jeudi 5 juillet 2018

HISTOIRE: DES VACANCES ET DES EPREUVES

Voici les 5 premiers chapitre de cette histoire qui en comporte 10.




                                                             CHAPITRE 1

 

Je venais de rompre avec carole, belle noiraude pulpeuse mais au caractère irascible, quand je décidai de partir prendre quelques jours de repos dans le sud du pays afin d’évacuer toutes ces émotions négatives dues à la séparation houleuse dont Carole fut, à mon avis, la responsable. Nous étions très complice, autant sentimentalement que sexuellement, et j’avais du mal à accepter le fait de me retrouver seul dans mon lit alors que je savais pertinemment que mon ex avait déjà un autre bonhomme sous la couette à ce moment-là. Bref, je ruminais ce déboire à 300km d’elle, dans un petit bungalow situé au bord d’une rivière où le ruissellement continu de celui-ci m’aidait à apaiser mes nerfs. J’avais loué pour 10 jours.

Le premier matin, je me réveillai avec le chant des oiseaux ; un peu bougon, sans érection (alors que je bandais chaque jour du temps de Carole), je me traîne jusqu’à la terrasse commune où, à force de café et fruits frais, je reprends forme et réfléchis sur ce que j’allais faire quand un couple d’hommes me demandèrent de s’assoir à ma table. Je leur réponds d’un ton un peu brusque de « sale gosse » par l’affirmative. Gênés par mon attitude, ils décident de choisir une autre place. Ignorant ce fait je continue mon régime caféiné et nicotinier en décidant qu’un bon bouquin au bord de l’eau sera le projet du jour et m’en vais dans la petite boutique acheter un livre, reviens au bungalow pour prendre quelques affaires et m’en vais à la recherche d’un coin tranquille où je pourrai savourer ma lecture.

Le site est splendide, l’eau est transparente bien qu’assez fraîche. Je pique une tête pour me laver l’esprit. L’eau me vivifie et je commence à me sentir mieux. De retour à la berge, remarquant qu’il n’y a personne alentour, il me vient l’idée de faire tomber mon slip. Retour à la nature, alors vive la nudité ! C’est donc à poil que je m’enduis de crème et m’étends sur le dos, lunettes de soleil sur le nez pour commencer ma lecture.

Le temps se dilate, mon esprit s’échappe dans les méandres de ma lecture en finissant par m’endormir. Carole revient en rêve frotter ses magnifiques seins sur mon corps, me chevaucher, telle une amazone sauvage et insatiable.

Je me réveille, incrédule, me rappelant où je suis réellement. Deux hommes font bronzette non loin de moi. Ils me rappellent quelque chose mais n’arrive pas à les remettre. Je les vois rire et pouffer comme le font les homos, trouve leur attitude stupide (j’ai jamais aimé les gays), et c’est en me relevant pour trouver une clope dans mes affaires que je remarque que je bande comme un âne !! Voilà donc pourquoi ces deux tapettes pouffaient comme des dindes ! Mon premier réflexe a été de me cacher le sexe non sans sentir une certaine honte d’avoir à mon insu exhiber mon phallus dressé devant eux. La rage s’empare de moi, arrache mes affaires et leur fait un doigt d’honneur avant de partir dans mon bungalow. A peine rentré, je me masturbe frénétiquement en me souvenant du rêve encore présent. J’éjacule en un jet de sperme violent qui va souiller les draps du lit. Vidé, dépité, je m’affale dessus et tombe en larmes.

C’est avec un visage bouffi et les yeux encore rougis par mes larmes que j’allai noyer mon chagrin dans l’alcool sur la terrasse du camping. Il était à peine 4 heures de l’après-midi et l’effet du whisky sous la chaleur de l’été anesthésia mon esprit déjà meurtri pour laisser place à une sorte d’état second.

Les deux petites tapettes refirent leur apparition- ou était-ce un mirage ?- et l’une d’elle m’interpella de sa voix si spécifique : « Ce n’est pas poli du tout de nous avoir fait ce que vous avez fait tout-à-l’ heure !! », les mains sur les hanches avec une mine courroucée.

Je lui balançai un : « Ta gueule sale pédale ! » alcoolisé.

La réponse vint immédiatement ; je reçus une paire de gifles monumentale devant toute la clientèle ! J’essayai de me lever pour lui en coller une mais mes jambes n’ont pas suivi, pas suivi du tout ; je m’écrasai sur la table puis sur le sol ou ma tête s’écrasa aux pieds du couple homo ;

« Regarde chéri, il est complètement saoul ce mec ! Quel sale con ! ».

Son compagnon renchérit :

«Oh oui, il lui faudrait une bonne leçon pour lui apprendre les manières ! ».

A ces mots je relevai la tête pour le fusiller du regard mais tout ce que j’ai été capable de faire fut de bredouiller quelques mots inaudibles alors que je sentais à nouveau des larmes couler sur mes joues endolories. Moi ? Me mettre à chialer comme une madeleine devant deux tarlouzes ? Eh bien oui ! Je me relevai tant bien que mal et c’est la queue entre les jambes que je m’enfuis en titubant en direction de la rivière, honteux et humilié devant tous. Mais le pire allait venir…

Au bord de l’eau, je n’essayai même pas de retirer mes habits et plongeai directement. Je ne supportai pas le choc de température et me sentis me noyer. Après tout, pourquoi pas…

Des mains vigoureuses me sortirent de l’eau et me jetèrent sur la berge comme un sac de patates cuites. On me déshabilla, fit des massages pour me réanimer. Quand je repris connaissance, mon champ de vision s’emplit des deux gays. Encore eux ? M’entendis-je dire, ou penser. L’un d’eux me recouvrit d’une grande serviette éponge en me frictionnant le dos.

