Nous
avons grandi, elle a eu des copains puis des amants. Mon amour est
devenu profonde amitié. Et je m’inquiétais de ne pas être plus attiré
par les femmes (Les autres mecs ne semblaient parler que de ça, ne
penser qu’à ça.). Je les trouvais belles sans les désirer. Mes fantasmes
et tristes masturbations n’avaient pour support que l’idée de lécher
Clémence. J’ai commencé à me poser des questions sur mes attirances.
Pourtant les beaux mecs ne semblaient pas m’exciter. Je me rendis peu à
peu compte que les vieux, un peu bedonnants, un peu chauves mais un peu
autoritaires aussi me faisaient de l’effet. Je n’osais creuser dans
cette direction... Mais au fil des années, poussé par la frustration
j’ai commencé à le faire. Des vidéos sur le net m’excitaient fort. On y
voyait un homme mûr, viril, utiliser un gringalet comme moi. Je sentais
leur désir de ce corps chétif et soumis. Et cela m’excitait... Je me
voyais plié à la volonté de ces hommes. Mon corps frêle dominé et écrasé
par leurs corps massifs dans des étreintes puissantes et subies.
C’était encore plus excitant quand c’était une transsexuelle qui
subissait les assauts de ces hommes. J’ai commencé à fantasmer sur ces
hommes, sur l’idée d’être leur jouet. Et d’être moi même plus femme.
Même si je considérais ça comme un simple fantasme... Il m’a fallu
presque deux ans de fantasme pour caresser l’idée d’aller dans un sauna
gay. Il en existe un dans ma ville, fréquenté essentiellement par des
hommes mûrs.
J’en ai
franchi la porte, tremblant, le cœur au bord de l’explosion, le
lendemain de mes 24 ans. Une douche et je courus m’enfermer dans le
hammam vide. Quelques minutes plus tard un homme est entré, la
cinquantaine, rond. Il m’a souri et s’est installé. Il a engagé la
conversation, s’est ensuite rapproché de moi. Je sentais son envie de
moi. Pour la première fois on me désirait. Je voulais fuir et rester.
J’étais pétrifié. Il l’a remarqué, amusé. Notre conversation a ressemblé
à ça:
"-Première fois dans un sauna?"
-Euh... première fois tout court...
-Sérieux? Beau comme tu es? N’aies pas peur. détends toi."
Sa
main s’est posé sur ma cuisse, commençant de douces caresses. Elles ont
duré un moment, se précisant peu à peu. Puis il prit ma main et la posa
sur sa cuisse. Je commençais quelques caresses maladroites, si heureux
de sentir une autre peau. Son sexe se mit à gonfler et j’en effleurais
le gland par inadvertance.
"Viens!"
Il
prit ma main et je le suivis. Nous descendîmes par l’escalier en
colimaçon jusque dans un dédale obscur. Quand mes yeux se furent
accoutumés, je découvris que plusieurs cabines parsemaient les couloirs.
Dans certaines des hommes attendaient, nous regardant passer. Nous en
trouvâmes une vide et mon futur amant m’y poussa doucement. Il ferma la
porte et me fit signe de m’allonger sur le matelas. Il m’y rejoignit,
reprenant ses caresses, plus appuyées maintenant. Je tremblais, voulant
fuir et rester. Puis il m’embrassa, prenant possession de ma bouche,
forçant mes lèvres. Il était devenu beaucoup plus directif. Ses gestes
étaient autoritaires. Sa main prit la mienne et la referma sur son sexe.
Je crus en défaillir de bonheur. Cette colonne chaude, ferme et
vibrante dans ma main me transportait. Je commençais quelques va et
vients.
"-C’est comme ça que tu te branles? Et ben, t’es pas doué. Voyons voir si tu suces mieux."
Et il poussa ma tête vers son sexe. Je n’osais refuser et posais mes lèvres sur son gland.
"-Et que je ne sentes pas tes dents salope!"
"Salope?" le mot me fit tressaillir. J’eus honte de m’avouer que cela m’excitait. Et que j’espérais en être digne.
J’ai
ouvert la bouche et pris en moi son sexe chaud. Quelle sensation
incroyable! Ceux qui ont connu cette première fois savent de quoi je
parle. Je faisais attention à ne pas le blesser avec mes dents mais cela
arriva une fois. Immédiatement sanctionné par une claque phénoménale
sur mes fesses. Je fis attention tout en envisageant de recommencer pour
sentir la morsure de sa main à nouveau. Je léchais sa queue, de haut en
bas, ses couilles gonflées, son gland, son frein puis reprenait toute
sa queue dans ma bouche. J’adorais ce moment. Il se retira brutalement.
"-Je ne veux pas jouir dans ta bouche.
-Pourquoi?
-T’es
vraiment une petite conne. Ne laisse jamais jouir un homme dans ta
bouche si tu ne le connais pas. Le VIH, ça te dit quelque chose, débile?
Et puis je veux autre chose.
-Autre chose?
-Oui. Tu es femelle, absolument femelle. Mais tu ne le sais pas encore. Je vais te prendre, te sauter, te baiser, te défoncer.
-Non! je ne suis pas prêt pour ça!"
Il m’empoigna et me dit:
-Dis donc, tu crois que tu peux m’allumer comme ça et te refuser ensuite? tu rêves petite pute!"
Son
poids m’écrasa. Collé sur le ventre contre le matelas, je ne pouvais
bouger. Et ne le voulais pas vraiment. Je sentis sa main descendre entre
mes fesses et une sensation de froid humide envahir mon petit trou.
