samedi 24 mars 2018

DECLICS POUR UNE NOUVELLE VIE (PARTIE 2)



CHAPITRE 5 : déclics n° 9 et 10

 

J’ai donc avec le blog qu’avait tenu Christian, une importante manne de fans que je dois contenter, pour qu’enfin Christian tombe amoureux de moi. Il veut une salope, je vais en être une. Pas spécialement par attirance pour les autres hommes, car seul Christian m’intéresse. Mais s’il faut coucher avec d’autres hommes, de temps en temps, pour conquérir le cœur de Christian, aussi incroyable que cela puisse paraître, je le ferai.

Pour que les choses ne soient pas trop louches aux yeux de mes fans qui ne communiquaient qu’avec Christian, je me suis fait passer pour Christian :

« Chers fans, écris-je alors. Ce week-end, j’offre Jessica à l’un d’entre vous. Constituez-vous un bon petit dossier, et je choisirai le meilleur d’entre vous. Le verdict tombera vendredi à 18h et Jessica sera chez vous à 20h, à votre entière disposition. Mais attention à la marchandise, interdiction de laisser des traces visibles. »

Pour une première tentative, le résultat ne se fait pas attendre. Les photos et descriptions en tous genres affluent. Et c’est surtout durant la nuit que tout s’emballe. Vendredi à 18h, le verdict est tombé : un beau gosse avec une jolie queue, pas trop grosse pour moi… je vais prendre mon pied !

Mais alors que j’allais donner ma réponse et mon choix sur le blog…

« Pas si vite petite sotte ! »

Je sursaute et Christian se trouve dans mon dos. Je ne l’avais pas vu.

- Tu ne vas pas t’en tirer comme ça. C’est moi qui choisis pour toi.

- Mais il est déjà 18h, je dois donner ma réponse, réponds-je alors.

- Tu dois donner MA réponse, me corrige Christian, puisque tu t’adresses en mon nom. Et puis ne t’inquiète pas, j’ai consulté toutes les candidatures, et je sais déjà qui je vais choisir… »

Et il publie ma réponse, enfin sa réponse, sur le site…

Et c’est ainsi que deux heures plus tard, je sonne à la porte d’un cadre dirigeant d’entreprise, quinquagénaire et marié, qui profitait de l’absence de sa femme pour découvrir le troisième sexe.

Il était convenu que je passerais tout le week-end chez lui. D’abord très doux, cet homme d’une cinquantaine d’années d’environ 1m80, bien bâti et très classe, m’en demande davantage. Ses caresses font place à des fessées. Ses sodomies lentement préparées disparaissent peu à peu au profit de pénétrations inattendues en plein sommeil, très douloureuses, d’autant que son sexe est énorme. Je n’ai pris aucun plaisir à ce week-end, et je n’en ai pas vraiment donné à mon partenaire, refusant de suivre ses ordres lorsqu’il me demande d’avaler, évitant même toute gorge profonde, avant de partir à 15h le dimanche, quand l’annonce précisait que la prestation prendrait fin à 18h.

J’ai donc été une très mauvaise amante ce week-end-là. Mais qu’importe. J’y suis allée, j’ai fait ce que Christian m’a demandé.

Oui mais voilà. Le lendemain matin, je découvre une pluie de commentaires destructeurs de mon amant de la veille : ‘Ennuyeuse, même ma femme en fait davantage. Vous voulez des seins ? Vous aurez une planche à pain. Vous voulez une bouche pour votre queue ? J’espère que votre gland s’y portera bien, car Jessica n’ira pas plus loin. Profitez bien de son cul dès le début, il est vite fatigué et hors service!’

Tant pis pour lui. J’en trouverai un autre pour le week-end prochain, et encore un autre…

Et justement, je passe une nouvelle annonce pour le week-end suivant, mais je reçois déjà moins de réponses. Je ne suis pas encore vraiment remise des sodomies à sec du week-end, mais cela ira pour vendredi. Mon beau gosse ne répond pas. Et j’ai beau me démener, avec un vieil homme bien dégueulasse, dans la même veine que Monsieur Denis, aucun bon commentaire à mon sujet.

Je décide donc d’abandonner mon statut de ‘salope de luxe non vénale pour le week-end’ et de passer à des annonces quotidiennes, pour des coups d’un soir, et même des coups dans la journée. C’est beaucoup moins contraignant pour les hommes, qui sont généralement mariés et dont la femme ignore tout de la double vie.

 

Et là, ça y est, je me rends compte que mon annonce remaniée correspond au besoin de beaucoup d’hommes. Je ne suis pas le type de femme à côté de qui on désire s’afficher dehors, avec laquelle on souhaite passer tout un week-end. Je suis la femme d’une nuit tout au plus, et plus généralement la femme d’un plan cul direct. Un simple objet sexuel.

Cela va à l’encontre de ce que j’ai toujours voulu devenir. Oui, j’aime le sexe, mais j’ai également besoin d’être aimée en tant que femme.

Ma première rencontre a lieu avec une personne qu’a choisie Christian, un homme de 35 ans, « 100% hétéro » et amateur de « culs lisses de trav ». Il est marié et me propose une rencontre dans son van, dans un coin tranquille au bois de Boulogne, entre midi et deux. Je ne connais pas son visage et n’ai reçu qu’une photo de sa queue. Un bel engin. Difficile à évaluer en photo, mais soit il a de petites mains, soit il est bien monté.

Sachant à quoi m’attendre, je pense bien à me dilater l’anus avant d’y aller, en me godant et en conservant un plug alors que je conduis jusqu’à l’endroit désigné.

Je me gare derrière son van, je descends, il m’ouvre la porte et je découvre un beau brun, cheveux courts, barbe de trois jours, environ 1m80. Bonne surprise donc.

« Salut Jessica, je suis ravi de te voir enfin en vrai. J’ai suivi toute ta transformation. Tu t’es bien fait avoir par Christian, ah ah !… »

Une larme commence à couler de mon œil. Il a raison, je ne serais pas ici, à deux doigts de coucher avec un inconnu sans vraiment en avoir envie, si Christian ne s’était pas pointé dans ma vie.