« Comme cela le macho a voulu en finir avec lui ? ».

Je bredouillai un non sans conviction. Epuisé, sans force, je me laissai tomber dans leurs bras et me remis à pleurer tout en racontant mes mésaventures récentes avec Carole. Ils m’écoutèrent attentivement, venant sécher mes larmes avec le coin de la serviette. Tout en me confessant, une main prit la mienne, puis l’autre tandis que l’on me caressait les cheveux pour me réconforter. J’avais honte d’être dans leurs bras, fragile et vulnérable, à leur merci. Mais au fond de moi je sentis comme une onde de chaleur, peut-être dû au contact corporel, mais je finis par les remercier en les regardant dans les yeux, l’un et l’autre.

J’appris que c’était Stéphane qui m’avait sorti de la noyade ; grand, musclé, les cheveux noirs en brosse au regard perçant. Son compagnon, lui, s’appelait Daniel, plus mince, les yeux bleu, avec les cheveux clairs. Je me présentai à mon tour. « Maintenant que tu as fini de nous pleurer sur le gilet, Pascal, tu vas devoir nous faire des excuses ! ».

-C’est vrai… Désolé pour le doigt d’honneur mais…

-Mais quoi ?? Tu crois pouvoir insulter les homos et leur manquer de respect ??

-Non mais..

-Mais quoi ?

-J’ai pas aimé que vous me reluquiez, ce matin, comme si j’étais aussi une tapette.

-On a le droit de regarder qui on veut non ? Et on n’est pas des tapettes !! Tu continues à être désobligeant !!

-Pardon… Sauf que chacun ses désirs et ce n’est pas les miens.

-Tu en es sûr, Pascal ?

-Oui, je, enfin… .J’ai jamais été attiré par des hommes ! C’est dégueulasse de se tripoter le…

Et Vlan ! Stéphane m’envoya pour la seconde fois une paire gifles qui me jeta à nouveau à terre ! Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il était assis sur moi en me tenant les bras écartés, me foudroyant du regard. Immobilisé et impuissant, je sentis la virilité de cet homme, sa détermination et… Son sexe, même recouvert d’un slip de bain, sur mon ventre. Je sentis aussi ses bourses, ses cuisses musclées m’enserrer la taille. Je me sentis être sa proie et là, sans pouvoir rien maîtriser, je sentis mon sexe se dresser, durcir sans gêne devant les yeux ébahis de Daniel qui se trouvait en retrait, contemplant le spectacle d’un macho la queue raide !

« Regarde, Stéphane, je crois que notre naufragé en pince pour toi ! ».

Stéphane se retourne tout en me maintenant fermement et constate lui aussi ma honteuse érection : « Mon petit Daniel, je crois que l’on tient notre nouvelle copine ! ». Il approcha sa bouche près de mon oreille et me susurra : « Pascal, dorénavant tu nous appartiens. On va faire de toi la plus gentille tapette de l’été que le camping n’ait jamais connue… ».

 

CHAPITRE 2

 

Où il était question au chapitre précédent d’un homme blessé dans sa virilité et où il sera question de la découverte de sa féminité.

Détenu par Stéphane et Daniel, au bord d’une rivière, à la vue des passants, nu et en train de bander comme un âne devant eux, j’essayai de me débattre mais cette révolte se mua en une forme d’acceptation nouvelle, horrible prise de conscience que d’être plus faible qu’un autre, plus désemparé que quiconque face à l’inconnu, à d’autres personnes différentes de moi, différentes de la façon d’agir ou de se comporter.

Stéphane et Daniel l’avaient sans doute remarqué bien avant ce qui allait se passer par la suite mais en cet instant j’éprouvais au fond de moi la brèche que ces deux gays avaient opérée. Daniel se pencha pour venir d’une main habile titiller ma verge tendue puis en la masturbant délicatement : « Oooh, notre petite copine est circoncise, comme c’est mignon ! Et elle n’essaye même pas de se révolter ! On est tombé sur la perle rare chéri ! ». Stéphane, lui, sûr de sa force, ajouta : « C’est normal, un macho adore qu’un autre mâle le dompte, c’est comme cela qu’il prend conscience de sa réelle sensibilité ». Je ne pouvais échapper à son regard perçant mon âme et Daniel confirma en très peu de temps avec sa main experte que ma carapace de dur à cuir était révolue ; je me sentis éjaculé violemment en un cri féminin qui me surprit moi-même. Daniel susurra quelques mots inaudibles à l’oreille de son ami, sentis la pression sur mes bras se relâcher puis Stéphane se releva. Le vide que procura sur moi l’absence de son corps m’emplit d’une certaine tristesse et, pour la première fois de ma vie, couché nu devant deux hommes ne me posa aucun problème de conscience.

