina et Annika se regardaient. Elles ne savaient pas quoi dire.

- Rassurez-vous. Vous êtes désormais sous notre sécurité. Vous n'avez plus rien à craindre.
- Que voulez-vous de nous ?
- Nous savons que Charles vous a privé de liberté contre votre gré et vous a fait subir des atrocités pour son simple plaisir. Sauf que nous avons un sérieux compte à régler avec lui. De ce fait, nous voulons vous offrir votre liberté en échange d'un travail pour nous.

Tina regarda Annika. Liberté. Ce mot résonne encore dans sa tête aujourd'hui. Bien qu'en très mauvaise posture, elle ne s'était jamais résignée à vouloir reprendre le dessus sur ce sale type. Mais elle ne s'attendait certainement pas à recevoir une aide venant de l'extérieur. Annika, elle, avait perdu toute cette notion. Passée trop longtemps dans cette vie maudite, elle avait du mal à comprendre ce qu'il se passait. Elle ne dit rien et, préférant se blottir contre Tina et la laisser faire.

- Où voulez-vous en venir ? Vous voulez nous libérer ?
- Exactement. Mais attention, nous voulons que vous réalisiez ce travail. Mais je pense que celui-ci devrait vous plaire et qu'il ne sera pas difficile de vous convaincre. Sachant ce que vous avez vécu, nous avons trouvé très intéressant de vous offrir l'occasion de prendre votre revanche.

Ariane se tourna vers le Bélial. Il lui fit un signe de tête et reprit.

- Pour être clair avec vous, ma partenaire et moi-même sommes à la tête d'un réseau d'un des plus grands et des plus respectés réseaux de prostitution transgenre d'Europe. Il ne comporte que des prostituées volontaires et prestant leurs services de leur plein gré.

Seulement, cela fait plusieurs mois que mes filles sont constamment perturbées par un morpion … Au début, mes filles venaient me rapporter qu'elles étaient régulièrement humiliées par un inconnu sous prétexte qu'elles n'étaient pas "normales". Je leur ai demandé de ne pas y prêter attention jusqu'au jour où l'une d'entre-elles est venue me voir en pleurs. Elle venait de se faire violer par cet inconnu.

En trois semaines, cinq de mes filles ont subi le même sort. J'ai ordonné à mes hommes de mener leur enquête, de le retrouver et de me le ramener afin que je m'occupe personnellement de son cas. Ce sont des ragots de clubs qui nous ont fait prendre connaissance de votre existence et de votre quotidien auprès de lui."

Tina commençait à comprendre. Le Bélial et Ariane était visiblement de leur côté. Elle comprenait également que le travail qu'ils proposaient allait effectivement lui plaire. Annika elle, s'était relevée. Elle aussi commençait à comprendre qu'elle allait enfin pouvoir sortir de cette vie misérable. Encore apeurée par le Bélial, elle se tourna vers Ariane.

- Vous … voulez qu'on le tue, c'est ça ?
- Le tuer ? Non, ce serait beaucoup trop simple et beaucoup trop rapide. Nous voulons lui réserver un sort bien plus intéressant pour vous et enrichissant pour nous. Nous avons eu l'idée d'étendre notre marché à un nouveau type de service et nous aimerions beaucoup que Charles soit la première de nos sissy à être livrée sur le marché.
- Une sissy ? Qu'est-ce que c'est ?
- Vous ne savez pas ce que ça veut dire ?
- Euh … non …
- C'est très simple. Nous voulons le féminiser et le soumettre aux services d'hommes aimant montrer leur puissante masculinité dont Charles ne pourra plus se prétendre. Votre travail si vous l'acceptez sera de l'amener vers cette soumission, qu'il accepte, de le féminiser et le rendre dépendant au sexe masculin.

Elle regarda Tina et commença à afficher un sourire. Le premier que son amie vit depuis qu'elle l'avait rejoint dans son enfer. Ce sourire en disait long sur ses intentions. Tina réalisait que sa vengeance allait être encore meilleure que ce qu'elle pensait. Non seulement elle avait l'occasion de faire payer à Charles ces mois maudits, mais elle allait en plus inverser les rôles. Elle avait néanmoins quelques doutes sur la réussite de ce travail.