« Tu vas chialer maintenant, reprend mon inconnu ? Tu as signé espèce de dinde, maintenant tu dois assumer. »

Puis il baisse son pantalon, et s’exclame :

« Allez active-toi sale trou à bite, je reprends le boulot à 14h. »

Il s’assoit sur la banquette arrière de son van, je m’accroupis devant lui, et je commence à le sucer. Sa queue est plus grosse que celle de Christian et que toute autre que j’aie connue jusqu’ici. Pour la première fois, je n’arrive pas à faire une vraie gorge profonde. L’épaisseur de ce vît est trop importante pour mes amygdales. Je donne tout ce que j’ai, mais je me rends compte que je me croyais experte en fellations, en ma qualité de reine de la gorge profonde, mais le fait est qu’une bonne pipe, ce n’est pas seulement encaisser des aller-retour sans broncher. Il faut savoir jouer avec le gland de son partenaire, user de sa langue, de sa salive, de ses mains…

« J’ai connu mieux, m’interrompt mon inconnu. Bon allez fais voir ton cul. »

Je m’agenouille sur la banquette, lui debout derrière moi, je remonte ma robe et…

« Cochonne, vas ! Tu ne pouvais pas attendre et tu t’es fourré un plug ! »

Oups ! Je l’avais oublié celui-là. Au moins sa queue devrait mieux rentrer dans mon cul que dans ma bouche. Il me le retire donc et m’annonce la couleur :

« Dans ce cas, tu es déjà prête, nous allons pouvoir gagner du temps.

- Allez-y doucement, quand-même !

- Ferme la, poufiasse ! Déjà que tu suces mal, si en plus tu n’acceptes pas ta condition d’objet… Christian a ‘dit pas de trace visible’. Je vais juste te faire chauffer un peu l’anus. Beaucoup peut-être, et alors ? Tu n’as pas ton mot à dire. »

Et d’un coup sec, il me déchire les entrailles. Je hurle de douleur, dans sa totale indifférence. J’encaisse les coups. La douleur se mêle, comme d’habitude, à un plaisir croissant qui m’envahit le ventre, puis le corps tout entier. Mon inconnu m’agrippe les hanches. Il faut au moins cela pour éviter que je m’écrase sur le dossier à chacun de ses puissants coups de reins. Sous mes cris, nous pouvons entendre le claquement sourd de son pubis contre mes fesses…. Je n’en puis plus, je jouis !

« Aaaaah ouiii !! »

Toujours cette jouissance interne très particulière puisque je n’éjacule pas, ou seulement quelques gouttes. Juste un courant électrique qui me parcourt le corps, et un flash blanc qui m’aveugle qune seconde ou deux. Bien qu’à genoux, mes jambes ne me portent plus. Je vais m’effondrer quand mon inconnu me retient.

« Doucement, petite garce, tu as pris ton pied, c’est très bien, maintenant à moi, alors active-toi ! »

Il s’allonge sur le sol, sur le dos, et semble attendre quelque chose de moi. Je m’agenouille à ses côtés et prends alors son sexe en bouche.

« C’est ton cul que je veux, j’ai bien vu que tu ne savais pas sucer, mais j’adore ton cul bien lisse et bien bombé. Allez, donne tout ce que tu as ! »

J’ai compris, je m’installe à califourchon au-dessus de sa bite, et je m’empale dessus, genoux sur le sol, de chaque côté de son corps, face à lui, je me penche en avant et prend appui sur son buste et ses pectoraux bien durs que je sens sous son T-shirt, qu’il n’a même pas pris le temps d’ôter.

Je donne quelques coups de reins, j’ondule du bassin, je fais cela vraiment très bien. Il doit être au bord de la jouissance.

Mais au bout d’une minute à peine, je suis toute essoufflée. Je n’en puis plus.

« Bon ça suffit, t’es vraiment nulle, m’annonce mon inconnu. Accroupis-toi. »

Honteuse, je m’exécute et libère sa bite. Il se place à côté de moi, debout, et commence à se masturber.

« Tu vas au moins essayer de prendre des airs de chaudasse et me regarder dans les yeux pendant que je te jouis sur la gueule, c’est pas trop te demander ? »

 

Et il se branle devant moi, qui le regarde, pressée que cela prenne fin. Il finit enfin par me juter sur le visage, puis sans mot dire, ouvre la porte du van, et me jette dehors, la jupe encore relevée, le cul en feu, et surtout le visage plein de sperme. Il a joui abondamment, j’en ai dans les cheveux, devant les yeux et cela coulait le long de ma joue.

Je cours jusqu’à ma voiture, non sans attirer quelques regards curieux et pervers de joggers et d’automobilistes qui ralentissent afin de mieux m’observer.

Humiliée, je rentre chez Christian, en pleurs. J’aime l’humiliation, c’est un fait. J’adore cette situation insultante et je prends d’ailleurs un malin plaisir à ne pas essuyer tout ce jus qui coule sur mon visage, et à le regarder dans mon rétro. Mais je venais de faire une douloureuse découverte : contrairement à ce que je croyais et m’avait laissé croire Christian, je ne suis pas du tout un bon coup. Je ne sais pas sucer un gros calibre, et je suis incapable de prendre la moindre initiative, me fatigant au bout de trois coups de bassin.

Je ne suis pas la femme que j’aurais voulu être, je ne suis pas la chienne capable de faire grimper aux rideaux n’importe quel homme. Je suis bonne pour les vieux pervers. Je suis un coup de seconde main, en quelque sorte. Ce lourd constat et cette difficile prise de conscience est une étape importante de ma nouvelle vie. C’est même mon neuvième déclic, qui va m’amener à prendre une énorme décision, lorsque je l’annonce à Christian :

« Je viens de voir que je ne serai jamais la femme que j’ai toujours souhaité être, lui dis-je. Je souhaite rentrer chez mes parents. Je prends le risque, et je referai ma vie là-bas.

