mardi 30 octobre 2018

lundi 29 octobre 2018

CAPTION 665

Et voici la petite caption du jour en 2 parties.

 
PARTIE  1
 
 
PARTIE 2



dimanche 28 octobre 2018

HISTOIRE COQUINE: LUCAS CHEZ SA COUSINE (CHAPITRE 5 A FIN)

SUITE ET FIN DE CE RECIT.



CHAPITRE 5

 

— Lève ta robe que je vois ta petite bite. Tu bandes, jolie cochonne ? Tu vois que tu aimes ça, être soumise et traitée à la dure…




Lucas ne put la contredire, son érection parlait pour lui. Son anus était envahi par un gode en acier qui l’emplissait bien, la douleur provoquée par la sonde, les pointes et le poids se diluaient dans le plaisir trouble d’être ravalé au rang de petite femelle soumise au bon-vouloir de la conductrice. Son corps aimait être maltraité même si son cerveau refusait de reconnaître cet état de fait.

Pour autant, Lucas serra les dents quand il dut sortir de la voiture et marcher jusqu’à l’appartement. À chaque pas la douleur lancinante de son scrotum étiré lui foudroyait les reins. Il soupira de soulagement quand Amélie, ayant pour une fois pitié de lui, lui ôta le poids.

— J’ai bien fait de ne pas prendre plus lourd, je me doutais que tu étais une chochotte. Allez, va faire à manger, tu m’appelles quand c’est prêt.

Les jours passèrent et Lucas accepta bon gré mal gré de vivre sous la férule de sa cousine. Elle lui apprit à se maquiller légèrement, rouge à lèvres, fard et eye-liner, à se coiffer en chignon ou en queue-de-cheval. Lucas prit l’habitude de s’épiler les jambes et les aisselles, de sortir en robe et de répondre au prénom de Lucie. Le dernier week-end d’octobre, alors qu’Amélie était partie chez ses parents, pharmaciens à St-Gaudens, il partit même déambuler place St-Sernin, prit la rue du Taur pour arriver place du Capitole. Comme il faisait beau ce samedi après-midi, il flâna jusqu’à la place Wilson et s’installa à la terrasse du Cardinal. Le serveur, un homme svelte dans la trentaine, s’approcha.

— Bonjour mademoiselle, que puis-je vous servir ?

— Un thé, s’il vous plaît. Au citron.

— C’est parti !

Le serveur revint cinq minutes plus tard avec la commande.

— Et un thé citron pour la jolie demoiselle !

— Je vous remercie.

Lucie (puisque c’est son prénom de fille) tendit un billet de 10 euros au serveur et lui demanda :

— Vous pouvez m’indiquer où sont les toilettes, monsieur ?

— Vous prenez à droite de l’entrée… Attendez, je vais vous montrer ; il n’y a pas trop de monde et mon collègue va s’en occuper. Venez.

Il entra dans la salle du bar et se dirigea vers le fond, suivi par Lucie qui serrait sa pochette contre son ventre. Dans l’arrière salle, le serveur posa sa main sur sa hanche ; même à travers la robe et le gilet qu’elle portait, Lucie sentit comme une brûlure et tressaillit. S’enhardissant, l’homme se colla contre son dos et pressa sa virilité bien dure contre les reins frémissants de sa proie.

— Alors, jolie demoiselle, tu es venue voir le loup ? Tu n’es pas une gouine, je le sens, tu as envie d’une grosse queue bien raide, n’est-ce pas ?

— S’il vous plaît, non, je vous en prie, balbutia Lucie, n’osant pas repousser les mains qui l’appuyaient franchement contre sa verge dressée qu’il avait sortie Dieu sait comment de son pantalon.

— Tu es une petite cochonne, je le sais. Alors à genoux et pompe ma bite, vite !

— Oui, d’accord, souffla Lucie.

Le jeune étudiant était soulagé de s’en tirer à si bon compte, il se voyait déjà nu devant cet homme qui découvrirait alors son secret. La honte ! Les jambes ne le portant plus, Lucie se laissa presque tomber aux pieds du serveur pour se retrouver le visage à quelques centimètres d’un engin qui lui parut énorme. Il faut dire qu’il avait une faible expérience des sexes mâles, ne connaissant que le sien. Qui était bien plus petit que la moyenne à ce qu’il en savait.

— Allez, suce mon gros sucre d’orge, petite gourmande, là oui, vas-y… Tu sais bien y faire, sous tes dehors de vierge effarouchée. Pompe plus fort, allez… Et caresse mes couilles aussi, lèche-les.

Guidée par son mentor, Lucie avait arrêté de réfléchir et elle s’appliquait à satisfaire son mâle, essayant d’oublier sa propre verge qui bandait dans son slip brésilien. L’homme avait saisi sa nuque et prétendait s’enfoncer plus avant dans sa gorge, le gland exerçait des pressions répétées sur sa luette ; Lucie n’osa protester et se mit à saliver d’importance, le trop-plein s’écoulant sur son menton et sa robe. Puis soudain le serveur poussa un râle guttural en bloquant la tête de sa cliente docile, se vidant de plusieurs rasades de semence dans la cavité buccale accueillante.

— Ah ! Je me doutais que tu étais une bonne pipeuse, tu as une bouche à sucer, toi.

Perturbée, ne sachant plus où se mettre, Lucie se releva, bredouilla quelques mots d’excuse et se rua dans les toilettes. Enfermée à double tour, elle reprit son souffle et ses esprits. Ça y était, elle avait franchi le cap et fait sa première fellation. Sur un inconnu, en plus. Elle déglutit, le goût du sperme encore en bouche. Après avoir uriné, elle rangea sa verge qui avait repris une très modeste dimension. Devant le miroir elle se passa un peu d’eau sur le visage, se recoiffa sommairement et essuya le devant de sa robe souillée de salive.

Son thé était à peine chaud mais après ces émotions Lucie n’osa pas partir tout de suite, ses jambes lui semblaient encore cotonneuses. Le serveur vint lui glisser un post-it avec son numéro de téléphone, elle lui sourit sans mot dire, encore sous le choc ; il lui fit un clin d’œil censé être grivois et s’éloigna servir d’autres clients. Rêveuse, Lucie revint à l’appartement, se déshabilla et alla prendre une douche bien chaude.

Lucas commença à se masturber mais hésita, pensant à la punition qui l’attendait quand il se confesserait à sa cousine. Car il le dirait, ça ne faisait aucun doute dans son esprit. Elle le battrait et lui enfermerait sa verge dans sa cage. À cette pensée, il n’y tint plus et empoigna sa verge dressée, en quelques mouvements il atteignit l’orgasme et aspergea la faïence murale de sa semence.

Le dimanche après-midi, il attendit Amélie agenouillé au milieu du séjour, juste vêtu d’un débardeur blanc, la verge comprimée dans la cage. Il avait dû batailler pour la poser, puis il avait placé les deux cadenas qui la maintenaient en place. Cadenas dont il n’avait pas la clé, bien sûr. Le gode en acier bien enfoncé dans les reins, il se tortillait sur ses genoux douloureux sans oser se lever. Quand sa cousine entra, tirant son bagage à roulettes, il baissa la tête humblement.

— Alors, petite idiote, on a quelque chose à se faire pardonner ? On s’est caressé alors que c’est interdit, c’est ça ?

— Oui, pardon Amélie. Je n’ai pas pu m’en empêcher, je suis désolé.

— Alors tu as mis la cage en te disant que je passerais l’éponge. Mais tu as " oublié " le poids sur tes misérables couilles, et la sonde aussi. Je vais commencer par ça.

— S’il te plaît, non ! La sonde irrite trop, j’ai mal quand je fais pipi, pendant deux jours au moins. Et le poids, c’est dur, je ne le supporte pas.

— Il te fallait y penser avant, idiote ! Maintenant je suis obligée de te punir sévèrement. Tu comprends ça ?

— Oui, bien sûr. Mais ça fait trop mal.

— Tu dormiras avec, cette nuit. Je t’enlèverai tout juste avant d’aller en cours. Et demain soir tu as intérêt à être docile.

Une heure plus tard, Lucas préparait le repas du soir en pleurant à chaudes larmes. Amélie n’avait pas été tendre avec lui, car après avoir lesté ses testicules avec le ball stretcher et avoir enfoncé une sonde longue de dix centimètres dans son urètre, elle lui avait administré vingt solides coups de ceinture sur les fesses. Le jeune homme dut servir sa cousine sans avoir le droit de manger, puis elle l’envoya au coin : à genoux et les mains sur la tête, bien cambré pour montrer le gode d’acier fiché dans ses reins.

— J’en ai assez de tes jérémiades, demain je vais acheter un gros bâillon pour avoir la paix. Tu n’arrêtes pas de te plaindre alors que je me donne la peine de t’éduquer, tu es un ingrat.

— Pardonne-moi, Amélie, mais j’ai eu trop mal quand tu m’as battue.

— Quand je te punis, c’est pour que tu aies mal. Et puis je parie que tu bandes.

— J’ai honte.

 

CHAPITRE 6

 

Le lundi soir Amélie les conduisit à nouveau à l’Espace Libido. Il y avait un peu plus de monde sur le parking et de nombreux clients, souvent en couple, déambulaient dans les rayons. D’autorité, la jeune rouquine fonça vers les rayons SM où ils avaient trouvé la cage de chasteté.

— Je vais choisir un bâillon, je vois qu’il y en a plein. Tiens, notre vendeuse de l’autre jour. Bonjour madame.

— Bonjour mesdemoiselles. En quoi puis-je vous être utile ?

— Eh bien… La cage que nous avons achetée est vraiment bien, mais Lucie a des soucis avec le poids.

