mercredi 22 janvier 2020

COMMENT JE SUIS DEVENU(E) MOI

Je suis né Emmanuel, gringalet tourmenté. Pas d’ami, pas d’intérêt pour les activités dites masculines. Ma première véritable amie, je l’ai eue à 15 ans. Elle s’appelle Clémence, et aujourd’hui encore elle est la seule personne prés de moi qui subsiste de mon passé. J’en suis tombé très amoureux à l’époque. J’avais du désir pour la première fois. Je fantasmais sur l’idée de caresser son corps, de l’embrasser, de la lécher. Mais jamais de la pénétrer. Ni d’être touché par elle.

Nous avons grandi, elle a eu des copains puis des amants. Mon amour est devenu profonde amitié. Et je m’inquiétais de ne pas être plus attiré par les femmes (Les autres mecs ne semblaient parler que de ça, ne penser qu’à ça.). Je les trouvais belles sans les désirer. Mes fantasmes et tristes masturbations n’avaient pour support que l’idée de lécher Clémence. J’ai commencé à me poser des questions sur mes attirances. Pourtant les beaux mecs ne semblaient pas m’exciter. Je me rendis peu à peu compte que les vieux, un peu bedonnants, un peu chauves mais un peu autoritaires aussi me faisaient de l’effet. Je n’osais creuser dans cette direction... Mais au fil des années, poussé par la frustration j’ai commencé à le faire. Des vidéos sur le net m’excitaient fort. On y voyait un homme mûr, viril, utiliser un gringalet comme moi. Je sentais leur désir de ce corps chétif et soumis. Et cela m’excitait... Je me voyais plié à la volonté de ces hommes. Mon corps frêle dominé et écrasé par leurs corps massifs dans des étreintes puissantes et subies. C’était encore plus excitant quand c’était une transsexuelle qui subissait les assauts de ces hommes. J’ai commencé à fantasmer sur ces hommes, sur l’idée d’être leur jouet. Et d’être moi même plus femme. Même si je considérais ça comme un simple fantasme... Il m’a fallu presque deux ans de fantasme pour caresser l’idée d’aller dans un sauna gay. Il en existe un dans ma ville, fréquenté essentiellement par des hommes mûrs.

J’en ai franchi la porte, tremblant, le cœur au bord de l’explosion, le lendemain de mes 24 ans. Une douche et je courus m’enfermer dans le hammam vide. Quelques minutes plus tard un homme est entré, la cinquantaine, rond. Il m’a souri et s’est installé. Il a engagé la conversation, s’est ensuite rapproché de moi. Je sentais son envie de moi. Pour la première fois on me désirait. Je voulais fuir et rester. J’étais pétrifié. Il l’a remarqué, amusé. Notre conversation a ressemblé à ça:
"-Première fois dans un sauna?"
-Euh... première fois tout court...
-Sérieux? Beau comme tu es? N’aies pas peur. détends toi."
Sa main s’est posé sur ma cuisse, commençant de douces caresses. Elles ont duré un moment, se précisant peu à peu. Puis il prit ma main et la posa sur sa cuisse. Je commençais quelques caresses maladroites, si heureux de sentir une autre peau. Son sexe se mit à gonfler et j’en effleurais le gland par inadvertance.
"Viens!"

Il prit ma main et je le suivis. Nous descendîmes par l’escalier en colimaçon jusque dans un dédale obscur. Quand mes yeux se furent accoutumés, je découvris que plusieurs cabines parsemaient les couloirs. Dans certaines des hommes attendaient, nous regardant passer. Nous en trouvâmes une vide et mon futur amant m’y poussa doucement. Il ferma la porte et me fit signe de m’allonger sur le matelas. Il m’y rejoignit, reprenant ses caresses, plus appuyées maintenant. Je tremblais, voulant fuir et rester. Puis il m’embrassa, prenant possession de ma bouche, forçant mes lèvres. Il était devenu beaucoup plus directif. Ses gestes étaient autoritaires. Sa main prit la mienne et la referma sur son sexe. Je crus en défaillir de bonheur. Cette colonne chaude, ferme et vibrante dans ma main me transportait. Je commençais quelques va et vients.
"-C’est comme ça que tu te branles? Et ben, t’es pas doué. Voyons voir si tu suces mieux."
Et il poussa ma tête vers son sexe. Je n’osais refuser et posais mes lèvres sur son gland.
"-Et que je ne sentes pas tes dents salope!"
"Salope?" le mot me fit tressaillir. J’eus honte de m’avouer que cela m’excitait. Et que j’espérais en être digne.
J’ai ouvert la bouche et pris en moi son sexe chaud. Quelle sensation incroyable! Ceux qui ont connu cette première fois savent de quoi je parle. Je faisais attention à ne pas le blesser avec mes dents mais cela arriva une fois. Immédiatement sanctionné par une claque phénoménale sur mes fesses. Je fis attention tout en envisageant de recommencer pour sentir la morsure de sa main à nouveau. Je léchais sa queue, de haut en bas, ses couilles gonflées, son gland, son frein puis reprenait toute sa queue dans ma bouche. J’adorais ce moment. Il se retira brutalement.
"-Je ne veux pas jouir dans ta bouche.
-Pourquoi?
-T’es vraiment une petite conne. Ne laisse jamais jouir un homme dans ta bouche si tu ne le connais pas. Le VIH, ça te dit quelque chose, débile? Et puis je veux autre chose.
-Autre chose?
-Oui. Tu es femelle, absolument femelle. Mais tu ne le sais pas encore. Je vais te prendre, te sauter, te baiser, te défoncer.
-Non! je ne suis pas prêt pour ça!"
Il m’empoigna et me dit:
-Dis donc, tu crois que tu peux m’allumer comme ça et te refuser ensuite? tu rêves petite pute!"
Son poids m’écrasa. Collé sur le ventre contre le matelas, je ne pouvais bouger. Et ne le voulais pas vraiment. Je sentis sa main descendre entre mes fesses et une sensation de froid humide envahir mon petit trou. Puis un doigt s’insérer... puis deux... puis trois et je voulus sa queue! Qu’il me baise, me déchire, me pilonne. Qu’il me prenne!
-"Dis le !"
-S’il te plaît défonce moi! Baise moi!"
Sa queue encapuchonnée se posa sur mon trou et il commença à peser de son poids, m’écartant et m’écrasant. son gland est entré et j’ai su que je voudrais ça toute ma vie. moi écrasé et pris par un mâle. il a poussé, est entré. Ça faisait mal et tant mieux! j’ai senti son ventre contre mes fesses, il était totalement en moi, ses mains agrippant mes hanches. Je geignait de bonheur.
"Je savais que tu aimerais ça. remue ta chatte salope!"
J’ai commencé à m’empaler sur sa queue avant qu’il ne m’agrippe plus fort et n’imprime lui même le mouvement. Il me claquait les fesses sans retenue et j’aimais cette douleur si excitante. Il m’a baisé pendant un long moment, me traitant de pute, de salope, de petite chienne accro à la queue, avant de sortir de moi pour se vider dans mon dos dans une exquise brûlure liquide.
"Je crois que tu viens de comprendre où est ta place. Et je crois que toi et moi n’en avons pas fini chérie. Je m’appelle Marc au fait."
il m’embrassa et disparut.