- D'accord, mais vous pensez vraiment que l'on puisse réussir à lui faire retourner le cerveau ?
- Ne vous en faites pas, vous ne serez pas seule. Nous avons cinq filles qui se feront une joie de vous aider, sans compter les nombreux contacts que nous avons.
- Dans ce cas, ce serait idiot de refuser.
- Parfait ! Je pense que nous allons très bien nous entendre !



- Ma chérie !
- Oh ! Ariane, je ne t'avais pas entendu arriver !
- Normal, tu avais l'air tellement songeuse.
- Oui, j'étais en train de me remémorer d'anciennes histoires …
- Arrête d'y penser ! Regarde-toi. Tu es belle, désirable, tu as un travail plus que respectable et tu vas te marier ! Et en plus tu n'auras plus à te préoccuper de cette salope.
- Oui, c'est vrai ! Adrien n'est pas là ?
- Tu le connais, il aime la discrétion. Il sera là quand il n'y aura plus personne. Et la marchandise ? Je ne l'ai pas croisée …
- Ça ne risque pas. À l'heure qu'il est, elle est certainement toujours en train d'accueillir sa remplaçante … Tiens qu'est-ce que je disais !

Elle tourne l'écran d'ordinateur et montre une vidéo surveillance provenant de la cour arrière. On y voit Candice à quatre pattes s'occuper de l'intimité d'une belle blonde assise sur une pile de palette en bois qui la tient fermement par les cheveux. C'est une femme menue vêtue d'une robe et d'une veste blanche. Ariane s'étonne à la vue de cette femme

- Sa remplaçante est Annika ?
- Oui, il faut la comprendre. Elle n'a jamais vraiment eu de travail après ce tout ce qu'il s'est passé. Je profite du départ de Candice pour l'engager.
- Je comprends … et puis elle sera plus proche de toi.
- Elle a besoin de moi … comme j'ai besoin d'elle.
- Vous êtes mignonne toutes les deux !

Tina sourit au compliment. Tout ce temps passé à ses côtés face à un homme qu'il leur faisait vivre l'enfer. Elle n'aurait probablement pas tenu si Annika n'avait pas été là. Tina serait prête à tout pour elle, ne pourrait jamais imaginer la vie sans elle. Leur histoire est marquée à l'indélébile jusqu'à la fin. Jamais personne ne pourra comprendre Annika autant que Tina et vice versa. Elle aura toujours besoin de sa présence auprès d'elle …

- Mon amour !
- Annika chérie !

Annika se lance dans les bras de Tina et l'embrasse, laissant Candice seule sur le pas de la porte.

- Encore merci de m'offrir cette place. Je n'en pouvais plus de te savoir avec l'autre godiche toute la journée alors que j'étais toute seule chez nous ...
- Tu sais très que si j'avais un choix à faire, ça aurait fait très longtemps que tu serais ici avec moi.
- Oui, c'est vrai. Il fallait la former … mais on va enfin en être débarrassée et pouvoir vivre notre vie, toute les deux !
- À t'entendre on dirait que tu traînais un boulet … pourtant, tu t'amusais bien avec ton "jouet".

Un jouet, c'était le terme qu'elle avait pris l'habitude d'utiliser pour désigner Candice. Tina a comme réponse un patin de sa chérie. Annika se dirige ensuite vers Ariane qu'elle enlace amicalement.

La vue de celle-ci surprend Candice, mais semble ravie de sa venue. Elle aimait beaucoup Ariane. C'était à elle que Candice devait sa transformation, son acceptation en tant que sissy et son amour pour le sexe masculin. Ariane fut celle qui l'a menée vers un chemin qu'elle ne quittera pour rien au monde.

- Qu'est-ce que tu fiches encore sur le pas de la porte, toi ? Viens me saluer !
- Oui, Madame Ariane …

Candice sait très bien ce que veut dire saluer dans le langage d'Ariane. Tina et Annika aussi qui sortent aussitôt du bureau, fermant la porte derrière elles.

La sissy se dépêche de rejoindre sa maîtresse. Face à elle, Candice se met à quatre pattes et commence à baiser la pointe des bottes de cuir noir d'Ariane. Elle continue de déposer ses baisers sur la botte tout en remontant doucement le long des jambes, les cuisses, puis l'entrejambe d'Ariane. Elle insiste longuement sur l'anatomie de sa maîtresse jusqu'à faire apparaître une bosse à travers le legging en cuir. Telle la bonne soumise qu'elle est, Candice déboutonne le pantalon d'Ariane et laisse sortir un sexe masculin bandé d'une belle dimension.