— Ah, le ball stretcher ! Évidemment, si vous lui demandez son avis, ces pauvres choux sont bien trop douillets. En plus, je crois me souvenir que vous avez choisi un modèle très léger. Vous devriez lui apprendre l’obéissance et lui en faire porter un plus lourd !

— Ma foi, vous avez raison. Cette petite idiote est habituée à être choyée, résultat : c’est une vraie chochotte. Vous avez quoi, comme poids ?

— Celui-ci pèse quatre-cents grammes, regardez ! Le tournevis est fourni.

C’était un anneau de métal chromé en deux parties qui se vissaient ensemble grâce à des écrous spéciaux. Amélie se tourna vers Lucie qui écoutait sans oser intervenir.

— Qu’en penses-tu ? Tu es impatiente de le porter, n’est-ce pas !

— Je crois que je n’ai pas le choix, non ?

— Elle est incroyable, cette petite. Même sa voix donne le change, et sa pomme d’Adam n’est même pas proéminente. Elle porte sa cage de chasteté ?

— Lucie, soulève ta robe, montre à la vendeuse ta petite bite en cage.

— Mais…




Lucie capitula en voyant l’air furibond de sa cousine. Un coup d’œil autour lui apprit que plusieurs clients étaient à proximité, dont certains regardaient à la dérobée vers les trois jeunes femmes. Tête basse, elle prit l’ourlet à deux mains et leva sa robe rouge, exposant d’abord la lisière de ses bas autofixants puis la cage étroite qui contenait sans peine sa verge à moitié bandée.

— Très jolie ! Commenta la vendeuse sans que Lucie sache si elle parlait d’elle ou de la cage. Avec ce poids sur ses mignonnes petites couilles, elle saura qui commande, croyez-moi !

— Vous m’avez convaincue, je la prends. Vous auriez un gode adaptable plus gros ?

— Mmm… Celui-ci fait quatre de diamètre sur quinze, j’ai la taille au-dessus, cinq sur dix-huit. Attention, c’est bien plus épais que l’autre, il faudra être prudent ! Voici l’objet, voyez comme il est déjà volumineux.

— Ma petite chérie est très souple ! Et puis elle aime ça. Dis donc, Lucie, t’ai-je dit de baisser ta robe ? Il y a des gens qui sont intéressés par ton petit oiseau prisonnier.

En effet, cinq clients s’étaient approchés et semblaient fascinés par sa virilité encagée et son allure de jeune fille sexy. Lucie rougit jusqu’aux oreilles, affreusement gênée, mais elle obéit à sa cousine et releva à nouveau sa robe, dévoilant son intimité.

— Autre chose. Lucie se plaint de la sonde, elle souffre quand elle urine tout le jour qui suit. Je lui ai mis la plus longue hier, voilà le résultat, elle passe la journée à pleurnicher.

— Elle fait une petite infection. Il faut persévérer et surtout bien désinfecter la sonde. Passez en pharmacie pour avoir un produit efficace, ce que je vous ai proposé n’est sûrement pas suffisant.

— Mes parents sont pharmaciens, je vais demander à maman. Vous pensez que Lucie peut continuer à porter une sonde ?

— Mais bien sûr ! Même avec un modèle plus long ou de plus gros diamètre. L’urètre est très souple, le seul vrai problème est l’asepsie.

— Bon, d’accord. Je vous prends ce joli gode, le poids en acier et une nouvelle sonde.

— J’ai un joli modèle en silicone et acier chirurgical qui se visse sur la cage, neuf millimètres de diamètre et douze centimètres de long. Il est dans un emballage aseptisé, il faut juste le lubrifier.

— Je le prends. Pouvons-nous passer en cabine pour poser tout ça ?

Il fallut vingt minutes pour équiper Lucie. Elle pleurait en sortant de la cabine, se retenant pour passer les mains sous sa petite robe. Ses testicules lourdement lestés pendaient atrocement et il lui semblait qu’ils allaient se détacher. Du coup, elle supportait sans y penser le nouveau gode, pourtant bien plus intrusif, qui lui taraudait les reins. Comme ils allaient sortir, un homme bien mis, dans la cinquantaine, s’approcha d’Amélie et lui tendit un bristol.

— Bonsoir mademoiselle. Quand vous en aurez assez de cette petite chienne, appelez ce numéro.

— Merci, je n’y manquerai pas, soyez en sûr.

L’homme s’approcha de Lucie et lui souleva le menton avec autorité, l’obligeant à lever la tête. Il plongea son regard glacé dans les yeux troublés de larmes de la petite blonde qui se retrouva complètement en son pouvoir.

— Toi, tu es née pour être une esclave. Quand tu seras chez un vrai Maître, il te fera découvrir ta vraie nature. Tu plongeras dans un monde de dépravation et de souffrance dont tu n’as pas idée. Bientôt.

Dans la voiture, Amélie dévisagea son souffre-douleur qui ne pipait mot, se contentant de regarder la route d’un œil vide.

— Tu ne pleures plus ? Tu n’as pas mal ?

— Si. La sonde me fait mal, et j’ai envie de faire pipi.

— Heureusement qu’elle comporte un embout vissé, ça te permet de te retenir. D’ailleurs j’ai décidé que nous allions au restaurant. Qu’en dis-tu ?

— Je n’ai pas faim, et je n’ai pas envie d’y aller. Mais je présume que tu t’en fiches.

— Heu… Oui, complètement. On va marcher jusque chez Hong, c’est un resto chinois près de l’appart.

— Je ne suis pas très couverte, tu sais.

— Tu as peur d’avoir froid ? C’est à deux pas de chez moi. Et puis ça te secouera les couilles de marcher un peu.

Lucie serra les dents pour retenir ses gémissements de douleur en allant au restaurant. Emmitouflée dans une veste de laine appartenant à sa cousine, elle avançait à petits pas en essayant d’éviter de trop secouer le poids. Elle s’assit avec soulagement à sa place, se crispant quand le gode se ficha encore plus dans ses reins. Amélie passait la commande : nems, canard laqué et pichet de vin rosé, quand deux hommes entrant dans le resto l’interpellèrent :

— Salut Mélie ! Tu vas bien ?

— Bonsoir Fred et Jules ! Vous mangez avec nous ? On est en train de commander. Je vous présente Lucie, ma coloc.

Après une tournée de bises, les nouveaux venus s’installèrent et commandèrent dans la foulée. Pendant le repas, Jules dragua ouvertement Lucie qui lui répondait timidement. Après avoir payé, ils sortirent tous les quatre et avec aplomb, Jules prit Lucie par la taille et la serra contre lui. La petite blonde frissonna mais ne protesta pas, appréciant même la chaleur du bras sur son épaule. Elle essaya de contenir la douleur irradiant de son scrotum distendu et de sa verge gonflée et durement comprimée dans sa cage. Elle avait envie d’uriner mais devait attendre pour cela qu’Amélie la libère.

— Vous passez boire un coup à la maison ? proposa la jolie rousse. Lucie vous montrera ses talents.

— S’il te plaît, Amélie, protesta Lucie, inquiète de ce que lui réservait sa perverse cousine.

— Je ne t’ai pas demandé ton avis. Tu sais ce que ça va te coûter.

Lucie baissa la tête, réalisant qu’elle ne pourrait pas échapper à une nouvelle punition en plus des humiliations qui l’attendaient. Jules la regardait en coin pour savoir comment elle réagissait, et s’il fut surpris de son absence de rébellion il n’en laissa rien paraître. Il essuya une grosse larme qui glissait sur la joue pâle de la petite blonde avant de la réconforter d’une pression sur l’épaule.

Lucie faillit fondre en sanglots devant cette marque de sollicitude. Mais il se retint de justesse en pensant à ce qu’il allait devoir faire dès son arrivée dans l’appartement : Amélie avait été très claire, il devait se déshabiller dès son entrée, puis au mieux enfiler un débardeur et une petite culotte.

 

CHAPITRE 7

 

Ainsi, dès qu’Amélie eut ouvert la porte d’entrée, Lucie enleva sa veste et la suspendit à une patère. Pendant que les deux hommes s’asseyaient sur le canapé, submergée de honte mais incapable de se rebiffer sous le regard impitoyable de sa cousine, Lucie dézippa sa robe et la fit glisser sur ses jambes gainées de bas fumés. Les exclamations fusèrent quand Fred et Jules comprirent que la petite blonde était un garçon travesti.

Lucie dégrafa son soutien-gorge et le posa soigneusement près de sa robe sur un tabouret, puis elle quémanda du regard le droit d’enfiler un vêtement, fut-il symbolique.

— Reste comme ça, pieds nus mais avec des bas de petite salope. Et approche, nos invités désirent t’admirer de près.

— Putain, c’est pas vrai ! Jules, regarde ça, c’est une sale petite lopette.

— Ouais… Je me serais fait avoir, nom de Dieu ! C’est quoi, cet attirail ? Ses couilles sont violettes tellement elles sont étirées.

— Explique-leur, Lucie, et dis-leur pourquoi tu portes ça.

— C’est… C’est une cage de chasteté, expliqua Lucie d’une voix blanche. Parce que je me suis caressé sans demander la permission à ma cousine.

— Putain, j’y crois pas… c’est ton cousin, cette petite salope ?

— Eh oui, mes parents me l’ont envoyé, je suis censé l’héberger jusqu’à ce qu’il se trouve autre chose. Mais il ne vous a pas bien expliqué comment fonctionne cette cage. Tourne-toi, penche-toi, encore, écarte tes fesses… Un gode lui emplit l’anus et il ne peut pas être sodomisé avant que je le libère. Il a aussi une grosse sonde qui remonte l’urètre presque jusqu’à la vessie, il ne peut pas uriner sans moi.