15 minutes après, Pas vraiment remis de mes émotions, je quittais le sauna. Tellement différent du moment où j’y étais entré.
Le soir même je ne résistais pas à l’envie de tout raconter à Clémence.
"-Et ça t’étonne? Écoute Manu, c’était évident, non? T’es ma meilleure copine depuis toujours!"
oooOOooo
Après cette merveilleuse première fois, je me branlais souvent en y repensant mais n’osait pas encore retourner au sauna.

Néanmoins, rapidement frustré par la masturbation, je finis par y aller à nouveau. Deux fois j’y entrais, tremblant de retrouver Marc. Mais il n’y était pas. Je connu donc d’autres amants. Le premier fut doux, gentil. Mais finalement trop doux. J’aimais sa queue en moi mais il me manqua la poigne, les mots, la virilité puissante de mon premier amant. La deuxième fois, ils furent deux. Deux copains, venus ensemble "chasser la salope" comme ils me dirent. Je me sentis délicieusement proie. Ils étaient sans finesse et ne m’excitaient individuellement pas autant que Marc mais le fait qu’ils soient deux, que j’en suce un tout en me faisant prendre par l’autre tandis qu’ils échangeaient des commentaires vulgaires sur la pute que j’étais m’excita fort. Tout comme leur double éjaculation sur mon visage que je dus me retenir de ne pas lécher.

La troisième fois quand je franchis la porte, le patron du sauna me tendit une petite enveloppe. Elle contenait un mot de Marc.
"Petite pute,
Je sais que tu es venuE te faire baiser deux fois. Je sais aussi que tu as testé le trio. Tu confirmes ainsi ce que je t’ai dit en te quittant, tu as trouvé ta place. Mais tu n’es encore qu’au début de ton chemin. Je te laisse mon numéro. Nous verrons donc si Tu confirmes le fait que toi et moi n’en avons pas fini. Une condition toute fois pour que tu sois autoriséE à m’appeler. Dans le casier que t’attribuera le patron du sauna (qui est un ami, tu l’auras déjà compris, tu trouvera un sac. Tu l’ouvriras chez toi et si tu acceptes son contenu, tu peux m’appeler. Sinon, continue seulE ta vie de salope.
Marc."
Fébrile et nanti de la clef donnée par le patron, je descendis au vestiaire en me demandant à quoi rimaient ces "E" dans son message. Dans le casier je découvris un sac. Dans le sac il y avait une perruque, de la lingerie et une boîte de chaussures. Des talons hauts, pointure 39. J’en restais estomaqué. Je me décidais à rentrer chez moi réfléchir à tout ça mais un beau papy entra dans le vestiaire.
Il me regarda et me dit:
"J’espère que tu arrives et que tu n’es pas sur le départ..."
Il se déshabillait rapidement et je vis son sexe. Gros, veiné. La goutte qui en perlait me chavira. Sans un mot je me mis à genoux et à quatre pattes avançais vers l’objet de mon fantasme immédiat. Mais il se déroba et me dis "rejoins moi dans la douche fermée".
Je l’y suivis. Il fit couler le jet et se plaça derrière moi. "A quatre pattes!". Je m’exécutais me demandant si j’allais me faire tringler dans la douche. Un jet chaud me frappa le dos. il me pissait dessus en me traitant de salope. J’eus conscience que j’étais exactement ça et que ça me rendait heureux. Puis il présenta son sexe à ma bouche et je le suçais avidement. Plus tard il, m’a défoncé dans une cabine, me tirant les cheveux et me traitant de femelle juste bonne à se faire sauter. C’était vrai. Avant de partir tandis que son foutre ruisselait sur mon visage, il me dit "Dis à Marc que tu as satisfait René". J’en restais abasourdi. Et hypocritement un peu vexé que Marc ait su que je ne résisterais pas à cette belle queue.