- Le sexe de Madame Ariane est d'une belle taille !
- Tu aimes ?
- Oui, Madame Ariane ! J'ai toujours aimé m'occuper de votre sexe !
- Alors, fais-moi plaisir et suce !
- Bien, Madame Ariane !

Candice ne se fait pas prier et commence à humer la hampe d'Ariane. Elle aime l'odeur qui s'en dégage: un mélange de sueur et d'urine. Elle relève le sexe de sa maîtresse et commence à lécher tendrement ses bourses. Candice joue avec les deux testicules tout en masturbant la queue d'Ariane. Un gémissement sort de la bouche de cette dernière. Elle apprécie …

Tout en la regardant dans les yeux, Candice remonte lentement sur la hampe jusqu'à en titiller le prépuce. De tendres coups de langue qui a le don de faire rugir Ariane. Elle passe sa langue autour du gland gonflé, suintant d'un liquide séminal qu'elle ne manque pas de boire. La main d'Ariane caresse ses cheveux, l'invitant à passer à l'étape suivante.

Toujours les yeux dans les yeux, Candice enfonce le membre de sa maîtresse dans sa gorge, centimètre par centimètre, jusqu'à arriver à la base, d'un seul trait. La belle soumise profite de ce moment pour renifler une nouvelle fois l'odeur de sueur qui se dégage du bas-ventre de sa maîtresse. Cela l'excite au plus haut point.

Sous le regard de Tina et Annika, Elle effectue un mouvement de va-et-vient sur le membre d'Ariane. L'une des mains de Candice qui malaxait ses couilles descend doucement sur son corps. La sissy se caresse les seins, le ventre ... Elle retrousse sa jupe, dévoilant un fessier dépourvu de sous-vêtements. Ses doigts s'insinuent dans sa raie alors qu'elle continue de promulguer une fellation à Ariane.

Un doigt, puis deux viennent s'enfoncer dans son anus. Candice émit quelques petits gémissements de satisfaction. Ariane avait pris les devants. Tenant fermement la tête de sa femelle, c'est maintenant elle qui donnait le rythme. La cadence se fait plus rapide, plus violente aussi. Candice se laisse faire, se contentant de lubrifier le long membre de sa bourrelle.

Candice sent maintenant le membre gonflé. Ariane est prête à terminer ses salutations avec sa soumise. Elle se cale au fond de sa gorge. Sa bite tressaute, largue de multiples jets de sperme directement dans le gosier de la sissy qui n'a d'autres choix que d'avaler la semence. Candice tousse, mais ne laisse aucune trace du nectar qui lui est offert. D'un geste de main, elle est séparée de ce chibre et se retrouve à terre, assise en train de regarder Ariane se rhabiller.

- Madame Ariane a-t-elle été satisfaite ?
- Tu sais très bien que tu as toujours été ma vide-couilles préférée.
- Merci, Madame Ariane !

Candice est fière de ce compliment. Elle lui rend un sourire reconnaissant. Tina et Annika reviennent alors dans le bureau.

- Fini de jouer Candice. Ton nouveau maître va arriver. Va dans la pièce à côté que nous terminions les détails de vente …
- Bien, Mademoiselle.

Candice remet sa jupe en place et file rapidement dans la pièce à côté. Une petite salle de bain que Tina a fait aménager pour son confort personnel. Elle est rapidement suivie par sa patronne. Elle se dirige vers une garde-robe qu'elle ouvre à l'aide d'un code. Elle ressort une paire de menotte, ainsi que deux godemichets. L'un est gonflable et l'autre à ventouse.

Tina fait mettre Candice à quatre pattes et lui place le godemichet ventouse face à elle. La soumise sait ce que sa maîtresse veut. Ce n'est pas la première fois que ça lui arrive. Elle gobe le membre de plastique jusqu'à la garde. Tina lui attache ensuite une très courte chaîne à son collier relié à un crochet mural juste en dessous du gode de façon à ce qu'elle reste dans cette position. Les poignets sont menottés dans son dos. Tina fini par enfoncer l'autre gode dans le cul de la sissy et le gonfle au fur et à mesure qu'elle lui explique la situation.

- Ton nouveau maître vient de m'appeler. Il m'a dit vouloir s'amuser un peu avec toi avant de t'emmener avec lui. Tu resteras ainsi jusqu'à ce qu'il décide d'en finir.
- Muih Ma'moi'e''e."