Puis un doigt s’insérer... puis deux... puis trois et je voulus sa
queue! Qu’il me baise, me déchire, me pilonne. Qu’il me prenne!
-"Dis le !"
-S’il te plaît défonce moi! Baise moi!"
Sa
queue encapuchonnée se posa sur mon trou et il commença à peser de son
poids, m’écartant et m’écrasant. son gland est entré et j’ai su que je
voudrais ça toute ma vie. moi écrasé et pris par un mâle. il a poussé,
est entré. Ça faisait mal et tant mieux! j’ai senti son ventre contre
mes fesses, il était totalement en moi, ses mains agrippant mes hanches.
Je geignait de bonheur.
"Je savais que tu aimerais ça. remue ta chatte salope!"
J’ai
commencé à m’empaler sur sa queue avant qu’il ne m’agrippe plus fort et
n’imprime lui même le mouvement. Il me claquait les fesses sans retenue
et j’aimais cette douleur si excitante. Il m’a baisé pendant un long
moment, me traitant de pute, de salope, de petite chienne accro à la
queue, avant de sortir de moi pour se vider dans mon dos dans une
exquise brûlure liquide.
"Je
crois que tu viens de comprendre où est ta place. Et je crois que toi et
moi n’en avons pas fini chérie. Je m’appelle Marc au fait."
il m’embrassa et disparut.
15 minutes après, Pas vraiment remis de mes émotions, je quittais le sauna. Tellement différent du moment où j’y étais entré.
Le soir même je ne résistais pas à l’envie de tout raconter à Clémence.
"-Et ça t’étonne? Écoute Manu, c’était évident, non? T’es ma meilleure copine depuis toujours!"
oooOOooo
oooOOooo
Après cette merveilleuse première fois, je me branlais souvent en y repensant mais n’osait pas encore retourner au sauna.
Néanmoins,
rapidement frustré par la masturbation, je finis par y aller à nouveau.
Deux fois j’y entrais, tremblant de retrouver Marc. Mais il n’y était
pas. Je connu donc d’autres amants. Le premier fut doux, gentil. Mais
finalement trop doux. J’aimais sa queue en moi mais il me manqua la
poigne, les mots, la virilité puissante de mon premier amant. La
deuxième fois, ils furent deux. Deux copains, venus ensemble "chasser la
salope" comme ils me dirent. Je me sentis délicieusement proie. Ils
étaient sans finesse et ne m’excitaient individuellement pas autant que
Marc mais le fait qu’ils soient deux, que j’en suce un tout en me
faisant prendre par l’autre tandis qu’ils échangeaient des commentaires
vulgaires sur la pute que j’étais m’excita fort. Tout comme leur double
éjaculation sur mon visage que je dus me retenir de ne pas lécher.
La troisième fois quand je franchis la porte, le patron du sauna me tendit une petite enveloppe. Elle contenait un mot de Marc.
"Petite pute,
Je
sais que tu es venuE te faire baiser deux fois. Je sais aussi que tu as
testé le trio. Tu confirmes ainsi ce que je t’ai dit en te quittant, tu
as trouvé ta place. Mais tu n’es encore qu’au début de ton chemin. Je
te laisse mon numéro. Nous verrons donc si Tu confirmes le fait que toi
et moi n’en avons pas fini. Une condition toute fois pour que tu sois
autoriséE à m’appeler. Dans le casier que t’attribuera le patron du
sauna (qui est un ami, tu l’auras déjà compris, tu trouvera un sac. Tu
l’ouvriras chez toi et si tu acceptes son contenu, tu peux m’appeler.
Sinon, continue seulE ta vie de salope.
Marc."
Fébrile
et nanti de la clef donnée par le patron, je descendis au vestiaire en
me demandant à quoi rimaient ces "E" dans son message. Dans le casier je
découvris un sac. Dans le sac il y avait une perruque, de la lingerie
et une boîte de chaussures. Des talons hauts, pointure 39. J’en restais
estomaqué. Je me décidais à rentrer chez moi réfléchir à tout ça mais un
beau papy entra dans le vestiaire.
Il me regarda et me dit:
"J’espère que tu arrives et que tu n’es pas sur le départ..."
Il
se déshabillait rapidement et je vis son sexe. Gros, veiné. La goutte
qui en perlait me chavira. Sans un mot je me mis à genoux et à quatre
pattes avançais vers l’objet de mon fantasme immédiat. Mais il se déroba
et me dis "rejoins moi dans la douche fermée".
Je
l’y suivis. Il fit couler le jet et se plaça derrière moi. "A quatre
pattes!". Je m’exécutais me demandant si j’allais me faire tringler dans
la douche. Un jet chaud me frappa le dos. il me pissait dessus en me
traitant de salope. J’eus conscience que j’étais exactement ça et que ça
me rendait heureux. Puis il présenta son sexe à ma bouche et je le
suçais avidement. Plus tard il, m’a défoncé dans une cabine, me tirant
les cheveux et me traitant de femelle juste bonne à se faire sauter.
C’était vrai. Avant de partir tandis que son foutre ruisselait sur mon
visage, il me dit "Dis à Marc que tu as satisfait René". J’en restais
abasourdi. Et hypocritement un peu vexé que Marc ait su que je ne
résisterais pas à cette belle queue.
De
retour chez moi j’étalais le contenu du sac sur le canapé. Une perruque
du même blond à peu prés que mes cheveux, une paire de bas, une
guêpière, la culotte assortie et des talons hauts très classes et sexy.
