Comment l'envie d'un Mari de devergondée sa charmante épouse va finir par se retournée contre lui...
CHAPITRE 1
Je m’allongeais sur le dos, exténué. Comme d’habitude, Marie n’avait rien ressentie. Je faisais des efforts, pourtant. Mais, je devais me rendre à l’évidence : mon sexe était trop petit. 4 cms au repos, 9 en érection, et très fin. J’en avais toujours nourri une certaine honte. Marie était vierge lors de notre rencontre. Elle n’avait pas d’élément de comparaison. Mais au fil des mois, elle s’est rendue compte qu’il y avait un problème.
Surtout qu’elle avait abordé le sujet avec ses amies Laura et Sylvie. Leurs maris étaient normalement pourvus par la nature, et elles jouissaient régulièrement sous les coups de boutoirs de leurs hommes.
« Je voudrai faire l’amour avec un vrai mec. Je voudrai essayer une grosse bite, pour voir ce que ça fait… Offre-moi un mâle, viril, si tu m’aimes vraiment. Tu vois bien que je ne sens pas ta petite nouille. »
J’étais abattu. Si je ne lui donnais pas satisfaction, elle irait de toute manière voir ailleurs…
« Tu veux qu’on fasse l’amour à trois ? Tu veux être prise par deux hommes ? »
« Mon pauvre chou, je veux être possédée par un vrai mâle ! Tu crois que tu en es un ? Tu pourras peut-être me préparer pour lui, si il est d’accord… ».
Nous fîmes des recherches sur des sites de rencontres. Nous avions l’embarras du choix. Des hommes hyper membrés désireux de se faire une femme mariée étaient légion…Ma femme flasha littéralement sur un grand brun d’environ 50 ans, ressemblant à l’acteur Georges Cloney, et affichant une superbe érection. Son sexe devait faire trois fois le mien.
Marie ne pouvait pas détacher ses yeux de ce sexe monstrueux.
« C’est lui que je veux. »
Je lui adressai un message, lui décrivant ma femme et les raisons de notre recherche. Je lui joignais une série de clichés de ma femme posant nue. Ma femme, si belle. 1M65, 50 kg, brune, une taille fine, des seins très lourds (95 c), des fesses épanouies… Ce corps que je vénérais et que je ne pouvais pas combler.
Il se prénommait Marc. Il était chef d’entreprise et était un habitué de ce site. Il trouva ma femme à son goût et était prêt à lui donner le plaisir qu’elle méritait. Un rendez-vous fut fixé pour le lendemain dans une brasserie du centre ville. Il avait posé ses conditions. Ma femme devait être entièrement nue sous une robe très courte ; Elle devait porter des bas auto-fixants et des talons aiguilles. Je n’aurai pas le droit de l’embrasser ou de la toucher en sa présence. Tout le monde devrait croire qu’elle était sa femme. L’heure du rendez-vous approchait et Marie était très excitée. Elle sentait en Marc le mâle dominant qui saurait la prendre. Elle se fit la plus sexy possible. Je ne l’avais jamais vu comme cela.
Je voulu l’embrasser, la caresser… Elle me repoussa.
« je me prépare pour Marc ».
Nous arrivâmes à la brasserie. Marc nous attendait, il prit Marie dans ses bras et l’embrassa sur la bouche. Elle se laissa faire. Il me tendit son manteau ainsi que celui de Marie, en me demandant de les mettre sur le perroquet à l’entrée. Servile, je m’exécutais.
Les rôles étaient déjà distribués.
Il s’assit sur la banquette, à côté de Marie. Il lui demanda de remonter sa robe pour mettre ses fesses directement en contact du cuir . Je me positionnais en face.
« Alors Gérard, tu es le gentil cocu qui amène sa charmante épouse au taureau ? Tu as bien raison. Une femme bien baisée t’assurera un foyer harmonieux… Commande-nous du champagne. »
Je bredouillai un vague acquiescement et je passai la commande. Le repas fut un enfer pour moi. Ils m’ignoraient totalement. Il la caressait sous la table. Elle gloussait tout en enchainant les coupes de champagne.Après le dessert, il dit à Marie :
« va aux toilettes hommes, retire ta robe, penche-toi en posant tes mains sur le mur. Laisse la porte ouverte. Je vais descendre t’essayer ».
Stupéfait, je vis Marie se lever, sans un mot, et se diriger vers les toilettes.
« Elle n’attend que cela, cette salope. Je vais la prendre en main ta petite femme. Je vais remplir tes devoirs conjugaux. Tu pourras me remercier. En attendant, paye l’addition, et arrange-toi pour que personne ne nous dérange. »
Il se leva et descendit.
Je me postais devant toilettes, prêt à décourager tout importun. Je coopérais à mon propre cocufiage. Des gémissements me parvinrent. Puis des cris étouffés. Il avait dû lui mettre la main sur la bouche. Au bout de vingt minutes, je les vis remonter. Ma femme rouge, les cheveux en bataille. Elle semblait épanouie.
« Mon pauvre Gérard, tu dois t’impatienter. Et tu dois te poser plein de questions. Je peux te dire que Marie est une gourmande. Elle a découvert ce que baiser veut dire. Mais allons chez vous. Je vais te montrer des choses intéressantes ».
Je me mis au volant, Marc et Marie se mirent à l’arrière.
« Allez-y chauffeur ! » Ils éclatèrent de rire.