Je me relevai péniblement et sans que je m’en rende compte je baissai les yeux en m’excusant du tort que je leur avais fait, comme un élève pris en faute, comme le nouveau garçon que j’étais devenu, ignorant et stupide de la réalité des choses de la vie.

Stéphane : « Pascal, tu vas prendre une douche puis tu viendras nous rejoindre à notre bungalow, le numéro 7 ! Nous t’apprendrons à mieux te comporter avec nous et tu verras que jusqu’à maintenant tu avais fait fausse route ».

-Je… Bien, je serai là, Stéphane.

-Et ne traîne pas ! On déteste les lambineuses !

-Euh… Les lambins vous voulez dire ?

A ma question, ils s’esclaffèrent en cœur, complices.

-Noooon Pascal, rétorqua Daniel, nous sommes convaincus que tu es une lambineuse, contrairement à ce que tu crois penser, hi hi hi !

Un peu décontenancé par cette remarque, je me penchai pour ramasser mes affaires et Stéphane en profita pour me mettre la main au cul. Pourtant choqué par cet acte intrusif, je me surpris à ne pas m’esquiver. Pire, je rougis comme une pivoine, comme une jeune femme n’ayant eu que cette attente-là. « Tu vois, dit Stéphane à son ami, elle est prête pour sa nouvelle vie. Allez, dépêche-toi ma petite ! Il me donna une petite claque sur les fesses guise de motivation et je m’enfuis de suite, tout content et régénéré par cette nouvelle situation qui me dépassait totalement mais qui, au fond de moi, m’ouvrait de nouvelles perspectives humaines.

Je pris ma douche, comme convenu, m’habillai simplement d’un pantalon noir en lin ample, d’une chemise à manches courtes blanche et enfilai une paire d’espadrilles avant de me rendre comme convenu au bungalow numéro 7, situé à une cinquantaine de mètres du mien.

Daniel m’attendait sur le porche, assis les jambes croisées : « Voilà notre nouvelle amie chériii, dit-il avec une voix douce et chantante ».

-J’ai fait au plus vite, dis-je timidement.

-C’est bien Pascal, tu es un gentil garçon, mais je pense que tu aurais pu faire mieux…

-Je..

-Nooon, je plaisantais. Bienvenue chez nous ! Tu aimerais boire quelque chose ?

- Ben… Volontiers, merci.

-Limonade ou bière ? Hi hi hi, je crois qu’une limonade serait préférable. Tu n’as pas l’air de tenir l’alcool, hi hi hi !

-Oui je crois que c’est mieux, merci.

Il m’invita à m’asseoir à ses côtés, sur le banc d’angle en bois sculpté finement où l’on pouvait admirer des motifs floraux.

-Chériii, tu pourrais apporter une limonade à notre copine ?

- J’arrive, rétorqua Stéphane.

-Pourquoi vous me parlez au féminin, Daniel, je suis un mec, comme vous, non ?

Daniel me fit de grands yeux ronds, sa bouche également :

-Je crois que tu te connais pas du tout ma jolie ! Stéphiii, notre invitée croit qu’elle est un mec, un vrai !

-Pas si fort, lui dis-je, on pourrait vous entendre !

-Et alors ? Il faut assumer dans la vie ma petite !

-Mais… J’assume !! Je suis un mec et même si vous m’avez masturbé une fois cela ne veut pas dire que je suis un gay !!

-Ouh là là, tu crois que c’est aussi facile que cela de découvrir sa vraie personnalité ? Tu n’es pas au bout de tes surprises ma petite, hi hi hi !

J’allais lui répondre quand Stéphane arriva avec un plateau dans les mains et… Complètement nu ! Mes yeux se rivèrent sur son service trois pièces imposant mis en valeur par une épilation partiel qu’une fine toison pubienne taillée en rectangle rehaussait. Eberlué de l’impudeur de cet homme mais également de son naturel, je constatai que Stéphane, outre le fait qu’il soit bel homme, dégageait une plénitude totale, d’un accord parfait entre son corps et son caractère. Pour dire vrai, il en jetait, ce gars ! Il déposa délicatement le plateau et vint se coller à mes côtés, de manière autoritaire et amicale à la fois. Je dois dire que je n’en menais pas large en sirotant ma limonade.

« Elle te plait ma verge ? me demanda-t-il en posant sa main sur ma cuisse.

-Je.. euh.. non…enfin… Tu es bien gaulé, bravo…

-Ne fait pas ta timide, j’ai bien vu que tu la reluquais avec avidité !

-Non, pas du tout, j’étais surpris de te voir complètement nu, c’est tout.

-Tu n’as jamais d’autres queues dans ta vie ???

-Bien sûr que si mais…

-Mais quoi ?

-Ben… Pas dans ce genre de circonstances…

-Je te fais peur ?

-Non… Enfin un peu, balbutiais-je.

-Oooh, comme c’est mignon, déclara Daniel. Elle a le mérite d’être sincère, c’est déjà cela !

Stéphane augmenta la pression sur ma cuisse et la glissa soudainement dans mon entrejambe. Et il découvrit mon sexe tout dur. « Mais qu’est-ce que je sens-là ? Une petite gonzesse toute émoustillée, non ? « .

