dimanche 18 février 2018

SOUMISE A LEUR PATRON...

 

Ci-dessous 2 petites histoires de féminisation, la premiere est issue du magazine SM appellé "Wanda", la seconde provient de la revue "Courriers intimes" . Bonne lecture.




JE SUIS LA PUTE DE MON PATRON

 

iI y a deux ans, quand la doctoresse de la Médecine du travail m'a dit de me déchausser pourmonter sur la balance, elle a vu que sous mon pantalon je portais des bas Nylon. Je l’avais fait exprès, j’aime les situations insolites et je voulais voir comment cette belle femme à l’allure sévère réagirait.

Jamais je n’aurais imaginé que ce serait le point de départ d’une étonnante aventure.

La doctoresse a eu un petit sourire et m’a dit que je devais revenir le soir pour un examen plus poussé. Je suis revenu comme prévu. La doctoresse affichait un air très autoritaire qui m’a beaucoup impressionné. Elle m'a dit de me déshabiller, ce que j'ai fait, me retrouvant devant elle en sous-vêtements, c’est à dire porte-jarretelles, culotte féminine et bas.

Elle a commencé à m'interroger, elle me tutoyait, elle m’a demandé si je mettais souvent des bas, si j'étais homosexuel. J’ai répondu que j’aimais m’habiller en femme et que j’avais des aventures aussi bien avec des femmes qu’avec des hommes.

Cet interrogatoire humiliant m’excitait, j’ai eu un début d’érection. La doctoresse l’a vu, elle a baissé ma petite culotte, achevant de m'humilier.

A ce moment-là un homme est entré, un cadre de mon entreprise, un beau type d’une quarantaine d’années. evidemment. il avait tout arrangé avec la doctoresse. Il s'est approché, a tourné lentement autour de moi. J'étais mort de honte, et en même temps très excité. Il m’a pris le menton et m’a relevé la tête.

- J’ai quelque chose à te proposer, j’ai besoin d’une secrétaire particulière, est-ce que ça te plairait de faire ça ?

J’ai répondu oui, il me dit alors :

- C’est bien, nous allons donc te féminiser.

Entendre ça m’a fait uneffet terrible.

-Et on commence tout de suite. A ajouté la doctoresse enm’indiquant un petit tabouret.

J’étais très troublé, je n’ai pas bougé.

Monsieur Etienne m’a mis une gifle.

- Fais attention, petite putain, parce qu’on va aussi te dresser ! M’a-t-il dit en me pinçant la poitrine.

Je suis allé sur le tabouret. La doctoresse avait enfilé des gants en caoutchouc, sans ménagement elle m’apercé les oreilles pour y passer des grands anneaux en plastique.

- il faut souffrir pour être belle ! A ricané monsieur Étienne.

Puis il a ouvert son pantalon et m’a dit:

-Allez,montre-moi comment tu te débrouilles.

Je me suis mis ‘a genoux. devant lui et je l'ai pris en bouche. J’étais en état second. je ne m’en suis pas très bien sorti. Alors il a retire sa ceinture pour me corriger. Il m’a fait ramper sous ses coups, j'étais tellement excité que j’ai giclé sur la moquette.

Cette soirée a marqué un tour nant dans ma vie, j'aurais pu me défiler, mais j'étais trop excité par ce qui m'attendait, l'idée d'être féminisé me mettait dans un état indescriptible, mélange d’humiliation et d'excitation permanentes.

Physiquement, j'ai toujours été assez eftéminé, alors la doctoresse n'a pas eu beaucoup de mal à me transformer en fille. Un traitement hormonal approprié a fait disparaître ma pilosité, modifié ma voix, et sur tout m’a fait pousser des seins, me faisant découvrir des sensations nouvelles particulièrement voluptueuses. J’ai laissé pousser mes cheveux, et des leçons de maintien ont complété ma métamorphose. La doctoresse m’a appris à me maquiller, à me coiffer, à marcher sur des talons, à parler et à me comporter en femme. Cet apprentissages’est fait avec des méthodes énergiques, gifles, fessées. punitions diverses.

Monsieur Étienne suivaitmes progrès et venait régulièrement me sauter ou me mettre une raclée. Le résultat final n’est pas mal, je fais une fille assez réussie, et dès ma première sortie je me suis fait siffler et draguer.