« Et si on en faisait notre larbin ? Il a l’air bien coopératif ton petit cocu… Suce-moi chérie »
Je ne pus m’empêcher de regarder dans le rétroviseur. Je vis ma femme se pencher et extirper une superbe verge. Gonflée de désir. J’en étais estomaqué. Admiratif. Ma femme commença par lécher le gland, puis descendit le long de ce long braquemart… Elle essaya de le mettre entièrement dans la bouche mais n’y arriva pas. Elle gémissait. Sucer Marc l’excitait.
« Ne t’en fais pas ma petite pute, tu y arriveras, je t’apprendrai… »
Nous prîmes l’ascenseur. Je les regardais s’embrasser. Marc prenais possession de ce corps sublime. A peine entrés dans l’appartement, Marc me dit :
« sers nous à boire cocu ».
Marc et Marie s’affalèrent dans le canapé. Je posai trois coupes sur la table basse.
« Deux coupes suffiront. Des choses vont changer dans cette maison, mon petit Gérard. Le maître des lieux c’est moi. Je décide de tout. Vous les tourtereaux, vous m’appellerez Maître et vous obéirez à mes ordres. Sinon, je pars et Marie se contentera de ta petite bite… »
« Non, Maître, je vous en supplie. Je ferai tout ce que vous voulez. Je veux être votre femelle, votre esclave, votre sac à foutre. Et toi Gérard, obéis sinon je te quitte ! ».
« C’est bien ma petite Marie. Déshabille-toi. Montre-toi … Toi aussi Gérard, je veux vérifier si Marie ne t’a pas sous-estimé. »
Marie retira sa robe, se retrouvant en bas et en escarpins… Je retirai ma chemise et mon pantalon. J’hésitai à continuer… Je voulais éviter l’humiliation…
« Allons, Gérard, pas de pudeur entre nous. Montre- moi cet appendice devenu inutile! »
Je retirai mon slip, rouge de honte.
« Ha, quand même ! »
il parti dans un énorme éclat de rire.
« Je ne pensai même pas que c’était possible. Approche-toi, masturbe-toi pendant que ta femme me suce. Je veux te voir en érection. Allez, Marie ! Montre à ton homme comment tu aimes la bite. La vraie ».
Marie s’exécuta, ivre de bonheur. Je commençais à me caresser. Marie s’activait de plus en plus sur le membre de son amant, moi j’avais du mal à bander…
« Marie mets toi en levrette. Je suis sûr que cela va exciter ton petit mari de te voir couiner sous mes assauts… »
Marie se mis en position. La tête dans un coussin. Marc se plaça derrière elle. Son gland était énorme. Il le pressa contre la petite fente de Marie. Et sans prévenir, il s’enfonça entièrement. Pas loin de 30 cms. Marie a poussé un cri. Marc se retira lentement et recommença. Voir ce colosse posséder ma femme avec une telle brutalité m’excita. Mon sexe était dur. Ma femme criait de plus en plus fort. Qu’allaient penser les voisins. Ils n’étaient pas habitués.Marc se vida dans le ventre de Marie en grognant. Il resta en elle un instant, puis s’assit. Marie resta prostrée, gémissant. Je ne la reconnaissais pas. J’avais éjaculé sur le tapis. Trois gouttes.
« Et bien Gérard ! Tu es un petit cochon. Nettoie tout cela avec ta langue. C’est vrai que toi, tu n’as pas un aussi beau cul pour te vider."
Et il claqua les fesses de Marie. Je léchais ma propre semence.
« Va nous préparer à manger. Tu ne mets que deux assiettes. Je te trouve un peu enrobé. Tu mangeras quand tu auras maigri un peu. Toi Marie va te faire une petite beauté. »
Je me mis à préparer le repas, nu dans la cuisine. Je me sentais vraiment minable d’accepter cela sous mon toit. Je ne voulais pas perdre Marie. Elle finirait par me revenir.
Marie revient de la salle de bain. Elle a enfilé une nuisette noire qui ne cache rien de ses formes.
« Ma chérie, tu es superbe. Je ferai augmenter le volume de tes seins et de tes fesses par un ami chirurgien. Je veux te transformer en poupée sexuelle. Je vais faire de toi une bombe sexuelle. Et à compter d’aujourd’hui, tu prendras cette pilule. Cela va exacerber ta libido. Tu seras continuellement excitée. Je ne te suffirai plus, je te prêterai à des amis. Ta chatte , ton cul et ta bouche vont servir. En parlant de ta bouche, je vais demander à mon ami d’en faire une bouche de suceuse. Tu vas aimer. Que pense-tu de ma queue ? Cela doit te changer du petit vermicelle de Gérard ? »
« Oui, Maître. J’adore votre queue. Elle est si grosse. Elle me rempli bien. Puis-je la caresser ? »
« Fais-toi plaisir, coquine »
Je mis la table, apportais le plat. Pendant ce temps là, Marie caressait les couilles et le long sexe de notre maître. Elle semblait hypnotisée. Marc lui caressait les cheveux.
« A table salope, fini de jouer. Toi Gérard, va dans la cuisine. Je t’appellerai pour débarrasser ».
Je les entendais discuter, rire. Marie quasiment nue, à table avec un homme que nous ne connaissions pas quelques heures avant. Marc était déjà le maitre des lieux. De ma femme. De moi. J’ai entendu ses projets de transformation de Marie. Marie que je ne pouvais plus toucher, embrasser. Je la savait heureuse. Elle était folle de cet homme, de sa queue.
Il y avait enfin un mâle dans cette maison.
« Gérard, viens débarrasser, nous avons fini ».
Je quittai la cuisine, nu et honteux pour débarrasser la table. Marc était affalé sur le canapé, Marie était à genou, entre ses jambes, elle caressait son sexe, long et mou.