Une fois le gode bien en place, Tina repart de la salle de bain laissant Candice dans ses souvenirs …

Un mal de crâne … C'est tout ce dont se souvenait Charles de la nuit qui précédait. Il ouvrit les yeux et remarqua qu'il était assis sur une chaise à très haut dossier dans une sorte de cave. Il voulut se relever, mais impossible. Il était attaché du cou jusqu'aux pieds à cette chaise. Il tenta de se débattre pour se détacher, mais impossible.

Il abandonna un instant et regarda autour de lui. Il était bien au milieu d'une cave remplie de divers ustensiles et meubles faisant penser à une salle de torture avec pour seule source de lumière une lampe fluorescente rouge, comme celle que l'on retrouve dans les quartiers chauds de la ville.

Commençant à s'inquiéter, il passa les deux heures suivantes à essayer de nouveau de se détacher, mais les sangles lui bloquaient le corps. C'est alors qu'il entendit des pas dans le couloir. Il put reconnaître l'approche d'au moins une femme par ses talons aiguilles.

La porte s'ouvrit sur deux africains en costume noir et au physique de catcheurs, genre garde du corps. Ils étaient suivis par une femme qui semblait être leur cheffe. Elle était l'exact contraste de ses hommes de mains: une blonde platine en costume d'un blanc éclatant. Si eux étaient tout en muscle, elle était tout en chair.

Elle se tenait face à Charles qui avait du mal à l'identifier à cause de la lumière rougeâtre qui régnait dans la pièce.

"-Alors Charles, bien dormi ?
- Où suis-je ? Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Libérez-moi !
- Ouhlà … Tant de questions d'un coup …
- Qui t'es, salope ?!
- Tu ne me reconnais pas ? Moi qui suis "la meilleure suceuse de tous les temps " ?
- Je … Ariane ?!"

Charles eut un frisson dans tout le corps. Il avait embauché Ariane après le "renvoi" de Tina pour ne pas laisser son travail à l'abandon. Son air d'actrice de cinéma, son physique lui avait de suite beaucoup plu. Son musc l'excitait. Il voyait déjà en elle sa future chose. Ce qui n'avait pas été fort difficile puisqu'elle s'était mise d'elle-même entre ses jambes dès la fin de sa première semaine.

- Je vais te …
- Tu vas faire quoi ? Faire ce que tu as fait à mes filles ? Non, non, non …
- Tes filles ? Je ne les connais pas tes putes !
- C'est bien le mot ...
- Je te préviens, mon père est très haut placé. Il doit être à ma recherche en ce moment et il te le fera payer !
- Ah ça, c'est certain qu'il te cherche, on n'arrête pas de te voir à la télévision.
- Ce n'est plus qu'une question d'heure avant qu'il sache où je me trouve.
- Ça par contre ça m'étonnerait. Officiellement tu as disparu dans la forêt amazonienne …
- …
- Mais ne t'en fais pas, tu vas réapparaître comme si de rien était dans un certain temps. Du moins, si tu es conciliant.
- … Qu'est-ce que tu veux, de l'argent ? Prend tout ce que tu veux et dégage …
- Oh non, je me fous bien de l'argent, j'en ai bien assez pour ne pas en quémander. Ce que je veux, c'est de venger mes filles. Vois-tu, elles sont comme ma famille. Si quelqu'un les touches, je peux devenir très vilaine.
-Et c'est quoi le problème ? Je ne les connais même pas …
- Chloé, Lola, Jade, Mia et Zoé se sont faites agressées ces derniers mois par toi. Des transsexuelles …"

Charles se souvint de ces filles qu'il avait agressées, puis, regardant les deux hommes derrière, fit le lien entre ces hommes en noir qui étaient apparus dans les rues du quartier chaud.

- Tu n'as de toute façon pas de preuves …
- D'elles non … mais de moi, oui."

Ariane sortit alors son téléphone de sa poche et lança une vidéo. Celle-ci montrait une scène ou une transsexuelle paraissait être une victime d'agression d'un homme. Après plusieurs minutes de la vidéo insoutenable, Charles se reconnut … ainsi qu'Ariane !