- Tu prends là une décision radicale. Trop radicale pour une petite sotte de ton espèce, incapable de réfléchir. Je vais te donner le temps de la réflexion. Suis-moi. »

Je lui emboîte donc le pas jusque dans la cave, et sans avoir le temps de crier ‘ouf’, il m’enferme à double tour.

‘OK, me dis-je, il me laisse l’après-midi pour réfléchir, nous verrons ce soir…’

Quatre interminables mois d’isolement ont passé, quasiment sans quitter la cave, et sans avoir la moindre relation sexuelle. Nous sommes début mars 2010. Aucun contact avec le monde. Mes parents doivent être morts d’inquiétude. Mes seuls contacts avec Christian sont lors des séances photos quotidiennes qu’il continue de prendre de moi. Ma transformation continue, mais je reconnais que je suis déçue de ma poitrine. Mes seins ne grossissent plus et n’atteignent même pas le bonnet B. Très loin de ce que j’avais imaginé lors de mes premières prises d’hormones. Mais je suis contrainte de continuer mon traitement, si je ne veux pas être une véritable femme à barbe. En attendant, ce sont mes cheveux qui ont bien poussé. Plus besoin de perruque, j’ai maintenant une belle chevelure qui descend jusqu’aux épaules.

L’isolement devient très difficile, mais je ne cherche pas à lutter. Je me contente d’accepter mon sort. Même après plusieurs mois, il est très difficile d’avoir confiance en soi dans un nouveau corps, un nouveau genre, sous un nouveau nom. On a tendance à tout encaisser stoïquement. Puis en cette fin d’hiver, Christian vient me voir et m’annonce :

« Viens, nous allons discuter.

- Christian, ma décision n’a pas changé, je veux rentrer chez moi.

- Tiens ! Je t’ai préparé un jus d’orange. »

Assoiffée et reconnaissante, je bois mon verre d’un seul trait, sans savoir que je venais d’ingurgiter… mon dixième déclic !… et pas des moindres.

« Maintenant assieds-toi et écoute moi, reprend Christian. Les hormones n’opèrent plus de réelle transformation physique chez toi. Passons à l’étape supérieure. Celle spécifiée au dernier paragraphe du document que Rémy t’a fait signer il y a près d’un an.

- De quoi s’agit-il ? Vous savez bien que je ne l’ai pas lu.

- De la dernière étape de ta transformation.

- Pas question ! lui réponds-je, pensant comprendre de quoi il s’agit. Je préfère rester telle que je suis là. Je suis bien assez féminine comme ça.

- Ecoute-moi bien poufiasse, tu m’appartiens. Je fais ce que je veux de toi. Je peux disposer… toi… le veux… Tu… »

Je saisis alors de moins en moins ses paroles. Mon regard devient vide, je ne vois plus clair. Je sens que je m’endors. Mon Dieu ! Le jus d’orange !…

 

CHAPITRE 6

 

Me voici allongée sur un lit, dans une pièce blanche d’abord très floue, mais qui se dessine peu à peu. Je suis dans un hôpital ou une clinique. J’ai envie de me lever, mais j’ai mal partout. Mes fesses sont extrêmement douloureuses, mon abdomen également. En fait c’est bien simple, je n’arrive à bouger que mes bras, bien qu’encore très engourdis, par l’anesthésie j’imagine.

Ça me revient, le verre de jus d’orange, puis le flou. Et cette histoire de transformation, de dernière étape. Il semble que j’avais bien compris ce qu’avait prévu Christian pour moi. Mais j’ai l’impression qu’il est déjà trop tard. Vite, je fais glisser les draps jusqu’à mes genoux. Je suis couverte de bandages. Depuis les cuisses jusqu’au nombril, ainsi que sur la poitrine. Et, surprise, mon visage est également couvert de bandages.

Les forces me reviennent peu à peu. J’arrive enfin à me lever, chancelante. Et alors que je vais enlever mes bandages pour découvrir ce qu’on a fait de moi, une personne entre dans la pièce. C’est Christian.

« Tu sembles bien pressée de découvrir ton nouveau corps. Justement, cela fait 15 jours que tu es sous sédatifs, suite à tes opérations. Nous t’avons laissée te réveiller pour que tu assistes au dévoilement du résultat de ce travail d’artiste.

- Nous ? Qui ça ?

- Tu as été opérée dans le plus grand secret par l’un des chirurgiens plastiques les plus réputés au monde. Celui-ci m’a fait un bon prix, très emballé par ton histoire. Mais il souhaite garder l’anonymat. C’est donc moi qui vais défaire tes bandages. »

Et Christian s’exécute. Il commence par l’énorme bandage sur mon abdomen et mes fesses. Je vois apparaître une taille beaucoup plus fine qu’avant, un ventre plat, des fesses extrêmement rebondies. Et je n’exagère pas sur l’adverbe. Elles sont bien extrêmement rebondies. Et mes hanches sont encore plus larges qu’avant ! Par contre, je suis pleine de bleus.

« La cicatrisation semble parfaite. Les bleus partiront avec le temps, c’est normal. Nous t’avons liposucé l’abdomen et une partie des cuisses, afin d’affiner tes jambes et ta taille. Puis nous avons réparti les graisses résiduelles sur tes hanches et surtout tes fesses. Tu as aujourd’hui un cul à faire bander un nonagénaire sur son lit de mort. »

Je suis trop déboussolée pour réagir. Pourtant, je me trouve belle. Et ce n’est pas fini. Christian ne me laisse d’ailleurs pas vraiment le temps d’exprimer mon avis, et défait le bandage sur ma poitrine, dont on devinait déjà, bien que compressée sous le tissu tendu, qu’elle était plus grosse qu’avant. Beaucoup plus grosse à vrai dire. Une fois les bandages ôtés, une lourde poitrine tombe et me tire la peau du torse.

