vendredi 6 juillet 2018

HISTOIRE: DES VACANCES ET DES EPREUVES (SUITE ET FIN)

                                                        
                                                         CHAPITRE 6

 

David et moi sommes douchés ensemble, comme un couple normal. Je lui ai savonné son corps de Mâle comme une femme l’aurait fait pour moi. D’ailleurs des flashs avec Karole me revinrent à l’esprit et je souris à l’idée si elle savait que j’étais en ce moment avec un homme. Je ne crois pas qu’elle ait deviné en moi une attirance pour les Mâles et ma vie de lopette. Je racontai à David mon passé hétéro et il en rit de bon cœur tout en me lavant ma rondelle dilatée par sa sauvage sodomie : « Tu devras un jour ou l’autre lui avouer que tu es une lopette, cela marquera définitivement ton orientation et Karole saura au moins pourquoi tu ne pouvais pas vivre avec elle ».

- Tu crois que c’est nécessaire ?

- Convaincu même ! Ce sera bénéfique pour vous deux. Et tu dois t’assumer en tant que lopette. D’ailleurs je vais t’épiler le corps pour que tu puisses te sentir plus féminine. Une lopette digne de ce nom doit être lisse et agréable au toucher pour son Homme !

- C’est vrai que mes poils sont un peu vulgaires, mais…

- Il n’y a pas de, mais ! Sache que je n’aime pas que ma lopette contredise mes convictions.

- Bien David… Je veux que nous soyons un couple harmonieux.

- Bien sûr chérie ! Il m’embrassa langoureusement en me glissant un doigt dans le cul. Désormais ta petite rondelle m’appartient et tu la considéreras comme ta chatte. Je veux que tu comprennes que tu n’es plus un vrai homme, mais une petite gonzesse avec un reste de ton passé entre tes jambes.

Je lui souris tendrement et me blottis dans ses bras, comme une gentille petite copine.

Muni de crème à raser, il m’épila le corps entier ; aisselles, torse, jambes, tout y passa. David finit le travail en rasant toute ma virilité restante avec grands soins avant que je me rince à l’eau tiède. Il me sécha puis me passa une crème hydratante en insistant sur ma nouvelle chatte, mes fesses et mes parties intimes : « Voilà, comme cela tu es plus présentable, chérie. Quel effet cela te fait ? ».

- Je me sens plus…légère. C’est très agréable en tout cas.

- Oui, ta nudité totale te rend plus attirante et séduisante. On va aller te montrer à tes amis, habille-toi Pascaline.

- Tout de suite chéri !

Quand il me vit enfiler mon string et ma chemise, David me rétorqua que dorénavant je n’oserais plus porter de culotte ou de string, et me demanda d’enfiler les bas qu’il m’avait offert et de me chausser des sandalettes ainsi que de la chemise longue : « Mais, David, je ne vais tout de même pas sortir ainsi vêtue ? Que vont penser les gens, dehors ? »




- Les gens, comme tu dis, doivent savoir qui tu es, Pascaline, et tu verras que tu seras très bien ainsi. En plus tu dois apprendre à marcher en talons, alors mieux vaut commencer de suite ! Et tu seras à mes côtés, tu n’as rien à craindre ma petite lopette !

- Bien… Je suis d’accord.

- Même si tu ne l’étais pas, il en serait ainsi !

Je rougis tout en enfilant mes jolis bas roses et mes sandalettes puis ma chemise. J’étais prête à sortir au grand jour aux bras de mon nouveau « mari ».

La sensation de l’air sur mon corps lisse me donna l’impression d’être nue. Mes tétons se durcirent et j’avais peur que ma nouille se dresse. David me tenant par la main, nous traversâmes la terrasse au vu et au su de tous. Je me sentais bien dans ma peau de lopette et quand Stéphane et Daniel me virent ainsi, de leur véranda, ils me sifflèrent d’admiration.

« En voilà une jolie lopette ! » s’écria Daniel.

- En plus elle ne porte pas de culotte, dit David en me demandant de soulever ma chemise.

Ce que je fis devant mes amis, toute ravie de leur montrer ma nouillette fraîchement épilée, ce qui ravit mes deux amis. Je m’approchai plus près, toujours la chemise relevée, pour qu’ils puissent me tripoter et apprécier ce petit paquet lisse et soyeux. Daniel inspecta ma rondelle, lisse elle aussi, remarqua qu’elle avait bien été dilatée par le phallus de David : « Pascaline a trouvé son Mâle, il me semble, hi hi hi ! ».