Elle semblait l’implorer. Marc appréciait mon meilleur cognac.
« Tu es très accueillant Gérard, ta femme, ton cognac… On va finir par être complices. Bon, je vais être magnanime. Je vois que tu as du mal à satisfaire Marie, ta charmante femme. Je veux bien t’aider. Je m’occupe de sa sexualité, et pour me remercier, tu t’occupes du ménage, des courses, des repas, et de mon bien-être. Tu deviens ma petite boniche. Tu es d’accord ? »
Tremblant, je ne pu répondre que :
« oui, Maître. »
J’étais une vrai lopette …Marie eu un petit sourire.
« Pour te récompenser de ta soumission, je vais t’offrir une jolie tenue de soubrette. Tu vas adorer. Par contre, je ne veux plus voir ces petites érections ridicules qui t’amènent à souiller le tapis. Je vais te procurer une cage pour ton petit bout. Je te laisserai te branler quand je serai satisfait de toi. Ce sera la récompense à ta soumission. Content ? »
« Oui, Maitre Marc. »
« C’est bien. Le cas du cocu est réglé. »
Marie semblait de plus en plus excitée en caressant le sexe de Marc, elle gémissait. Il bandait de plus en plus fort. Gérard ne s’habituait toujours pas à ce braquemart.
« Marie, ma petite pute, mets-toi en position, je vais essayer ton cul. C’est super d’avoir un nouveau jouet. Il faut le découvrir. Allez, dépêche-toi. Ne me contrarie pas. »
Marie se mis en position de levrette sur le canapé. Même si elle quémandait ce sexe si puissant, elle appréhendait de l’accueillir entre ses fesses. Gérard qui ne bandait pas assez dur pour l’enculer… Enfin, elle allait découvrir ce plaisir que lui avait détaillé Sylvie. Marc se positionna derrière Marie, il prit son gland dans sa main et appuya sur sa rondelle . Elle se crispa.
« Détends toi, tu verras, tout va rentrer. Tu as le cul serré. Un incapable ton mec, même pas capable de t’assouplir. Tout le boulot pour moi ! Il n’est pas prêt de se branler ! »
A genoux, les mains dans le dos, je vis ma femme se faire enculer… Par un tronc d’arbre… Elle pleurait, mais ses larmes laissèrent la place à des gémissements…
« Ho, Marc, c’est bon ce que tu me fais… Continue… Je n’ai jamais connu cela… »
Marc lui administra deux claques.
« Salope, tu me vouvoies, je suis ton maître, pas ton copain. Tu me dois respect et soumission. Je suis bien gentil de t’éduquer… Et il y a du boulot ! ».
Et il ressortit entièrement son sexe avant de le replonger dans son cul. Il accéléra les mouvements, il était puissant, dominateur, c’était un mâle qui couvrait sa femelle.
Il se libéra dans sa pute. Elle jouit comme jamais. J’étais admiratif. Chacun à sa place…
La tension retombait. Marc récupérait. Marie semblait toujours très excitée. Elle suçotait le sexe de Marc, espérant le faire rebander.
« Pause chérie ! calme-toi. Je sais que ce sont les pilules qui commencent à agir. Il va te falloir quelques mâles pour te rassasier… Je vais te prêter ou te louer. Je ne pourrai pas te culbuter en permanence… Ici, à part moi, il n’y a pas de mâle. Ce n’est pas ta petite lopette de Gérard qui pourra te satisfaire… «
Marie acquiesçât , ce qui me fit rougir… J’étais déjà ridicule….
« Marie, as-tu une idée de qui pourrait te baiser ? Y-a-t-il un homme sur lequel tu fantasmes depuis longtemps ? Un homme qui pourrait me donner un coup de main ? »
Marie hésitait…
« Non, je ne sais pas… Peut-être… »
« Oui, Marie. Dis-moi. Un proche ? »
« M. FERNANDEZ, je fantasme sur lui depuis longtemps. Il est si viril… »
Je craquais :
»Non, Marie, pas ça ! »
« Allons bon, Gérard, si ta femme le souhaite. Tu veux son bonheur où est le problème ? »
« Il s’agit de mon patron… Vous ne pouvez pas me faire cela… »
« Gérard, tu délires mon ami. Tu oublies les termes de notre contrat. Je m’occupe de la sexualité de ta poufiasse. Toi , tu obéïs et tu cèdes à tous mes caprices. «
Et il m’envoit une gigantesque claque . Je me mets à pleurer.
« Bon ,ça suffit ! Ta femme veux se faire sauter par ce FERNANDEZ . Tu l’appelles et tu lui expliques que ta meuf veut se faire démonter par son dard. Tu verras, vos rapports vont changer… »
Reniflant, je pris le téléphone. J’étais anéanti. Mon patron m’avait toujours impressionné. Il était très directif et semblait me prendre pour une merde. La proposition que j’allais lui faire n’allait pas changer les choses…
« Allo, M. FERNANDEZ ? oui, c’est Gérard. Excusez-moi de vous déranger…. Oui, je sais que vous n’avez pas que ça à faire… Je souhaiterais vous inviter à dîner. «
« Gérard, tu lui dis que Marie veut se faire sauter par sa grosse queue ! ».
Marc me regarda , l’œil sombre.
« M. FERNANDEZ, je vous invite à dîner, mais aussi à sauter ma femme. Oui, Marie. Elle a envie de vous… Non, ce n’est pas une blague. Je serai là, je vous regarderai. C’est notre maître Marc qui dirige les opérations…. Il s’occupe de la libido de ma femme désormais. »
Un immense éclat de rire me répondit.