« Du travail d’artiste, s’exclame Christian ! Nous t’avons bien évidemment implanté deux prothèses en silicone, autour desquelles nous avons joint une partie de la graisse issue de ta liposuccion, pour un effet plus réaliste, moins rigide. Tu as désormais de beaux seins qui ont l’air relativement naturels.

- Relativement, c’est le mot. Ils sont énormes !

- Un bonnet F. Le professeur pensait te faire un bonnet C, comme à la plupart de ses patientes. J’ai insisté pour le bonnet F. Mais encore une fois, l’idée ne vient pas de moi, mais de tes fans, sur ton site. D’ailleurs, fais leur un petit signe à ta droite, ils te regardent. »

 

 

J’aperçois alors une petite webcam placée devant la fenêtre. Les pervers ! ils sont tous complices et moi, je suis la victime d’une opération pour laquelle j’avais signé, un an auparavant. Et c’est alors que Christian dévoile mon visage. Déjà, un élément saute aux yeux : mes lèvres sont énormes. Pulpeuses et sexy, certes, mais vraiment énormes. Et mes pommettes ont été retravaillées, ainsi que mon menton, mon nez, et mes arcades sourcilières. Tous mes traits ont été affinés. J’ai l’air d’une femme à 100% désormais. A un détail près : mon pénis est toujours là.

« Oui, m’annonce Christian, c’est le sujet sur lequel tes fans étaient le plus partagés : garder ton pénis que tes hormones ont de toute façon rendu totalement impuissant, ou bien te créer une belle petite chatte. J’ai insisté pour que tu gardes ton sexe. Tes baiseurs viendront voir une trans, pas une femme, il te faut donc une queue. Aussi petite et mole soit-elle. »

Christian parle désormais de moi comme d’un produit en développement. Il est loin le temps où je nous croyais deux amants vivant leur romance interdite. J’ai l’impression d’être son jouet désormais.

« Je dois dire que je suis très satisfait du résultat, s’extasie alors mon créateur. Tu vas faire des heureux avec tous tes nouveaux attributs. Mais assez perdu de temps ici. Le professeur va t’examiner et nous pourrons ensuite quitter cet établissement. Cependant, il souhaite rester anonyme, donc je vais devoir te rendormir. Pas de surprise cette fois-ci, tu vois ? Allez tends ton bras. »

C’est alors qu’il présente une seringue à mon bras. Je ne lui oppose aucune résistance, trop perdue que je suis dans ce nouveau corps, et surtout, aussi incroyable que cela puisse paraître, j’aime ce qui m’arrive. Plus encore que jamais, je me sens reconnaissante envers Christian pour tout ce qui m’arrive…

Une piqûre, je vacille, Christian m’allonge sur le lit, ma vue s’opacifie… puis je me réveille dans ma cave, chez Christian.

 

De nouveau enfermée dans cette pièce qui fut ma prison durant de longs mois. J’y passe encore cinq semaines supplémentaires, le temps que les bleus sur mon corps se résorbent totalement. Nous sommes alors début juin 2010, Christian fait irruption dans ma chambre pour m’annoncer ma libération :

« C’est le grand jour pour toi. Un fan souhaite te rencontrer ce midi. »

Je suis devenue la chose de Christian. Une situation vraiment peu enviable, et pourtant, il ne se passe pas une journée sans que je prenne plaisir à cette vie, et à exécuter la moindre « mission » pour mon créateur.

Un homme marié voulant tester de nouvelles choses ? Je suis cette nouvelle chose à la sortie du bureau.

Un gang-bang avec des fans de mon site ? J’accepte toutes leurs queues.

Un riche homme d’affaires a besoin d’une soubrette pour le week-end ? Je me charge de lui nettoyer la queue.

Fin juin 2010, au bout d’un mois de rencontres sans discontinuer, mon corps me hurle cependant sans cesse de ralentir. Je ne tiendrai pas très longtemps sur un tel rythme. Et à mesure de ces rencontres dans mon corps de femme, j’ai découvert que je pouvais prendre du plaisir avec d’autres hommes. Pas seulement Christian.

Je prends alors conscience que Christian m’a bien menée en bateau. M’a-t-il forcée ? Non. J’ai tout accepté sans broncher. Mais je me rends compte que je ne suis rien d’autre qu’un objet pour Christian, et ce n’est pas ce que je souhaite. J’ai besoin de tendresse et d’amour. Après quelques jours de réflexion, je décide alors de prendre la fuite. Et cette décision constitue mon onzième déclic.

 

CHAPITRE 7

 

C’est donc quasiment un an jour pour jour après notre rencontre que j’ai quitté la maison de Christian, discrètement, alors qu’il était au travail. Emportant autant de garde-robes que possible, je m’évade dans la jungle parisienne. Mais où aller ? Je décide de retourner auprès de ma famille en province. En espérant qu’ils me soutiennent. Ils sont mon dernier espoir.

J’utilise un peu de cash volé à Christian pour payer un billet de train et un taxi. Le regard des gens est pesant. Je ressemble bel et bien à une femme, mais une femme d’1m92, aux lèvres pulpeuses, aux seins volumineux et au fessier exagérément rebondi. Je ne laisse donc personne indifférent. Certains paraissent dégoûtés, les autres semblent vouloir me baiser. Mais il n’y a pas de juste milieu.

Le chauffeur de taxi a même fait un crochet par un petit chemin en lisière de forêt pour m’imposer une fellation. Dégoutée, mais consciente qu’il pourrait me laisser seule au milieu de nulle part, j’accepte sans broncher. Je me sens même libre à l’idée d’avoir un rapport non planifié sur le web, le premier depuis ma rencontre avec Christian. Je l’invite donc à m’accompagner en dehors du véhicule, et à me culbuter à plat ventre sur le capot de sa voiture. Ce n’est pas un excellent baiseur, loin de là, mais j’ai joui. La jouissance de la liberté, peut-être.

J’arrive chez mes parents. En plein jour, j’ai peur que les voisins me reconnaissent. Je cours jusqu’à la porte, et frappe. Mon père ouvre la porte, et j’entre sans même parler pour qu’il referme la porte derrière moi.