- Oui, c’est vrai. David m’a prise comme femme et je vais être sa lopette.

- Nous allons fêter cela alors ! Il alla chercher une bouteille de vin et des verres.

Mon Homme me demanda d’ôter cette chemise qui ne servait plus à rien et je me retrouvai assise à la table, entre deux hommes, le cul à l’air avec mes petits bas nylon : « Tu es à croquer petite coquine ! » me complimenta Stéphane, en me caressant la cuisse, comme à son habitude.

- Merci. C’est grâce à vous que j’ai pu découvrir ma vraie nature.

- C’est vrai, dit David, et pour cela tu devrais faire une petite gâterie à Stéphane, je crois bien qu’il le mérite.

C’est ainsi que je me glissai sous la table et, à genoux comme une bonne et serviable lopette, je m’occupai du phallus de Stéphane pendant qu’ils discutaient ensemble. Il éjacula dans ma bouche, nettoyai comme il faut sa queue avant de la remettre dans son slip de bain.

- Et que dit-on à un Mâle pour l’attention qu’il a eu de te prêter son membre ?

- Je.. Merci ?

- Mais encore ?

- Merci Stéphane.

- De rien Pascaline. Tu es une bonne suceuse. David a de la chance de t’avoir comme lopette. N’est-ce pas Daniel ?

- Oh oui ! Elle a encore beaucoup à apprendre, mais elle est bien partie.

Tous les 3 rirent de bon cœur et moi, là au milieu d’eux, je me sentis touchée par leurs compliments. Une petite érection leur signifia ma joie et David me permit de me masturber devant eux, ce que je fis avec plaisir, assise par terre, les jambes écartées. Je me sentais vraiment femme en me tripotant la nouille, impudique et obscène, mais je prenais énormément de plaisir à cela. En un petit couinement de gonzesse, je jouis devant tous, fière et épanouie.

 

CHAPITRE 7

 

Cela faisait maintenant 5 jours que je me suis découverte lopette. 5 jours qui m’ont permis de vivre mon homosexualité en pleine nature. Et cela ne faisait que commencer. Comme il faisait bon de se sentir lopette, sans plus un poil disgracieux sur mon corps, marcher en talons comme une femme et jouir de ses atours en nylon ! Je me sentais continuellement en désir, continuellement prête à satisfaire mon Mâle et mes amis. En fait, j’étais devenue en une petite semaine une vraie tapette en chaleur !

Après ma petite branlette devant les Mâles, j’allai me blottir dans les bras de mon amoureux. Nous discutâmes de nos vacances et j’appris que Daniel et Stéphane allaient partir bientôt. Toute triste à cette annonce ils m’ont assuré qu’ils allaient garder contact et suivre mon évolution de lopette avec rigueur et intérêt. J’en fus soulagée car mes amis sont pour moi la pierre d’achoppement de ma vie nouvelle.

David eut la bonne idée de m’emmener à la boutique du camping, tenue par Mme Sylvia, épouse du gérant du site, pour me trouver quelques vêtements adaptés à mon statut. Elle nous accueillit chaleureusement, mon Mâle me présenta comme sa nouvelle copine, ce qui amusa Sylvia au plus haut point : « Mon Dieu, David, aurais-tu trouvé la perle rare que tu cherches depuis des années ? »


-Je le crois bien, très chère ! Pascaline est prometteuse, n’est-ce pas, ma petite ?

-Je… Je l’espère, mon amour.

-Ooh ! Elle est encore timide à ce que je vois, plantant son regard dans le mien, Mme. Sylvia caressa ma joue. Mais je vois que tu as déjà adopté certaines attitudes de lopette, comme devoir porter des habits féminins.

-C’est moi qui les lui ai offerts, rétorqua David. Et comme elle n’a que cela, il lui faudrait une nouvelle garde-robe. As-tu des conseils vestimentaires à lui fournir ?

-Pas de problème, je vais lui trouver cela ! Tu me la laisses une petite heure ?

- Avec plaisir ! N’hésite pas à lui conseiller ce qu’il y a de plus…. Sexy !

David m’embrassa et me confia dans les mains de Mme Sylvia.