Je résistais une heure puis commençais à les enfiler... En me disant que
je me déguisais pour rire... La perruque ne ressemblait pas aux
articles pour faire la fête. Je dus aller devant le miroir pour
l’ajuster. J’eus un choc. J’étais un mec gringalet un peu plus tôt et là
j’avais devant moi une fille, grande, mince, sexy, plutôt jolie. Mon
visage fin s’harmonisait à la perruque. Même s’il restait quelque chose
de masculin dans mes traits. Ce qui me choqua le plus? Mes poils fins se
devinant à travers les bas gris fumés. La sensation fantastique de leur
matière sur ma peau en était gâchée. J’eus l’idée bizarre de les raser.
Et finis par le faire. Ce qui me donna envie de le faire partout. Je
dus me rhabiller pour aller acheter de la crème dépilatoire à la
supérette du coin. Deux heures plus tard j’étais lisse, doux. Et de
nouveau vêtu comme Marc le souhaitait. Je tremblais à l’idée de
l’appeler. Et le fis.
"-Marc..? C’est moi...
-Qui moi?
-Manu. Le gars du sauna.
-Tu veux dire Emmanuelle, la salope du Sauna?
-Oui...
-Tu portes mes cadeaux?
-Oui...
-Tu veux les mériter?
-Oui...
-Habille
toi en gardant tes dessous et rejoins moi ce soir. J’habite
à................... Je te présenterais quelqu’un de très important pour
moi. N’oublie pas la perruque et les talons!"
A 19h, je sonnais au
portail d’une belle et grande maison. Visiblement Marc avait les moyens.
Il vint m’ouvrir et exigea que je change sur le champ mes baskets pour
les talons et que je coiffe la perruque qu’il ajusta lui même.
"Tu es belle Emmanuelle. Et tu vas l’être encore plus."
Nous
pénétrâmes dans un salon douillet et faiblement éclairé.. Une femme
sublime, grande, rousse et au regard doux m’envoya un sourire magnifique
et chaleureux depuis le canapé où elle trônait.
"-Tu
ne m’avais pas menti chéri, elle est très belle. Viens t’asseoir ici
beauté. Je suis Virginie, la femme de Marc. Je crois que nous allons
nous plaire."
Je tombais
instantanément amoureux (se) de ses grands yeux verts rieurs. Elle se
leva et vint m’embrasser, avec une sensualité et une douceur qui me
donnèrent envie de pleurer. Puis elle me prit la main pour que je la
suive.
"-Laissons un instant Marc, nous avons besoin d’un instant entre filles..."
Je
me laissais conduire, hypnotisé par l’ambiance, Marc et cette femme
sublime. Être traité en femme était à la fois excitant, nouveau et tout à
fait normal... Nous entrâmes dans la salle de bains. Virginie me fit
asseoir sur le rebord d’une grande baignoire et me dit qu’il ne me
manquait (pour l’instant) que le maquillage. Et elle me maquilla en
m’interdisant de chercher à me voir dans la glace. 15 minutes plus tard
je vis dans le miroir, maquillée, magnifique. Elle me reprit la main et
nous rejoignîmes Marc occupé à servir des flûtes de champagne. Il m’en
tendit une que je vidais à moitié.
"-Non! le champagne s’apprécie! Cela fait partie des choses que tu devras apprendre. Si tu veux que ça dure.
-Ne sois pas trop dur avec elle, chéri, je suis sûre qu’elle apprendra, elle semble aussi jolie que pleine de bonne volonté."
Et
elle m’embrassa à nouveau, me caressant. je m’enhardis à répondre à son
baiser mais elle dut prendre mes mains et les poser sur elle pour que
j’ose la toucher.
"-Elle est timide ta jolie recrue mon chéri.
-Tu
devrais la voir avec une bite dans la chatte, elle se décoince! Allez
les filles, faites vous du bien et faites moi plaisir!"
-Déshabille moi Emmanuelle, fais glisser ma robe."
Je
dévoilais son corps sublime, mature et ferme. Je lui donnais 34/35 ans
(elle en avait 39 soit 10 de moins que Marc). J’eus envie de lécher ses
seins majestueux, laiteux, parsemés de tâches de rousseur. Elle baissa
ma tête vers eux et j’y plongeais, dans un bonheur indicible. Je
m’enhardis, caressais, puis embrassais son ventre. je continuais ma
descente pour embrasser sa fine culotte, sentant son mont de Vénus, son
pubis fourni mais limité à un ticket de métro. Je baissais lentement sa
culotte, enfouissant sa bouche dans sa toison soyeuse, découvrant petit à
petit les mystères du sexe féminin.
"-Regarde Amour, elle découvre! Ça te plaît jolie Emmanuelle?
-Oh oui Virginie! J’adore!
-Appelle la Madame. Et moi Monsieur!
-Bien Monsieur. Oui Madame je suis aux anges de vous découvrir.
-Alors lèche moi petit ange."
A
quatre pattes à ses pieds, j’enfouis mon visage dans son sexe épanoui
et trempé. Je léchais sans plus m’arrêter, agaçant son clitoris, lapant
sa mouille, fourrant ma langue dans son vagin. Quel bonheur! Elle jouit
en étreignant mon visage. Puis le regard chaviré, elle m’attira contre
elle et m’embrassa, goûtant ses parfums intimes sur mes lèvres. Marc
nous regardait, le slip gonflé d’une bosse qui me rendait folle.
"-A mon tour! Viens ici ma salope.
-Bien Monsieur."
Je vins à quatre pattes entre ses jambes, et libérais son sexe tendu que j’enfournais illico. Je me mis à le sucer avec passion.
"-Tu vois ma chérie, elle est dingue de la bite. René en redemande. On la lui prêtera de temps en temps.