— Elle pleurniche, la lopette, mais elle se laisse faire ?

— Elle a pas le choix, sinon je la fous dehors. Mais oui, elle aime être humiliée, et même être battue. Combien tu vas avoir de coup de ceinture, ce soir ?

— Amélie, tu ne vas pas… Dix coups, je pense.

— Eh non, comme tu contestes sans arrêt, ce sera vingt. Pour t’apprendre à ne pas remettre en cause mes ordres. Compris ?

— Oui, répondit le pauvre d’une toute petite voix.

Triomphante, Amélie se tourna vers ses deux amis, ébahis mais aussi excités par la situation.

— Alors, vous avez envie de punir cette petite geignarde ? Elle a besoin de la poigne d’un vrai homme pour comprendre qu’elle doit être plus docile. Qui commence ? Dix chacun ? Voici sa ceinture préférée, vous la doublez en la tenant par la boucle. Et vous tapez de bon cœur, Lucie doit apprendre à être durement corrigée.

La jolie rouquine ordonna à sa colocataire de se pencher contre la table basse, jambes droites mais largement écartées, pour offrir son postérieur aux deux étudiants. Fred fut le premier à le frapper, faisant cingler la ceinture avec une puissance telle que Lucie fondit en sanglots déchirants. Mais sans jamais songer à échapper à la punition. Jules enchaîna mais sans porter autant ses coups ; cependant, à l’issue de la correction les fesses de la pauvre blonde étaient bien marquées. Elle tomba à genoux et pleura tout son saoul alors que les trois compères buvaient du whisky en se moquant d’elle.

— Vous voyez le boulet que ma mère m’a collé ! En plus cette petite salope coûte cher, entre tous ces appareillages, la bouffe, les vêtements...

— Sûr ! Mais tu peux t’amuser aussi ; elle accepte tout ?

— Je te l’ai dit, sinon je la fous dehors. Mais il y a pas de danger, elle aime ça. Et si vous avez envie de son cul ou de sa bouche, ne vous gênez pas, je vous la prête.

Les deux copains se regardèrent puis se mirent à ricaner.

— Ouais, pourquoi pas, j’ai jamais essayé, répondit Fred. Je vais lui péter le cul.

— Eh, doucement, objecta Jules. Faut lui demander son avis, on va pas la violer non plus.

— Alors, tu entends, demanda la rousse. Tu acceptes de te faire enculer ? Et de les sucer ?

Lucie ne pleurait plus et écoutait, mortifiée et pleine de honte. Ils voulaient la sodomiser, se faire sucer… Elle frémit puis songea que déjà ses reins étaient investis par un cylindre épais qu’elle avait appris à supporter. Alors la sodomie par de vraies bites ne devrait pas être si terrible. Au moins cela lui permettrait d’être libérée de sa cage. Et du poids aussi, elle l’espérait en tout cas.

— Oui… Ceci dit d’un filet de voix, comme si Lucie ne voulait pas être entendue, ne croyant pas elle-même à ce qu’elle acceptait de faire.

— Dans ce cas, je vais libérer ton anus. Tu vas garder la cage bien sûr, ça t’évitera de bander.

— Mais, commença Lucie avant de capituler. D’accord.

Dix minutes plus tard, Lucie vivait sa première pénétration anale : Fred l’avait positionnée à genoux devant lui, elle avait dû écarter ses fesses à deux mains pour présenter son œillet palpitant qu’il avait investi sans douceur. Surpris par la taille et la dureté de la verge du jeune homme, Lucie avait protesté et reçu pour la peine de puissantes claques sur les fesses. Se le tenant pour dit, elle avait laissé son premier mâle se comporter avec rudesse.

Fred la pilonnait brutalement, son pelvis claquant sèchement contre les fesses de Lucie à chaque coup de reins. Il frappait du plat de la main le cul offert, et en même temps il l’insultait en tirant violemment la chevelure blonde de sa victime. Le pauvre étudiant gémissait en pleurnichant, mais au fond il aimait être traité si rudement.

Puis Fred se vida dans le rectum de Lucie et se retira aussitôt.

— Viens nettoyer ma bite, petite salope. Vite !

À ce stade, Lucie ne se rebellait plus. Elle se tourna et s’agenouilla pour prendre en bouche la verge maculée et la lécha soigneusement, sans se soucier de l’odeur peu engageante.

— Ça suffit, donne ton cul à mon copain maintenant.

Lucie hocha servilement la tête et se retourna, toujours à genoux. Jules la sodomisa en douceur, sa verge pourtant conséquente pénétra facilement le conduit anal bien assoupli. Il prit ensuite son temps, allant et venant souplement dans les reins dociles. Bien cambrée, Lucie gémissait, offerte à son deuxième mâle. Sa petite verge bandait, comprimée dans son étui d’acier dont les pointes perçaient la chair tendre. D’elle-même elle se tourna pour nettoyer de la langue la grosse verge congestionnée après que Jules eut joui.

Après le départ des deux étudiants, Amélie approcha avec ses clés et enleva le poids qui distendait les petites couilles de sa soumise. Elle ôta ensuite la cage de métal et examina la verge, nettoya le sang et ne découvrit que de minuscules piqûres qu’elle désinfecta néanmoins.

— Tu as été parfaite, Lucie. Tu as aimé, au moins ?

— Oui, avoua Lucie d’une voix à peine audible.

— Bien ; je crois qu’il faut aller plus loin maintenant que ta vraie nature est révélée. Malheureusement, je n’ai pas le temps de m’en occuper, et je n’y connais rien. Je vais téléphoner à l’homme qui m’a laissé sa carte de visite, il me guidera.

La rouquine ne perdit pas de temps, elle prit son portable dès qu’elle eut mis la main sur la carte.

— Allô, bonsoir. Je suis la personne à qui vous avez remis votre carte de visite tout à l’heure. Vous avez cinq minutes à m’accorder ?

— Je suis à vous, mademoiselle.

— Merci. Voilà ; Lucie se révèle difficile à éduquer, pour moi qui suis novice en la matière. Je voudrais savoir si vous pourriez me guider vers quelqu’un.

— Sûrement. Je ne suis pas à même de la prendre en charge actuellement, hélas. Mais je connais des gens. Mais il faut me dire vos aspirations, ce que vous souhaitez pour Lucie.

— Je ne sais pas. C’est là le problème.

— Je vais vous aider. Lucie est-elle soumise, maso, à quel degré ? Faut-il envisager une féminisation ?

— Ah, d’accord. Elle est soumise et très maso, et pour la féminisation, oui, c’est une bonne idée. Elle est déjà plus femme qu’homme.

— Attendez, je réfléchis. Je connais trois personnes susceptibles de prendre en charge Lucie. L’un d’eux est… extrême, je vais donc contacter les deux autres en premier, ce sont des amis de longue date. Je vous recontacte rapidement.

 

CHAPITRE 8

 

En fait il rappela une heure plus tard. Amélie lisait devant la télé avec Lucie blottie nue à ses pieds.


« Je n’ai pas de bonnes nouvelles, je vous préviens. Mes deux amis ne peuvent donner suite. Ne reste que le dernier. Mon impression est mauvaise, il m’a semblé brutal au possible. Il ne veut pas être dérangé par des dilettantes, des bobos qui cherchent à vivre un frisson, m’a-t-il dit, il cherche un soumis dont il fera un esclave sexuel. Ou plutôt une esclave sexuelle, car il envisage une féminisation hormonale définitive, avec ou sans l’accord du soumis. Qu’en pensez-vous ?

« Je pense que c’est possible. Je vais le contacter moi-même, si vous le permettez.

« J’allais vous le proposer.
Amélie composa le nouveau numéro après avoir coupé la communication.


« Allô, bonsoir. Je vous appelle au sujet de Lucie, j’aimerais avoir des précisions.

« J’espère juste que ce n’est pas un canular. Que voulez-vous savoir ?

« Vous êtes prêt à prendre en charge Lucie ? Ou Lucas, si vous préférez. C’est un jeune homme de dix-huit ans qui a des dispositions en fille. Petit, mince et doux.

« Il fait quoi actuellement ?

« Il est en fac de Droit.

« Si j’accepte, c’est fini, vous comprenez. Il sera chez moi à plein temps. Sa famille ne risque pas de le rechercher ?

« Il est majeur. Il pourrait faire un courrier à sa mère pour avertir qu’il quitte la France, non ?

« Oui ; je vous laisse jusqu’à demain pour les modalités. Vous habitez Toulouse ? Alors je l’attends demain à 21 heures au bas de la rue Bayard dans un van noir aux vitres fumées.

« Bon, c’est parfait pour moi. À demain.
À l’heure dite, Amélie et Lucie étaient au point de rendez-vous. Lucie, seulement vêtue d’une robe, frissonnait de froid et de peur, son sac de voyage posé à côté d’elle. Sous sa robe, point de sous-vêtement mais la cage d’acier, le poids le plus lourd à ses couilles et le plus gros plug fiché dans son anus.

Un van sombre s’arrêta à quelques mètres, Amélie comprit tout de suite que c’était le bon avant que l’homme descende côté passager. Il jeta un coup d’œil circulaire et s’arrêta sur les deux jeunes filles qui s’approchaient de lui. Il était grand et baraqué, chauve, dans la quarantaine sûrement. Vêtu de noir, polo et pantalon de toile, il avait tout d’une brute avec ses yeux durs et sa bouche épaisse et cruelle.

— Alors vous êtes là ! C’est bien, il y a trop de gens qui s’excitent à jouer au grand frisson et qui se dégonflent. Lucie, c’est la blonde ?