Seule en présence de cette belle Italienne, un certain malaise s’insinua en moi. Certes, je n’avais rien à craindre de cette créature, mais un je-ne-sais-quoi me mettait dans mes petites sandalettes. Elle dut le remarquer et en profita : « Suis moi petite tapette, dit-elle d’un ton sec, je vais te montrer comment une fiotte doit s’habiller pour réveiller les instincts des Mâles, car visiblement toi tu n’es plus un Homme, un Vrai ! s’esclaffa-t-elle. J’étais tombée sur une femme homophobe ou quoi ? Je la suivis comme un petit chien entre les rayons de vêtements. Heureusement pour moi nous étions seuls dans la boutique. Elle choisit tout un panel d’habits d’été typiquement féminins et me conduisit à une cabine d’essayage : « Tiens, la lopette, voilà déjà de quoi ressembler vaguement à une femme ».

Tirant le rideau pour retrouver une once d’intimité, j’enlevai ma chemise et enfilai ce qui était une sorte de bustier moulant bleu pétrole avec des reflets pailletés argent. Une sensation très agréable m’envahit, me contempla dans le miroir, satisfaite. Ensuite j’essayai un short ultra moulant en vinyle rouge sombre qui modelait mes fesses de manière indécente et écrasait mon service trois pièces de sorte qu’il disparut presque totalement. Le rideau s’ouvrit soudainement pour laisser apparaître un homme, grand et d’allure très masculine : « Eh bien ! En voilà une jolie tapette ! « . Sylvia, derrière lui s’écria : « Oh oui, et elle est encore plus avenante ainsi vêtue ! ». Toute honteuse d’être humiliée devant un inconnu, je baissai les yeux comme une enfant prise en faute : « Moi je suis Robert, le mari de Sylvia. Je suis le gérant de cet établissement ! J’ai des consignes du grand patron en ce qui concerne les tapettes qui viennent ici en vacances pour assouvir leurs fantasmes honteux ! ».

-Je… Je ne suis pas une tapette, Monsieur, mais la copine de David.

-Et alors ? Tu crois quoi ? Que tu peux impunément faire ta gonzesse devant tout le monde sans que personne ne te fasse de remarques ?

-Je… Non… Je ne sais pas…

-David ne t’a rien dit à ce sujet ?

-Non…

-Ici, je tolère les lopettes, mais elles doivent avoir mon autorisation !!

-Ah bon… je ne savais pas.

Robert entra dans la cabine, referma le rideau.

-Et pour avoir mon autorisation, la lopette doit me faire plaisir et se rendre utile !

Il dégrafa son pantalon pour faire jaillir un phallus déjà dressé. Il me foudroya du regard et je compris ce qu’il fallait que j’accomplisse pour valider mon ticket d’entrée. Je m’assis sur le tabouret et il approcha son membre turgescent à l’orée de ma bouche. Une vive odeur musquée de Mâle en rut s’échappait d’entre ses jambes alors que je commençais à lui pomper son pieu. Tout en suçant le gérant je vis du coin de l’œil Mme Sylvia reluquer la scène : « Elle suce bien la nouvelle ? »

-Mmmm. Oui ! Elle est prometteuse…

-David a du flair pour dénicher des petites salopes, hi hi hi !

Je continuais d’aspirer, de lécher cette bonne queue qui, après tout, me donnait plaisir. Mon sexe essayait dans la douleur de faire sa place dans le mini short, sans conviction. Je sentis le sexe de Robert se contracter pour lâcher sa semence dans ma gorge en 3 jets puissants que j’avalai sans en perdre une goutte. Je regardai Robert dans les yeux, satisfait de ma prestation : « C’est bien, la lopette, tu as fait ce qu’il fallait. Range-moi tout cela et tu pourras continuer tes essais ! » Je remis le phallus dans le pantalon et remontai la braguette : « C’est bien, tu es une bonne petite femelle obéissante, ah ah ah ! » Il disparut comme il était venu, laissant place à Sylvia : « Bon, ceci étant fait, tu vas essayer ceci maintenant, et ne t’avise pas de tirer le rideau ! »

-Bien Madame.

Vint donc le moment où j’essayai un top rose bonbon qui laissait libre mon nombril, une jupe courte en cuir noir, un boléro en dentelles, deux paires d’escarpins. Sylvia précisa que les bas et collants ne pouvaient être essayés et choisit définitivement pour moi une collection de 3 paires de bas de différentes couleurs qui se marieraient bien avec les habits ainsi que de deux paires de collants ouverts : « Garde sur toi le short et le petit top rose. David sera ravi de te voir ainsi ! »

-Bien Madame. Mais je crois que le short est un peu serré…

-Non ! Il te va bien et une lopette se doit d’être moulée comme une bimbo !