- Tu … t'es un trans ?!
-Tu adorais tellement que je te suce que tu n'as pas cherché plus loin …
- Mais … mais c'est une simulation de viol ?! Ce n'est pas légal, t'as pas le droit de faire ça !
- Venant de quelqu'un qui a fait pareil immondicité pour faire d'une jeune étudiante son esclave, je serais toi, je la ramènerais moins !
- Que … Quoi ? C'est faux ! Je …
- C'est inutile de mentir, Charles ! Je sais tout ! Annika, Tina, mes filles, tes frasques, ton caractère, ton jugement de la femme … tout ! Tu ne penses quand même pas que j'ai postulé comme secrétaire dans la boîte de ton père juste pour le plaisir de sucer ta misérable nouille !"

La colère d'Ariane calma Charles. Elle savait tout ce que personne n'aurait dû savoir. Il se savait dans la merde jusqu'au cou si elle venait à tout révéler. Il tenta le tout pour le tout.

- Écoute, je suis sincèrement désolé. Je … Je voulais juste m'amuser … Je t'en prie, détache moi, je ferais en sorte pour qu'Annika et Tina retrouve leur job dans la boîte, je leur laisse même ma place si elles veulent … Tina deviendra PDG à ma place et Annika sa secrétaire par exemple …
- …
- Ariane ? Réponds-moi …
- Et pour mes filles ?
- Euh … de l'argent ? Beaucoup d'argent ?"

Charles vit Ariane tourner en rond autour de Charles. Elle réfléchissait sans dire un mot. Puis les deux hommes de main prirent la parole.

- Et si c'était Charles la secrétaire ?
- … Oui … Oui ! C'est une très bonne idée ça Marcus !
- Vos filles pourront même s'occuper de son éducation si vous le souhaitez.
- Mais oui, Patrick ! C'est tout à fait ça ! Je pense que vous méritez une récompense tous les deux.
- (en cœur) Merci, mademoiselle !"

Charles était perdu. Il vit Ariane se tourner vers lui en affichant un large sourire.

"- Voilà le deal. Puisque tu as une image de la femme très dégradante, tu vas devenir cette image. Tu auras droit à un traitement hormonal et une éducation sexuelle adaptée à ta vision de la femme idéale. Pendant que Charles s'effacera, tu légueras tout à Tina et Annika. Ce qui veut dire que tout ton patrimoine leur sera reversé et que Tina prendra ta place et succédera donc à ton père. Quand tu seras assez présentable, tu deviendras la secrétaire personnelle de Tina.
En échange, tu évites simplement la prison. Vu tes délits multiples, tu risques fort d'en prendre pour 50 ans, facilement.
- Quoi ?! Jamais de la vie ! Plutôt crever !
- C'est à toi de voir … Je te laisse une semaine pour décider. Je dois bien avoir quelques anciennes vidéos pour te faire passer le temps et réfléchir un peu à tout ça. À la semaine prochaine !"

Ariane sorti de la pièce suivie des deux hommes. Ils revinrent quelques minutes après avec une télé écran plat, un lecteur DVD et un pied à perfusion sur lequel était suspendue une énorme poche contenant un liquide visqueux qui semblait être de la nourriture.

Une fois le tout en place, les deux hommes sortirent. Une vidéo hypnotique apparut sur l'écran télé montrant des transsexuelles dans leurs ébats frénétiques et incitant son spectateur à les reproduire. En fond sonore, il put également entendre les gémissements d'Ariane, laissant peu de doutes sur la récompense promise à ses gardes du corps …

                                                                                   (A SUIVRE ????)
                 

dimanche 25 février 2018

Blog allegé....


A prévoir, un petit peu moins de mises a jour la semaine a venir en raison du travail. J'essayerait tout de meme de posté quelque chose tout les deux ou trois jours selon mes disponibilitées.

BONNE LECTURE !

CAPTIONS (490-491)

 
 
Quand les patronnes se vengent....
  
490
 
 
491


lundi 19 février 2018

RAPPEL

Il va de soit que toutes les captions incluant de la contrainte sont totalement fictives et fantasmées. Bien evidement ce genre de jeux ne peux concernées que des personnes pleinement consentantes. Tout abus sexuels ou mauvais traitements sur des personnes, en particulier mineures, est punissable par la loi.

LA PETITE BONNICHE 41 ET 42

41
 
 
42


dimanche 18 février 2018

SOUMISE A LEUR PATRON...

 

Ci-dessous 2 petites histoires de féminisation, la premiere est issue du magazine SM appellé "Wanda", la seconde provient de la revue "Courriers intimes" . Bonne lecture.