Je m'appelais Marc, j'étais dessinateur, après quatre mois d’arrêt j'ai repris du service en tant que Carole, secrétaire particulière de monsieur Étienne. Il travaille en déplacement,je ne mets plus les pieds à l'usine, jesuis en femme de façon permanente.

À l’hôtel. je partage la chambre de monsieur Étienne, je lui sers de secrétaire, soubrette, putain. Il me sodomise ou je le suce, je suis devenue une championne de la pipe. Je suis aussi une fille très obéissante, corrigée deux fois par semaine.

Vivre en femme me procure des sensations fantastiques, quand je me promène c’est formidable de sentir les regards sur mes jambes, quand je me tais draguer je suis dans tous mes états, chaque jour je passe de longs moments à admirer et caresser mon nouveau corps, mes seins sont très sensibles et je les caresse longuement. La doctoresse continue à me suivre, et à l’occasion m’utilise comme soubrette.

Souvent monsieur Etienne invite des collègues dans sa chambre d'hôtel, je sers de soubrette et mes talents de pipeuse sont mis à contribution.

ll y a quelques mois, j'ai rencontré Sylvie, une fille qui remplit comme moi la fonction de secrétaire-putainpour un collègue de monsieur Etienne. Un soir, les deux hommes nous ont mises ensemble, nousnous sommes longuement caressées et embrassées devant eux. Puis j'ai pénétré Sylvie et nos hommes nous ont enculées après nous avoir mis une raclée.

Sylvie est très gentille et très douce, je crois que je suis un peu amoureuse d'elle. nous essayons de nous voir le plus souvent possible. Avec les hormones j'ai parfois du mal à bander, nous faisons l'amour en nous caressant, comme des lesbiennes, c'est bon aussi.

Depuis un moment, monsieur Étienne et son collègue font un peu moins de déplacements, ils réfléchissent à ce qu’ils vont faire de nous. L’autre jour, nous étions à quatre en voiture, ils ont ralenti devant un res taurant pour routiers.

- Je connais le patron, a dit monsieur Jean, on pourra les mettre là.

Nous avonscompris qu’ils envisagent de nous faire travailler comme serveuses putains. Si nous restons ensemble, nous sommes d’accord, de toutes façons nous ferons ce que décideront nos hommes.

Maintenant je réagis et je pense comme une femme, ma transformation est complète et je suis heureuse comme ça.

CAROLE






JE SUIS DEVENUE NICOLE

 

Je vais vous raconter mon histoire de garçon devenu fille par hasard.

Je m'appelle Eric. Ou plutôt Nicole maintenant. En 87, je me suis présenté à un travail de magasinier chez un marchand d'habits en région parisienne.

La secrétaire, mademoiselle Danièle m'a reçu et m'a donné un rendez-vous. J'y suis allé et j'ai rencontré le patron. Il m’a demandé si j'étais marié, je lui ai dit que non. Il m'a dit que le travail demandait des déplacements fréquents.

- Nous dormons à l'hotel, je paie tous les frais. Je vous engage tout de suite si vous le voulez.

Je lui ai dit oui. mais que je devais passer prendre des affaires chez moi.

Mademoiselle Danièle entra et sourit. Elle était belle et sexy.

Le patron lui dit:

- Voilà mon nouveau boy. Et il est sorti du bureau.

Elle me dit:

- Vous êtes embauché, bravo. Mais vous verrez, il est très spécial.

Le patron rentra. et me dit:

- On y va.

Et nous sommes partis.

Après une heure de route. Onarriva à Niort, et on entra dans un hangar.

Bernard, le patron, me dit:

- Voila. je vends des lingeries, des films et des livres porno. Je fabrique et je vends dans toute la France. Tu m'accompagneras et tu feras ce que je te dis, et tout ira bien.

Le soir. repas arrosé et hôtel de luxe. Lorsque je suis monté dans la chambre. je n'ai vu qu'un lit. Le patron me regarda et me dit:

- Allez. couche-toi. demain. on a du travail.

Je me suis dévêtu et, ne gardant que mon slip. je me suis couché. Il a fait de même. mais lui. a ôté son slip et m'a dit ne pas pouvoir dormir avec. Il se coucha et à partir de là. ma vie a basculé. Il s'est mis à bander et s'est collé contre moi.

- Tu serais d'accord pour fairel'amour ? Me demanda-t-il.

- Mais. je suis un garçon comme vous. ça ne va pas !

- Cela peut s'arranger tu sais. et puis ça ne me gène pas.