« Qui êtes-vous madame ? Je n’attendais pas de visite.

- Tu ne me reconnais pas, papa ? »

Un long regard, droit dans les yeux, un silence glaçant, puis une réponse, enfin :

« Arnaud ? Mais c’est impossible ? Qu’as-tu fait ? »

Pas le temps de répondre. On sonne à la porte. Mon père me demande de me cacher dans le bureau, et ouvre la porte. C’est Stéphane, notre voisin et meilleur ami de mon père. Je le connais bien, son fils a un an de plus que moi et nous jouions ensemble quand nous étions enfants. Depuis ma cachette, je les entends :

« Bonjour Louis, commence Stéphane. Comment vas-tu ?

- Euh… bien, merci Stéph, mais je suis assez occupé là.

- Occupé, tu m’étonnes, tu crois que je n’ai pas vu la bombe qui vient d’entrer chez toi ?

- Il n’y a personne, tu dois faire erreur.

- Arrête de me faire marcher. Je l’ai bien vue. D’habitude, on partage les plans cul.

- Quels plans cul ? Il n’y a jamais eu de plan cul, voyons…

- Ah ah ! Allez on est entre nous, la semaine dernière je t’ai laissé baiser Joséphine, ma collègue de bureau. Pas toute fraiche, je sais, mais c’est à ton tour de m’en fournir une. »

Je n’en crois pas mes oreilles. Aucun doute possible. Mon père trompe ma mère, et régulièrement apparemment. Tout s’effondre pour moi qui venais chercher la stabilité familiale. Mais le pire était à venir. En effet, c’est à cet instant que mon père s’exclame :

« Allez viens petite coquine, nous sommes démasqués. »

Ne comprenant pas sa stratégie, je m’exécute et sors du bureau. Et mon père de reprendre :

« Stéph, je te présente la belle… euh…

- Jessica, reprends-je, enchantée.

Stéphane : - Waow, joli morceau, on dirait une actrice X, tu l’as dégottée où ?

Papa : - Ça, c’est mon petit secret, mais vas-y, fais-toi plaisir. »

 

Je n’en crois pas mes oreilles. Mon père qui m’offre à son voisin. Il ne semble pas prêt à m’assumer telle que je suis devenue.

J’ai encore la possibilité de fuir, mais il faut croire que l’année passée m’a transformée bien plus en profondeur que je l’imaginais, et le côté glauque de la situation m’excitait. Comme pour signifier mon approbation, je fais un pas vers Stéphane.

Ce dernier m’attrape alors par le cou et me roule une pelle d’enfer. Très vite, je me laisse aller. Encore cette sensation de liberté, semblable à celle que m’avait procurée le taxi une heure avant. Il me met ensuite à genoux, sort sa queue qui est déjà toute dure, et me l’enfonce directement au fond de la gorge.

Stéphane : « Pouah ! c’est bon ! Tu sais ce que tu veux toi. »

Sous le regard de mon père, il se met à me gifler, tout en me pilonnant la gorge. J’adore ça ! J’ai l’impression de retrouver l’intensité de mes rapports avec Christian, au début.

Stéphane me redresse, et me place dos à lui, me penche en avant et frotte son sexe sur mon cul toujours vêtu de sa jupe. Ses deux mains m’agrippent les seins et les malaxent. Ces deux seins jeunes d’à peine deux mois, qui ont certes perdu en sensibilité, mais la sensation d’appartenance à un mâle viril ajoute un certain plaisir cérébral qui compense largement cette légère perte de sensation physique. Je laisse alors échapper quelques premiers gémissements.

Stéphane soulève soudain ma jupe, et s’étonne alors de voir son gland au contact de mes testicules, là où il s’attendait à trouver une chatte humide.

« Mais c’est un mec, s’exclame-t-il !

Papa : - Je l’ignorais totalement !

Stéphane : - Enfoiré, tu t’es foutu de ma gueule ! Baise-la alors, si tu t’en fiches. Je passerai derrière. »

Mon Dieu ! Je ne vais quand même pas me faire baiser par mon père ?!? Il faut que je réagisse.

« Non ! C’est mon père ! C’est moi, Arnaud !… »

 

Voilà ce que j’aurais dû dire pour mettre fin à cette situation embarrassante. Mais ces mots ne sont jamais sortis de ma bouche. Au lieu de cela, je me jette sur le pantalon de mon père que je baisse en un coup de vent, et j’enfourne sa queue encore molle dans ma bouche. Il a tôt fait de bander bien dur. Il est bien mieux monté que moi. Cette masse doit bien faire 20cm de long, et un bon 5cm de diamètre. Comment un vrai mâle comme lui a-t-il pu engendrer une femelle telle que moi ?

« J’ai dit ‘baise-la’, insiste Stéphane ! »

Et mon père s’empare de ma tête avec ses deux mains, et enchaîne les va-et-vient les plus violents que ma gorge ait jamais eu à subir. Même Christian n’en avait jamais fait autant, aussi fort.

C’est pour moi le retour des haut-le-cœur, des larmes et de cette sensation de devoir de bien faire plaisir à mon homme. Une vraie sensation d’appartenance. Ce n’est pas mon père, c’est mon maître !

« Pute ! Salope ! C’est tout ce que tu es pour moi désormais ! Un sac à foutre ! Tu n’es rien d’autre ! Prends ça ! Han ! Han !… C’est tout mon mépris que tu reçois dans ta gueule de putain !

Stéphane : Ouai vas-y Louis ! Défonce-la ! C’est la première fois que je te vois comme ça ! Fais-lui sa fête à cette petite chienne !

Papa : T’es une petite chienne c’est vrai. Mets-toi à 4 pattes, que je te prenne comme tu le mérites ! »

Commence alors la levrette la plus incroyable que j’ai jamais vécue. De longues minutes à fond dans mon cul que l’excitation avait suffi à lubrifier. A chaque coup, j’ai l’impression que mon père vise parfaitement le point le plus sensible de ma prostate. Une décharge électrique de plus en plus intense me parcourt, jusqu’à un flash blanc.