— Oui, bonsoir ; moi c’est Amélie, que vous avez eu au téléphone hier.

L’homme jaugea Lucie puis Amélie, les déshabillant du regard sans vergogne.

— Tu es très belle, Amélie ; tu avais oublié de le dire hier. Tu viens aussi, bien sûr. Nous somme mardi, je te libérerai dimanche matin, si tu le souhaites encore du moins. D’ici là, tu vivras une expérience qui dépassera largement tes rêves les plus fous. Montez.

Amélie était complètement immobile, paralysée par le trac, l’esprit en pleine confusion. Elle était venue là pour accompagner Lucas et le remettre à cet homme, rien de plus. Et il la revendiquait, la couvant d’un regard glacé et mortel. Elle tenta de résister, bégayant presque.

— Je… Je n’ai rien prévu, je n’ai aucune affaire avec moi…

— Parce que tu crois que tu seras habillée chez moi ? Tu seras nue et tes orifices à disposition de tous les mâles. Monte.

Matée, Amélie baissa la tête et grimpa dans le van par la porte latérale. Lucie était déjà là, en attente. Les deux filles sursautèrent quand la porte se referma en claquant ; deux plafonniers s’allumèrent alors, éclairant violemment l’intérieur. Deux hommes étaient assis sur une petite banquette fixée au mur ; quand ils se levèrent, leurs têtes touchaient le plafond. Des armoires à glace à mi-chemin entre le catcheur et l’homme de main de mafieux. Amélie frissonna, se demandant dans quoi elle s’était fourvoyée.

— Bon, je vais descendre. Je vous laisse avec Lucie, prenez-en soin. Je rentre chez moi.

— Tu ne vas nulle part, connasse. Tu te mets à poil, pour commencer ; je veux juger de la marchandise. Et dépêche-toi, sinon mes amis vont devenir méchants, et ils adorent ça. Toi aussi, la blonde. Vous voyez le sac de jute, vous fourrez tous vos vêtements dedans, vous ne les reverrez pas de sitôt.

— Mais vous me libérez dimanche, hasarda Amélie. Vous avez promis…

— J’ai menti. Pour te faire monter dans le van. Allez, à poil sinon…

Dépitée, la rouquine se déshabilla rageusement, fourrant ses vêtements dans le sac. Lucie était déjà nue, tremblant de peur entre les deux gorilles. Ils sortirent des attaches rapides d’une mallette noire et lièrent ses poignets dans le dos, puis firent de même avec ses coudes, les joignant douloureusement.

— Vous me faites mal, s’il vous plaît.

— Ouvre la bouche, voilà.

Un gros bâillon boule déforma la bouche de Lucie qui se le tint pour dit. Le van roulait lentement, mais des secousses faisaient ballotter les testicules distendus par le poids, ce qui arrachait des larmes de douleur à la blonde. Pendant ce temps, Amélie connaissait le même sort, complété d’attouchements pervers. Puis les deux cousines furent couchées sur le plancher du van et leurs chevilles attachées. Dès lors, les trois hommes se désintéressèrent d’elles et s’assirent en silence. La lumière s’éteignit, plongeant l’habitacle dans la pénombre.

Le trajet dura longtemps, plus d’une heure selon Lucie. Elle comprit qu’ils approchaient du terminus quand le bruit des plneus lui apprit que le van roulait sur un chemin non goudronné, gravillonné sûrement. En effet, le véhicule stoppa peu après et le moteur s’éteignit. Les hommes se levèrent et ouvrirent la porte latérale sur une nuit noire. L’un d’eux coupa les liens des chevilles et releva facilement les deux filles.

— Tout le monde dehors, lança le patron. Nous somme arrivés, bienvenus dans mon manoir. Vous verrez, nous serons au calme pour ce qui vous attend.

Lucie avança, poussée par un des colosses, gémissant à cause du gravier qui agressait ses plantes de pieds et de la souffrance dans ses testicules distendus. Elle aperçut un bâtiment lourd dans la nuit ; sûrement un vieux corps de ferme. Un homme ouvrit une porte de service et invita Lucie à entrer. Craintive, elle obéit, soulagée de se retrouver sur du carrelage, suivant toujours son guide, elle traversa ce qui s’avéra être un simple sas et entra dans la pièce suivante. De prime abord éblouie par la vive lumière soudaine, elle promena son regard autour d’elle. Elle était dans une sorte de laboratoire à la propreté clinique. Un fauteuil gynécologique et une table de kiné trônaient d’un côté, une paillasse de labo de l’autre, avec réfrigérateur et congélateur.

— Lucie, sur le fauteuil. Tu vas recevoir tes premières injections, ordonna le chef.

Toujours bâillonnée, Lucie opina, incapable qu’elle était de s’opposer à la volonté de cet homme. Celui-ci ouvrit le frigo et sortit plusieurs tubes de plastique pleins d’un liquide incolore. Il emplit une seringue et s’approcha de Lucie qui tremblait comme une feuille.

— Tu n’as rien à craindre, ce n’est pas douloureux. C’est un concentré d’hormones féminines ; tu auras deux injections par jours, résultat rapide garanti. D’ici une semaine tes seins auront gonflé, tes hanches se seront arrondies ; ta voix changera aussi, deviendra moins mâle. Et tes organes visibles, déjà pas très flatteurs, vont diminuer de taille. Mais il faut attendre un mois pour avoir de bons résultats. Si tu réagis bien, tes seins deviendront plus gros que ceux de ton amie actuellement.

Il se tourna vers celle-ci après avoir procédé à la première injection.

— Toi aussi, tu auras ton traitement de cheval, ne t’inquiètes pas. Un ami cherche une pony-girl si possible rousse, il est prêt à payer un bon prix. Tu vas être épilée définitivement, percée, annelée et tatouée. Un cocktail d’hormones provoquera un accroissement important de ta poitrine, d’ici un mois tu produiras du lait. Et après un entraînement physique intensif, je te vendrai aux enchères.

Amélie tenta en vain de protester, incapable de s’exprimer du fait du bâillon, mais son sort était scellé. Elle était tombée dans le piège.

 

CHAPITRE 9

 

En se réveillant, ce matin-là, Lucie calcula qu’un mois avait dû passer depuis son arrivée au manoir. Il soupira, les yeux ouverts dans le noir total de sa cellule. Pas question de bouger, il était enchaîné ; une courte chaîne reliait son collier d’acier à un anneau scellé dans le mur derrière lui, une autre maintenait ses poignets dans son dos. Sa vessie était pleine, mais il ne risquait pas de se soulager avec la sonde urinaire qu’il portait en permanence. Sa poitrine était douloureuse, comme tous les matins depuis une semaine.

Le traitement hormonal lui avait si bien réussi que ses mamelles avaient commencé à produire du lait. Ce matin, la tension dans sa poitrine toute neuve était éprouvante.

Lucie entendit alors le bruit des verrous puis la clé dans la serrure ; la lourde porte s’ouvrit en grinçant et la lumière vive des allogènes l’obligea à fermer les yeux. Ils étaient deux ce matin, l’un détacha la chaîne de son collier alors que l’autre frappait ses cuisses de trois violents coups de cravache. Sans réfléchir, Lucie se laissa glisser sur le sol terreux et ouvrit la bouche.

— Bien, salope. Réjouis-toi, tu vas avoir double ration de petit déjeuner, ce matin. Allez, suce bien.

Sachant ce qui se passait quand un de ses gardiens n’était pas satisfait de lui, Lucie s’appliqua, pompant la bite épaisse et la cajolant de la langue. Si la verge était large, elle n’était pas très longue et Lucie arrivait à la prendre jusqu’à appuyer son nez contre le ventre sec de l’homme. Sous la fellation vigoureuse, il jouit rapidement et Lucie déglutit avant de nettoyer soigneusement le sexe encore raide.

— Bien, petite pute. Tu t’es beaucoup améliorée depuis un mois. À mon copain maintenant.

Après avoir soulagé le deuxième gardien, Lucie fut conduite au coin douche. Le rituel était identique : extraction de la sonde urinaire permettant à l’ex étudiant de se vider, nettoyage au jet par un garde, à l’eau froide bien sûr, savonnage au lave-pont et savon industriel, rinçage au tuyau pour finir.

Puis Lucie fut conduite en salle de sport. Une jolie brune athlétique la prit en charge, comme tous les matins, pour deux heures de gym, vélo elliptique, rameur. Depuis son arrivée, Lucie n’avait pas perdu de poids mais les masses s’étaient déplacées et sa ligne affinée. Sans parler de sa poitrine, bien sûr, ses courbes s’étaient arrondies. L’épilation intégrale de son corps donnait une impression de vulnérabilité, renforcée par son petit gabarit.

Après une nouvelle douche, à l’eau presque tiède cette fois, Lucie savait qu’elle était présentée au Maître. Celui-ci l’attendait toujours dans le même salon ; dès son entrée, Lucie s’agenouilla les genoux à l’équerre et les mains croisées dans le dos. Elle baissa respectueusement la tête et fixa le sol devant elle.

— Voici donc ma jeune Lucie, une salope aux trous accueillants et au tempérament soumis.

— Bonjour, Maître.

— Tu es heureuse d’être ici ?

— Oui Maître.

— Tu es contente des transformations que tu as subies, de ta nouvelle poitrine ?

— Oui Maître ; mes tétons sont très douloureux, Maître.

— Toujours à te plaindre, décidément tu m’agaces. Tu recevras vingt coups de cravache pour t’apprendre à cesser tes jérémiades.