-Avec plaisir. Elle me plaît beaucoup. Et si elle l’accepte, elle me plaira encore plus plus tard.
-Veux tu que je la prenne pendant qu’elle te lèche à nouveau?
-Ouiii!"
Et
cela fut fait, il me fit avancer entre les jambes sublimes de celle que
j’aimais déjà et j’y plongeais le visage. Puis il vint derrière moi et
me massa la chatte avant de me pénétrer. Ses va et vient lents me
faisaient trembler mais me permettaient de lécher doucement Virginie.
Elle finit par jouir à nouveau, trois de mes doigts fichés en elle. Marc
commença alors à accélérer ses mouvements, me défonçant sans pitié. Je
sentis une étrange et fantastique sensation naître en moi. je hurlais
"encore!, plus vite".
Et il s’arrêta.
"-Tu n’as pas compris Emmanuelle. Tu es là pour notre plaisir, pas pour le tien. Tu jouiras si nous l’autorisons. Est ce clair?
-Oui Monsieur.
-Bien."
Et
il reprit ses mouvements, plus lentement. Et tout à coup, tandis qu’il
continuait ses délicieux aller retours en moi, il se mit à parler.
"-Nous
avons une proposition à te faire. Tu nous plais à tous les deux. Nous
cherchons depuis longtemps une femelle comme toi pour être notre jolie
chose. Nous aimerions que ce soit toi.
-Oh oui Monsieur!
-Attends
de tout savoir salope. Quand je dis notre chose, je ne plaisante pas.
Tu seras à nous. Notre jouet. Il te faudra être obéissante, salope,
câline. Toujours prête. Dire non ne fera pas partie de tes choix. Nos
désirs seront les seuls qui comptent. Tu ne baiseras que sur notre
autorisation ou notre demande."
J’avais du mal à réfléchir, son sexe me comblait de bonheur et ses mots m’excitaient. Il reprit:
"-Si
tu acceptes nous t’emmènerons vers celle que tu es vraiment. Tu seras
heureuse, comblée et choyée. En contre partie tu seras docile, soumise,
obéissante. Je me suis renseigné sur toi. Boulot de merde, pas d’avenir,
pas d’ami. Rien. Tu n’as rien à perdre. Manu disparaît et Emmanuelle
s’ouvre à la vie. Accepte le, tu es femelle. Ton corps n’est pas le bon.
Nous changerons ça."
Il sortit de moi et me demanda de regarder l’écran de l’ordi.
Durant
une heure je visionnais des vidéos de "sissy trainer". Qui me rendirent
folle d’excitation. Marc m’ordonna de revenir vers lui et lui ouvrir
mon cul. Je le fis et il s’y engouffra.
"-On
va tester ça quinze jours. Tu restes ici et tu suis le programme
suivant. Vidéos deux heures par jours, Virginie t’apprend à te maquiller
et à t’occuper de ton corps. Ton sexe est encagé, interdiction de te
masturber. Tu obéis à toutes nos demandes. Toutes. Et pour tous les gens
qui passent ici, tu es Emmanuelle. Si après ces quinze jours, tout le
monde est content, tu restes et les choses sérieuses commencent.
Féminisation, traitement hormonal, et éducation parce que tu manques de
tenue et de savoir-vivre. Je ne vais pas tarder à jouir. Si tu te
retires, c’est que tu refuses, si je jouis en toi tu es à nous pour les
15 jours qui viennent."
Ses
mains ont quitté mes hanches. J’ai glissé vers l’avant jusqu’à sentir
son gland sur le point de sortir puis me suis empalée brutalement sur sa
queue.
"Monsieur, par pitié,
défoncez moi. Faites moi la joie de jouir en moi, de m’inonder de votre
sperme. Rendez moi femelle à tout jamais!"
Ses
mains m’ont agrippée, et il m’a défoncée comme jamais jusqu’à
éclabousser ma chatte de son foutre de mâle viril dans un hurlement.
Quel bonheur! Je le sentais couler hors de moi, le long de ma cuisse,
tâchant mes bas.
"-Merci ma
belle" Virginie, des larmes dans les yeux, venait m’embrasser. Elle me
fit allonger, et me masturba doucement sans que ses yeux ne quittent les
miens. Je jouis plus fort que jamais auparavant et me répandis sur sa
main aux si longs doigts. Qu’elle porta ensuite à ma bouche pour que j’y
lèche chaque goutte de mon plaisir.
"-Nous serons très heureux tous les trois, tu verras ma chérie"
C’était il y a six ans et elle ne s’était pas trompée.
Ce
soir là, j’ai dormi au pied de leur lit, sur un petit matelas. Je me
suis réveillée tôt et je les ai regardés dormir. Ils étaient
magnifiques. J’ai eu envie de me glisser entre eux. Puis Virginie a
ouvert un œil. Elle a murmuré:
"-Bonjour ma chérie. Ne faisons pas de bruit, Marc aime dormir le matin. Viens."
Elle
s’est levée, a enfilé un peignoir sur sa nuisette et nous sommes
descendues. Autour d’un café, Virginie a commencé à m’expliquer comment
se passeraient les prochains jours.
"-Il
faudra que ton premier réflexe chaque matin soit de te préparer.
Douche, crème, épilation si besoin et maquillage. Puis tu t’habilleras.
Si Marc a laissé une consigne à ce sujet, tu la suivras bien sûr. Sinon,
je te dirais. Viens, je vais commencer à te montrer comment prendre
soin de toi et te maquiller. Mais d’abord, tu dois apprendre à être
propre partout... ce qui veux dire aussi à l’intérieur..."