« Je suis ravi de répondre favorablement à ton invitation Gérard. Tu fournis les réservatifs ? »
Je raccrochais, minable. Je venais de demander à mon patron de sauter ma femme. Comment pourrais-je retourner au bureau… Il est 18 h, M. FERNANDEZ ne va pas tarder à arriver. Je suis habillé en soubrette. Maître Marc a effectué quelques achats aujourd’hui. Avec mon chéquier. Je porte une jupe très courte qui cache à peine la cage qui entoure dorénavant mon sexe. Impossible de bander. Il m’a rasé tout le corps. Je n’étais déjà pas très viril… Marie a observé tout cela avec un certain dédain. Marc lui a offert une jolie tenue de pute : talons de 15 cms, mini-jupe en cuir noire, bas auto-fixant, petit chemisier noir transparent . Elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle n’en portera plus. Marc lui a rasé la chatte. Il lui a administré sa pilule quotidienne. Il l’a déjà baisé trois fois aujourd’hui, mais elle est toujours excitée. Elle se frotte à lui, lui caresse l’entrejambe. Marc est excédé :
« espèce de salope, c’est moi qui décide quand et par qui tu te fais baiser. Le patron de ton mari ne va plus tarder. Réserve-toi pour lui. Prends le gode que je t’ai acheté ce matin.Ca te calmera. Branle toi devant Gérard, sa petite bite risque d’être à l’étroit dans sa cage… »
J’attends les ordres, debout, les mains derrière le dos. Marie se positionne dans le fauteuil, face à moi, les jambes écartées reposant sur les accoudoirs. Elle commence par sucer le godemichet qui est la copie conforme du sexe de Marc. Il veut qu’elle s’habitue à son volume. Elle le met presqu’entièrement dans sa bouche en me défiant du regard. Puis, elle se l’enfonce progressivement dans la chatte. Ses lèvres sont distendues, elle halète, ses mouvements deviennent plus frénétiques, elle se l’enfonce entièrement, se défonçant littéralement le sexe. Elle devient hystérique
« Oh, oui ! Oh Marc, j’aime ta queue, le gode me remplit. Regarde, je suis ta salope ! Baise-moi mon chéri ».
Marc sourit, sûr de son pouvoir. En 24 h il a asservi un couple. Il allait bien s’amuser avec ces deux là… La sonnette retentit . Marie crie sa jouissance.
« Gérard, va ouvrir ».
Je suis pétrifié. Je vais accueillir mon patron en soubrette…J’ouvre la porte. M. FERNANDEZ est sur le palier, impeccable dans son costume, le sourire aux lèvres.
« Bonjour mon petit Gérard. Tu es ravissante comme cela ! Elle est où ta salope ? »
« Bonjour M. FERNANDEZ. Elle est dans le salon, elle vous attend. »
Marc accueille mon patron par un large sourire :
« enchanté monsieur. Je suis Marc , le coach sexuel de ce couple qui se cherchait. Ils étaient faits pour la soumission. Votre employé est une petite lopette que je n’ai eu aucun mal à dominer. Je vais l’appeler Géraldine, ça lui ira mieux. Qu’en pensez-vous ? »
« Oui, je le devinai un peu fiotte sur les bords. Il se comporte comme une vraie serpillère au boulot, même avec ses collègues. Je me suis toujours demandé ce qu’il faisait avec une femme aussi bandante. Je vois que vous l’avez bien prise en main, sa femme… Appelez-moi Michel. »
Il vient de voir Marie, les cuisses écartées, le gode enfoncé dans la chatte, l’air béat.
« Oui, elle est affamée. Vous allez voir comme elle suce bien. Elle aime les mâles bien montés. Regardez un peu de quoi elle se contentait jusqu’ici. »
Il souleve ma jupe dévoilant mon petit pénis encagé. Michel éclate de rire. Je rougis comme un petit garçon.
« Mais vous n’êtes pas venu pour voir cette lopette. Marie, vient t’occuper de notre invité. Géraldine va nous chercher du champagne. »
CHAPITRE 2
Je m’empresse d’aller chercher une bouteille et trois flutes. Michel s’installe dans le canapé, les jambes écartées. Viril. Marie se met à genoux, devant lui. Elle ouvre la fermeture éclair, libère un sexe de bonne taille qu’elle met immédiatement dans sa bouche. Elle le branle en suçotant le gland. L’effet ne se fait pas attendre, la verge se déroule dans la petite main de Marie, qui gémit, excitée par cette nouvelle queue. Je rentre dans le salon un plateau dans les mains. Je vois ma femme , la bite de mon patron dans la bouche, elle le branle de plus en plus vite poussant des petits cris… Mon patron exprime sa jouissance, se tend sur le canapé et explose dans la bouche de Marie, reconnaissante.
« Putain, quelle salope ! »
Michel semble impressionné. Marc sourit, fier de sa pouliche.
« C’est bien Marie. Couche-toi aux pieds de Michel. Laisse-le récupérer. Il te baisera tout à l’heure. Elle ne vous a pas déçu ? Et vous verrez sa chatte… Un délice. Je ne vous parle pas de son cul. Un peu serré pour l’instant, elle souffre un peu. Je vais le lui dilater pour notre confort à tous. J’ai pris rendez-vous avec un chirurgien de mes amis. Il va lui gonfler sa poitrine qui n’est déjà pas mal à palper. Essayez. »
Michel soupesa les deux seins de ma femme, il lui pinça les tétons ce qui arracha une grimace à Marie.