Lucie baissa encore plus la tête, les yeux remplis de larmes. Elle ne savait plus si elle devait remercier son maître ou simplement se taire. À tout hasard, elle se lança :

— Je vous remercie, Maître, de dresser votre esclave.

Heureusement, l’homme ne releva pas et continua de lire son journal financier. Puis il sonna et une femme entra. Lucie frémit car c’était la gouvernante du manoir, une personne brutale et sadique. Grande et au physique ingrat, elle la terrorisait non sans raison.

— Gertrud, je te confie Lucie. Punition de vingt coups de cravache. Elle est à toi jusqu’à 19 heures ; je la veux parée et maquillée dans le jardin d’hiver.

— Bien Monsieur. Corset, talons aiguilles, poids aux couilles, enchaînée ?

— Mmm… Pas de corset. Sa finesse naturelle suffit. Aujourd’hui, pas de traite, ses mamelles n’en seront que plus belles et lourdes.

— Elle va avoir mal, Monsieur, releva Gertrud avec un sourire mauvais.

— C’est mon dernier souci. Et mets-lui le ball stretcher le plus lourd qu’on ait, c’est son jour de gloire aujourd’hui.

— Celui de deux kilos ? Putain, elle va morfler, elle n’a jamais eu un truc aussi lourd. J’ai hâte de voir ça. Allez, suis-moi, petite chienne.

— Et n’oublie pas la sonde dans sa petite bite.

Un peu avant 19 heures, Gertrud arriva dans le jardin d’hiver, une grande véranda dans laquelle trônaient deux palmiers et de nombreuses plantes méridionales. Trottinant derrière elle, juchée sur des escarpins de cuir noir verni, Lucie progressait de son mieux, les poignets menottés dans le dos. Le poids trop lourd torturait ses petites couilles violacées qui pendaient entre les cuisses menues. Au-dessus, sa minuscule verge semblait plus épaisse que longue, dressée à l’horizontale. La sonde avait eu du mal à pénétrer, c’était un tube souple de quinze millimètres de diamètre. Il pénétrait la vessie dans laquelle un ballon était alors gonflé, interdisant tout retrait.

Un gros anneau d’acier perçait le gland, une laisse y était accrochée et Gertrud tirait impitoyablement Lucie sans se soucier de ses difficultés pour marcher à la même vitesse qu’elle.

Une vingtaine de personnes attendaient, discutant en petits groupes tout en buvant du champagne dans des coupes de cristal. Gertrud s’arrêta devant le maître des lieux et tendit la laisse à celui-ci avant de s’éclipser sur une courbette respectueuse.

— Tu es superbe, ma belle Lucie, dit le Maître.. Je pense que de nombreuses personnes seront intéressées ce soir. Tu vas me quitter, j’en suis désolé, mais je suis sûr que tu seras heureuse là où tu seras.

Lucie frémit et commença à pleurer, car elle s’était attachée à son maître. Pourtant elle savait que son sort était décidé depuis bien longtemps. Elle fut surprise en apercevant une jolie jeune femme nue à côté du Maître, une grande rousse menottée comme elle et bâillonnée avec une grosse boule de plastique noir. Elle reconnut aussitôt Amélie, bien sûr, qui allait sûrement partir elle aussi. Le Maître la plaça juste à côté de sa cousine.

— Vous voici réunis probablement pour la dernière fois. Chacune de vous a été dressée en fonction de ses capacités. Amélie comme pony-girl, ce qu’elle a appris à aimer ; Lucie comme esclave sexuelle, ce qu’elle est profondément.

Sentant le moment arrivé, les invités se regroupèrent d’un côté et firent silence. Le Maître commença immédiatement :

— Merci à tous et toutes d’être chez moi ce soir. Ces deux jeunes femmes vont me quitter. Nous commençons par Amélie, une superbe rousse de vingt ans. Étudiante toulousaine, un mètre soixante-dix-sept, soixante-six kilos. Sportive, elle fera une excellente pony-girl. Cependant, sachez qu’elle est particulièrement rétive, même après un mois de dressage. Il lui faut donc un maître ou une maîtresse très ferme. Il n’est pas question de la vendre, nous ne sommes pas des esclavagistes. Nous demandons seulement le remboursement des frais de séjour dans notre hôtel, ainsi que des soins reçus par notre étudiante, soit à peu près 100 000 €.

Après dix minutes d’âpres discussions, un couple ibérique d’âge moyen accepta de recevoir Amélie dans son ascienda au Mexique ; la femme vint mettre une laisse à maillons d’acier au collier de la belle rouquine et lui lança dans un français parfait :

— Tu es rétive, c’est très bien. Mon mari et moi adorons dresser les .

— Et maintenant, voici Lucie, en pleine féminisation ; splendide blonde de dix-huit ans, étudiante, un mètre soixante-cinq, cinquante-cinq kilos. Elle suit un traitement hormonal depuis un mois seulement avec grand succès, au point de produire du lait. Comme vous le voyez, elle possède encore ses attributs virils qui ne lui servent plus que comme décoration. Très douce, très soumise, elle fera le bonheur de son maître. Les frais encourrus, pension et surtout traîtement médical, arrivent à 150 000 €

Là aussi, les discussions entre les invités furent animées. Finalement, le mandataire d’un cheikh d’Arabie Saoudite emporta l’adhésion de tous ; il s’approcha de la petite Lucie qui n’en menait pas large.

— Dès notre retour, tu seras marquée et percée. Mais avant, tu seras débarrassée de tes misérables testicules qui ne servent à rien. Ensuite tu commenceras ta nouvelle vie d’esclave sexuelle au service de ton maître et de tous ceux à qui il t’offrira. Et il reçoit beaucoup d’invités dans son palais, crois-moi.
 

                                                                                                        FIN

HISTOIRE COQUINE: LUCAS CHEZ SA COUSINE (CHAPITRE 1 A 4)

Aujourd'hui une petite histoire provenant du site "Histoire erotique" et écrite par Matt Demon.


                                         LUCAS CHEZ SA COUSINE


CHAPITRE 1

 

Lucas soupira en rangeant soigneusement les vêtements et les dessous de sa cousine dans l’armoire de la chambre. Il s’était appliqué car elle vérifierait : elle était pointilleuse sur son travail et le punissait si elle n’était pas satisfaite. La cohabitation avec Amélie ne se passait pas du tout comme il pensait, sa jolie cousine se comportait avec lui en despote. Elle commandait et il obéissait. Elle lui avait mis le marché en mains dès le premier jour, un mois plus tôt.

Il était arrivé à pied de la gare Matabiau, son grand sac de sport porté en bandoulière. Sa cousine l’attendait dans son petit appartement rue des Trois Piliers ; elle lui ouvrit en affichant un air maussade dont il ne tint pas compte. Il l’embrassa sur les joues en guise de bonjour et posa son sac sur le vieux carrelage.

Amélie, presque deux ans de plus que lui, était une rouquine à la peau laiteuse, au joli visage parsemé de taches de rousseur. Élancée et sportive, elle affichait cependant des courbes somptueuses. À son arrivée, simplement vêtue d’un corsaire et d’un tee-shirt ample, elle croisa les bras sous sa poitrine bien pleine.

— Lulu, tu es bien gentil, mais tu es ici seulement parce que maman me l’a demandé. Et j’espère que tu trouveras vite quelque chose ailleurs et que tu débarrasseras le plancher. En attendant, puisque tu es là, tu vas te taper les corvées ménagères.

— Oui, si tu veux ; ça ne me dérange pas. Je sais bien que je te prive un peu de liberté, je te prie de m’excuser.

— D’accord, mais n’oublie jamais, je donne les ordres et tu obéis, tu la fermes quand je parle, tu écoutes et tu demandes la permission pour t’exprimer.

Abasourdi, Lucas regarda sa cousine et comprit qu’elle ne plaisantait pas. Il tenta néanmoins de désamorcer la situation:

— Et tu me donneras la fessée si je désobéis ?

— Exactement, et crois-moi, tu ne vas pas aimer, parce que en plus des mains j’utiliserai des ceintures en cuir, un martinet, une canne…

— Tu… Tu es sérieuse ?

— Tu veux parier ? C’est ça ou tu te casses, je dirai à ma mère que tu n’es pas venu.

— Je ne peux pas partir, tu le sais.

— Alors tu sais ce qui t’attend. Mon rêve, c’était d’être en coloc’ avec un type baraqué genre rugbyman, pas avec un ado maigrichon qui a oublié de grandir.

Lucas rougit violemment ; il était complexé par sa petite taille, à peine un mètre soixante-cinq. Il avait dix-huit ans mais ressemblait à un ado gracile avec ses cinquante kilos tout mouillé. Un gringalet au visage d’ange encadré de longs cheveux blonds qui tombaient jusqu’aux épaules et lui conféraient une allure androgyne très loin du rugbyman fantasmé par Amélie.

— Désolé, Amélie, mais je n’y peux rien, c’est génétique ; tu connaissais maman, elle était petite et menue. Et mon père, quel qu’il soit, ne devait pas être un géant non plus.

— Tout ça, je m’en fiche. Tes affaires, tu les laisseras dans ton sac ; et tu dormiras dans le clic-clac, je me réserve la chambre. Tu n’as que ça comme vêtements ?

— Ben tu sais, je suis pas exactement le plus aisé dans la famille. Oui, je n’ai que ça.

— D’accord. Ici, pas de chaussures, donc tu te déchausses en entrant. Tu te changes et tu me rejoins dans la chambre.

— Heu… Je me change ?

— Tu vas pas rester comme ça, habillé pour sortir, non ? Alors tu t’habilles léger, tee-shirt et culotte, ça suffit.

— Mais, hasarda le jeune homme.

— Tu t’habilles comme j’ai dit, sinon tu vas recevoir ta première fessée.