- Mais je…

Sylvia m’envoya une gifle cinglante.

-Une fiotte ne proteste pas !!

De petites larmes perlèrent de mes yeux tandis qu’un couple entra dans la boutique.

Je ramassai toutes les affaires, me rendant à la caisse, honteuse et humiliée. Le couple comprit vite que j’étais une lopette, me fit ouvertement des commentaires homophobes devant Sylvia. Celle-ci approuva leurs dires, me faisant encore plus honte. Je regrettais maintenant d’être une lopette et entrevoyais le côté sombre de vouloir vivre sa vraie identité. Heureusement que David apparut à cet instant. Il discuta en catimini avec Sylvia pour me rejoindre peu après. Appréciant ma nouvelle tenue il remarqua tout de même que si je voulais être une lopette il fallait que j’assume ce rôle totalement : « Et tu sais, ma petite Pascaline, Robert et Sylvia sont très tolérants, alors si tu veux continuer à être une gentille lopette, tu devras leur être reconnaissante, car ici, c’est eux les gérants. Et devoir faire des gâteries, c’est tout à fait normal pour une lopette comme toi. Je ne suis pas jaloux et j’estime même que c’est un honneur que de pouvoir te prêter à d’autres Mâles. Tu es une bonne femelle et tu vas le devenir encore plus avec moi. »

-Je ne sais pas si c’est cela que je veux…

-Maintenant que tu es avec moi, Pascaline, tu n’auras pas le choix !

 

CHAPITRE 8

 

Où il était question de ma soumission et où il sera question d’une épreuve humiliante.

David, après m’avoir sauvagement sodomisé au retour de la boutique au milieu de son salon, me proposa une petite ballade aux alentours du camping, juste en amoureux. Bien entendu j’en fus ravie et me hâtai de me faire toute belle ; j’enfilai le nouveau top, une petite culotte en dentelles, une paire de bas avec son porte-jarretelles, le mini short et mes sandalettes à lacets.

- Je vais te faire découvrir un endroit très particulier ma petite chérie, et crois-moi, tu t’en rappelleras toute ta vie car nombreuses lopettes y ont trouvé leur destinée !

- Ah bon ?

- Oui, tu verras, c’est un lieu étrange et merveilleux à la fois...

- Tu me fais un peu peur tu sais...

- Ne t’inquiète pas. Ce sera ton lieu d’initiation...

- Oooh ! Encore un lieu de drague pour tapettes, hi hi hi ?

- Nooon ! Un lieu uniquement érigé en l’honneur des lopettes en devenir !

- Je suis déjà une lopette, David. TA lopette.

- C’est vrai mais tu n’es pas encore totalement et définitivement assermentée...

- Ah bon ? Que te faut-il de plus ?

- Tu verras Pascaline, attrapant un sac à bandoulière.

Sur ce dialogue mystérieux il me prit par la taille non sans avoir caressé mes fesses et nous sortîmes comme deux amoureux, aux yeux de tous, pour nous enfoncer dans la pinède odoriférante en ce bel après-midi d’été.

Je me sentais parfaitement en harmonie dans cette nature, heureuse d’être celle que je suis devenue en compagnie de mon Mâle. Cet état me procurait excitation, douceur et je sentais mes petits tétons se dresser et durcir au contact du tissu de mon top rose. Et je bandais !! J’en fis part à David au creux de l’oreille, ce qui l’amusa au plus haut point : « On est bientôt arrivé ma belle... ».

Une sorte de mini clairière s’ouvrit à nous où un tapis de mousse verdoyante s’était développé comme par magie au milieu de nulle part avec, en son centre, une sorte de promontoire où un arbre se dressait, droit et majestueux.

- C’est magnifique cet endroit !

- N’est-ce pas ? Il est l’arbre du destin de toutes les lopettes du monde. Elles y viennent en pèlerinage chaque année et remercient leur Dieu en lui faisant une offrande.

- Quel genre d’offrande ?

- L’offrande de soi ! Enlève ton short Pascaline et ton petit top, tu seras plus à l’aise.

Je m’exécutai avec plaisir, me dénudant langoureusement en pleine nature. Mon sexe déformait la petite culotte que je portais et décidai de la faire glisser sur mes chevilles : « Je te plais ainsi dévêtue, David ? Suis-je assez sexy pour toi ? ».