« Il va également lui développer les fesses. Et gonfler les lèvres. Elle sera encore plus agréable à baiser. Une vraie poupée. »
« Vous en avez de la chance ! Elle est vorace, elle m’a littéralement bouffé la bite ! »
« Je lui administre une petite pilule magique qui la maintient en état de manque perpétuel. Elle ne pense qu’à ça. Là, elle attend avec impatience que vous la baisiez. Quand je me serai lassé d’elle, elle fera une bonne gagneuse . Vous imaginez, une pute qui vous implore de lui trouver des clients…. »
« Si vous êtes d’accord, je peux vous trouver des clients au sein de mon entreprise. Les collègues de Gérard, Géraldine devrais-je dire, fantasment sur elle depuis des années. Je n’ose imaginer leur joie si vous leur prêtez ne serait-ce que quelques heures… Vous pourrez assister aux exploits de vos collègues mon cher Gérard, si vous le souhaitez… Vous imaginez Marie entre les bras musclés de Mamadou ? «
Je viens de subir un nouveau choc. Je pensais que mon asservissement ne sortirait pas de cette maison, et maintenant, il est question de prostituer Marie, sous mes yeux, au sein de mon entreprise… Les choses sont en train d’aller trop loin… Et Marc qui a filmé ses ébats avec Marie. Les photos de moi , encagé qu’il a fait avec son smartphone… Il peut diffuser cela à qui bon lui semble. Nous sommes piégés. Marie semble ravit de ce piège, moi, nettement moins.
« Bonjour Géraldine. Tu vas mettre ta petite tenue de soubrette et aller au travail. Je crois que ton patron t’a trouvé une nouvelle affectation. Tu emmènes ma salope. Elle va pouvoir assouvir sa soif de sexe et me permettre d arrondir mes fins de mois. Moi, je vous attends ici. Amusez-vous bien. A ce soir ».
J’enfile ma tenue de soubrette, Marc me remet ma cage après ma toilette. Marie est habillée comme la veille, en pute. Elle est très excitée. Elle sait qu’elle va se faire prendre par mon patron et mes collègues. Dans la voiture, elle me reparle du sexe noueux de mon patron. Elle ne l’aime pas autant que celui de Marc, mais il la remplit bien. Elle se caresse avec le gode que lui a prêté Marc. Arrivés sur mon lieu de travail, M. FERNANDES nous accueille.
« Bonjour les amoureux ! Rentrez donc dans mon bureau. Ma petite Marie, viens me sucer pendant que j’explique à ton petit mari ses nouvelles attributions. »
Marie s’empresse d’aller sous le bureau extirper la verge gonflée de mon patron. Elle la gobe entièrement malgré sa taille et s’applique à la sucer langoureusement. Elle ne touche plus la mienne depuis des semaines… La situation m’excite tellement que mon sexe est comprimé par la cage qui empêche tout déploiement.
« Hum ! la bouche de ta femme, Gérard, un régal… Continue petite salope. Bien, Géraldine . C’est comme cela que ton maître t’appelle maintenant. Ca te va bien. Sympa ton maître et adroit. Quand je vois ce qu’il a fait de vous deux… Je lui confierai bien ma femme. Je plaisante !
- Donc, vu tes prédispositions, j’ai décidé de t’affecter au nettoyage de l’entreprise à la place de Mamadou qui prendra ta place au service comptabilité… et dans le cul de ta femme. Ha, ha ! Ne fais pas cette tête, tu reconnais qu’il comblera bien mieux la petite Marie que toi. Et cela va le motiver dans son travail. Tu le brieferas sur les grandes lignes de ton ex-boulot et lui te décriras tes futures tâches. Je vais l’appeler. Merci Marie. Tiens toi à côté de mon bureau, les mains dans le dos. Fais ressortir tes gros seins. Voila, belle pouliche. Je vais te présenter à Mamadou. »
« Mamadou, vous pouvez monter s’il vous plait ? »
L’ex homme de ménage rentre dans le bureau. Ce colosse de près de deux mètres doit se demander ce que lui veut son patron… Il se tourne vers moi, stupéfait de me voir dans cet accoutrement. Son regard se porte sur ma femme, avec envie…
« Mon cher Mamadou, installe-toi dans le fauteuil. Deux bonnes nouvelles pour toi.
Notre ami Gérard, qui préfère se faire appeler Géraldine, et qui découvre sa féminité comme tu peux le constater, préfère dorénavant se consacrer aux tâches ménagères. Donc, tu vas prendre sa place au service comptabilité, où je suis sûr, tu donneras entièrement satisfaction. »
«Oh, merci patron ! Merci Gérard ! »
« Deuxième bonne nouvelle, Géraldine, qui a pris conscience de ses lacunes. Montre ton sexe à Mamadou, Géraldine »
Je soulève ma jupe, rouge de honte. Mamadou pouffe .
« Donc, la chère épouse de ce pauvre petit cocu, est en manque de coup de bites. Je suis sûr , que de temps en temps, si je suis satisfait de ton travail, tu aimeras la prendre par ses trois trous. Tu me donneras 50 €. Ce n’est pas pour moi. C’est pour son nouveau propriétaire Marc. Un homme charmant. Il l’a bien en main. Pour te montrer que j’ai confiance en toi, je t’offre une pipe. Marie, montre à Mamadou ce dont tu es capable. Et sors tes seins du chemisier qu’on puisse se rincer l’œil. »
Le visage de Marie s’empourpre, elle obéit. Elle ouvre entièrement son chemisier libérant ses grosses mamelles. Elle s’agenouille devant Mamadou. Fébrile. Elle va enfin découvrir un sexe de noir. Elle s’énerve à essayer d’ouvrir la braguette qui lui résiste. Mamadou s’empare de ses seins. Il lui pince les tétons. Elle réussit enfin à ouvrir ce pantalon qui renferme un trésor. Une superbe bite, noire, le gland turgescent, se dresse devant son visage. Encore plus grosse que celle de Marc. Ses mains paraissent toutes petites à côté. Elle s’en empare … Lèche, tête, branle… Elle gémit d’excitation. Elle se caresse la chatte de plus en plus frénétiquement. Mamadou ferme les yeux en soupirant.