-Je… Oui…

-Allez ! Montre-nous tout cela, allez, hop ! Déshabille-toi petite coquine !

D’un geste brusque, il arracha ma chemise et l’enleva habilement tandis que Daniel s’occupait de mon pantalon. En 10 secondes j’étais à poil, le sexe dressé et sans plus rien contrôler de la situation.

-Viens avec moi Pascal ! Il me prit la main et me tira dans le bungalow. Daniel ferma la porte derrière nous et enleva lui aussi son petit maillot de bain pour libérer son sexe tendu.

Stéphane me jeta littéralement sur le lit et tous deux s’approchèrent de moi. Affolé mais toujours excité, il me prit le sexe dans une de ses mains et me dit posément : « Pascal, mon ami aimerait que tu prennes plaisir à le sucer… Il te trouve très mignonne et, regarde, tu lui fais beaucoup d’effet. Ce serait dommage de le laisser dans cet état, non ? ». Daniel approcha son phallus circoncis près de mon visage puis sur mes lèvres. Des larmes commencèrent à couler sur mes joues, de honte, de peur et d’excitation, de révulsion puis, grâce aux caresses de Stéphane sur ma verge et mes fesses, de chaleur et de désir. J’ouvris la bouche et le gland de Daniel y pénétra doucement. Nos regards se fixèrent et ma langue commença à lécher puis tourner autour, encore et encore. Il enfonça un peu plus sa queue et je le suçai moi aussi de plus en plus. Les caresses de Stéphane se firent plus insistantes, plus sensuelles, mon intellect finit par céder et dès cet instant je pompais Daniel comme une furie en me trémoussant comme une vraie chienne en chaleur.

Je lui léchais ses bourses, sa queue en émettant des petits sons de de femme, le masturbais tout en me sentant comme la reine de pipeuses. Son vit se contracta et un jet délicat de sperme chaud inonda ma bouche tandis que je continuais à le sucer sans retenue. Son nectar je l’ai avalé sans rechigner, avec amour et passion alors que je jouissais dans la main experte de son ami. Daniel me fit une gentille caresse sur la joue en me remerciant alors que Stéphane me donnait sa main souillée de ma semence à nettoyer. Ce que je fis sans difficulté, léchant et suçant chacun de ses doigts. Totalement avide de sexe au masculin je priai Stéphane de me donner sa queue, ce qu’il fit sans hésiter, s’allongeant sur le lit et moi accroupi entre ses jambes à prodiguer une nouvelle fellation sur ce membre plus grand, plus gros, plus appétissant. De devoir décalotter ce phallus me permit de comprendre, de voir, de lécher une vraie queue de Mâle et je m’y appliquai de meiux en mieux, tantôt en pompant tantôt en gobant, tantôt en masturbant et suçant ce magnifique pénis.

Je m’étais à peine retiré pour reprendre mon souffle que son sperme gicla sur mon visage, le visage d’une suceuse de bites épanouie à rendre heureux deux hommes au milieu de la nature.

Je m’affalai sur Stéphane, lessivé, mon visage dégoulinant de stupre mais désormais fière d’appartenir au monde des Hommes.

 

CHAPITRE 3

 

Ou il était question de mes premières fellations et où il sera question de mon rôle de femme.

Je me réveillai, seul, nu, sur le lit. Mais qu’avais-je commis comme folie ? Moi, en train de sucer deux mecs ? De les sucer avec frénésie et passion ? J’en revenais toujours pas quand Daniel fit son apparition : « Salut petite coquine ! Alors, tu comprends mieux qui tu es désormais ? ».

-Je… Je suis désolé pour ce qui est arrivé, je n’étais pas moi-même….

-Tu crois cela ? Moi je crois surtout que tu es une sacrée petite lopette qui se cache la vérité !!

-Vous croyez vraiment que je suis une fiotte ???

-Je ne le crois pas, j’en suis sûr !!

A ces mots, je fus tout chamboulé. Avait-il raison ?

Daniel vint près de moi et glissa sa main dans mon entre jambes. Mon sexe gonfla sans que je puisse y faire quelque chose. Pire, j’écartai les jambes comme une gonzesse !! « Tu vois, me dit-il, tu es pire qu’un gay, ta destinée est toute tracée ma chérie ! ». Je me sentis rougir de pudeur à cette phrase choquante de vérité.

-Je crois que vous avez raison Daniel, mais j’ai tellement honte.

-C’est normal chérie, mais il faudra assumer ta condition si tu veux être digne. Dans le milieu gay, tu es dans la catégorie des lopettes, des fiottes, des sissy’s. Hi hi hi, c’est rare mais c’est comme cela. On t’apprendra à devenir ce que tu es réellement. Mais, le pourras-tu ? Auras-tu le courage ?

-Je… Je ne sais pas…

-De toute façon il te faudra découvrir le plaisir à recevoir en toi les élans virils des Mâles !

-Euh… Ce qui veut dire ?

-Fais pas l’idiote, petite femelle !! Tu es faite pour prendre du plaisir avec ton petit cul ! C’est comme cela qu’une lopette aime faire l’amour.

-Cela m’étonnerait !!! Je suis pas un enculé !!!

- Hi hi hi ! Oui tu seras une gentille petite enculée, chérie, et tu en redemanderas !!

-Non ! Je ne vous crois pas !!