De retour chez moi j’étalais le contenu du sac sur le canapé. Une perruque du même blond à peu prés que mes cheveux, une paire de bas, une guêpière, la culotte assortie et des talons hauts très classes et sexy. Je résistais une heure puis commençais à les enfiler... En me disant que je me déguisais pour rire... La perruque ne ressemblait pas aux articles pour faire la fête. Je dus aller devant le miroir pour l’ajuster. J’eus un choc. J’étais un mec gringalet un peu plus tôt et là j’avais devant moi une fille, grande, mince, sexy, plutôt jolie. Mon visage fin s’harmonisait à la perruque. Même s’il restait quelque chose de masculin dans mes traits. Ce qui me choqua le plus? Mes poils fins se devinant à travers les bas gris fumés. La sensation fantastique de leur matière sur ma peau en était gâchée. J’eus l’idée bizarre de les raser. Et finis par le faire. Ce qui me donna envie de le faire partout. Je dus me rhabiller pour aller acheter de la crème dépilatoire à la supérette du coin. Deux heures plus tard j’étais lisse, doux. Et de nouveau vêtu comme Marc le souhaitait. Je tremblais à l’idée de l’appeler. Et le fis.
"-Marc..? C’est moi...
-Qui moi?
-Manu. Le gars du sauna.
-Tu veux dire Emmanuelle, la salope du Sauna?
-Oui...
-Tu portes mes cadeaux?
-Oui...
-Tu veux les mériter?
-Oui...
-Habille toi en gardant tes dessous et rejoins moi ce soir. J’habite à................... Je te présenterais quelqu’un de très important pour moi. N’oublie pas la perruque et les talons!"

A 19h, je sonnais au portail d’une belle et grande maison. Visiblement Marc avait les moyens. Il vint m’ouvrir et exigea que je change sur le champ mes baskets pour les talons et que je coiffe la perruque qu’il ajusta lui même.
"Tu es belle Emmanuelle. Et tu vas l’être encore plus."
Nous pénétrâmes dans un salon douillet et faiblement éclairé.. Une femme sublime, grande, rousse et au regard doux m’envoya un sourire magnifique et chaleureux depuis le canapé où elle trônait.
"-Tu ne m’avais pas menti chéri, elle est très belle. Viens t’asseoir ici beauté. Je suis Virginie, la femme de Marc. Je crois que nous allons nous plaire."
Je tombais instantanément amoureux (se) de ses grands yeux verts rieurs. Elle se leva et vint m’embrasser, avec une sensualité et une douceur qui me donnèrent envie de pleurer. Puis elle me prit la main pour que je la suive.
"-Laissons un instant Marc, nous avons besoin d’un instant entre filles..."
Je me laissais conduire, hypnotisé par l’ambiance, Marc et cette femme sublime. Être traité en femme était à la fois excitant, nouveau et tout à fait normal... Nous entrâmes dans la salle de bains. Virginie me fit asseoir sur le rebord d’une grande baignoire et me dit qu’il ne me manquait (pour l’instant) que le maquillage. Et elle me maquilla en m’interdisant de chercher à me voir dans la glace. 15 minutes plus tard je vis dans le miroir, maquillée, magnifique. Elle me reprit la main et nous rejoignîmes Marc occupé à servir des flûtes de champagne. Il m’en tendit une que je vidais à moitié.
"-Non! le champagne s’apprécie! Cela fait partie des choses que tu devras apprendre. Si tu veux que ça dure.
-Ne sois pas trop dur avec elle, chéri, je suis sûre qu’elle apprendra, elle semble aussi jolie que pleine de bonne volonté."
Et elle m’embrassa à nouveau, me caressant. je m’enhardis à répondre à son baiser mais elle dut prendre mes mains et les poser sur elle pour que j’ose la toucher.
"-Elle est timide ta jolie recrue mon chéri.
-Tu devrais la voir avec une bite dans la chatte, elle se décoince! Allez les filles, faites vous du bien et faites moi plaisir!"
-Déshabille moi Emmanuelle, fais glisser ma robe."
Je dévoilais son corps sublime, mature et ferme. Je lui donnais 34/35 ans (elle en avait 39 soit 10 de moins que Marc). J’eus envie de lécher ses seins majestueux, laiteux, parsemés de tâches de rousseur. Elle baissa ma tête vers eux et j’y plongeais, dans un bonheur indicible. Je m’enhardis, caressais, puis embrassais son ventre. je continuais ma descente pour embrasser sa fine culotte, sentant son mont de Vénus, son pubis fourni mais limité à un ticket de métro. Je baissais lentement sa culotte, enfouissant sa bouche dans sa toison soyeuse, découvrant petit à petit les mystères du sexe féminin.
"-Regarde Amour, elle découvre! Ça te plaît jolie Emmanuelle?
-Oh oui Virginie! J’adore!
-Appelle la Madame. Et moi Monsieur!
-Bien Monsieur. Oui Madame je suis aux anges de vous découvrir.
-Alors lèche moi petit ange."