Et
elle m’expliqua l’utilisation d’une poire à lavement... Beurk pensais
je. Mais je m’exécutais pourtant... Puis elle revint vers moi après ma
première douche rapide. Durant une heure très douce et tendre, je fus
lavée, toilettée presque, et maquillée. C’était étrange, une partie de
moi se rebellait, me disait que j’étais quand même un homme. J’essayais
de me convaincre que je m’amusais juste, que cela s’arrêterait comme ça
avait commencé, quand je le déciderais. Puis ces pensées s’évanouirent
(temporairement) quand je me vis dans le miroir puis en sentant glisser
sur mes jambes les magnifiques bas noir que Virginie m’avait donnés. Si
vous saviez la douceur et la sensualité de la lingerie féminine sur
votre peau préparée! Elle me prêta aussi une jupe et un haut assez
chics. La jupe m’allait sûrement moins bien qu’à Virginie, mes hanches à
cette époque n’ayant pas encore la rondeur qu’elles ont aujourd’hui.
Dans mon magnifique soutien-gorge, elle glissa une paire de faux seins.
Perruque ajustée, j’étais prête.
"-Dis, vous m’avez parlé de féminisation, de changement de corps, vous vouliez dire quoi?
-Nous n’en sommes pas là Chérie.
-Oui mais...
-Perds l’habitude de répondre! Quand nous te disons stop, c’est stop!"
C’était
la première fois que je la voyais sévère et cela m’impressionna. Même
si une partie de moi avait envie de se rebeller et de dire "je fais ce
que je veux!". Mais je ne dis rien et baissais les yeux.
Nous
descendîmes à la cuisine où Marc nous rejoignit. Il embrassa tendrement
sa femme et à ma grande surprise vint m’embrasser aussi.
"-Bonjour
les filles. Ma petite Emmanuelle, tu es très jolie ce matin! Virginie
est une magicienne, non?" Puis se tournant vers Virginie "Ma douce, je
serai là vers 19h ce soir. C’est quoi votre programme aujourd’hui? Tu
n’oublies pas ma petite surprise, hein?
-Ne
t’inquiète pas Amour, tout est prévu pour ce soir. Quant à nous,
aujourd’hui, c’est shopping, il faut habiller la petite. Puis Emmanuelle
va commencer à découvrir ce qu’est la vie d’une catin à domicile. Les
vidéos, les cours de maquillage, l’apprentissage de l’obéissance,
l’abdication de sa prétendue masculinité, la découverte du corps
féminin...
-Hé, regarde, ça lui fait de l’effet à la gamine!"
Je baissais les yeux et constatais avec un mélange de honte et de plaisir de cette honte qu’une bosse déformait ma jupe.
Cela les fit rire.
Au bout d’un moment, Marc partit travailler. Virginie monta s’habiller en m’ordonnant de rester là, assise, sans un mot.
Elle redescendit, sublime.
"-En voiture chérie!
-Je vais m’habiller Madame.
-Comment ça t’habiller? Tu es habillée!
-Je vais pas sortir comme ça, en fille?!
-En femme. Tu es une femme Emma, alors tu vas sortir en femme.
-Non, je ne...
-Non?! Tu as dit non? Tu ne peux pas dire non. Souviens toi des termes de notre proposition.
-Oui mais...
-Pas
de mais! Choisis, maintenant! Ou tu disparais et tu retournes à ta
petite vie de branleuse de sauna ou tu continues avec nous. Mais dans la
plus stricte obéissance."
Mon
premier réflexe fut de fuir. Puis je me dis que je pouvais toujours
voir jusqu’où ça allait et partir plus tard. J’étais troublée... Par le
souvenir de la nuit précédente, la beauté de ce que j’avais ressenti, la
perspective d’obtenir cet orgasme inconnu que Marc avait failli me
donner. Et, même si je ne me l’avouais pas vraiment, par le bonheur
absolu et le sentiment d’être enfin à ma place que j’avais ressenti en
étant prise par Marc tandis que je léchais Virginie. Comme une femme
bisexuelle.
Et nous partîmes
donc. A mon grand soulagement, Virginie entra sur l’autoroute et prit la
direction de Lyon. Une heure plus tard, nous déambulions dans des rues
chics. Les regards des hommes s’attardaient sur nous, certains tentaient
d’engager la conversation. Virginie les écartait gentiment, visiblement
habituée à être l’objet du désir des hommes. Personne ne me traita de
travelo.
"-Tu vois mon cœur, tu es une femme. Même eux le sentent. Et ils te voient ainsi."
Durant
deux heures nous fîmes le tour de plusieurs boutiques où Virginie
acheta pour moi de la lingerie, des chaussures, des vêtements, des
accessoires. Tout était très classe. Et les prix me parurent
hallucinants alors même que Virginie ne semblait pas y faire attention.
Puis nous conclûmes notre tournée par un sex-shop. Là elle acheta de la
lingerie particulièrement vulgaire, sans rapport avec les articles
délicats et fins que nous avions achetés plus tôt et quelques
accessoires qu’elle refusa de me montrer. Puis nous rentrâmes.
A peine arrivées, elle me dit:
"-Enlève ta jupe et ta culotte."
Je m’exécutais immédiatement, ravie à l’idée d’un nouveau rapprochement physique avec elle. Elle dut s’en rendre compte...
"-Tu réagis encore en presque mâle ma douce. Mais j’ai là de quoi te rappeler ce que tu es. Viens ici!"
Je m’approchais et elle exhiba une boîte dont elle sortit un objet bizarre. Une cage courbe avec un petit cadenas.
"-Ceci va te maintenir femelle et asservie."