- Je sens en toi un énorme potentiel de lopette, ma chère Pascaline. Il m’attrapa mon sexe et me tira jusqu’au pied de l’arbre. Regarde bien cet arbre, ne le trouves-tu pas sexy lui aussi ?

Effectivement il s’en dégageait une véritable sensualité mais surtout je découvris qu’une excroissance pointait de son tronc, une forme de Phallus XXL jaillissant, s’élançant vers le ciel : « Incroyable, balbutiais-je ! On a sculpté une bite à cet arbre ? ».

- Non. C’est la nature qui a fait le travail.

- Impressionnant ! Je me hasardai à toucher de mes mains cette sculpture naturelle ; on pouvait y voir les veinures de la verge, un gland distinctement formé, bref, une énorme queue en bois, impudique, dure et sauvage.

- Tu comprends mieux maintenant pourquoi ce lieu est un endroit magique ?

- OOh oui !

- Maintenant tu vas participer au rituel comme toute bonne lopette qui se veut l’être !

- Que dois-je faire ?

- T’empaler sur ce Phallus et faire don de soi !!

- Je... M’empaler sur ce monstre ??? Mais... Il est bien trop gros pour ma petite chatte !!

- Je vais te préparer à cela ! Sur ce il sortit de sa besace un tube de gel et me le donna : « Tiens et commence à lui faire un bon massage. Ce lubrifiant le mettra en valeur et fera ressortir la beauté de son bois.

- Mon Dieu !! Les lopettes sont toutes passées sur ce Phallus ?

- Les Vraies Lopettes dignes de ce nom ? Oui.....

Un sourire pâle se dessina sur mon visage quand je commençai à disperser le tube de gel sur ce monstre phallique, caressant puis massant, lubrifiant cette verge d’Or. Elle devait bien faire 40cm et d’un diamètre ahurissant. David contempla mon attitude et mon désarroi face à cet édifice organique. Je n’arrivais cependant pas à cacher mon excitation. Il m’enduisit mes fesses et ma petite rondelle d’amour, mes petits testicules et ma verge ridicule à celle devant moi, puis m’huila le torse, mes tétons, mon visage : « Tu es prête ? ».

- Je... Oui David, je suis prête à m’offrir.

Mon Mâle me souleva comme s’il voulait me prendre par devant, comme une femme ; j’agrippai mes jambes à ses hanches, mes bras autour de son cou. Il m’avança doucement sur la pointe du Phallus, me déposa sur lui. Je sentais la chaleur du bois m’inviter à l’empalement. David m’écarta les fesses au maximum. Une douleur violente m’arracha les entrailles. Je le suppliai de me retirer mais il n’en fit rien, se détachant de moi, au fur et à mesure que le Phallus s’immisçait en moi. Je suffoquais, mon corps tremblait mais David continuait de me lâcher. La pointe de mes pieds touchait à peine terre. C’est cette Queue qui me faisait tenir debout, véritablement empalée sur elle. Je ne pouvais absolument essayer de m’en extraire, aucune prise autour de moi ne m’y autorisait.

- Je t’en priiiie Daviiiid, sors moi de là !! .

- Non ! Tu es désormais sous le pouvoir de l’Arbre Phallique ! Lui seul te dira quand il le voudra te libérer !

- Piiiitiiiééé David, j’ai maaaal !!!!

- Je sais mais tu dois accepter cette douleur. Elle se transformera en plaisir quand toi seule l’auras décidé !!

- Nooooonnn !!!

- Inutile de faire ta pétasse, tu sais ! Toutes les lopettes dignes de ce nom sont passées par cette épreuve ! J’espère pour toi que tu vas réussir.

- Réusssiiiir quoi ? Le monstre phallique était maintenant en moi, comme un organe à part entière qui avait élu domicile dans mes entrailles. Je ne sentais plus ma rondelle tant le phallus irradiait de sa présence en moi.

- Tu vas devoir rester avec Lui jusqu’à demain, seule. Si au petit matin tu es libérée, alors tu seras élue et acceptée comme Lopette Authentique. Sinon la folie s’emparera de toi et tu finiras ta vie dans un asile ou... Sur les trottoirs.

- Noooon !!!

- Je te laisse à ton sort, Pascaline, soit courageuse et n’oublie pas que ma porte t’est ouverte !