-On verra cela, Pascal. Ou plutôt pascaline !

-Pascaline ?

-Oui ! C’est comme cela qu’on t’appelle maintenant, avec Stéphane. Pascaline, la petite lopette.

-Mon dieu !!

Je resserrai mes jambes sur la main fouineuse de Daniel, amusé par la situation, et m’arrachai de son emprise pour me réfugier dans la salle de bain afin de me couler une bonne douche qui, je l’espérais, serait salvatrice.

L’eau chaude me détendit grandement mais ne lava pas les idées qui se bousculaient dans ma tête ; lopette, gay, pascaline, suceuse de bites… Et encore mon sexe dressé qui prouvait sans aucun doute possible que je désirais tout cela, que mes tétons tout durs me donnaient des sensations de féminité. Et Daniel de revenir, me posant délicatement une main sur mes fesses pour les caresser : « Je vais te nettoyer par-là ma petite chérie, comme cela tu seras prête pour ta grande soirée, ok ? ».

-Je… D’accord Daniel. Fais comme il se doit si c’est cela que je dois être.

-C’est bien Pascaline chérie, baisse-toi un peu et écarte tes jambes.

Je fis ce qu’il me demandait, docilement, comme ensorcelé mais surtout vaincu par mon corps qui réclamait son appartenance. Daniel décrocha le tuyau de douche, baissa un peu la température de l’eau et appuya le pommeau entre mes fesses où un jet d’eau tiède s’engouffra en moi. Je sentis me remplir et Daniel retira le pommeau pour me guider aux toilettes. Je n’avais jamais vécu un lavement et Daniel savait y faire en m’octroyant son savoir à plusieurs reprises. Mon anus se dilata, me donnant quelques sensations jamais connues tandis que mon sexe était toujours dressé.

Voilà ! J’étais tout propre là jamais je n’aurais cru l’être, comme allégée et plus à l’aise. J’entendais des voix à l’extérieur et pris mon courage à deux mains en allant vers elles, nu, les fesses légèrement humides et avec l’impression d’une croupe rebondie.

Stéphane et Daniel, sur la terrasse, conversaient avec une inconnue. Oups ! Je voulus refermer la porte mais Stéphane anticipa ma réaction et m’attrapa par le bras en me tirant dehors. Gêné par cette situation incongrue, je balbutiai un ridicule bonjour à la femme qui s’approcha de moi pour me faire la bise et me mettre la main au paquet. Elle passa ses ongles vernis sur mon sexe pour me chatouiller la nouille : « Elle est mignonne cette petite pucelle », dit-elle en souriant.

-Oui, rétorqua Daniel, elle est fine prête pour vous !

Pour moi ? Je ne comprenais rien. Vu la tête que je faisais, tous se sont esclaffé tandis que je rougissais comme une gonzesse.

Stéphane : « Oui, pour ton dépucelage, notre amie Catherine se fera un plaisir de te montrer les joies entre filles ! ».

-Mais…

-Catherine est une fille comme toi, Pascaline, avec ce qu’il faut entre les jambes pour déflorer ta petite chatte !

-C’est un… C’est un trav ?

Le mot qu’il ne fallait pas dire ! Catherine m’envoya une gifle illico : « Sache qu’une femme de mon genre est à respecter petite pédale !! ».

Honteux, j’essayai de me reprendre mais rien n’y fit. Elle m’attrapa par les bourses et serra ce qu’il fallait pour me mettre à genoux devant elle. Face à moi, accroupie et moi à genoux, j’entrevis son phallus que la jupe courte qu’elle portait ne cachait plus. « Excuse-toi petite garce ! », tenant toujours mon paquet dans sa main.

-Oui, je… Je m’excuse Madame.

-Madame qui ???

-Madame Catherine…. Je m’excuse Madame Catherine.

-Voilà qui est mieux. Ne recommence surtout pas car je serai impitoyable !!!

- Oui Madame Catherine, je ne recommencerai plus. Vous êtes très belle.

Son visage se radoucit, relâcha sa prise et se releva en rajustant sa jupe en vinyle noire. « Bien, je pense qu’il est temps que notre petite coquine passe à la casserole, hi hi hi. ». Elle me tendit la main pour que je puisse me relever. Humilié et intimidé, je baissai les yeux. Stéphane et Daniel m’emmenèrent à l’intérieur et me couchèrent sur le dos, m’écartèrent les jambes en les ramenant sur ma poitrine tout en me caressant. Je me laissai aller à leurs soins, la rondelle bien en évidence. Stéphane commença à me la toucher, la palper puis déposa une noisette d’une crème qu’il étala savamment avec un doigt avant de l’enfoncer en moi. J’émis un petit cri de surprise plus que de douleur. Il le retira puis le remis, fit quelques va-et-vient avec puis y ajouta un autre doigt et encore un troisième. Ma rondelle était chaude, je me sentais comme une femme, haletante, mes sens exacerbés par le désir quand Catherine apparut, habillée en tout et pour tout d’un porte-jarretelles où s’accrochaient une paire de bas noirs.