A quatre pattes à ses pieds, j’enfouis mon visage dans son sexe épanoui et trempé. Je léchais sans plus m’arrêter, agaçant son clitoris, lapant sa mouille, fourrant ma langue dans son vagin. Quel bonheur! Elle jouit en étreignant mon visage. Puis le regard chaviré, elle m’attira contre elle et m’embrassa, goûtant ses parfums intimes sur mes lèvres. Marc nous regardait, le slip gonflé d’une bosse qui me rendait folle.
"-A mon tour! Viens ici ma salope.
-Bien Monsieur."
Je vins à quatre pattes entre ses jambes, et libérais son sexe tendu que j’enfournais illico. Je me mis à le sucer avec passion.
"-Tu vois ma chérie, elle est dingue de la bite. René en redemande. On la lui prêtera de temps en temps.
-Avec plaisir. Elle me plaît beaucoup. Et si elle l’accepte, elle me plaira encore plus plus tard.
-Veux tu que je la prenne pendant qu’elle te lèche à nouveau?
-Ouiii!"

Et cela fut fait, il me fit avancer entre les jambes sublimes de celle que j’aimais déjà et j’y plongeais le visage. Puis il vint derrière moi et me massa la chatte avant de me pénétrer. Ses va et vient lents me faisaient trembler mais me permettaient de lécher doucement Virginie. Elle finit par jouir à nouveau, trois de mes doigts fichés en elle. Marc commença alors à accélérer ses mouvements, me défonçant sans pitié. Je sentis une étrange et fantastique sensation naître en moi. je hurlais "encore!, plus vite".
Et il s’arrêta.
"-Tu n’as pas compris Emmanuelle. Tu es là pour notre plaisir, pas pour le tien. Tu jouiras si nous l’autorisons. Est ce clair?
-Oui Monsieur.
-Bien."
Et il reprit ses mouvements, plus lentement. Et tout à coup, tandis qu’il continuait ses délicieux aller retours en moi, il se mit à parler.
"-Nous avons une proposition à te faire. Tu nous plais à tous les deux. Nous cherchons depuis longtemps une femelle comme toi pour être notre jolie chose. Nous aimerions que ce soit toi.
-Oh oui Monsieur!
-Attends de tout savoir salope. Quand je dis notre chose, je ne plaisante pas. Tu seras à nous. Notre jouet. Il te faudra être obéissante, salope, câline. Toujours prête. Dire non ne fera pas partie de tes choix. Nos désirs seront les seuls qui comptent. Tu ne baiseras que sur notre autorisation ou notre demande."
J’avais du mal à réfléchir, son sexe me comblait de bonheur et ses mots m’excitaient. Il reprit:
"-Si tu acceptes nous t’emmènerons vers celle que tu es vraiment. Tu seras heureuse, comblée et choyée. En contre partie tu seras docile, soumise, obéissante. Je me suis renseigné sur toi. Boulot de merde, pas d’avenir, pas d’ami. Rien. Tu n’as rien à perdre. Manu disparaît et Emmanuelle s’ouvre à la vie. Accepte le, tu es femelle. Ton corps n’est pas le bon. Nous changerons ça."
Il sortit de moi et me demanda de regarder l’écran de l’ordi.

Durant une heure je visionnais des vidéos de "sissy trainer". Qui me rendirent folle d’excitation. Marc m’ordonna de revenir vers lui et lui ouvrir mon cul. Je le fis et il s’y engouffra.
"-On va tester ça quinze jours. Tu restes ici et tu suis le programme suivant. Vidéos deux heures par jours, Virginie t’apprend à te maquiller et à t’occuper de ton corps. Ton sexe est encagé, interdiction de te masturber. Tu obéis à toutes nos demandes. Toutes. Et pour tous les gens qui passent ici, tu es Emmanuelle. Si après ces quinze jours, tout le monde est content, tu restes et les choses sérieuses commencent. Féminisation, traitement hormonal, et éducation parce que tu manques de tenue et de savoir-vivre. Je ne vais pas tarder à jouir. Si tu te retires, c’est que tu refuses, si je jouis en toi tu es à nous pour les 15 jours qui viennent."

Ses mains ont quitté mes hanches. J’ai glissé vers l’avant jusqu’à sentir son gland sur le point de sortir puis me suis empalée brutalement sur sa queue.
"Monsieur, par pitié, défoncez moi. Faites moi la joie de jouir en moi, de m’inonder de votre sperme. Rendez moi femelle à tout jamais!"
Ses mains m’ont agrippée, et il m’a défoncée comme jamais jusqu’à éclabousser ma chatte de son foutre de mâle viril dans un hurlement. Quel bonheur! Je le sentais couler hors de moi, le long de ma cuisse, tâchant mes bas.
"-Merci ma belle" Virginie, des larmes dans les yeux, venait m’embrasser. Elle me fit allonger, et me masturba doucement sans que ses yeux ne quittent les miens. Je jouis plus fort que jamais auparavant et me répandis sur sa main aux si longs doigts. Qu’elle porta ensuite à ma bouche pour que j’y lèche chaque goutte de mon plaisir.
"-Nous serons très heureux tous les trois, tu verras ma chérie"

C’était il y a six ans et elle ne s’était pas trompée.