JE SUIS LA PUTE DE MON PATRON

 

iI y a deux ans, quand la doctoresse de la Médecine du travail m'a dit de me déchausser pourmonter sur la balance, elle a vu que sous mon pantalon je portais des bas Nylon. Je l’avais fait exprès, j’aime les situations insolites et je voulais voir comment cette belle femme à l’allure sévère réagirait.

Jamais je n’aurais imaginé que ce serait le point de départ d’une étonnante aventure.

La doctoresse a eu un petit sourire et m’a dit que je devais revenir le soir pour un examen plus poussé. Je suis revenu comme prévu. La doctoresse affichait un air très autoritaire qui m’a beaucoup impressionné. Elle m'a dit de me déshabiller, ce que j'ai fait, me retrouvant devant elle en sous-vêtements, c’est à dire porte-jarretelles, culotte féminine et bas.

Elle a commencé à m'interroger, elle me tutoyait, elle m’a demandé si je mettais souvent des bas, si j'étais homosexuel. J’ai répondu que j’aimais m’habiller en femme et que j’avais des aventures aussi bien avec des femmes qu’avec des hommes.

Cet interrogatoire humiliant m’excitait, j’ai eu un début d’érection. La doctoresse l’a vu, elle a baissé ma petite culotte, achevant de m'humilier.

A ce moment-là un homme est entré, un cadre de mon entreprise, un beau type d’une quarantaine d’années. evidemment. il avait tout arrangé avec la doctoresse. Il s'est approché, a tourné lentement autour de moi. J'étais mort de honte, et en même temps très excité. Il m’a pris le menton et m’a relevé la tête.

- J’ai quelque chose à te proposer, j’ai besoin d’une secrétaire particulière, est-ce que ça te plairait de faire ça ?

J’ai répondu oui, il me dit alors :

- C’est bien, nous allons donc te féminiser.

Entendre ça m’a fait uneffet terrible.

-Et on commence tout de suite. A ajouté la doctoresse enm’indiquant un petit tabouret.

J’étais très troublé, je n’ai pas bougé.

Monsieur Etienne m’a mis une gifle.

- Fais attention, petite putain, parce qu’on va aussi te dresser ! M’a-t-il dit en me pinçant la poitrine.

Je suis allé sur le tabouret. La doctoresse avait enfilé des gants en caoutchouc, sans ménagement elle m’apercé les oreilles pour y passer des grands anneaux en plastique.

- il faut souffrir pour être belle ! A ricané monsieur Étienne.

Puis il a ouvert son pantalon et m’a dit:

-Allez,montre-moi comment tu te débrouilles.

Je me suis mis ‘a genoux. devant lui et je l'ai pris en bouche. J’étais en état second. je ne m’en suis pas très bien sorti. Alors il a retire sa ceinture pour me corriger. Il m’a fait ramper sous ses coups, j'étais tellement excité que j’ai giclé sur la moquette.

Cette soirée a marqué un tour nant dans ma vie, j'aurais pu me défiler, mais j'étais trop excité par ce qui m'attendait, l'idée d'être féminisé me mettait dans un état indescriptible, mélange d’humiliation et d'excitation permanentes.

Physiquement, j'ai toujours été assez eftéminé, alors la doctoresse n'a pas eu beaucoup de mal à me transformer en fille. Un traitement hormonal approprié a fait disparaître ma pilosité, modifié ma voix, et sur tout m’a fait pousser des seins, me faisant découvrir des sensations nouvelles particulièrement voluptueuses. J’ai laissé pousser mes cheveux, et des leçons de maintien ont complété ma métamorphose. La doctoresse m’a appris à me maquiller, à me coiffer, à marcher sur des talons, à parler et à me comporter en femme. Cet apprentissages’est fait avec des méthodes énergiques, gifles, fessées. punitions diverses.

Monsieur Étienne suivaitmes progrès et venait régulièrement me sauter ou me mettre une raclée. Le résultat final n’est pas mal, je fais une fille assez réussie, et dès ma première sortie je me suis fait siffler et draguer.

Je m'appelais Marc, j'étais dessinateur, après quatre mois d’arrêt j'ai repris du service en tant que Carole, secrétaire particulière de monsieur Étienne. Il travaille en déplacement,je ne mets plus les pieds à l'usine, jesuis en femme de façon permanente.