M FERNANDES se lève, il sort son sexe moins imposant que celui de Mamadou, mais bien rigide et l’enfonce sans hésitation dans le cul de Marie qui sursaute. Elle est embrochée par deux superbes bites devant son mari qui ne peut même pas se caresser. Elle jouit, elle devient hystérique. Comme j’aimerai pouvoir la baiser. Je crois bien que c’est terminé pour moi. Les autres le font tellement mieux que moi… Mamadou éjacule une grande quantité de sperme dans la bouche à pipe de Marie. Elle avale tout avec gourmandise. Je ne savais même pas qu’un homme pouvait éjaculer autant. Mon patron, au bord de la jouissance, continue de la pistonner. Marie nettoie le gourdin noir. Elle doit avoir hâte de le sentir dans sa chatte. M. FERNANDES se libère enfin en grognant. Tout le monde a jouit. Sauf moi.
« Bon Mamadou, c’est pas tout cela. Au boulot ! Géraldine va t’accompagner dans ton nouveau bureau. Moi, je vais présenter son épouse au reste du personnel. Je vais créer un poste pour elle. Secrétaire-vide couilles. Oui, ça me parait correspondre à ses aptitudes. »
« Allo ? Marc ? Oui, tout c’est très bien passé. La lopette n’a même pas bronché. Ces collègues étaient morts de rire. Il a ordre de les vouvoyer maintenant, et de répondre au moindre de leur caprice. Figure toi que son collègue de la compta Martin lui a fait branler sa queue. Non, il ne l’a pas sucé mais ça viendra. L’autre lui a jouit sur le visage. Il a du faire le ménage comme cela tout l’après-midi. Marie ? Elle est dans mon bureau. A mes pieds. Calme pour l’instant. Un peu fatiguée . Elle a sucé mes quinze employés. Ils étaient ravis. Ils ont félicité Géraldine d’avoir une femme aussi dévouée à l’entreprise. Non, après, ils paieront. Je leur ai expliqué que c’était pour faire connaissance, mais que Marie est ta propriété et que tu acceptes de la louer. Je te ramène tes deux femelles dans 20 minutes. Je vais enculer Marie une dernière fois sur mon bureau. »
Avant de partir, M. FERNANDES nous a convoqués dans son bureau.
« Mamadou a envie de se vider les couilles avant de rentrer chez lui. Tu peux amener ta serpillère à sperme, que je puisse le satisfaire ».
Je dû guider le gourdin de Mamadou dans le cul de Marie. Il l’a littéralement défoncée. Ma femme a joui. Très fort. Visiblement, elle aime la bite de black. Mon patron nous a ramené chez nous . Je conduis. Lui, insatiable, se fait sucer derrière. Ma femme semble fatiguée ; elle a sucé tous mes collègues, devant moi. Elle est très excitée, toujours l’effet des pilules. M. FERNANDES lui a mis un gros gode dans sa chatte, et le fait coulisser. Il se vide dans sa bouche. Dans le rétroviseur, je vois le sperme couler sur le menton de Marie.
« Si toutes les femmes de mes employés étaient dévouées à leur patron… Mais, elles ne sont pas toutes mariées à des petites bites… »
Arrivés chez nous, Marc nous accueille sur le perron. Il remercie M. FERNANDES pour sa coopération. Il me demande de préparer le repas. Toujours en tenue de soubrette. Marie est contente de retrouver son maître. Elle minaude et lui raconte ses exploits sexuels de la journée. Marc lui rappelle que dorénavant les collègues de son mari devraient payer pour la baiser et que Fiotte Gérard devrait récolter le fruit de ses passes et lui donner le soir. Elle lui dit qu’elle adore la grosse queue de Mamadou, qu’elle la remplit bien. Mais qu’elle préfère la sienne, noueuse, chaude, dure, bestiale… Marc lui caresse les seins, la chatte.
« Fiotte Gérard, viens voir ta femme, comme elle se donne au mâle… »
Je quitte ma cuisine pour les rejoindre dans le salon. Marie est à quatre pattes, Marc a rentré sa main entièrement dans le con de Marie. Elle halète… Il défait sa ceinture, baisse son boxer et pénètre la petite chatte de ma femme.
« Regarde mon petit cocu, tu vois ce que c’est qu’un vrai mâle ? «
Effectivement, je comprends. Cette belle bite qui comble ma chérie. Elle ne voudra plus de ma petite nouille. Je pleure. Je retourne à mes tâches domestiques, les laissant à leur plaisir.
Les jours passent, Marc me fait prendre des hormones. Il veut me transformer en vrai femme. Il ne m’appelle plus que Géraldine. Marie est absente. Elle se fait transformer dans la clinique de docteur SEBAG. Ma pilosité a disparu, mes seins se développent. Marc m’habitue à marcher avec des talons de 15 cms. Je porte perruque blonde, string, dim-up, guêpière, mini-jupe… Je suis maquillée. Je fais de plus en plus salope. Au travail, certains de mes collègues commencent à me tripoter, me trouvant excitante. D’autant plus que Marie n’est pas là pour les soulager. Mamadou a voulu que je le suce. Il m’a défoncé la bouche. A ma surprise, cela m’a excité. Ma cage a comprimé mon petit sexe… Marie lui manque. J’ai avalé sa semence. Il m’a demandé de le remercier de cette offrande, le sourire aux lèvres. Il n’a plus aucun respect pour moi. Mes collègues m’ont regardé, goguenards. Je me suis fait traité de pute à blacks.