Dix minutes plus tard Lucas, portant juste un tee-shirt sur son slip, entrait dans la chambre. Amélie lisait, allongée sur le lit, vêtue d’un débardeur noir sur une fine culotte blanche. Au travers de laquelle Lucas distinguait nettement le mont-de-Vénus couvert de poils roux et la fente du sexe.

— Dis donc, tu pourrais taper avant d’entrer, non ? Et demander la permission !

— Pardon, j’ai cru…

— Tu l’as cherché, tu vas l’avoir ta fessée ! Allez, enlève ton slip !

— Mais…

— C’est ça ou tu te casses, et choisis vite.

Lucas baissa la tête, sentant les larmes monter à ses yeux. En rougissant, il fit glisser son slip sur ses cuisses fuselées. Il chercha ou le poser avant de le laisser choir puis avança de deux pas timides.

— Attends, enlève aussi le haut, que je vois comment tu es foutu.

Déglutissant difficilement, Lucas obéit et se retrouva nu devant sa cousine qui scrutait son corps mince.

— Tu es bien foutu, dans le genre. Pas beaucoup de poils… Tu t’épiles ?

— Non, ils ne poussent pas beaucoup, c’est tout.

— Une bite de garçonnet, de toutes petites couilles, faible pilosité. J’en étais sûre. Il te manque plus que de la poitrine pour te travestir. Tu serais vraiment mignon en fille.

— Mais… Je n’ai pas envie de me travestir ! protesta le jeune homme.

— Je te demande pas ton avis ! Allez, sur mes genoux le cul en l’air !

Maté, Lucas obéit en suppliant sa cousine du regard ; inflexible, elle claqua fort du plat de la main sur les fesses musclées et bien rondes du garçon.

— Aïe ! Tu fais mal !

— C’est le but, figure-toi ! Tu as un joli cul, dis donc. Tu fais du sport ?

— Aïe ! Je faisais de la danse, de la gym. Maintenant je fais plus que du footing. Aïe, doucement, s’il te plaît !

— Encore dix si tu te tais, sinon c’est vingt de plus !

Amélie fut satisfaite car Lucas se le tint pour dit et il encaissa les dix coups sans plus protester. Il se releva enfin, le visage rouge. Il bandait, sa verge rose était petite, le gland circoncis luisait ; et il pleurait, de grosses larmes coulaient sur ses joues. Ce qui ravit sa cousine.

— Tu bandes, petit salaud ! Tu as vraiment une mignonne petite bite. Approche…

Inquiet, Lucas s’avança à pas prudents ; sa cousine empoigna la verge tendue et la caressa, le jeune homme gémit.

— Tais-toi, je ne veux pas t’entendre ! Tu vas jouir dans ma main, profites-en, ce sera pas souvent.

En quelques mouvements, la jeune femme précipita la jouissance de Lucas qui poussa un cri étranglé en se vidant dans la main gauche de sa cousine. Elle la lui présenta aussitôt, paume vers le haut.

— Mon cochon, tu en avais besoin, tu t’es bien soulagé. Lèche !

— Mais…

— Lèche, ou je te pèle le cul à coups de ceinturon.

Surmontant sa répugnance instinctive, Lucas se baissa ; les lèvres à quelques centimètres de sa semence il leva les yeux sur Amélie qui resta inflexible. Alors il commença à lécher et laper son sperme encore tiède qu’il avala. Fade, salé, pas génial. Puis il se redressa, humilié, et cacha ses attributs de ses mains.

— Tu remets ton tee-shirt, pas besoin de sous-vêtement. Je veux voir ta bite ridicule qui pendouille. Tu es puceau, j’imagine.

— Oui.

— Et tu as déjà sucé des bites ?

 

CHAPITRE 2

 

Horrifié, Lucas grimaça.

— Non, je ne suis pas gay !

— Dommage, tu as une jolie bouche, je la vois bien avec une grosse bite enfoncée dedans. Et je suis sûre que tu aimerais ça.

Amélie avait préparé une salade composée qu’ils mangèrent assis face à face. Lucas avait du mal à s’habituer à sa quasi-nudité comme à la vision de la poitrine volumineuse de sa cousine.

— Tu as cours demain ? demanda Amélie.

— Juste la prérentrée, je pense. Toi aussi ?

— Non, moi c’est après-demain. Je vais en profiter pour trier tes vêtements. Quand tu reviendras nous irons chercher des tenues plus adaptées, il y a des friperies pas loin.

— Mais pourquoi…

— Tu verras.

Lucas dormit comme un loir malgré ses craintes quant à ce que lui réservait sa cousine. À la fac de Droit, il prit connaissance de son emploi du temps dans un amphi archi-bondé. Il revint ensuite à l’appartement où sa cousine l’attendait ; dès l’entrée le blondinet enleva ses chaussures puis son pull et son jean.

— Bien ; ton slip est pourri, nous en trouverons des mieux tout-à-l’heure. À table, puis tu feras la vaisselle.

Une heure plus tard, ils entraient dans une première friperie. D’autorité, Amélie commença à fouiller dans les robes sous le regard interloqué de Lucas.

— Tu t’attendais à quoi ? expliqua-t-elle. À des costumes trois pièces ? Tu porteras des petites robes sexy ras le cul. Et des escarpins à talon haut, tu verras, c’est l’enfer pour marcher, mais tu gagneras dix centimètres. Allez, tu viens ? Tu vas essayer ces quatre robes, je t’ai pris du S.

Toute honte bue, Lucas accompagna donc sa cousine dans une cabine d’essayage. Il se déshabilla et enfila tout à tour les robes ; Amélie les arrangea et fit sortir à chaque fois son cousin de la cabine. Dire que Lucas fut surpris en se voyant dans un grand miroir serait au-dessous de la vérité : il se reconnut à peine dans cette blonde gauche et empruntée, mais terriblement sexy qui tournait devant elle.

— Bien sûr, tu n’as pas de talons encore, et pas de poitrine. Mais c’est un bon début, non ?

Sonné et choqué, Lucas ne put répondre ; il entra dans la cabine et tira le rideau, au bord de la syncope. C’était lui, dans le miroir ? Pas possible, il y avait un bug, un trucage… Le rideau s’ouvrit sur une Amélie furieuse :

— Tu fais quoi ? Sors de là… Putain t’es tout pâle ! Tu vas pas t’évanouir, quand même ! Remue ton petit cul ! E garde cette robe, bon sang !

Et elle fonça vers les chaussures dame, suivie par un Lucas flottant dans le brouillard, vaguement gêné de croiser des gens (surtout des étudiants) alors qu’il portait une robe. Et pas n’importe laquelle : une minirobe rouge qui moulait son corps au plus près. Le jeune homme essaya donc des escarpins pour la première fois de sa vie : il chaussait du 39 et avait du mal à marcher dès que le talon dépassait cinq centimètres. Bien sûr Amélie n’en tint aucunement compte, elle choisit deux paires d’escarpins en cuir à talons de dix centimètres.

— Bon, c’est parfait, tu pourrais même porter mes chaussures, on chausse pareil. Et pour les sous-vêtements ? On ne voit que ton affreux slip sous cette jolie robe. Et ici, il n’y a pas grand-chose. Aux grands mots les grands remèdes, direction le Sexy Center ; il faut y aller la voiture, c’est à Quint dans une zone paumée. Je paie et on se casse.

Lucas suivit donc sa cousine perverse en portant un grand sac en papier contenant deux robes choisies parmi les plus courtes. Amélie avait une place attitrée dans le parking souterrain de la Place Arnaud Bernard, non loin de son appart. Un grand box où elle garait sa Fiat 500 toute neuve. Juste avant de faire monter un Lucas grimaçant à cause des talons hauts qui meurtrissaient ses pieds et rendaient sa démarche incertaine, la rouquine lui lança :

— Avant de monter, tu enlèves ton putain de slip et tu le fourres dans le coffre, il gâche tout !

— Mais… La robe est trop courte…

— Tu viens de gagner une punition, dix coups de ceinture en cuir. Ne me fais pas attendre.

Tête baissée, les oreilles brûlantes de honte, Lucas fit glisser son sous-vêtement sur ses jambes nues et le déposa dans le coffre. Assis dans la voiture, il tira nerveusement sur l’ourlet de sa robe pour masquer au mieux son sexe. Et quand il sortit de la voiture sur le petit parking du Sexy Center, il recommença sous le regard excédé de sa cousine.

— Tu arrives, oui ? Je te rappelle qu’ici, c’est un sex-shop embourgeoisé, les clients sont habitués à déambuler en petite tenue.

Il n’empêche que le jeune homme n’en menait pas large en entrant dans le magasin. Amélie ne connaissait manifestement pas trop bien les lieux, car elle demanda à un vendeur de la guider.

— Bonjour, c’est pour mon ami, nous cherchons des culottes sexy pour porter sous sa robe.

— Bonjour mesdemoiselles, je vais vous montrer des strings absolument invisibles, couleur chair.

— C’est que, cette jeune personne est un garçon, vous voyez, expliqua Amélie, faisant rougir Lucas qui baissa la tête.

— Ah ! Compliment, je ne m’en étais pas rendu compte. Effectivement, alors j’ai des modèles de strings en mailles qui devraient aller parfaitement. Seulement la maille est ajourée et, bien évidemment, elle masque peu les attributs sexuels.

— C’est parfait, c’est ce que nous cherchons. Vous avez des soutien-gorges rembourrés ?

— Ça existe, mais sur commande uniquement. Mais je peux vous proposer des poches silicone à glisser dans les bonnets.

— Ah ? Très bien, Lucie va essayer, n’est-ce pas ?