Sur ces derniers mots cruels, je vis David s’éloigner non sans avoir pris le soin d’accrocher ma petite culotte en dentelles roses au bout d’une branche de l’arbre Phallique, se balançant tendrement devant mes yeux horrifiés.

 

CHAPITRE 9

 

Où il était question d’un empalement et où il sera question de mon épreuve.

Je n’arrivais pas à croire que mon Mâle m’avait abandonné à ce sort ! Seule, au milieu de nulle part, habillée en tout et pour tout d’un porte-jarretelles et de bas nylon, en sandalettes mais surtout empalée sur un énorme Phallus organique qui me tenait prisonnière par le cul !

J’arrivais à peine prendre appui sur mes talons et chaque mouvement me rappelait par la douleur que mon fion en était l’enjeu.

J’avais soif, j’étais lamentablement à la merci de n’importe quoi, de n’importe qui ! Je pleurais comme une gamine et chaque sanglot m’arrachait de la douleur. J’avais fait pipi sans pouvoir rien contrôler, ma ridicule virilité entre mes jambes que je ne sentais plus était elle aussi sous l’emprise du Phallus. Mes tétons huilés restaient dressés comme pour me dire que cela me plaisait d’être ainsi humiliée.

Le soleil commençait gentiment à décliner quand j’entendis des bruits derrière moi. Puis des voix : « Regarde, y’a quelqu’un à l’arbre des supplices ! ».

Les pas se firent plus présents. Honteuse, le regard baissé, je n’osais défier les deux inconnus, impuissante et ridicule.

- OOOh ! Mais c’est Pascaline, notre copine lopette !! .

- Mon Dieu oui !

Stéphane et Daniel !! Oui c’était bien eux que j’avais devant moi qui me regardaient comme un oiseau en cage : « Pitié, libérez moi, je vous en supplie !! ».

- Ô ma pauvre, commenta Daniel, me caressant la joue, comme cela doit être douloureux pour toi.

- On n’a pas le droit de libérer une lopette du Phallus, argumenta Stéphane. Ce serait une violation.

- Pitiiiiéé !

- Désolé Pascaline mais on ne peut pas faire cela. Mais soit courageuse. On est avec toi de tout cœur !

- Salauds !! Vous êtes des salauds !!

- OOh ! Tu entends cela chéri ? Elle est nous insulte ! Après tout ce que nous lui avons fait ! Tu devrais avoir honte ! Daniel me gifla de deux claques suivi par Stéphane qui m’en balança deux autres.

Je fondis encore en larmes, suppliant et priant mais rien ne leur fit changer d’avis. Stéphane m’attrapa les parties génitales et les serra dans sa main. La douleur vint dépasser celle du Phallus dans mon cul : « Tu vois, tu peux t’estimer heureuse car il y a des douleurs encore plus vives !!! ».

Ils me regardèrent ainsi durant plusieurs minutes, sans rien faire pour moi : « En tout cas tu portes très bien la lingerie pour femme ! On savait que tu allais devenir une bonne petite femelle et inutile de te dire que ta place n’est pas dans la communauté gay mais bien dans la catégorie lopette, hi hi hi !

- En fait, renchérit Stéphane, on savait que tu étais ici, c’est David qui nous l’a dit. On est venu te dire au revoir. Nous partons demain matin. On espère que tu survivras à cette épreuve et nous voulions t’offrir un petit cadeau d’adieu !

Sur ces paroles, mes deux amis commencèrent à s’embrasser et se masturber devant moi. Quelques minutes plus tard, Daniel et Stéphane éjaculèrent sur moi, mon ventre, mes jambes gainées de bas, mon sexe. Ils récoltèrent un peu de leur semence et me la portèrent à mes lèvres que je nettoyai avec désespoir tant j’avais soif.

Dégoulinante de foutre, ils me laissèrent à mon sort.

Je perdis la notion du temps. Le froid s’empara de moi tandis que la nuit recouvrit d’ombres ce lieu terrible.