Elle
installa la cage autour de mon pénis. Celui ci se retrouva donc
emprisonné tandis qu’elle glissait la clef sur une chaîne qu’elle
portait au cou. Puis elle m’embrassa passionnément, se frottant contre
moi, posant mes mains sur ses seins. Mon sexe commença à durcir pour se
retrouver vite contraint, bloqué. C’était frustrant et un peu
douloureux. Elle s’écarta de moi, reculant en dansant doucement. Ses
vêtements glissèrent au sol lentement, un par un. En porte-jarretelles
vert émeraude, soutenant des bas noirs eux mêmes disparaissant dans des
escarpins noir satinés, elle dansait langoureusement, ses yeux vrillés
dans les miens. Elle jouait avec ses longs cheveux ondulés roux, s’en
servant pour cacher puis découvrir ses lourds seins laiteux... Une de
ses mains s’égara dans sa culotte, je pouvais deviner ses doigts à
travers le tissu arachnéen jouer avec sa toison vénitienne. Il devint
vide évident qu’elle avait commencé à se masturber, son souffle
changeait. Jamais ses yeux ne me quittèrent. J’étais dans un état
d’excitation inconnu. Je voulus la rejoindre et elle m’intima sèchement
de rester à ma place. Elle se caressa longtemps, me mettant au comble de
l’excitation! Elle jouit enfin et se moqua de ma visible frustration.
Me conseillant de m’y habituer, me disant que je n’étais là que pour son
plaisir, que le mien serait une récompense dont elle déciderait ou non
de l’attribution. Puis elle fit glisser sa culotte sur ses longues
jambes. Quand elle fut autour de ses chevilles, elle murmura:
"-Viens ma chose, mon jouet d’amour. Viens et lèche mon sexe. Je ne veux que ta bouche et tes lèvres. "
Je
tombais à genoux à ses pieds et enfoui mon visage dans ses odeurs. Son
sexe trempé me rendait folle. Je la léchais goulûment, avec bonheur. Mon
visage était recouvert de sa liqueur intime, j’en voulais encore plus.
Elle jouit brutalement, attrapant ma tête pour la coller contre ses
chairs. Quel bonheur parfait!
Elle
prit ensuite ma main et nous emmena vers les canapés. Là nous nous
embrassâmes comme des folles, parcourant nos corps, nous frottant l’une à
l’autre. Ses mains glissaient sur moi, m’arrachant de longs et
délicieux frisson. L’une d’elle s’attarda sur mes petites fesses, glissa
entre elles, caressant mon petit trou. Sa voix, rauque et troublée,
résonna à mon oreille:
"-Je veux lècher ta chatte ma puce."
Et
elle glissa à coup de petits bisous le long de ma colonne vertébrale.
Puis je sentis la pointe de sa langue titiller mon anus. Cette sensation
était incroyable. Tellement plus fine et efficace que les hommes. Elle
me lécha longtemps, je gémissais malgré moi, croisant parfois son regard
souriant et chaviré. Je sentis enfin un doigt s’insinuer en moi. Et je
le voulais. J’en voulus rapidement plus. Et il y en eut plus...Trois
doigts allaient et venaient en moi, tandis qu’elle couvrait mon corps de
baisers chauds. Elle se retira brutalement.
"Ne bouge pas!"
Je l’entendis disparaître dans le couloir puis l’entendît revenir quelques minutes plus tard.
"-Cambre toi ma douce, offre moi ta chatte."
Surexcitée,
je m’exécutais. La position, un peu humiliante, m’excitait
terriblement. Je sentis quelque chose de ferme mais souple, doux appuyer
sur ma chatte. Mes hanches roulèrent pour accentuer la pression. Elle
se déroba.
"Non! Si tu veux quelque chose tu le demandes! Et peut être, si c’est aussi mon désir, que tu l’auras.
-S’il vous plaît Madame...
— S’il vous plaît quoi? Que veux tu, dis le moi."
Ma
fierté renâclait à l’idée de demander à être prise. Mais j’en avais
besoin, il fallait qu’elle me pistonne et me défonce. Il le fallait!
"-Madame, s’il vous plaît prenez moi...
-Non, tu n’as pas compris...
-Madame, si tel est votre désir, ma chatte vous est offerte.
-Ça mon cœur, c’est une évidence.
-Je suis à vous, usez de moi selon votre désir."
Et
le substitut de queue fit pression sur mon anus à nouveau... Elle
poussa, le gland lubrifié se fraya un chemin en moi et, conquérante,
elle me cloua au canapé. Souffle coupé, tremblante, je la sentis
démarrer ses va et vient en moi. Ses longs doigts agrippèrent mes
hanches et elle intensifia ses mouvements. Trés vite elle s’est mise à
me défoncer. Elle allait très vite, me traitant de catin, de sextoy,
ridiculisant ma prétendue masculinité. Elle me lima ainsi longtemps.
J’en conçus du plaisir, quelques douleurs et surtout, je dois
l’admettre, une intense excitation d’être traitée en objet sexuel, en
défouloir à pulsions. Je ne voulais être plus que ça, un adorable jouet
salope.
De ce moment là et
durant les deux semaines qui suivirent, je commençais à ressentir de la
tristesse devant mon corps nu, désespérément plat. Habillée, préparée,
j’étais bien, nue j’étais triste. Ce sentiment ne fit qu’augmenter
durant ce premier séjour.
Après
un moment de récupération, Virginie me dit qu’il fallait me préparer
pour la surprise promise à Marc. J’évitais de la questionner, commençant
à intégrer quel était mon rôle, ma place.