Lucas, déstabilisé par l’usage de son prénom féminisé, déglutit nerveusement et hocha la tête, submergé par la honte. Dans une cabine il enleva sa robe, enfila un string rose en mailles style filet de pêche puis un soutien-gorge extensible en lycra. Amélie le fit sortir ainsi devant le vendeur et quelques couples qui déambulaient dans les rayons, elle glissa elle-même des poches de silicone dans les bonnets. Ensuite seulement elle autorisa le jeune homme à remettre sa petite robe.

— Il est pas mal, non ? s’enquit l’étudiante.

— Il est époustouflant, vraiment.

— Il faut revoir sa coiffure, évidemment, le maquiller aussi...

— Peut-être l’épiler, quand même, suggéra le vendeur. Définitivement tant qu’à faire.

— Oui, on verra, mais ce n’est pas urgent, ses jambes sont déjà bien.

— Des bas ? proposa l’aimable vendeur.

— Bonne idée, des bas résille qui fassent pute ; vous avez ça où ?

— Avec sa robe rouge, ces noirs seront bien, montra le vendeur qui observait Lucas. Essayez cette paire, ils sont autofixants. Je reviens, je vais vous montrer quelque chose…

Le temps qu’un Lucas dépassé par les événements glisse les bas sur ses jambes et remette ses escarpins, l’homme revenait avec quatre boîtes.

— Regardez ces rosebuds, ils sont superbes, non ?

Faisant la moue, Amélie les examina l’un après l’autre devant un Lucas interloqué qui se demandait l’usage de ces petits œufs de métal chromé.

— Ils sont petits, non ? Objecta-t-elle. Vous devez avoir des modèles plus gros, je pense.

— Bien sûr, il existe même sur commande des godes d’un diamètre qui nécessite une certaine expérience anale.

 

CHAPITRE 3

 

Lucas fut horrifié quand il comprit de quoi il retournait : Amélie envisageait de lui enfoncer cet œuf dans le fondement ! Il hésita un peu puis protesta d’une voix oppressée :

— Amélie, non, je n’ai pas envie de faire ça, je n’ai jamais…

— Bien sûr que tu n’as jamais ! le coupa-t-elle. Mais ce n’est pas une raison. Et puis tu n’as pas ton mot à dire, c’est comme ça. Tu auras droit à dix coups de plus toute à l’heure, pour ton attitude négative. Monsieur, montrez-nous ce que vous avez.

— Suivez-moi, dans ce cas. Voyez, notre rayon est vaste, mais nous avons aussi des articles sur catalogue. Mais pour un début, je pense que ceci irait bien…

Le vendeur montra un plug en métal plus gros que les premiers.

— Il est en acier inoxydable, d’un diamètre de trois centimètres, bien effilé et facile à placer, même pour un néophyte. Nous avons un lubrifiant adapté particulièrement efficace.

— Lucie, c’est à toi de choisir. Un plug de trois centimètres sans lubrifiant, ou un de quatre avec.

— Mais, je ne...

— Lucie, dix coups de ceinture en plus : ça doit faire trente maintenant. Si tu ne choisis pas d’ici tout de suite, c’est le quatre sans lubrifiant.

— Non, s’il te plaît. Avec lubrifiant, avec lubrifiant ! Le quatre alors.

Il était coincé, il le savait. Sa folle de cousine ne le lâcherait pas. Vaincu, il laissa le vendeur sélectionner une nouvelle boite et leur montrer son contenu, un œuf effilé en acier chromé qui lui parut bien menaçant. Instinctivement il serra les fesses, imaginant déjà ce truc lui forer les reins. S’il s’imaginait pouvoir partir de la boutique, il se trompait lourdement. Amélie lui sourit cruellement en prenant le tube de lubrifiant proposé par le commerçant.

— Vous devez avoir des toilettes ici, nous allons placer ce jouet dans son écrin naturel.

— Suivez-moi. Je peux assister ?

— Noon ! Pas ça.

— Tu n’as pas compris que ce n’est pas toi qui commandes ? Dix coups de plus !

— Mademoiselle, vous devriez prendre une cravache, ou un paddle. La ceinture, c’est bien mais pas très efficace, à moins d’y aller fort.

— Nous verrons une prochaine fois, merci. Je pense que c’est une bonne idée. Qu’en penses-tu, Lucie ?

— Tu as raison, répondit-il d’une voix étranglée, au bord des larmes.

— Si je puis me permettre, Lucie, vous devriez entrer seule dans les toilettes et vous soulager. Ensuite vous nous appelez et je vous guiderai pour insérer le plug.

Ainsi fut fait, et Lucas fit ensuite entrer sa cousine et le vendeur dans les toilettes, assez grandes car prévues pour handicapé. Résigné, il se tourna et baissa son string de mailles, exposant ses fesses.

— Seigneur, il a un cul superbe, admira l’homme. Écartez vos fesses, s’il vous plaît. Bien ; attention, c’est un peu froid…

Il versa adroitement du gel dans la raie offerte et l’étala d’un doigt, le faisant pénétrer dans l’orifice étroit, arrachant un petit cri à Lucas. Mais le doigt lubrifié s’enfonça sans coup férir jusqu’à la jointure. Ce que voyant, encouragé, l’homme inséra habilement un deuxième doigt joint au premier. Le jeune étudiant poussa un couinement étranglé, son corps frémit, mais il ne tenta pas de se soustraire aux attouchements.

— Il est certes serré, mais assez souple pour recevoir le plug. Je me retire, présentez la pointe et pesez. Vous, poussez comme pour aller à la selle. Bien, encore, forcez, augmentez la pression… Parfait ! Il est en place.

Lucas sortit du magasin tête baissée et les oreilles brûlantes, douloureusement conscient de l’œuf en métal, lourd et épais, qui emplissait son anus. Marchant vers la voiture de sa cousine en serrant les fesses, tenaillé par la peur de perdre le plug au vu et su de tout le monde, il en oubliait l’inconfort des talons hauts.

Assis dans la petite Fiat, Lucas avait l’impression que l’intrus le dilatait toujours plus ; il ne se décrispa qu’après plusieurs minutes. Amélie conduisait bien, attentive à la circulation dense de sortie de bureau. Il la regarda en coin, se racla la gorge avant de se décider.

— Pourquoi tu agis comme ça, Amélie. Je ne t’ai jamais fait de mal.

— Parce que j’aime ça. Et pas toi ? (elle jeta un regard sur son entrejambe) Tu bandes ?

— Non, biens sûr que non !

— Soulève ta robe, montre-moi… Allez, obéis, sinon...

À contrecœur il obtempéra, les yeux brillant de larmes de honte. Sa cousine ricana en constatant que sa bite était raide, clairement visible sous les mailles larges. Lucas se recouvrit rapidement, deux larmes coulant sur ses joues. Ils regagnèrent l’appartement en silence ; dans l’entrée, sa cousine lui fit ôter sa robe et le soutien-gorge. Lucas se retrouva donc juste vêtu de son string qui ne masquait rien de sa virilité dressée et de ses bas résille. Pieds nus, il mit la table, prépara une grande salade – fromage. Maussade, il s’assit en face d’Amélie et mangea en silence. Puis il lava la vaisselle pendant que sa cousine regardait la télé ; quand il eut fini, il s’approcha d’elle, les bras ballants.

— Alors, que penses-tu de ta journée ?

— Tu m’as humiliée comme jamais je ne l’avais été, j’ai cru mourir de honte.

— Tu sais ce que je vais faire avant de t’envoyer au lit ?

— Oh non, j’ai cru…

— Que j’avais oublié ? Aucune chance, j’ai une mémoire d’éléphant. Combien de coups ? Ne triche pas.

— Quarante, je crois. Mais tu ne vas pas faire ça, non ?

— Qu’en penses-tu ? Enlève ta jolie culotte, regarde, j’ai déjà la ceinture. Petit salaud, tu bandes encore ! Tu n’as pas honte ?

Oh si, Lucas avait honte, ses pommettes avaient délicieusement rosi. Malgré lui, son corps se soumettait et acceptait le joug de sa perverse cousine. Il se positionna le ventre sur les genoux serrés de la jeune fille qui brandit sa ceinture pliée en deux.

— Attention, tu comptes les coups, je ne veux pas t’entendre dire autre chose sinon je recommence à zéro. Compris ?

— Oui… Aïe ! Un… Deux… Trois...

Lucas égrenait le compte d’une voix de plus en plus aiguë, ses yeux se brouillant de larmes avant qu’il arrive à vingt. Les coups tombaient sur un rythme rapide, se croisant sur ses globes jumeaux et les marquant de boursouflures prenant une teinte violacée. À trente-cinq le pauvre garçon pleurait à chaudes larmes, mais il endura sans protester jusqu’à la fin, où Amélie le poussa à terre.

— Allez, debout, vite ! Les mains sur la tête ! Putain, ton cul est bien marqué, tu as eu ton compte. Tourne-toi… Et tu bandes encore, petit salaud. Va te mettre à genoux contre le mur, les mains croisées sur la nuque. Et cambre-toi, je veux voir le plug dans ton petit cul.

La jolie rousse se leva pour fouiller dans un carton plein de médicaments ; elle revint près de Lucas avec un gros tube blanc.

— Tu as de la chance que mes parents soient pharmaciens ! Bouge pas, je vais jouer au docteur. Là, je masse tout doucement pour faire pénétrer… Cambre-toi plus, écarte les cuisses que je puisse toucher tes petites couilles.

Lucas obéit, le front appuyé contre le mur pour masquer sa honte ; mais il bandait comme un malade, sa verge toute raide non loin de l’éjaculation. Il trembla quand une main fureteuse l’empoigna et la tira vers le bas.