A peine conscient, j’eus tout de même la lucidité de sentir la présence de mateurs autour de moi, des chuchotements, des petits bruits de branlettes, de fermetures éclair, de langues fourrées. Des hommes de la nuit me rendaient visite pour s’amuser de moi. J’étais leur victime impuissante qui ne pouvait refuser d’être souillée de leurs jets de spermes visqueux, de leurs léchouilles à mes parties génitales et mes tétons. On m’enduisait de foutre, on m’embrassait de force, on me pissait dessus comme on pisserait au pied d’un arbre. On me traitait de salope, de pédale, de lopette. Il en est un qui est même venu avec une tondeuse me raser le crâne, un autre me voler mes bas nylons et mes sandalettes qui m’ont encore empalé plus profond. On m’a mis ma petite culotte dans la bouche après l’avoir aspergé de foutre et de pisse. Un couple de lesbiennes sont venues me fouetter avec des branches d’ortie, sur le sexe, les jambes, le torse. Elles m’ont craché dessus et déféqué à mes pieds. Le patron du camping est venu avec sa femme me poser des pinces sur les tétons, sur le sexe et les bourses, on m’a prise en photos des dizaines de fois pour me montrer que je leur appartenais.

Pascaline était mise en pâture, exhibée comme une fiotte, asservie et utilisée comme vide couilles.

Quand les premiers rayons du soleil vinrent scintiller sur mon corps avili, j’étais à peine conscient. Une ombre humaine s’avança vers moi pour me soulever de cette Bite monstrueuse. Une panique incontrôlable se fit en moi. Je ne voulais pas être libérée ! Je voulais que ce Phallus retrouve la place qui était la sienne ; dans mon cul. Ce vide immense en moi était insupportable. L’inconnu s’enfuit, me laissant toute seule, nue et couverte de sperme.

J’essayai de marcher, trébuchai plusieurs fois, me relevai, encore et encore pour essayer de rejoindre mon bungalow. Il m’a fallu deux heures, rampant comme une chienne pour atteindre le camping.

Les genoux et le cul en sang j’entrevis les premiers bungalows tandis que mes forces me lâchèrent. Je tombai dans une sorte de coma durant ce qu’il me parut être une éternité. Quand je revins à moi, le soleil avait fait son œuvre. Je sentais des brûlures sur tout mon corps, le sperme avait séché en croûtes douloureuses. Je me levai comme j’ai pu, claudiquant avec comme unique vêtement un porte-jarretelles à ma taille.

Le regard cynique de certaines personnes me fut indifférent et, sans rien pouvoir penser, mes pas me conduisirent à l’appartement de David.

Il m’ouvrit la porte et m’accueillit dans ses bras.

 

CHAPITRE 10

 

Ceci est la fin des aventures de Pascaline...

Je sentais David me soigner de mes blessures, des souillures infligées en prenant soin de moi comme un homme de sa femme, avec délicatesse et attention. Mon esprit vagabondait encore dans une brume épaisse mais je pouvais tout de même sentir, respirer et entendre la voix de mon Mâle m’encourager et me féliciter de mon courage et de ma dévotion durant cette nuit d’enfer. Il me déposa sur son grand lit avec tendresse et amour, m’embrassa sur le front et me recouvrit d’un délicieux drap de satin. Je m’endormis sur le champ alors que des rêves de phallus venaient déjà toquer à la porte de mon âme.

Quand je me réveillai, une drôle de sensation au bas de mon ventre se fit jour. Je repoussai le drap soyeux et découvris avec stupeur que ma virilité avait été mise en cage de chasteté ! C’était une cage en métal étincelant où un anneau très étroit ceignait mon service trois-pièces alors que la cage emprisonnait fermement ma petite chose circoncise, le tout surmonté d’un cadenas bien visible. Je touchai ce nouvel « engin », surprise et humiliée, me rendant compte que je n’avais plus la possibilité de bander comme un vrai homme. Je me dirigeai maladroitement aux toilettes, fis mes besoins assise, sentant mon urine se jeter au travers des barreaux de ma nouvelle prison sexuelle. Ma chatte de lopette criait aux supplices quand il fallut contracter mes sphincters, mes tétons étaient hyper sensibles et ma nouillette encagée se réveilla sans pouvoir s’émanciper, venant buter sur l’acier de la chasteté. Le poids de celle-ci tirait mes testicules et ma verge me forçant à adopter une démarche contorsionnée et visiblement efféminée.

J’enfilai une petite culotte afin d’oublier cette odieuse situation pour aller à la cuisine me faire un petit repas quand on sonna à la porte. Je me couvris d’un kimono en satin bleu pour aller ouvrir. C’était David, tout sourire, un bouquet de fleurs à la main : « Bonjour chérie ! Je suis fier de toi tu sais ! « . Il me tendit le bouquet que j’acceptai et entra.