Direction
la salle de bain pour tout le rituel de nettoyage qui devait me rendre
disponible. Puis elle me maquilla. Je fus surprise en me voyant dans la
glace affublée d’un maquillage vulgaire, outrancier, ressemblant plus
aux peintures de guerre d’une pute bas de gamme qu’à la subtile mise en
valeur à laquelle Virginie m’avait habituée. Quant elle me tendit les
vêtements dont je devais me parer, je pus constater qu’ils allaient à
merveille avec le maquillage... Body fendu en mauvaise dentelle fuchsia
et bas résilles assortis. Par dessus j’enfilais une jupe ultra courte en
simili cuir. Elle s’arrêtait plusieurs centimètres au dessus de la
jarretière des bas. Je dus aussi chausser des talons ultra hauts noirs
en mauvaise imitation de cuir. Une perruque blonde invraisemblable
acheva de faire de moi une pute de bord de nationale. Quand je fus
prête, Virginie recula pour contempler son œuvre. Elle éclata de rire,
un peu méprisante. J’en fus choquée.
"-
Tu ressembles à une prostituée, petite pute! Et pas à une belle escort!
Non, à une pute de parking, vulgaire, sans grâce. Un trou pour se
vider. Marc va adorer. Et en parlant de Marc, je te conseille de ne pas
rater ta prestation. Il en attend beaucoup. Viens, maintenant, on y va!
-Je dois sortir comme ça?
-Ben oui, faut aller bosser morue.
-J’ai honte...
-Tant mieux."
Nous
montâmes dans sa voiture et tout en roulant elle me livra leur
scénario. je devais me poster au bord de la route que prend Marc pour
rentrer du travail où Virginie me déposerait une demi heure avant son
passage. Une demi heure à ressembler à une pute au bord de la route.
J’en fus effrayée et lui demandais comment je devrais gérer les
éventuelles demandes d’automobilistes. Elle me répondit de me
débrouiller mais qu’en cas de souci, il y avait ce qu’il fallait dans
mon sac pour régler les problèmes. Savoir que j’avais de quoi me
défendre me rassura à peine. Nous arrivâmes à l’endroit convenu avec
Marc. Tandis que je descendais malgré moi de voiture, Virginie me dit:
"-Rappelle
toi Emma, tu es une pute, tu dois gagner ta vie en te servant de tes
seules compétences réelles, ta bouche et ton cul. C’est ton rôle pour ce
soir, Marc ne doit pas être déçu...".
Elle
démarra et la voiture disparut. Je me retrouvais seule, au bord de
cette route en cette fin de journée qui s’assombrissait déjà. Derrière
moi un chemin s’enfonçait dans les bois. Je décidais de regarder dans le
sac moche dont elle m’avait affublée ce que Virginie m’avait laissé
pour me défendre. Une feuille de papier avec les mots suivants "pipe 30
euros, baise 50 euros."... Et sous le papier, une boîte de capotes, des
lingettes et un tube de gel lubrifiant. Rien d’autre... Je paniquais. Je
fus tentée de me cacher dans le bois mais avec l’obscurité il devenait
effrayant. Quelques voitures passèrent, ralentissant devant moi, leurs
conducteurs me dévisageant sans vergogne. J’étais une marchandise.
Quelqu’uns m’insultèrent, d’autres me "complimentèrent". L’un d’eux
passa devant moi à vitesse très réduite, me détaillant du regard. Puis
il accéléra et disparut. Je consultais ma montre. Encore 20 minutes
avant l’arrivée de Marc... Quelques voitures passèrent... Ces regards,
la fonction de pute à laquelle ils me limitaient commençaient à
m’exciter un peu. Je me mis à jouer un peu les allumeuses, prenant du
plaisir à aguicher les conducteurs. Une voiture finit par s’arrêter
devant moi. Je reconnus le conducteur qui était passé quelques minutes
plus tôt trés lentement. La vitre passager descendit.
"-C’est combien?
-Euh, non... En fait je ne suis pas là pour ça...
-Tu rigoles?! Allez c’est combien?"
Je
percutais soudain que ce devait être un complice de Marc et Virginie.
Ils me testaient. Très bien, ils allaient voir! je m’accoudais à la
portière.
"-30 la pipe, 50 la baise.
-Ok...
Attends... t’es un travelo! Merde! Putain, j’aurais pas cru. Je sais
pas trop du coup... Bon allez, faut que je me vide, tu feras l’affaire"
Il
se gara. Je n’avais pas prévu ça. Je pensais qu’il vérifiait juste que
je jouais bien mon rôle. Il descendit de sa voiture. Costaud, grand, une
petite bedaine, la quarantaine sans grand charme.
"-C’est où ton coin?
-Pardon..? répondis je en panique
-Bon j’ai pas que ça à faire! Viens!
Il
me prit le bras et m’entraîna dans les bois. Quelques mètres plus loin
il s’arrêta et ouvrit sa braguette, en sortant un sexe déjà en semi
érection.
"Suce moi seulement, je baise pas les travelos."
Je
ne savais pas quoi faire. J’avais aussi un peu peur de cet homme déjà
énervé par ma qualité de travesti. je décidais sans joie de m’exécuter.
"J’aurais préféré une vraie femme. J’espère au moins que tu sais sucer."
Sa
remarque me vexa et me décida à lui montrer que j’étais femelle sinon
femme. Je pris son sexe dans ma bouche, chatouillant son gland du bout
de la langue. Durant quelques minutes je m’appliquais sur sa queue,
suçais avec avidité et un féroce désir de lui donner une pipe qu’aucune
femme ne lui donnerait jamais. Je le méprisais et cherchais à le punir
en lui donnant le maximum de plaisir!