« Ouiiiiii ! »

Tout en m’effondrant sur le sol, je connais l’orgasme le plus violent de ma vie. Et c’est mon père qui me l’offre. Mais dans mon état à cet instant précis, impossible de faire la part des choses. Je prends mon pied, et c’est tout.

Mon père vient alors se finir dans ma bouche. Il se vide entièrement et veille bien à ce que j’avale tout. Stéphane de son côté se masturbe devant moi et éjacule sur mes seins, avant de partir en coup de vent.

« Ma femme va rentrer, annonce Stéphane. Je dois y aller. La tienne aussi, Louis. Dépêche-toi de jeter cette poufiasse dehors, conseil d’ami. »

Stéphane quitte la maison, et nous ne sommes plus que nous deux, mon père et moi.

« Tu n’es plus mon fils, affirme mon père. Arnaud est mort pour moi. Tu n’es qu’une pute sans honneur.

- Tu me parles d’honneur ? Pourquoi est-ce que tu trompes maman ?

- Ta mère est d’un ennui au lit, et encore, quand elle veut bien baiser. J’ai des besoins, moi, je dois les assouvir. J’aime ta mère, mais côté sexe, elle est nulle, et je préfère les femmes qui savent ce qu’elles veulent.

- Les femmes telles que moi ?

- Tu n’es pas une femme.

- J’ai besoin de toi, papa, je suis complètement dans la merde..

- Il fallait y penser avant, hors de question que l’on me voie avec quelqu’un comme toi, même si je reconnais que tu es vachement bien réussie comme trans.

- Alors nous pouvons continuer à nous voir ?

- … d’accord, me répond mon père, mais à deux conditions : tu ne parles jamais de toi à ta mère. Pas d’Arnaud, pas de Jessica.

- Ce sera dur, mais c’est d’accord. Et la deuxième ?

- Tu n’es plus mon fils. Je n’aurai aucun respect pour toi et tu accepteras ta condition.

- Entendu.

 

Cet accord passé entre un père et son fils qui n’avaient plus en commun que leur sexualité débridée, constituait mon douzième déclic.

Mon père m’installe dès le lendemain dans une petite garçonnière qu’il s’était aménagée en cachette, dans un village voisin.

Et dès le surlendemain, il a profité de sa pause déjeuner pour venir me retrouver.

« Allez ! Sois bonne et tais-toi ! »

OK, ainsi va donc se dérouler ma relation avec mon père. Mais ainsi soit-il. Sa présence me rassure. Alors je m’active. Le train habituel : je sors sa bite de son pantalon, je le suce, puis je lui tourne le dos et j’attends qu’il me prenne.

« C’est à ça que j’aurai le droit avec toi, me demande mon père ? Tu vas te mettre à quatre pattes et attendre que je te fasse jouir ?

- Qu’attends-tu de moi au juste ?

- Que tu sois une bête de sexe ! Donne un peu de ta personne, sinon je n’ai aucun intérêt à te garder ici. »

La même remarque que celle de mon inconnu du van… Je suis donc bel et bien une mauvaise baiseuse, et mon apparence post-chirurgie n’est qu’une façade qui ne suffit pas à contenter un baiseur tel que mon père.

« Bon allez, j’y vais, reprend mon père. Mais sache que je suis très déçu de toi. Devenir une trans et être un mauvais coup au pieu, je me demande vraiment quelle est ta place dans la société. »

Et il claque la porte sans même un au revoir, me laissant seule face à ma réflexion.

Donc selon mon père, on ne peut être transsexuelle et faire autre chose que baiser. Pas étonnant de la part d’un homophobe tel que lui. Mais ça reste mon père, je l’aime et je n’ai plus que lui dans ma vie. Je vais donc faire de mon mieux.

Je ne bouge pas du petit studio de mon père. Je l’attends de pied ferme dès le lendemain, prête à ‘donner de ma personne’, comme il dit. Mais il ne vient pas. Ni le surlendemain.

Ce n’est qu’au bout de huit jours, alors que je ne m’y attends plus, qu’il vient.

Je me jette alors à son cou, et je l’embrasse fougueusement, mais il me repousse aussitôt.

« Hé doucement, m’interrompt-il, je n’embrasse que les femmes dignes de ce nom. Contente-toi d’être une bonne putain et de me faire jouir. »

Je n’ai pas réussi à le faire jouir. Il a fini par se branler et est reparti mécontent de moi, pour ne revenir que deux semaines après.

Et là encore, j’ai été mauvaise. Je ne suis vraiment pas à la hauteur d’un bon baiseur tel que lui. Ses visites se font de plus en plus rares, hormis pour m’apporter des vivres toutes les deux semaines, mais il repart directement.

Je passe donc parfois jusqu’à un mois sans baiser, et sans voir personne puisque je n’ose toujours pas sortir.

Je décide alors de me prendre en mains. Lors de sa prochaine visite, j’essaierai d’être vraiment à l’écoute de son corps.

Cette visite arrive justement. Mon père entre avec deux gros sacs de course, les dépose à l’entrée, et s’apprête déjà à me quitter lorsque je le retiens par la main.

« Désolé petite chienne en chaleur, mais je vais voir une femme qui sait me faire grimper aux rideaux. Comme tous les jours où je ne te baise pas d’ailleurs… Tiens ! c’est drôle d’ailleurs, cette femme est une collègue de ta mère, et elles se détestent. J’adore cette situation ! Ta mère n’a qu’à se lâcher au pieu. »

Je trouve cela horrible pour ma mère. J’essaie de retenir mon père comme je peux. Mais comment retenir un tel mâle en rut ?