Elle se glissa sur le lit, féline et sexy, son phallus déjà prêt à me saillir. Elle me tripota le sexe, le pris dans sa bouche, le lécha, remonta le long de mon corps, mordilla mes tétons durcis de plaisir, m’embrassa langoureusement. J’étais toute acquise à cette créature, entouré de mes deux amants. Une onde de chaleur et de douleur s’engouffra dans ce qui est désormais ma petite chatte d’amour. Elle me pénétra de tout son dard, long et fin, en me susurrant des mots doux. Catherine me sauta avec expérience, tact et raffinement. Je lâchais des petits couinements féminins, de "ooh oui comme cela", je finis par lâcher un : « Baise –moi oui, oooh oui j’aime ça ! ». Son phallus s’activait en moi, venait taper au fond de mes entrailles comme une tête chercheuse de jouissance. Et cette jouissance, en un jet puissant et chaud se déversa en moi en même temps que je libérais le mien dans un cri totalement féminin.

Pascal, ce soir, est devenue Pascaline. J’étais désormais une lopette, une lopette dans les bras de trois hommes bien différents et singuliers. Je serai pour eux la quatrième pour toutes les vacances.

 

CHAPITRE 4

 

Où il était question de de mon dépucelage anal et où il sera question de ma nouvelle vie de lopette.

Mes amants me félicitèrent chaudement de mon courage tout en me lavant soigneusement le corps à l’aide d’une lavette savonnée afin de nettoyer le sperme et la sueur que j’avais offert à Catherine pour mon dépucelage. Daniel s’attarda sur ma nouvelle petite chatte dégoulinante de la semence de Madame et, tout sourire, il déposa un baiser sur ma nouille : « Bienvenue au club des lopettes, Pascaline. Smack ! ». Je ne pus m’empêcher de faire la timide, mais roucoulais de joie intérieurement. Madame Catherine se rhabilla en me scrutant de son regard intense en réajustant ses bas, se glissa dans ses mules à talons pour sortir sur le perron fumer une cigarette non sans m’avoir fait un joli clin d’œil avant de me tourner le dos ; j’ai pu admirer sa superbe paire de fesses et m’imaginais bien que les Mâles devaient tomber à ses pieds. Je la rejoignis pour fumer en sa compagnie, encore sous son emprise : « Merci Madame Catherine de m’avoir dépucelé. Cela fût un réel plaisir ».

-Ta petite chatte m’a beaucoup plu aussi, Pascaline. Tu vas devenir une bonne et belle lopette.

-Vous croyez vraiment que je suis faite pour cela ?

-Oui ! La preuve, tu parles déjà de toi au féminin, c’est un signe qui ne trompe pas.

-C’est vrai, je ne m’en suis même pas rendu compte.

-C’est que tu as trouvé ton moi de femme. Mais bon, tu n’es pas encore totalement une lopette….

-Comment cela ? Je crois que j’ai fait le nécessaire non ?

-Pas encore chérie. Il te faut maintenant trouver la forme exacte de ta femme intérieure. La vraie expression que Pascaline désire montrer au monde.

-Je ne comprends pas très bien Madame Catherine.

-Une lopette, pour être complète, va devoir modeler son corps et son apparence. Regarde-toi, avec tous tes poils ! Tu crois qu’une lopette est désirable ainsi velue ? Et ta démarche de Crô-Magnonne ? Une fille comme toi doit apprendre certaines manières et prendre ses responsabilités dans la société.

-Vous croyez que je devrais m’épiler ?

-C’est une certitude ! D’ailleurs on va t’emmener chez l’esthéticienne demain et te trouver quelques habits dignes d’une gentille petite fiotte.

-Je ferai tout ce qu’il sera bon pour moi Madame. Je suis tellement heureuse de m’être révélée.

-Tout ? Attention que je ne te prenne pas aux mots !

-Je vais aller me reposer dans mon bungalow et j’espère que vous serez avec nous demain ?

-Oui, on ira se baigner et tu seras notre copine.

Je lui déposai un baiser sur la joue alors qu’elle me mit la main aux fesses.

Toute heureuse et amoureuse, je retournai dans mon gîte, nu, sans honte et même avec une certaine fierté. Je me glissai entre les draps du lit et m’endormis avec des idées de lopette en tête.

Les rayons du soleil me réveillèrent, venant réchauffer ma chambre. Frais et disposé à revoir mes amis gays, je pris rapidement une douche et enfilai un bermuda et chemise avant de me rendre sur la terrasse commune du camping pour prendre le petit déjeuner. Mes amoureux n’étaient pas là et je m’installai à une table, seule, passai la commande à un jeune serveur dont je pus m’empêcher de dévisager. Il était peut-être gay aussi ? Tout en fumant une cigarette, je passais en revue les hôtes présents en spéculant sur l’homosexualité de certains, jeu plutôt amusant. Et sûrement que ces personnes-là me jugeaient également comme étant une grosse pédale suceuse de queues ? Ils n’auraient pas tort….

Le serveur amena mon petit déjeuner et, juste avant de repartir, me fit un petit clin d’œil complice. En voilà en tout cas un qui savait où je me situais ! Je lui répondis en lui faisant les yeux doux. Mon dieu ! Je suis vraiment devenue une tapette ! Cela me mit tout chose et croisai les jambes pour masquer une érection naissante et soudaine.

« Bonjour Pascaline ! ». C’était Stéphane.

-Euh… Bonjour….