Ce soir là, j’ai dormi au pied de leur lit, sur un petit matelas. Je me suis réveillée tôt et je les ai regardés dormir. Ils étaient magnifiques. J’ai eu envie de me glisser entre eux. Puis Virginie a ouvert un œil. Elle a murmuré:
"-Bonjour ma chérie. Ne faisons pas de bruit, Marc aime dormir le matin. Viens."
Elle s’est levée, a enfilé un peignoir sur sa nuisette et nous sommes descendues. Autour d’un café, Virginie a commencé à m’expliquer comment se passeraient les prochains jours.
"-Il faudra que ton premier réflexe chaque matin soit de te préparer. Douche, crème, épilation si besoin et maquillage. Puis tu t’habilleras. Si Marc a laissé une consigne à ce sujet, tu la suivras bien sûr. Sinon, je te dirais. Viens, je vais commencer à te montrer comment prendre soin de toi et te maquiller. Mais d’abord, tu dois apprendre à être propre partout... ce qui veux dire aussi à l’intérieur..."
Et elle m’expliqua l’utilisation d’une poire à lavement... Beurk pensais je. Mais je m’exécutais pourtant... Puis elle revint vers moi après ma première douche rapide. Durant une heure très douce et tendre, je fus lavée, toilettée presque, et maquillée. C’était étrange, une partie de moi se rebellait, me disait que j’étais quand même un homme. J’essayais de me convaincre que je m’amusais juste, que cela s’arrêterait comme ça avait commencé, quand je le déciderais. Puis ces pensées s’évanouirent (temporairement) quand je me vis dans le miroir puis en sentant glisser sur mes jambes les magnifiques bas noir que Virginie m’avait donnés. Si vous saviez la douceur et la sensualité de la lingerie féminine sur votre peau préparée! Elle me prêta aussi une jupe et un haut assez chics. La jupe m’allait sûrement moins bien qu’à Virginie, mes hanches à cette époque n’ayant pas encore la rondeur qu’elles ont aujourd’hui. Dans mon magnifique soutien-gorge, elle glissa une paire de faux seins. Perruque ajustée, j’étais prête.
"-Dis, vous m’avez parlé de féminisation, de changement de corps, vous vouliez dire quoi?
-Nous n’en sommes pas là Chérie.
-Oui mais...
-Perds l’habitude de répondre! Quand nous te disons stop, c’est stop!"
C’était la première fois que je la voyais sévère et cela m’impressionna. Même si une partie de moi avait envie de se rebeller et de dire "je fais ce que je veux!". Mais je ne dis rien et baissais les yeux.
Nous descendîmes à la cuisine où Marc nous rejoignit. Il embrassa tendrement sa femme et à ma grande surprise vint m’embrasser aussi.
"-Bonjour les filles. Ma petite Emmanuelle, tu es très jolie ce matin! Virginie est une magicienne, non?" Puis se tournant vers Virginie "Ma douce, je serai là vers 19h ce soir. C’est quoi votre programme aujourd’hui? Tu n’oublies pas ma petite surprise, hein?
-Ne t’inquiète pas Amour, tout est prévu pour ce soir. Quant à nous, aujourd’hui, c’est shopping, il faut habiller la petite. Puis Emmanuelle va commencer à découvrir ce qu’est la vie d’une catin à domicile. Les vidéos, les cours de maquillage, l’apprentissage de l’obéissance, l’abdication de sa prétendue masculinité, la découverte du corps féminin...
-Hé, regarde, ça lui fait de l’effet à la gamine!"
Je baissais les yeux et constatais avec un mélange de honte et de plaisir de cette honte qu’une bosse déformait ma jupe.
Cela les fit rire.
Au bout d’un moment, Marc partit travailler. Virginie monta s’habiller en m’ordonnant de rester là, assise, sans un mot.
Elle redescendit, sublime.
"-En voiture chérie!
-Je vais m’habiller Madame.
-Comment ça t’habiller? Tu es habillée!
-Je vais pas sortir comme ça, en fille?!
-En femme. Tu es une femme Emma, alors tu vas sortir en femme.
-Non, je ne...
-Non?! Tu as dit non? Tu ne peux pas dire non. Souviens toi des termes de notre proposition.
-Oui mais...
-Pas de mais! Choisis, maintenant! Ou tu disparais et tu retournes à ta petite vie de branleuse de sauna ou tu continues avec nous. Mais dans la plus stricte obéissance."
Mon premier réflexe fut de fuir. Puis je me dis que je pouvais toujours voir jusqu’où ça allait et partir plus tard. J’étais troublée... Par le souvenir de la nuit précédente, la beauté de ce que j’avais ressenti, la perspective d’obtenir cet orgasme inconnu que Marc avait failli me donner. Et, même si je ne me l’avouais pas vraiment, par le bonheur absolu et le sentiment d’être enfin à ma place que j’avais ressenti en étant prise par Marc tandis que je léchais Virginie. Comme une femme bisexuelle.
Et nous partîmes donc. A mon grand soulagement, Virginie entra sur l’autoroute et prit la direction de Lyon. Une heure plus tard, nous déambulions dans des rues chics. Les regards des hommes s’attardaient sur nous, certains tentaient d’engager la conversation. Virginie les écartait gentiment, visiblement habituée à être l’objet du désir des hommes. Personne ne me traita de travelo.
"-Tu vois mon cœur, tu es une femme. Même eux le sentent. Et ils te voient ainsi."
Durant deux heures nous fîmes le tour de plusieurs boutiques où Virginie acheta pour moi de la lingerie, des chaussures, des vêtements, des accessoires. Tout était très classe. Et les prix me parurent hallucinants alors même que Virginie ne semblait pas y faire attention. Puis nous conclûmes notre tournée par un sex-shop. Là elle acheta de la lingerie particulièrement vulgaire, sans rapport avec les articles délicats et fins que nous avions achetés plus tôt et quelques accessoires qu’elle refusa de me montrer. Puis nous rentrâmes.