À l’hôtel. je partage la chambre de monsieur Étienne, je lui sers de secrétaire, soubrette, putain. Il me sodomise ou je le suce, je suis devenue une championne de la pipe. Je suis aussi une fille très obéissante, corrigée deux fois par semaine.

Vivre en femme me procure des sensations fantastiques, quand je me promène c’est formidable de sentir les regards sur mes jambes, quand je me tais draguer je suis dans tous mes états, chaque jour je passe de longs moments à admirer et caresser mon nouveau corps, mes seins sont très sensibles et je les caresse longuement. La doctoresse continue à me suivre, et à l’occasion m’utilise comme soubrette.

Souvent monsieur Etienne invite des collègues dans sa chambre d'hôtel, je sers de soubrette et mes talents de pipeuse sont mis à contribution.

ll y a quelques mois, j'ai rencontré Sylvie, une fille qui remplit comme moi la fonction de secrétaire-putainpour un collègue de monsieur Etienne. Un soir, les deux hommes nous ont mises ensemble, nousnous sommes longuement caressées et embrassées devant eux. Puis j'ai pénétré Sylvie et nos hommes nous ont enculées après nous avoir mis une raclée.

Sylvie est très gentille et très douce, je crois que je suis un peu amoureuse d'elle. nous essayons de nous voir le plus souvent possible. Avec les hormones j'ai parfois du mal à bander, nous faisons l'amour en nous caressant, comme des lesbiennes, c'est bon aussi.

Depuis un moment, monsieur Étienne et son collègue font un peu moins de déplacements, ils réfléchissent à ce qu’ils vont faire de nous. L’autre jour, nous étions à quatre en voiture, ils ont ralenti devant un res taurant pour routiers.

- Je connais le patron, a dit monsieur Jean, on pourra les mettre là.

Nous avonscompris qu’ils envisagent de nous faire travailler comme serveuses putains. Si nous restons ensemble, nous sommes d’accord, de toutes façons nous ferons ce que décideront nos hommes.

Maintenant je réagis et je pense comme une femme, ma transformation est complète et je suis heureuse comme ça.

CAROLE






JE SUIS DEVENUE NICOLE

 

Je vais vous raconter mon histoire de garçon devenu fille par hasard.

Je m'appelle Eric. Ou plutôt Nicole maintenant. En 87, je me suis présenté à un travail de magasinier chez un marchand d'habits en région parisienne.

La secrétaire, mademoiselle Danièle m'a reçu et m'a donné un rendez-vous. J'y suis allé et j'ai rencontré le patron. Il m’a demandé si j'étais marié, je lui ai dit que non. Il m'a dit que le travail demandait des déplacements fréquents.

- Nous dormons à l'hotel, je paie tous les frais. Je vous engage tout de suite si vous le voulez.

Je lui ai dit oui. mais que je devais passer prendre des affaires chez moi.

Mademoiselle Danièle entra et sourit. Elle était belle et sexy.

Le patron lui dit:

- Voilà mon nouveau boy. Et il est sorti du bureau.

Elle me dit:

- Vous êtes embauché, bravo. Mais vous verrez, il est très spécial.

Le patron rentra. et me dit:

- On y va.

Et nous sommes partis.

Après une heure de route. Onarriva à Niort, et on entra dans un hangar.

Bernard, le patron, me dit:

- Voila. je vends des lingeries, des films et des livres porno. Je fabrique et je vends dans toute la France. Tu m'accompagneras et tu feras ce que je te dis, et tout ira bien.

Le soir. repas arrosé et hôtel de luxe. Lorsque je suis monté dans la chambre. je n'ai vu qu'un lit. Le patron me regarda et me dit:

- Allez. couche-toi. demain. on a du travail.

Je me suis dévêtu et, ne gardant que mon slip. je me suis couché. Il a fait de même. mais lui. a ôté son slip et m'a dit ne pas pouvoir dormir avec. Il se coucha et à partir de là. ma vie a basculé. Il s'est mis à bander et s'est collé contre moi.

- Tu serais d'accord pour fairel'amour ? Me demanda-t-il.

- Mais. je suis un garçon comme vous. ça ne va pas !

- Cela peut s'arranger tu sais. et puis ça ne me gène pas.

Je refusais. Alors il me dit:

- Quand nous rentrerons à Paris tu auras fini ton travail.

Je me suis tourné en lui disant que c’était du chantage. Il sourit et ajouta:

- Les filles le font bien.

Il se leva et ouvrit une des valises qu'on avait emmenée. Il me dit d'ôter mon slip et d'enfiler ces dessous.