Un soir, mon Maître m’appelle.
« Géraldine, vient voir, j’ai une surprise pour toi ! »
Je trottine sur mes talons en direction du salon. Je reste pétrifié sur le seuil de la porte : Marie est rentrée. Elle est à quatre pattes sur la table basse du salon. Un collier de chien autour du cou, une laisse pend entre deux seins monstrueux. Ses tétons effleurent la table basse. Sa bouche a changé, des lèvres pulpeuses. Une vraie bouche à pipes. Et ses fesses ont doublé de volume. Une vraie poupée gonflable. Je suis scotché. Je bande, mais ma cage me rappelle à ma condition.
« Comment tu trouves mon nouveau jouet, p’tit pédé ? Figure-toi, ma petite Marie, que ton mari a sucé Mamadou aujourd’hui… Tu as bien fait de confier ton corps à un homme, un vrai. Contente du résultat ? »
« Oui, Maître Marc. Je suis votre poupée. Je ferai tout pour vous. Je veux être votre chose, votre garage à bites. Faites de moi ce que vous voudrez. »
« Je ne vais pas m’en priver. Mais, aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Géraldine. Je vais lui faire un beau cadeau. »
Il prend la clé de la cage et me libère.
« Vas-y Marie, suce ton mari. Remplit ton devoir conjugal. »
Surprise , Marie commence à me branler, suçote le bout de mon gland. Immédiatement, je jouis. Quelques gouttes de sperme glissent sur son cou.
« T’es vraiment trop nul p’tite fiotte. Je te fais un beau cadeau pour ton anniversaire, et voilà ce que tu en fais… Allez, je te remets ta cage. »
Pendant que Marie se caresse la chatte, frustrée, Marc referme la cage sur mon petit bout.
« J’ai envie de lui retirer son petit bout. Il ne sert à rien. Je trouve cela disgracieux. Qu’en penses-tu Marie ? Je pourrai te faire monter un médaillon avec son bout de zizi. Et des boucles d’oreilles avec ses petites boules. Ce serait amusant. Je vais en parler au docteur SEBAG. Et si je lui fais mettre une petite chatte, il pourra me rapporter de l’argent. ».
Marie pouffe.
« Oui, Maître, cela serait très amusant. J’aimerai voir mon mari bouffer le gourdin de Mamadou. Je pense quand même que Mamadou préfère ma bouche. »
Je pleure, silencieux. Je n’ai pas pu prendre ma femme, je suis ridicule. Et depuis que je prends ces hormones, je me sens devenir femme. J’étais très excité de sucer Mamadou cet après-midi. J’aurai aimé qu’il m’encule.
« Bon salope, écarte tes fesses. Je vais essayer ton nouveau corps. Ah, ce cul ! Je vais me régaler . »
Marie écarte ses deux globes, s’offrant au mâle. Elle ressemble vraiment à Lolo FERRARI .
J’admire mon maître, musclé, bronzé, le sexe fièrement dressé, gonflé. Quel bel homme. J’espère qu’il me prendra un jour. Un soir Marc me convoque dans le salon. Perché sur mes talons, j’accoure. Je me déhanche comme une pute pour faire plaisir à mon maître. Marie, est assise dans le canapé, en cuissardes et jupe en cuir. Elle est splendide. Mon patron en est dingue. Mes collègues dépensent toutes leurs primes pour se servir de sa bouche et de sa chatte. Elle n’est plus qu’un garage à bites.
« Ma petite Géraldine. Je viens d’avoir un appel de ton père. Ca a l’air d’être un brave homme. Il vient te voir avec ton frère. Ils seront là demain. Tu vas leur préparer la chambre d’amis et tu te charges de préparer les repas. Je ne leur ai rien dit de ta nouvelle vie. On leur expliquera demain. Je suis sûr qu’ils comprendront… Je me suis présenté comme un ami. C’est ce que je suis, Géraldine, non ? »
Je suis terrifié. Mon père, qui m’a toujours méprisé et mon petit frère de 16 ans Fabien, vont me voir dans mon nouvel état de lopette. Je ressemble tellement à une femme maintenant. Il ne subsiste que mon petit bout comme témoin de mon ancienne virilité. Et que vont-ils penser en découvrant mon ex-femme en pute soumise à son maquereau…
« Maître, ce n’est pas possible… Ils ne comprendront pas . Laissez-moi rappeler mon père… »
« Ta gueule, petite pute ! Tu n’as pas ton mot à dire. Et ça fait plaisir à Marie. Elle adore ton petit frère. »
Le lendemain, on sonne à la porte. Habillé en soubrette, tremblant de honte, j’ouvre la porte.
« Eh, bien Gérard, qu’est-ce que c’est que cette tenue !!! T’es devenu pédé ? »
« Bonjour, Papa. Bonjour Fabien. Non, je vais t’expliquer… »
Mon père, rentre dans le salon, Marc l’accueille, Marie accrochée à son bras.