A peine arrivées, elle me dit:
"-Enlève ta jupe et ta culotte."
Je m’exécutais immédiatement, ravie à l’idée d’un nouveau rapprochement physique avec elle. Elle dut s’en rendre compte...
"-Tu réagis encore en presque mâle ma douce. Mais j’ai là de quoi te rappeler ce que tu es. Viens ici!"
Je m’approchais et elle exhiba une boîte dont elle sortit un objet bizarre. Une cage courbe avec un petit cadenas.
"-Ceci va te maintenir femelle et asservie."
Elle installa la cage autour de mon pénis. Celui ci se retrouva donc emprisonné tandis qu’elle glissait la clef sur une chaîne qu’elle portait au cou. Puis elle m’embrassa passionnément, se frottant contre moi, posant mes mains sur ses seins. Mon sexe commença à durcir pour se retrouver vite contraint, bloqué. C’était frustrant et un peu douloureux. Elle s’écarta de moi, reculant en dansant doucement. Ses vêtements glissèrent au sol lentement, un par un. En porte-jarretelles vert émeraude, soutenant des bas noirs eux mêmes disparaissant dans des escarpins noir satinés, elle dansait langoureusement, ses yeux vrillés dans les miens. Elle jouait avec ses longs cheveux ondulés roux, s’en servant pour cacher puis découvrir ses lourds seins laiteux... Une de ses mains s’égara dans sa culotte, je pouvais deviner ses doigts à travers le tissu arachnéen jouer avec sa toison vénitienne. Il devint vide évident qu’elle avait commencé à se masturber, son souffle changeait. Jamais ses yeux ne me quittèrent. J’étais dans un état d’excitation inconnu. Je voulus la rejoindre et elle m’intima sèchement de rester à ma place. Elle se caressa longtemps, me mettant au comble de l’excitation! Elle jouit enfin et se moqua de ma visible frustration. Me conseillant de m’y habituer, me disant que je n’étais là que pour son plaisir, que le mien serait une récompense dont elle déciderait ou non de l’attribution. Puis elle fit glisser sa culotte sur ses longues jambes. Quand elle fut autour de ses chevilles, elle murmura:
"-Viens ma chose, mon jouet d’amour. Viens et lèche mon sexe. Je ne veux que ta bouche et tes lèvres. "
Je tombais à genoux à ses pieds et enfoui mon visage dans ses odeurs. Son sexe trempé me rendait folle. Je la léchais goulûment, avec bonheur. Mon visage était recouvert de sa liqueur intime, j’en voulais encore plus. Elle jouit brutalement, attrapant ma tête pour la coller contre ses chairs. Quel bonheur parfait!
Elle prit ensuite ma main et nous emmena vers les canapés. Là nous nous embrassâmes comme des folles, parcourant nos corps, nous frottant l’une à l’autre. Ses mains glissaient sur moi, m’arrachant de longs et délicieux frisson. L’une d’elle s’attarda sur mes petites fesses, glissa entre elles, caressant mon petit trou. Sa voix, rauque et troublée, résonna à mon oreille:
"-Je veux lècher ta chatte ma puce."
Et elle glissa à coup de petits bisous le long de ma colonne vertébrale. Puis je sentis la pointe de sa langue titiller mon anus. Cette sensation était incroyable. Tellement plus fine et efficace que les hommes. Elle me lécha longtemps, je gémissais malgré moi, croisant parfois son regard souriant et chaviré. Je sentis enfin un doigt s’insinuer en moi. Et je le voulais. J’en voulus rapidement plus. Et il y en eut plus...Trois doigts allaient et venaient en moi, tandis qu’elle couvrait mon corps de baisers chauds. Elle se retira brutalement.
"Ne bouge pas!"
Je l’entendis disparaître dans le couloir puis l’entendît revenir quelques minutes plus tard.
"-Cambre toi ma douce, offre moi ta chatte."
Surexcitée, je m’exécutais. La position, un peu humiliante, m’excitait terriblement. Je sentis quelque chose de ferme mais souple, doux appuyer sur ma chatte. Mes hanches roulèrent pour accentuer la pression. Elle se déroba.
"Non! Si tu veux quelque chose tu le demandes! Et peut être, si c’est aussi mon désir, que tu l’auras.
-S’il vous plaît Madame...
— S’il vous plaît quoi? Que veux tu, dis le moi."
Ma fierté renâclait à l’idée de demander à être prise. Mais j’en avais besoin, il fallait qu’elle me pistonne et me défonce. Il le fallait!
"-Madame, s’il vous plaît prenez moi...
-Non, tu n’as pas compris...
-Madame, si tel est votre désir, ma chatte vous est offerte.
-Ça mon cœur, c’est une évidence.
-Je suis à vous, usez de moi selon votre désir."
Et le substitut de queue fit pression sur mon anus à nouveau... Elle poussa, le gland lubrifié se fraya un chemin en moi et, conquérante, elle me cloua au canapé. Souffle coupé, tremblante, je la sentis démarrer ses va et vient en moi. Ses longs doigts agrippèrent mes hanches et elle intensifia ses mouvements. Trés vite elle s’est mise à me défoncer. Elle allait très vite, me traitant de catin, de sextoy, ridiculisant ma prétendue masculinité. Elle me lima ainsi longtemps. J’en conçus du plaisir, quelques douleurs et surtout, je dois l’admettre, une intense excitation d’être traitée en objet sexuel, en défouloir à pulsions. Je ne voulais être plus que ça, un adorable jouet salope.
De ce moment là et durant les deux semaines qui suivirent, je commençais à ressentir de la tristesse devant mon corps nu, désespérément plat. Habillée, préparée, j’étais bien, nue j’étais triste. Ce sentiment ne fit qu’augmenter durant ce premier séjour.