 

Je descends alors doucement, caressant son torse jusqu’à m’accroupir et me trouver à hauteur de sa queue, que je dévoile et commence à lécher, lentement. C’est la première fois que je prends le temps de retenir mes ardeurs, que je ne prends pas une queue directement à pleine bouche. Je la parcours dans son intégralité, je m’attarde aussi sur ses couilles. Maladroitement, mais cela semble faire son effet puisque mon père ne cache pas son plaisir :

« Hum… c’est ça, vas-y progressivement… hum… c’est pas mal… »

Je m’efforce de ne pas engloutir sa queue, devenue bien raide. J’en ai pourtant très envie. Je la lèche, je la branle, je malaxe ses couilles, et je sens qu’il aime…

Il me prend alors par les cheveux, et imprime de lents allers-retours à ma tête, le long de sa queue que je caresse de ma langue, avec douceur.

Son étreinte dans mes cheveux se fait de plus en plus forte. Je sens la pression de ses doigts sur mon crâne.

« Qu’est-ce que tu attends espèce de gourde, me lance alors mon père ? Tu ne vois pas que c’est le signal pour passer à la vitesse supérieure ? »

D’accord, il en a marre de la douceur. Alors je peux me lâcher. J’agrippe ses de mes deux mains, je prends sa queue à pleine bouche, et je commence des va-et-vient de plus en plus rapides. Sa queue bute contre le fond de ma gorge, je n’arrive pas à tout prendre. Elle est un peu trop grosse.

Je ferme les yeux et j’accélère le mouvement.

« Ne ferme pas les yeux, sois une bonne salope reconnaissante et regarde-moi dans les yeux, me conseille-t-il. »

Je fais ce qu’il me dit, et je vois qu’il prend du plaisir à me voir ainsi, les yeux humides cherchant son regard. Je dois avouer que j’éprouve moi aussi un certain plaisir dans cette situation assez humiliante. J’essaie d’avoir le regard le plus coquin, peut-être rendu encore plus ‘salace’ par mon mascara qui commence à couler.

Après quelques minutes de ce traitement, je prends l’initiative de me lever et de pousser mon père sur le lit. Sur le dos, il m’attend. Et tel un félin rampant près de sa proie, je m’approche de sa queue pour reprendre de plus belle ma fellation. Quel bonheur je vis à cet instant ! J’en oublie tous mes déboires passés, il n’y a que lui, moi, et le vide complet.

Je me redresse et me place à califourchon sur lui, et j’approche mon anus de sa queue. Bon sang ! Je suis toute humide et dilatée, pas besoin de gel !

Sa queue est très vite entièrement en moi, je redescends mon buste pour me trouver à plat ventre contre lui, les seins plaqués contre son visage. Il a l’air d’aimer ça puisqu’il les malaxe en plaçant sa tête entre deux, pendant que je m’emploie à onduler du bassin.

Puis je me redresse et j’accélère le mouvement. A l’aide de mes cuisses et prenant appui de mes mains sur son torse, je saute littéralement sur sa queue. Mes seins se balancent, et je sens une certaine douleur car cela tire sur ma peau. Mais mon père les prend en mains, ce qui m’excite encore davantage.

Je suis crevée, mais je ne lâche pas. Je quitte la position ‘à genoux’ pour passer la position ‘accroupie’, en appui sur mes pieds, je peux donner ainsi davantage d’amplitude à mes mouvements verticaux. Mes seins ballotent de plus belle lorsque mon père lâche son étreinte.

Je le vois pencher la tête en arrière et gémir, lorsque tout à coup :

« Ouiiiii !! »

Mon père me remplit le cul de sa semence, et je m’effondre sur lui, dans un cri de jouissance partagée.

J’ai vraiment l’impression que nous avons été en osmose, tous les deux. Je m’allonge aux côtés de mon père pendant que nous reprenons nos esprits.

 

Je ferme les yeux, perdue dans un vide intérieur total, quand soudain… je sens mon père parcourir mon corps de baisers. Aucun mot n’est échangé. Nous nous embrassons ensuite langoureusement pendant que mon père me caresse.

Puis il quitte le studio, sans mot dire, l’air troublé.

Qu’est-ce que c’était bon ! Vivement la prochaine séance, dans deux semaines lorsqu’il m’apportera les courses.

Mais dès le lendemain, il revient me voir. Quelle surprise ! Et nous baisons comme des fous. Puis le surlendemain, puis le jour suivant, puis tous les jours. Et chaque jour, j’apprends de nouvelles choses avec mon père. Il m’apprend à être active, il m’apprend aussi à être excitante en étant dominée. Il assure en fait mon éducation sexuelle, avec les travaux pratiques, et je ne suis clairement plus la même.

Il m’appelle Lisa. C’est le nom que j’ai choisi afin d’oublier Jessica et son passé douloureux.

Je prends confiance en moi, et je m’assume désormais pleinement. Je sors même dans la rue désormais. Y compris le jour. Je fais mes courses, toutes ces choses du quotidien. J’utilise un compte bancaire que mon père alimente régulièrement.

Au bout de deux ans de relations sexuelles quotidiennes et toujours aussi torrides avec mon père, que je ne considère plus comme un père mais bien comme un amant, une situation assez étrange s’est présentée à moi, à la caisse du supermarché.

« Vous devriez avoir honte, madame, entends-je alors d’une voix aigrie, juste derrière moi. »

Je me retourne alors, et je tombe nez à nez sur… ma mère !

« Vous devriez avoir honte de vous balader ainsi vêtue, en public. »

Il est vrai que pour une femme qui ne s’assumait pas en public quelques mois plus tôt, je suis maintenant totalement dans la séduction, à tout instant et en tout lieu.

« Vous êtes une salope, voilà ce que vous êtes, continue ma mère ! »

Elle ne m’a pas reconnue, pas étonnant en même temps. Seul mon regard n’a pas changé, mais sous mon mascara et mes faux cils, il est méconnaissable.

 

Elle me trouvait trop provocante, à son goût. Une robe décolletée rouge ultra moulante avec une ceinture noire pour bien dessiner ma taille, des bottes en cuire remontant jusqu’au-dessus du genou et aux talons aiguilles de 12 cm. Maquillage sombre sur les yeux, et rouge à lèvres assorti à ma robe, mettant en valeur mes lèvres pulpeuses, dont le moindre pincement signifie clairement ‘je veux de la bite’… Oui, je suis provocante.