- Ils ont déjà été portés par mademoiselle Danièle mais cela ne faitrien. ils doivent être à la taille.

ll y avait des bas. des jarretelles, des soutien-gorges et des petites culottes, des gants, des hauts talons vertigineux et une nuisette.

Il me dit:

- Vas-y, habille toi en fille.

Je retirais mon slip. et, poussé par je ne sais quelle force je saisis les bas. J'enfilais les jarretelles et les escarpins devant cet homme nu que je ne connaissais que depuis le matin, et me regardant dans le miroir du meuble. je commençais à y prendre plaisir.

Je regardais son sexe énorme qui bandait de plus en plus fort et cela m’excitait. Jamaisje n’avais vu une bite et encore moins une énorme comme cela. La mienne était beaucoup plus petite.

Il sortit une perruque et me la lança. Je me la posais sur la tête et je l’ajustais. Je me sentis femme et je l’étais presque. Il s'approcha de moi et me dit:

- Tu es très belle. et tu t’appelleras Nicole. Ton corps est à moi et je vais t'apprendre à sucer. Mets-toi à genoux !

Je m‘excécutais et je me retrouvais devant son énorme queue. Il m'ordonna:

- Suce-moi tout. les couilles et la bite.

Je la suçais, il ralait de plaisir et me traitait de garce, de salope, et tout à coup il m'a lâché tout son foutre dans la bouche. C'était chaud et bon. C’était nouveau. j'en avais partout., même sur le visage.

Il m’a embrassé et m'a dit:

- Tu suces mieux qu'une fille, maintenant je vais t'honorer comme une fille, mets-toi à quatre pattes!

Il me mouilla l’orifice et avec dextérité et me sodomisa lentement, c’était énorme, ça faisait mal, mais peu a peu le plaisir arriva. ll me limait et ralait comme unebête à chaque coup de butoir et il faisait bander ma petite queue. Il déchargea sa semence dans mon petit trou, avec des cris debête féroce et je sentis des gouttes perler sur mon sexe. ll se retira et semblait fatigué. J'avais de la jute partout, j'étais inondé de sperme et je semblais heureux de cette soirée.

- C’était super. Veux-tu être ma maîtresse et t’habiller tout le temps en femme ?

- Oui. j'adore ! Ai-je répondu.

- Demain. On te maquillera et tu seras très sexy. Je vais aussi te prendre un rendez-vous chez un specialiste pour un traitement hormonal, a partir de maintenant tu est ma femelle et j'exige que tu ai de la poitrine, je te ferait faire des gros seins cela t'ira parfaitement.

J'avais peur tant les choses s'enchainaient vite, mais j'ai hochée la tête en signe d'acceptation.

Le lendemain. nous sommes rentrés à Paris et sommes allés chez une manucure. ll l'a embrassée et lui dit:

- Je t'amène Nicole. Epile-la et fais lui les ongles !

Elle a souri et a dit: .

- C'est ta nouvelle conquête ?

Il a souri.

Elle m'a épilé les jambes et fais les ongles, et m'a dit:

- Je vais te montrer comment te maquiller.

Je sortis de chez Martine comme une vraie poule sexy et maquillée de rouge aux lèvres. J'étais heureuse d’être une fille. Nous sommes rentrés à la succursale et il m'a présentée à mademoiselle Danièle. Elle a souri et m'a dit:

- Vous êtes très belle.

Et le patron lui a dit:

- Vas au studio et fais la poser pour le prochain catalogue.

Elle m’a embrassée et m'a dit:

- Tu n'es plus viril maintenant, viens.

Après. j’ai posé comme un mannequin, déshabillèe. j’ai fait des photos "hard" avec des dessous terriblement sexy. Après. un mâle est arrivé nu et Danièle m'a demandé de baiser avec lui. Alors elle a filmé des scènes excitantes et le film se vend partout dans le monde.

Depuis je suis devenue une transexuelle, avec les hormones et des implants ma poitrine est devenue magnifique.

Bernard est mon amant et mon Maitre.

 

Nicole, 26 ans. Thonon les Bains

 



 

 

 

jeudi 15 février 2018

ROMAN PHOTO
 
De chez "Défi" encore une fois, ces magazines recelaient de veritables perles que je vous ferait decouvrir regulierement.
 
Aujourd'hui le scan des mésaventures de Daniel-Danielle.