Après un moment de récupération, Virginie me dit qu’il fallait me préparer pour la surprise promise à Marc. J’évitais de la questionner, commençant à intégrer quel était mon rôle, ma place.
Direction la salle de bain pour tout le rituel de nettoyage qui devait me rendre disponible. Puis elle me maquilla. Je fus surprise en me voyant dans la glace affublée d’un maquillage vulgaire, outrancier, ressemblant plus aux peintures de guerre d’une pute bas de gamme qu’à la subtile mise en valeur à laquelle Virginie m’avait habituée. Quant elle me tendit les vêtements dont je devais me parer, je pus constater qu’ils allaient à merveille avec le maquillage... Body fendu en mauvaise dentelle fuchsia et bas résilles assortis. Par dessus j’enfilais une jupe ultra courte en simili cuir. Elle s’arrêtait plusieurs centimètres au dessus de la jarretière des bas. Je dus aussi chausser des talons ultra hauts noirs en mauvaise imitation de cuir. Une perruque blonde invraisemblable acheva de faire de moi une pute de bord de nationale. Quand je fus prête, Virginie recula pour contempler son œuvre. Elle éclata de rire, un peu méprisante. J’en fus choquée.
"- Tu ressembles à une prostituée, petite pute! Et pas à une belle escort! Non, à une pute de parking, vulgaire, sans grâce. Un trou pour se vider. Marc va adorer. Et en parlant de Marc, je te conseille de ne pas rater ta prestation. Il en attend beaucoup. Viens, maintenant, on y va!
-Je dois sortir comme ça?
-Ben oui, faut aller bosser morue.
-J’ai honte...
-Tant mieux."
Nous montâmes dans sa voiture et tout en roulant elle me livra leur scénario. je devais me poster au bord de la route que prend Marc pour rentrer du travail où Virginie me déposerait une demi heure avant son passage. Une demi heure à ressembler à une pute au bord de la route. J’en fus effrayée et lui demandais comment je devrais gérer les éventuelles demandes d’automobilistes. Elle me répondit de me débrouiller mais qu’en cas de souci, il y avait ce qu’il fallait dans mon sac pour régler les problèmes. Savoir que j’avais de quoi me défendre me rassura à peine. Nous arrivâmes à l’endroit convenu avec Marc. Tandis que je descendais malgré moi de voiture, Virginie me dit:
"-Rappelle toi Emma, tu es une pute, tu dois gagner ta vie en te servant de tes seules compétences réelles, ta bouche et ton cul. C’est ton rôle pour ce soir, Marc ne doit pas être déçu...".
Elle démarra et la voiture disparut. Je me retrouvais seule, au bord de cette route en cette fin de journée qui s’assombrissait déjà. Derrière moi un chemin s’enfonçait dans les bois. Je décidais de regarder dans le sac moche dont elle m’avait affublée ce que Virginie m’avait laissé pour me défendre. Une feuille de papier avec les mots suivants "pipe 30 euros, baise 50 euros."... Et sous le papier, une boîte de capotes, des lingettes et un tube de gel lubrifiant. Rien d’autre... Je paniquais. Je fus tentée de me cacher dans le bois mais avec l’obscurité il devenait effrayant. Quelques voitures passèrent, ralentissant devant moi, leurs conducteurs me dévisageant sans vergogne. J’étais une marchandise. Quelqu’uns m’insultèrent, d’autres me "complimentèrent". L’un d’eux passa devant moi à vitesse très réduite, me détaillant du regard. Puis il accéléra et disparut. Je consultais ma montre. Encore 20 minutes avant l’arrivée de Marc... Quelques voitures passèrent... Ces regards, la fonction de pute à laquelle ils me limitaient commençaient à m’exciter un peu. Je me mis à jouer un peu les allumeuses, prenant du plaisir à aguicher les conducteurs. Une voiture finit par s’arrêter devant moi. Je reconnus le conducteur qui était passé quelques minutes plus tôt trés lentement. La vitre passager descendit.
"-C’est combien?
-Euh, non... En fait je ne suis pas là pour ça...
-Tu rigoles?! Allez c’est combien?"
Je percutais soudain que ce devait être un complice de Marc et Virginie. Ils me testaient. Très bien, ils allaient voir! je m’accoudais à la portière.
"-30 la pipe, 50 la baise.
-Ok... Attends... t’es un travelo! Merde! Putain, j’aurais pas cru. Je sais pas trop du coup... Bon allez, faut que je me vide, tu feras l’affaire"
Il se gara. Je n’avais pas prévu ça. Je pensais qu’il vérifiait juste que je jouais bien mon rôle. Il descendit de sa voiture. Costaud, grand, une petite bedaine, la quarantaine sans grand charme.
"-C’est où ton coin?
-Pardon..? répondis je en panique
-Bon j’ai pas que ça à faire! Viens!
Il me prit le bras et m’entraîna dans les bois. Quelques mètres plus loin il s’arrêta et ouvrit sa braguette, en sortant un sexe déjà en semi érection.
"Suce moi seulement, je baise pas les travelos."
Je ne savais pas quoi faire. J’avais aussi un peu peur de cet homme déjà énervé par ma qualité de travesti. je décidais sans joie de m’exécuter.
"J’aurais préféré une vraie femme. J’espère au moins que tu sais sucer."
Sa remarque me vexa et me décida à lui montrer que j’étais femelle sinon femme. Je pris son sexe dans ma bouche, chatouillant son gland du bout de la langue. Durant quelques minutes je m’appliquais sur sa queue, suçais avec avidité et un féroce désir de lui donner une pipe qu’aucune femme ne lui donnerait jamais. Je le méprisais et cherchais à le punir en lui donnant le maximum de plaisir!