— Tu ne vas pas jouir et salir le mur, non ? Je te le ferai lécher si tu fais ça, petit cochon ! Heureusement qu’il y a ta cousine chérie pour s’occuper de toi, non ? Pour caresser ta petite bite toute dure qui va cracher son jus

 

CHAPITRE 4

 

En hoquetant, Lucas se vida de plusieurs rasades de sperme gras. Il était incapable de résister aux attouchements d’Amélie qui ricana :

— Tu sais ce qu’il te reste à faire. Nettoie, vite !

À genoux, le jeune homme examina la semence qui coulait sur le mur et sur la plinthe. Il tira une langue prudente, hésitant à lécher cette substance qui lui semblait peu engageante. Puis il se décida avant d’être sermonné par sa cousine. Il traqua et aspira la moindre goutte de sperme, un peu écœuré plus par la consistance que par le goût.

— Bien, tu es une gentille fifille, se moqua Amélie. Maintenant, tu peux aller te laver avant de te coucher.

— Amélie, je peux… enlever le truc ?

— Tu l’enlèves pour aller aux toilettes, tu le laves puis tu le remets en place. Tu dormiras aussi bien avec que sans, non ? Ah, j’oubliais : interdiction de te masturber ! Pas question que tu jouisses sans mon accord. Bien compris ?

En fait Lucas dormit très mal cette nuit-là. La présence d’un intrus dans ses reins y était pour beaucoup. À chaque mouvement l’oeuf remuait en lui et entretenait une érection tenace. Au petit matin, le jeune homme ne put résister et empoigna son membre dressé qui gicla presque aussitôt dans sa paume. Et quand Amélie lui demanda s’il lui avait obéi, il rougit comme une pivoine avant d’avouer son pêché, tout penaud.

— Tu es incorrigible, Lucie. Je vais devoir te punir et prendre des mesures pour t’empêcher de recommencer ce soir, tu comprends ça ?

— Oui, je suis désolé, tu sais. Je n’arrivais pas à dormir et… Voilà ; c’est ma faute.

— Ce soir tu auras une nouvelle fessée. Je vais réfléchir pour te contraindre à rester chaste en mon absence.

Quand il revint de la fac de Droit, Lucas constata que sa cousine l’attendait de pied ferme.

— Enfin tu arrives ! Dépêche-toi de te changer, je t’ai préparé ta tenue. Tu as toujours le plug ?

— Non, je l’ai enlevé à midi… Il est dans mon sac.

— Tu exagères, tu tends le bâton pour te faire battre, à croire que tu aimes ça !

Lucas ne répondit pas et courba l’échine. Tête basse il se déshabilla entièrement devant sa cousine. Sur le canapé était posée sa tenue du jour : mini-robe noire et tanga blanc, plus le soutien-gorge avec ses deux coques. Sans rien dire, il passa les vêtements et lissa la robe sur ses cuisses.

— Le tanga m’appartient, alors prends-en soin. Tu n’as pas oublié quelque chose ?

— Heu… Non. Le plug ? Amélie, j’ai un peu mal, je pourrais peut-être… Bon, je vais le mettre.

— Lubrifie-le en le léchant, ça devrait suffire pour une petite salope comme toi ! ironisa la jolie rousse.

Encore une fois Lucas ne trouva rien à répondre, il sortit le sextoy et commença à le lécher. Sa cousine le lui fit prendre entièrement en bouche, indifférente aux larmes d’humiliation qui emplissaient les yeux suppliants du jeune étudiant. Lucas fut surpris de la facilité avec laquelle il put ensuite enfoncer l’objet ovoïde dans son fondement.

— Parfait ! Enfile tes talons hauts et suis-moi, on va s’encanailler ! Tiens, prends cette pochette, tu pourras y mettre tes papiers ; il est temps que tu apprennes à utiliser un sac à main !

Inquiet, Lucas suivit le mouvement, comme d’habitude. En voiture, Amélie prit la direction de l’Union, un bourg satellite au nord de Toulouse. Elle se gara sur le parking de l’Espace Libido, un grand magasin ressemblant beaucoup au Sexy Center de la veille.

— Je sais ce que tu penses, souligna-elle en fermant sa portière. Mais tu as tort, je ne suis jamais venue ici, je n’avais jamais fréquenté ces endroits avant de te connaître.

— Je n’ai rien dit, protesta Lucas, sincèrement surpris.

— Allez, avance ! Et arrête de tirer sur ta robe, on ne voit pas ta culotte. Tu es très joli habillée comme ça, tu sais !

— J’ai froid, oui !

— Chochotte, il ne fait pas froid ! Allez, entre, tu seras mieux dedans !

Le parking était presque vide, il y avait donc peu de monde dans la boutique étonnamment semblable à celle de la veille. Une vendeuse à la chevelure noire coupée au carré s’approcha aussitôt :

— Bonjour mesdemoiselles. Vous savez que l’entrée est interdite aux mineurs ?

— Pas de souci, répondit Amélie en souriant, charmeuse. J’ai vingt ans et Lucie juste dix-huit !

La vendeuse les jaugea rapidement puis hocha la tête.

— Bien, que puis-je pour vous ?

— Je cherche un accessoire pour empêcher Lucie de se masturber malgré mes ordres.

— Ah ! Cette jeune fille a la libido un peu trop forte ! Suivez-moi s’il vous plaît. Voyez, j’ai des articles en rayon et d’autres sur commande uniquement… Mademoiselle, non, de ce côté c’est pour les hommes.

— Je sais, mais Lucie n’est pas tout à fait ce que vous croyez...

La femme examina avec attention la petite blonde toute menue qui rougissait en baissant la tête et semblait prête à creuser un trou pour se cacher.

— Eh bien ! Je me suis fait avoir tellement son aspect est féminin ! Donc vous avez raison, nous avons plusieurs types de cages de chasteté… Je vous montre. Un anneau d’acier se ferme derrière le scrotum et une petite cage recourbée vers le bas enferme la verge. En général il existe trois tailles pour l’anneau, et pour la cage il y en a aussi de diverses longueurs.

— Le plus petit suffira pour Lucie, ironisa Amélie.

— Il y a aussi des options, poursuivit la vendeuse imperturbable. Avec prolongement en gode anal, avec sonde urinaire. Vous pouvez aussi y associer un ball stretcher.

— Heu… Expliquez-moi, s’il vous plaît, demanda la jeune rouquine. Pour la sonde et le ball machin.

— La sonde, c’est un tube en silicone ou acier chirurgical que se fixe au bout de la cage et s’enfonce plus ou moins profondément dans l’urètre. Le ball stretcher est un anneau de quelques centaines de grammes à plusieurs kilos qui se ferme au-dessus des testicules et étire leur sac vers le bas.

— Ah ! C’est marrant, ces trucs… Et ça se place facilement ?

— Pour la sonde, surtout si elle est longue, il faut prendre des précautions pour éviter les infections. Pour le ball stretcher non, c’est super simple à poser. J’ajouterai qu’il se ferme en général avec des vis et clés spéciales, le soumis ne peut donc les enlever seul. J’ai en tête ce modèle qui est évolutif, avec un gode en acier de quatre centimètres de diamètre et quinze de long, que vous pouvez remplacer par un autre plus conséquent. Sa cage en acier comporte des pointes à l’intérieur et est terriblement douloureuse en cas d’érection. Et au bout de la cage, une ouverture avec pas-de-vis pour fixer une sonde en acier de six millimètres de diamètre et six centimètres de long. Là aussi, d’autre sondes sont disponibles.

— Elle est un peu grosse, non ?

— Convenablement lubrifiée, elle rentre sans peine !

Une heure plus tard, Lucas sortit en pleurs de la boutique. Il marchait bizarrement, surtout à cause du poids qui distendait son scrotum ; et pourtant le ball stretcher ne pesait "que" deux-cents grammes. Le jeune homme s’assit dans la voiture et referma la portière avant d’éclater en sanglots. Sa cousine s’installa au volant et lui expliqua :

— Tu vois, c’est ta faute. Si tu ne t’étais pas masturbé cette nuit, tu ne porterais pas cet appareil.

— Je t’en supplie, pardonne-moi, je te promets de ne plus me caresser la nuit ! se lamenta-t-il. Mais enlève-moi ça, c’est lourd et ça fait trop mal !

— On verra, mais arrête de pleurnicher comme un bébé, sinon ce soir je te fouetterai jusqu’au sang !

Assis, la douleur devenait supportable, car le poids ne tirait plus sur ses testicules. À son désarroi, Lucas commença à bander et sa verge se retrouva à l’étroit, de surcroît les piques la blessaient de plus en plus. En pleurnichant, le jeune homme se tortillait sur son siège en tentant de faire baisser son impossible érection. Bien sûr, sa cousine s’en aperçut et ricana.


                                                                                                ( A SUIVRE)

vendredi 26 octobre 2018

CAPTION (664)

La petite caption du jour en 3 parties.


PARTIE 1
 
 
PARTIE 2

 
PARTIE 3

mercredi 24 octobre 2018

LA PUNITION DE QUENTIN (PARTIE 23)

Et une nouvelle partie des mésaventures de cette pauvre Cathy....


PARTIE 23
 

mardi 23 octobre 2018

CAPTION (663)

Et la petite caption du jour en 3 parties.


PARTIE 1
 
 
PARTIE 2

 
PARTIE 3

lundi 22 octobre 2018

VOYAGE DANS LE TEMPS... PARTIE 2

Pas de nouveauté ce jour, mais des anciennes captions de mes yahoo groupes. Les vraies nouveautés reviennent tres vite c'est promis.