A peine la porte refermée qu’il écarta le pan de mon kimono afin de dévoiler ma cage : « Comment trouves-tu ta nouvelle amie ? », me demanda-t-il en soupesant de sa main le reste de ma virilité.

- Je trouve cela très humiliant. Tu veux me la faire porter longtemps ?

- Désormais tu n’auras plus le droit de la quitter !!! Tu porteras cette cage avec fierté car une lopette assermentée telle que toi n’a plus le droit d’utiliser sa virilité ou de choquer quiconque en exposant son membre.

- Mais je ne pourrai plus bander ?

- Non Pascaline. Tu ne jouiras qu’avec ta chatte et tu verras que tu prendras encore plus de plaisir quand tu sentiras ta semence s’écouler de ta petite nouille sans même être dure.

- Je... Suis-je devenue la lopette que tu attendais, David ?

- Oui chérie et on va dès maintenant graver cela dans ta peau !

Il me pria de m’asseoir sur le sofa et d’écarter les jambes afin que mon pubis soit parfaitement exposé. Il m’embrassa sur la bouche avant de passer un coup de fil : « Elle est prête ! Ramène-toi au plus vite ! ».

- Que cela signifie-t-il ?

- Qu’un pote va venir immortaliser ta condition de lopette...

A peine cinq minutes plus tard, la porte sonna, tandis que je suçais le phallus de mon Mâle : « Entre Denis ! ». Un homme tout en cuir vêtu fit irruption devant nous alors que David éjaculait dans ma bouche, comblé de bonheur. J’avalai son sperme avant de saluer cet inconnu en un bonjour monsieur Denis englué de foutre.

- Elle est jolie ta petite femelle, dis-moi !

- Oui, répondit David, elle est parfaite ! Enfin presque... Tu vas pouvoir lui donner la touche finale, comme convenu !

Denis se mit à l’aise, exhibant ses bras tatoués et musclés, défit ses affaires alors que je lui servais un verre de café : « Va t’allonger sur la table lopette et prépare-toi à être tatouée ! ».

- Oooh ! C’est donc cela immortaliser ma condition ?

- Oui petite femelle. Ton Mâle et moi avons dessiné spécialement pour toi ta nouvelle carte d’identité !

Le picotement très désagréable se fit sentir sur mon pubis. David me tenait la main mais la douleur insidieuse des aiguilles me fit chialer comme une gonzesse. Je devais me concentrer sur la queue de mon Mâle, la caressant de ma main droite pour sentir une chaleur réconfortante. Je ne sentais plus rien entre mes jambes, que la douleur du tatoueur musclé et concentré sur le haut de ma cage, cage qui le faisait sourire, me trouvant ridicule et très tapette : « Ta fiotte va être parfaite avec ce tatouage, David ! Elle sera reconnue partout où elle ira. Tu vas lui faire pousser des petits seins pour l’humilier encore plus ? ».

- C’est déjà en route. Cela fait cinq jours qu’elle prend des hormones sans qu’elle le sache !

A ces paroles j’ai eu un petit sursaut : « Qu’as-tu fait ? Tu m’as donné des hormones ???

- Oui chérie, comme cela tu te sentiras très femme et ta voix changera aussi.

- Mais tu te rends compte ? Que vais-je dire à mon entourage ?

- Que tu as changé de vie et que maintenant tu es une gonzesse !!!

. Mon Dieu !!! Mais...

- C’est ta destinée, Pascaline, et tu le sais !!!

- Je... Oui... Mais... je sentis ma verge gonfler sans pouvoir jaillir, ma chatte palpiter à ces mots.

- Tu le sens en toi non ?

- Oui c’est vrai. Je... je suis une fiotte. Ta lopette.

Ils rirent de bon cœur et moi je pleurais de désir. Oui, je suis une lopette, une vraie bonne petite femelle qui n’est plus un mâle. Toute ma vie j’avais enfoui ce désir d’être une gonzesse, une lope, une bonne enculée, une baisée magnifique et prête pour le sexe, alors maintenant je me devais d’en assumer la réalité : Je suis Pascaline la lopette !!!

David m’embrassa, m’aida à me relever et me plaça devant le miroir, nue, où je pus enfin lire sur mon pubis qui j’étais réellement.

Au-dessus du reste de ma virilité était inscrit en lettres romantiques :

Sissy Pascaline.

Fin

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