« Mêlez-vous de ce qui vous regarde, lui réponds-je gentiment, mais fière.

- À quoi ça vous avance d’être ainsi vêtue pour faire vos courses ?

- À quoi ça m’avance ?… eh bien vous voyez l’homme à lunettes, à la caisse voisine ? Il me mâte sans arrêt.

- Il ne vous respecte pas et ne voit en vous qu’un bout de viande. En outre, il est marié.

- Marié à une femme qui ne semble pas le combler, puisqu’il a clairement envie de me baiser. Et je vous assure que s’il couche avec moi, il en redemendera tous les jours.

- Vous êtes une salope ! Une femme respectable sait garder son mari.

- Ah ah, tant mieux pour vous dans ce cas… »

C’est le seul échange que j’ai eu avec ma mère. Il y a quelques mois, je détestais mon père car il trompait ma mère. Aujourd’hui, en retrouvant mon père, je lui ai fait l’amour comme jamais. Toute la soirée et toute la nuit. Dès qu’il s’apprêtait à rentrer retrouver ma mère, je me rejetais sur sa queue. Par pure vengeance envers ma mère, que j’éjectais de mon cœur car elle n’était pas une bonne salope telle que moi.

Et au petit matin, alors que mon père doit aller retrouver ma mère et probablement lui expliquer son absence par je ne sais quelle excuse, en partant, il m’a lancé un « je t’aime » inattendu, auquel je n’ai pas réagi.

C’est mon amant, et quelque temps auparavant j’aurais tout donné pour ce « je t’aime ». Mais j’en veux plus. J’ai conscience que je suis devenue une bête de sexe. Et si je parviens maintenant sans mal à combler les besoins de mon père, les miens sont chaque jour plus importants, et je commence à ressentir un certain besoin de variété.

Je me suis alors mise à coucher avec de nombreux ‘hommes respectables’. En fait, avec tous les hommes que je sentais légèrement intéressés. Le moindre regard posé sur moi, et je savais que le bonhomme finirait dans mon lit, un jour où l’autre.

La garçonnière de mon père était le lieu d’un défilé d’hommes qui se succédaient parfois à plusieurs en même temps, pour rassasier ma soif de sexe.

Adieu la Jessica soumise aux moindres désirs tordus de Christian. Bonjour la Linda libre et libérée, qui baise qui elle veut, quand elle veut.

Cela fait maintenant 7 ans que je vis dans cette garçonnière, je baise toujours avec mon père, mais il ne se passe pas un jour sans que je voie au moins un autre homme. La garçonnière de mon père est désormais connue, certains viennent de loin pour moi et je dois souvent refuser du monde..

J’y ai fait les choses les plus inavouables qu’on puisse imaginer en matière de sexe.

Mon père m’avoua un jour que ma mère avait tiré un trait sur Arnaud, qu’elle avait fait son deuil. Je m’étais donc résignée à tirer définitivement un trait sur mon ancienne vie et sur ma famille.

Aujourd’hui, j’ai 30ans. Est-ce que je vis en plein rêve ? Ou bien vis-je en enfer ?… Un peu des deux surement. J’ai la vie que je voulais, mais à quel prix ?

Celui de mon ancienne vie, je suppose.

 

FIN… ou presque.

Un jour, un visiteur se présente à la garçonnière de mon père. On lui avait parlé de moi, mais comme je ne prends aucune photo de moi depuis que j’ai quitté Christian, c’est à chaque fois la ‘découverte de la marchandise’ pour les hommes qui viennent pour la première fois me rendre visite.

J’ouvre donc la porte…

« Jessica ?!? s’étonne mon visiteur. »

Il quitte l’endroit en courant et je ne l’ai plus jamais revu. Ce prénom me glace le sang et mon père, présent sur les lieux, s’en aperçoit, mais je ne souhaite pas en parler. J’ai besoin d’être seule et il me laisse.

Je cogite toute la journée, et je me demande si…

Vite ! je me connecte à internet, et je fais une rapide vérification. Ma crainte se confirme. Huit ans après, mon blog créé par Christian vivait toujours par sa communauté en grande partie renouvelée, mais toujours nostalgique de ma folle histoire. Je m’oriente vers le forum, et je vois ce que je ne voulais surtout pas voir, dans un nouveau sujet, publié le matin même :

« Je l’ai retrouvée ! »

Et le soir venu, on frappe à la porte de mon petit studio. J’ouvre alors la porte de mon treizième et dernier déclic…

« Bonjour Jessica, tu sais que je me suis inquiété ? Tu es à moi, tu le sais ça ? »

Christian est ici, devant moi. Je n’ai qu’à crier pour qu’on vienne à mon secours. Je prends une bonne respiration et m’apprête à hurler, lorsqu’il sort une laisse et un collier.

Je deviens toute pâle. Un courant de frisson me traverse, et sans comprendre pourquoi, je m’agenouille et le laisse m’attacher.

Aujourd’hui, j’ai 30ans. Est-ce que je vis en plein rêve ? Ou bien vis-je en enfer ?… Un peu des deux surement. J’ai la vie que je voulais, mais à quel prix ?

J’appartiens à un homme, j’ai perdu toute dignité, et aussi stupide que cela puisse être, je suis heureuse.

 

                                                                                                   FIN



AUTEUR ORIGINAL: ZOUZOU87 SUR XSTORY

2 commentaires:

  1. De belles hanches, une belle poitrine, des lèvres pulpeuses, un visage très féminin et un très beau corps à faire bander un mort, un apprentissage avec un excellent professeur et enfin un beau collier au bout d'une jolie laisse pour devenir enfin la chienne qu'elle a toujours été, le rêve

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  2. Merci pour ton commentaire. J'ai d'autres histoires a venir mais je doit encore retouché certains paragraphe avant de les publiées.

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