Il s’assit à ma table et me caressa une cuisse. « Bien dormi ? ».

-Oui… Et vous ?

-Bien, bien. On a beaucoup parlé de toi avec Daniel.

-Ah bon ? Et à propos de quoi ?

-Tu dois bien avoir une idée, non ?

-Oui.

Je me sentis rougir.

-Je crois bien que certaines personnes te regardent, chérie…

-Je sais mais… Je m’en fous un peu.

-C’est bien, tu assumes et cela me fait plaisir.

-Merci…




Le serveur apparut à nouveau. *Salut David, comment vas-tu aujourd’hui ? ».

-Bien, merci Stéphane. Comme d’habitude ?

-Oui, volontiers mais j’aimerais te présenter une copine.

-Oh ! Volontiers !

Un grand sourire se dessina sur son visage.

-Voilà Pascaline, une nouvelle lopette que nous prenons sous notre aile.

-Oui, enchanté Pascaline. Elle m’a fait les yeux doux tout-à-l ’heure.

-Ooh la coquine ! Depuis son dépucelage elle doit être toute émoustillée, hi hi hi !

Très intimidée par ses remarques, je ne savais où me mettre.

David : « je vois cela… Et, s’adressant à moi, Pascaline serait libre à 11heures ? Je finis mon service et j’aimerais bien faire plus… ample connaissance avec elle «.

-Je… Oui volontiers, avec plaisir David.

-Cool, alors rdv au bar. Sois à l’heure car je déteste les lambineuses !

-Bien…




David me fit une petite claquette sur la joue et s’en alla.

- Tu vois, dit Stéphane, tu plais déjà aux hommes .

-Oui… Il est mignon ce garçon.

-Et il est monté comme un cheval, hi hi hi !

-Ah bon ? Oulà, cela me fait peur.

-Ne t’en fait pas, ma belle, il sait y faire avec les lopettes.

-Je me réjouis alors !

Stéphane me sourit malicieusement en venant me toucher mon sexe durcit. J’écartai les jambes pour qu’il continue mais il refusa, m’ordonnant d’aller rejoindre Daniel pour l’avertir que l’on allait en baignade. Ce que je fis, avec une belle bosse visible de tous là où vous savez.

Daniel était visiblement au courant du programme, fin prêt en petit slip de bain et m’avait préparé celui que j’allais devoir porter ; un mini string rose fluo où ma virilité n’eut que très peu de place pour s’y cacher ! Il insista pour que je le porte et je finis par accepter de me glisser dans ce petit bout d’étoffe satinée. « Comme cela on saura que tu es une petite pédale, Pascaline ! ». Oui, pas de doute là-dessus mais je trouvais, à mon grand étonnement, que cela me plaisait. Daniel me confisqua mes autres habits et je dus partir en sa compagnie ainsi vêtu, à ses côtés. Certaines personnes me regardaient bizarrement tandis que d’autres pouffaient carrément à ma vue. Je les ignorais tout en me rappelant mon attitude envers mes compagnons deux jours avant.

Ayant trouvé un endroit agréable entre les rochers polis par les millénaires, Daniel me passa de la crème solaire et je lui fis de même, tendrement et consciencieusement avant de m’étendre sur le ventre, sur ma serviette. Stéphane arriva peu après, sourit à la vue de mes fesses décorées uniquement d’une petite ficelle fluo et me demanda de lui prodiguer un massage. J’étais donc accroupi aux côtés de lui, massant son dos avec plaisir. Je me sentais de plus en plus femme et heureuse d’être libre, pratiquement nue en pleine nature. Un sentiment de bien-être et d’excitation me submergea et demandai à Stéphane de se retourner, ce qu’il fit. Je continuai à le masser pour en arriver au bas du ventre où je fis glisser son petit slip afin de libérer son phallus et ses bourses. Gentiment je le masturbai devant son compagnon. Comme j’aimais désormais prendre une queue de mec, toucher, palper, et… Sucer ! Ma bouche avala sa virilité pour ne plus la relâcher. Tout en m’appliquant à cette tâche je lui caressais les testicules et son torse musclé.

Quand son jet de sperme inonda ma bouche j’émis un râlement de joie en avalant cette liqueur de Mâle si délicieuse.

Mon string n’avait pu retenir mon érection, alors, mon sexe pointait entre mes cuisses comme une tulipe rougeoyante. Daniel vint à mon secours, me masturba très rapidement afin que je jouisse dans sa main experte.

Et à nouveau j’avais couiné comme une femme, heureuse et satisfaite d’être devenue une bonne petite lopette.

 

CHAPITRE 5

 

Comme convenu j’étais au rendez-vous prévu par David. Assise au bar, jambes croisées, je portais le petit string rose de Daniel caché gracieusement par une longue chemise en lin blanc translucide, ce qui me donnait un petit air de gonzesse, ce qui ne me déplaisait en aucune manière. Je fumais une cigarette blonde quand il apparut, sortant de la cuisine. C’était vraiment un beau mec, équilibré, de belle allure et sûr de lui. Il se pencha sur le bar pour m’embrasser sur la bouche et m’invita à le suivre dans son appartement, au premier étage du même bâtiment. Bien entendu il me fit passer devant pour monter les escaliers pour profiter de reluquer mon déhanchement que je m’efforçais d’accentuer pour lui faire plaisir, plaisir qui se transforma en un palpage de fesses réglementaire de sa part. Je souris intérieurement, fière que je lui fasse cet effet.