Je refusais. Alors il me dit:

- Quand nous rentrerons à Paris tu auras fini ton travail.

Je me suis tourné en lui disant que c’était du chantage. Il sourit et ajouta:

- Les filles le font bien.

Il se leva et ouvrit une des valises qu'on avait emmenée. Il me dit d'ôter mon slip et d'enfiler ces dessous.

- Ils ont déjà été portés par mademoiselle Danièle mais cela ne faitrien. ils doivent être à la taille.

ll y avait des bas. des jarretelles, des soutien-gorges et des petites culottes, des gants, des hauts talons vertigineux et une nuisette.

Il me dit:

- Vas-y, habille toi en fille.

Je retirais mon slip. et, poussé par je ne sais quelle force je saisis les bas. J'enfilais les jarretelles et les escarpins devant cet homme nu que je ne connaissais que depuis le matin, et me regardant dans le miroir du meuble. je commençais à y prendre plaisir.

Je regardais son sexe énorme qui bandait de plus en plus fort et cela m’excitait. Jamaisje n’avais vu une bite et encore moins une énorme comme cela. La mienne était beaucoup plus petite.

Il sortit une perruque et me la lança. Je me la posais sur la tête et je l’ajustais. Je me sentis femme et je l’étais presque. Il s'approcha de moi et me dit:

- Tu es très belle. et tu t’appelleras Nicole. Ton corps est à moi et je vais t'apprendre à sucer. Mets-toi à genoux !

Je m‘excécutais et je me retrouvais devant son énorme queue. Il m'ordonna:

- Suce-moi tout. les couilles et la bite.

Je la suçais, il ralait de plaisir et me traitait de garce, de salope, et tout à coup il m'a lâché tout son foutre dans la bouche. C'était chaud et bon. C’était nouveau. j'en avais partout., même sur le visage.

Il m’a embrassé et m'a dit:

- Tu suces mieux qu'une fille, maintenant je vais t'honorer comme une fille, mets-toi à quatre pattes!

Il me mouilla l’orifice et avec dextérité et me sodomisa lentement, c’était énorme, ça faisait mal, mais peu a peu le plaisir arriva. ll me limait et ralait comme unebête à chaque coup de butoir et il faisait bander ma petite queue. Il déchargea sa semence dans mon petit trou, avec des cris debête féroce et je sentis des gouttes perler sur mon sexe. ll se retira et semblait fatigué. J'avais de la jute partout, j'étais inondé de sperme et je semblais heureux de cette soirée.

- C’était super. Veux-tu être ma maîtresse et t’habiller tout le temps en femme ?

- Oui. j'adore ! Ai-je répondu.

- Demain. On te maquillera et tu seras très sexy. Je vais aussi te prendre un rendez-vous chez un specialiste pour un traitement hormonal, a partir de maintenant tu est ma femelle et j'exige que tu ai de la poitrine, je te ferait faire des gros seins cela t'ira parfaitement.

J'avais peur tant les choses s'enchainaient vite, mais j'ai hochée la tête en signe d'acceptation.

Le lendemain. nous sommes rentrés à Paris et sommes allés chez une manucure. ll l'a embrassée et lui dit:

- Je t'amène Nicole. Epile-la et fais lui les ongles !

Elle a souri et a dit: .

- C'est ta nouvelle conquête ?

Il a souri.

Elle m'a épilé les jambes et fais les ongles, et m'a dit:

- Je vais te montrer comment te maquiller.

Je sortis de chez Martine comme une vraie poule sexy et maquillée de rouge aux lèvres. J'étais heureuse d’être une fille. Nous sommes rentrés à la succursale et il m'a présentée à mademoiselle Danièle. Elle a souri et m'a dit:

- Vous êtes très belle.

Et le patron lui a dit:

- Vas au studio et fais la poser pour le prochain catalogue.

Elle m’a embrassée et m'a dit:

- Tu n'es plus viril maintenant, viens.

Après. j’ai posé comme un mannequin, déshabillèe. j’ai fait des photos "hard" avec des dessous terriblement sexy. Après. un mâle est arrivé nu et Danièle m'a demandé de baiser avec lui. Alors elle a filmé des scènes excitantes et le film se vend partout dans le monde.

Depuis je suis devenue une transexuelle, avec les hormones et des implants ma poitrine est devenue magnifique.

Bernard est mon amant et mon Maitre.

 

Nicole, 26 ans. Thonon les Bains

 



 

 

 

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