"P’tain t’es bonne la pute. Ca m’excite merde! J’vais te baiser, t’as des capotes?"
J’en sortis une de mon sac et la lui enfilais.
"Tourne toi salope, penche toi et tiens toi à l’arbre.
Je
mis un peu de gel sur ma chatte et m’exécutais. Il agrippa mes hanches,
présenta son gland et commença à forcer. Je détendis mon anus, poussais
un peu et il entra. Assez vite il se mit à me défoncer tout en
m’insultant.
"Grosse pute,
salope, t’aimes te faire tringler par un vrai mec hein lopette?
Connasse, je vais te casser le cul comme tu aimes. Tu fais la pute parce
que t’es bonne qu’à ça. Je vais jouir dans ton cul de chienne. T’as pas
honte d’être une pute?"
Il me
secouait dans tous les sens, persuadé sans doute d’être un amant
fabuleux. Il me faisait un peu mal mais il était hors de question que je
le laisse le voir. Il finit par éjaculer en miaulant un cri ridicule.
Il me claqua les fesses en se retirant. Deux secondes plus tard il était
rhabillé et se dirigeait vers sa voiture. Je passais une lingette entre
mes fesses et rajustais ma jupe. Quand je rejoignis la route, je vis
une voiture arrêtée derrière celle de mon "client" qui d’ailleurs ne
m’avait pas payée. La voiture de Marc... Celui ci en sortait tandis que
l’autre montait dans la sienne. Avant de démarrer il apostropha Marc.
"Fais
gaffe, c’est un trav! Il aime le cul ce dégénéré. Je l’ai pas payé,
c’est lui qu’aurait du me payer pour le plaisir que je lui ai donné à ce
dégueulasse!" Il démarra là dessus, nous laissant seuls.
"Bonsoir mademoiselle... Quels sont vos tarifs?"
Je réintégrais mon rôle tant bien que mal.
"-30 la pipe et 50 l’amour chéri.
-c’est cher...
-Mais non mon chéri, je les vaux largement... Viens tu vas voir...
Marc me suivit jusqu’à mon "coin". Par terre traînait la capote de mon premier client.
-Mon petit cadeau d’abord et après je vais bien m’occuper de toi.
Marc me tendit 50 euros. Je m’agenouillais devant lui et commençais à dégrafer son pantalon pour exhiber son beau sexe.
-T’es bien monté Minou... Je vais aimer m’occuper de toi.
Je
le pris dans ma bouche et commençais à le sucer. Je m’appliquais
amoureusement sur ce sexe qui m’avait déjà tellement donné. J’étais
tellement concentrée sur ma tâche que je mis du temps à percevoir les
bruits autour de nous. Une ou plusieurs personnes se cachaient pas loin,
nous épiant. Cela m’excita très fort à mon grand étonnement. Quand Marc
fut bien dur, tout vibrant, je me relevais et m’appuyant à l’arbre je
lui dis, faisant en sorte d’être entendue par les voyeurs:
-Allez baise moi chéri, fais du bien à la pute du bois...
Il
rugit et vint se placer derrière moi. Son sexe glissa dans ma raie, me
faisant frissonner chaque fois qu’il passait sur ma chatte. Je finis par
le supplier de me prendre. Et il le fit. Il entra lentement en moi, me
pelotant les fesses, le ventre, les seins. Quand il fut entièrement
entré, il commença de délicieux aller-retours, bien plus subtils que les
gesticulations de mon premier client. J’apercevais dans la pénombre les
deux hommes se branler en nous regardant. J’entendais leurs
commentaires sur la chienne, la salope que j’étais. C’était très
excitant de me faire baiser sous l’œil de voyeurs, d’être perçue comme
une insatiable salope. Je prenais beaucoup de plaisir à cette
situation... Mais Marc s’emballa soudain, et éjacula très vite, me
laissant frustrée.
-Merci mademoiselle, c’était très bon.
Tandis qu’il se rajustait, je vis les voyeurs guettant son départ...
-Tu me ramènes chez moi Minou?
-Ok, 50 euros la course... Dit il en souriant.
Je lui rendis donc ses 50 euros.
-Assieds toi sur ta veste, je ne veux pas que tu évacues mon foutre sur mes sièges en cuir.
Durant
tout le trajet, il ne dit pas un mot. En arrivant, il me fit signe de
rester à la cuisine puis il rejoignit Virginie. Quelques minutes plus
tard, celle ci apparut, magnifique dans une jolie petite robe verte.
Elle m’enlaça.
"-Bravo Emma chérie! Marc est très satisfait. Et même impressionné! Tu as mérité que je m’occupe de toi!"
Elle
me fit couler un bain très moussant dans lequel je me coulais,
heureuse. Je fus heureuse aussi de voir mon corps trop plat disparaître
sous la mousse. J’étais bien, Virginie me caressait le visage avec
tendresse. J’eus conscience à ce moment là que je venais franchir une
marche de plus vers une nouvelle vie. C’était effrayant. Mais je devais
me rendre à l’évidence. Jamais je ne m’étais sentie aussi bien, aussi
comblée, aussi satisfaite. Mon ancienne vie me faisait horreur et je fus
saisi d’une énorme angoisse à l’idée d’y être à nouveau abandonnée. Je
décidais de faire tout ce qu’il faudrait pour les satisfaire, pour
rester dans leur chaleur, pour faire sortir au grand jour la femelle en
moi beaucoup plus apte au bonheur que le pseudo mâle dans lequel j’étais
né.
A SUIVRE ?
A SUIVRE ?
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