Son appartement était agréablement agencé, chaleureux et je m’y sentis immédiatement à l’aise. David m’offrit un verre de vin blanc sec et fruité dont je félicitai sa qualité. Il me toisait de son regard bleuté qui me mit tout chose, moi, la petite lopette tout émoustillée depuis ma nouvelle révélation : « J’ai un cadeau pour toi, Pascaline. Je crois que cela va te plaire ! »




-Ah bon ? Comme c’est gentil.

Il déposa un joli paquet rose bonbon devant moi. Je me sentis rougir, très touchée par ce présent inattendu que je déballai délicatement. Il sourit franchement à la tête que j’ai faite lorsque je découvris ce que le paquet recelait ; à l’intérieur, je pus voir une paire de bas nylon rose et de deux sandalettes roses à talons bas !! Je pris les bas dans ma main, sans voix, tétanisée par ces parures si belles, mais si féminines. « Tu aimes ? », me demanda-t-il ?

-Je…. C’est très joli, mais… C’est pour les femmes ces choses…

-Oui, c’est vrai. Et je crois que tu es capable désormais de porter et de t’affirmer comme tel, Pascaline. J’ai parlé avec Stéphane et nous avons conclu que ta destinée est de devenir une jolie petite lopette efféminée. Et je crois savoir que ton dépucelage avec la travestie n’est pas anodin.

-Oui je sais, mais… Je ne suis pas sûre d’être une efféminée même si j’aime me sentir lopette.

-Comment le savoir sans avoir essayé ? Non ?

-C’est vrai, mais… -ne fais pas ta timide, chérie, et fais-moi le plaisir de les porter pour moi. Si cela ne te convient pas, tu pourras toujours me le dire, non ?

-Oui… Je… Merci David.

Et voilà que devant un homme, la Pascaline que je suis devenue a glissé ses jambes pour la première fois dans ces si sensuels écrins. Le contact du nylon sur ma peau m’a immédiatement électrisé de plaisir, de douceur et de bonheur. La femme que mes amis m’avaient fait découvrir se matérialisa avec ces deux petits bouts de tissus. David m’enleva ma chemise, et m’aida à lasser les sandalettes à talons avec délicatesse et savoir-faire. J’étais toute chamboulée et ne parvenais plus à rassembler mes pensées tellement que les sensations érotiques de ces habits m’envahirent complètement. Fébrilement, je me mis debout, maladroite et fragile sur mes talons, je fis quelques pas devant lui qui me tenais la main, sentis le frottement de mes jambes gainées, l’une contre l’autre, m’inondant de plaisir. Ma démarche se fit plus sûre, ma joie plus visible. David n’eut aucun mal à deviner mon excitation réelle en baissant mon string afin que ma verge raide dure puisse exprimer toute ma personnalité, ma nouvelle identité.

En l’espace d’un instant, nimbée de ces atours typiquement féminins, je sus qui j’étais réellement et me rappelai les paroles de Catherine la travestie résonner en moi. Les tétons de mes seins se durcirent, mon émoi se transforma en quelques mots : « David, prends-moi, prends-moi tout de suite chéri… »

Je me penchai sur le dossier du sofa, tendis ma croupe en chaleur à mon amant : « Viens me baiser, vite, vite, j’en peux plus ! ».

David se posta derrière moi, je sentis sa langue humide me lécher ma petite rondelle d’amour puis son phallus se présenta à l’entrée de ma rosette. Un éclair de chaleur mêlé d’une douleur fulgurante transpercèrent mon anus à peine dilaté, un cri violent s’échappa de moi pour laisser place à une vague de silence remplit de bonheur. Sa matraque phallique de Mâle actif me déchira les entrailles de lopette que j’étais. Je me sentis partir dans une contrée magique, mes pieds ne touchaient plus terre, David m’ayant pris par les hanches et par le cul, me défonça sauvagement durant ce que j’estimais être une éternité de plaisir anal. Je ne m’étais même pas rendu compte que j’avais éjaculé lorsqu’il me démontait encore la rondelle, mon sperme étalé sur le dossier du sofa, et je bandais encore, encore et encore il m’enculait avec ferveur et passion jusqu’à l’ultime jouissance de mon amant qui inonda mon puits d’amour de sa semence masculine en des râles bestiaux tout léonins. Son pieu divin resta en moi, lui s’affalant sur moi, sa sueur, ses muscles sur ma peau laiteuse, mes seins frottant encore sur le daim du sofa, mon sperme dégoulinant sur mes jambes gainées, ma queue encore raide, il me susurra à l’oreille : « Pascaline, tu es la meilleure lopette que j’ai jamais baisée.

Tu vas devenir ma femme, ma muse, ma salope. Je ferai de toi ce que tu n’avais jamais osé t’avouer. Tu seras mienne ».

Sans plus aucune réflexion je lui répondis : « Oui. Je suis à toi et ferai tout pour te rendre heureux. Maintenant je sais qui je suis et pour qui la lopette que je suis doit vivre".


                                                                                         A SUIVRE.... DEMAIN

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