- Entrez donc chers amis. Je suis le nouveau propriétaire de cette maison et de cette splendide créature. Votre fils ne parvenait pas à la satisfaire. Il me l’a offerte. Je l’ai un peu transformée. Vous appréciez le résultat ? J’ai commencé à modifier votre fils, il se sent mieux dans sa nouvelle peau de lopette… »
Mon père me regarde avec dédain
« Cela ne me surprend pas. Je me suis toujours demandé ce que Marie pouvait lui trouver. Une lope. Vous avez bien raison. Il fallait un vrai mâle dans cette maison. Dis donc Marie, tu es en beauté ! »
Fabien ne peut retenir une exclamation :
« Houa, la bombasse ! T’as vu les nibards, Papa ? »
Marie, baisse les yeux, elle a toujours été impressionnée par son beau-père. Homme âgé, mais robuste et virile. Ces bras font le double de ceux de Gérard, et il est couvert de poils. Un vrai gorille. Le petit Fabien a bien grandi. Presqu’un homme, maintenant. Plus grand et plus musclé que son grand frère. Plus beau, également.
« Géraldine, va nous chercher un petit rafraîchissement. Asseyez-vous messieurs. «
Ils s’affalent dans le canapé, encadrant Marie la salope. Sa jupe remonte, dévoilant ses bas noirs. Le père et le fils n’en perdent pas une miette…
« Vous pouvez toucher, si vous voulez. Marie fait la pute pour moi, mais pour la famille , c’est gratuit. Votre fils n’a plus le droit de la toucher. Marie mérite mieux. Elle adore les grosses bites. Elle a été tellement frustrée… »
Mon père pose sa main sur la cuisse de ma femme. Il en a toujours rêvé. Sa grosse paluche remonte vers le string. Marie rougit. Cet homme lui fait peur. Il transpire, il sent fort. Docile, elle écarte les cuisses. Il lui rentre un doigt dans la chatte, elle sursaute. Mon père est très excité. Fabien est mal à l’aise. Il ne sait pas quelle attitude adopter. Quand même faire sa à son frère…Je rentre avec les boissons, dandinant des fesses à cause des talons. Mon père ne peut s’empêcher de me provoquer du regard. Il branle Marie en me fixant, pour bien me montrer que lui est un vrai mâle. Marie, toujours sous l’effet de la drogue, est rouge d’excitation.
« Donnez-moi votre queue, je vous en prie. Prenez- moi devant votre impuissant de fils ».
Mon père s’adresse à moi :
« Fous la à poil. Prépare-la pour ton vieux père qui n’a pas baisé depuis trois mois. Tu vas voir ce que je vais lui mettre.
Sous le regard amusé de Marc, j’obtempère. Marie se laisse déshabiller. Ne gardant que ses bas et ses cuissardes. Elle se positionne d’elle-même en levrette sur le canapé. Mon père retire fébrilement son pantalon et son slip. Sa verge est bien dure, longue et turgescente. Je n’ai pas hérité de lui pour ça malheureusement…
« Regarde lopette, comment on baise une femme comme la tienne. Vraiment de la confiture pour un cochon. Marc a eu raison de te la prendre. »
D’un coup de rein, il lui enfonce son sexe rouge et poilu. On dirait un animal. Malgré ses 70 ans, il défonce la chatte de sa belle-fille. Marie, gémit.
« Fabien, mon petit , profite de ta belle sœur, fais toi sucer. Tu as vu sa bouche à pipes ? »
Fabien hésite. Pour moi, ou parce qu’il est puceau. Néanmoins il s’assoit devant Marie, ouvre son jean, libère un sexe rose à peine plus grand que le mien. Marie le met entièrement dans sa bouche. Avide de bite. Il faut dire qu’aujourd’hui, Marc ne l’a prise qu’une fois et qu’elle n’a pas été chez mon patron. Elle n’a pas eu sa dose. Je suis, là, au milieu du salon, habillée en soubrette sexy. Je regarde mon père et mon frère baiser ma femme comme une vulgaire poupée gonflable. Fabien est le premier à jouir. Il lâche tout dans la bouche de la femme de son frère. Mon père et Marie sont en nage. Ils grognent, au bord de l’explosion. Ils s’effondrent en criant. Le silence me devient insupportable. Marc se retourne vers moi :
« Géraldine, va chercher une serviette pour que nos baiseurs puissent s’essuyer. »
Je reviens avec les serviettes. Tout le monde a repris ses esprits. Les yeux sont tournés vers moi.
« Bon, notre petite Géraldine a le droit à son petit plaisir aussi. Mets toi à quatre pattes sur la table basse. Soulève ta jupe et baisse ton string. »
Fabien ne peut s’empêcher de constater : « T’as vu Papa, il a un cul de fille maintenant. Et des seins. On dirait une vraie gonzesse maintenant. »
« J’envisage une vaginoplastie pour tres bientôt . Je connais un très bon chirurgien qui va lui transformer sa nouille en chatte. Comme sa chérie, il va faire la pute pour moi. Pour l’instant, il n’y a que son cul qui sert. Allez, Marie, donne du plaisir à ta petite lopette »
Il lui tend un gode de 25 cms. Marie, est ravie de m’offrir en spectacle. Elle s’empare du gode, me met un peu de vaseline et l’enfonce. D’un coup. Sous mes hurlements. Tout le monde éclate de rire. Elle me branle le cul devant les trois hommes. La douleur fait peu à peu la place à une sensation agréable. Marie devient hystérique, elle me défonce l’anus. Je me mets à prendre du plaisir. Mon sexe essaye de bander , mais la cage l’en empêche. Un filet de sperme s’écoule le long de la cage. Je viens de jouir. Humilié devant ma famille.
Je ne suis plus un homme mais pas encore une femme. Maître Marc a raison. Il faut me faire operée…
FIN ?
HISTOIRE RESTEE SANS SUITE ET AUTEUR INCONNU.
des histoires toujours plus agréables les unes que les autres
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