"P’tain t’es bonne la pute. Ca m’excite merde! J’vais te baiser, t’as des capotes?"
J’en sortis une de mon sac et la lui enfilais.
"Tourne toi salope, penche toi et tiens toi à l’arbre.
Je mis un peu de gel sur ma chatte et m’exécutais. Il agrippa mes hanches, présenta son gland et commença à forcer. Je détendis mon anus, poussais un peu et il entra. Assez vite il se mit à me défoncer tout en m’insultant.
"Grosse pute, salope, t’aimes te faire tringler par un vrai mec hein lopette? Connasse, je vais te casser le cul comme tu aimes. Tu fais la pute parce que t’es bonne qu’à ça. Je vais jouir dans ton cul de chienne. T’as pas honte d’être une pute?"
Il me secouait dans tous les sens, persuadé sans doute d’être un amant fabuleux. Il me faisait un peu mal mais il était hors de question que je le laisse le voir. Il finit par éjaculer en miaulant un cri ridicule. Il me claqua les fesses en se retirant. Deux secondes plus tard il était rhabillé et se dirigeait vers sa voiture. Je passais une lingette entre mes fesses et rajustais ma jupe. Quand je rejoignis la route, je vis une voiture arrêtée derrière celle de mon "client" qui d’ailleurs ne m’avait pas payée. La voiture de Marc... Celui ci en sortait tandis que l’autre montait dans la sienne. Avant de démarrer il apostropha Marc.
"Fais gaffe, c’est un trav! Il aime le cul ce dégénéré. Je l’ai pas payé, c’est lui qu’aurait du me payer pour le plaisir que je lui ai donné à ce dégueulasse!" Il démarra là dessus, nous laissant seuls.
"Bonsoir mademoiselle... Quels sont vos tarifs?"
Je réintégrais mon rôle tant bien que mal.
"-30 la pipe et 50 l’amour chéri.
-c’est cher...
-Mais non mon chéri, je les vaux largement... Viens tu vas voir...
Marc me suivit jusqu’à mon "coin". Par terre traînait la capote de mon premier client.
-Mon petit cadeau d’abord et après je vais bien m’occuper de toi.
Marc me tendit 50 euros. Je m’agenouillais devant lui et commençais à dégrafer son pantalon pour exhiber son beau sexe.
-T’es bien monté Minou... Je vais aimer m’occuper de toi.
Je le pris dans ma bouche et commençais à le sucer. Je m’appliquais amoureusement sur ce sexe qui m’avait déjà tellement donné. J’étais tellement concentrée sur ma tâche que je mis du temps à percevoir les bruits autour de nous. Une ou plusieurs personnes se cachaient pas loin, nous épiant. Cela m’excita très fort à mon grand étonnement. Quand Marc fut bien dur, tout vibrant, je me relevais et m’appuyant à l’arbre je lui dis, faisant en sorte d’être entendue par les voyeurs:
-Allez baise moi chéri, fais du bien à la pute du bois...
Il rugit et vint se placer derrière moi. Son sexe glissa dans ma raie, me faisant frissonner chaque fois qu’il passait sur ma chatte. Je finis par le supplier de me prendre. Et il le fit. Il entra lentement en moi, me pelotant les fesses, le ventre, les seins. Quand il fut entièrement entré, il commença de délicieux aller-retours, bien plus subtils que les gesticulations de mon premier client. J’apercevais dans la pénombre les deux hommes se branler en nous regardant. J’entendais leurs commentaires sur la chienne, la salope que j’étais. C’était très excitant de me faire baiser sous l’œil de voyeurs, d’être perçue comme une insatiable salope. Je prenais beaucoup de plaisir à cette situation... Mais Marc s’emballa soudain, et éjacula très vite, me laissant frustrée.
-Merci mademoiselle, c’était très bon.
Tandis qu’il se rajustait, je vis les voyeurs guettant son départ...
-Tu me ramènes chez moi Minou?
-Ok, 50 euros la course... Dit il en souriant.
Je lui rendis donc ses 50 euros.
-Assieds toi sur ta veste, je ne veux pas que tu évacues mon foutre sur mes sièges en cuir.
Durant tout le trajet, il ne dit pas un mot. En arrivant, il me fit signe de rester à la cuisine puis il rejoignit Virginie. Quelques minutes plus tard, celle ci apparut, magnifique dans une jolie petite robe verte.
Elle m’enlaça.
"-Bravo Emma chérie! Marc est très satisfait. Et même impressionné! Tu as mérité que je m’occupe de toi!"
Elle me fit couler un bain très moussant dans lequel je me coulais, heureuse. Je fus heureuse aussi de voir mon corps trop plat disparaître sous la mousse. J’étais bien, Virginie me caressait le visage avec tendresse. J’eus conscience à ce moment là que je venais franchir une marche de plus vers une nouvelle vie. C’était effrayant. Mais je devais me rendre à l’évidence. Jamais je ne m’étais sentie aussi bien, aussi comblée, aussi satisfaite. Mon ancienne vie me faisait horreur et je fus saisi d’une énorme angoisse à l’idée d’y être à nouveau abandonnée. Je décidais de faire tout ce qu’il faudrait pour les satisfaire, pour rester dans leur chaleur, pour faire sortir au grand jour la femelle en moi beaucoup plus apte au bonheur que le pseudo mâle dans lequel j’étais né.


                                                                                                                                                               A SUIVRE ?

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