Recits et Captions de féminisation imposée ou les jolies femmes et les belles jeunes filles n'en sont pas vraiment. Bien evidement tout ici est fantasmé et la contrainte n'est qu'imaginaire. Un univers réservé aux adultes...
jeudi 11 avril 2019
RECIT: HISTOIRE DE CAMILLE ( CHAPITRE 5)
CHAPITRE 5
Camille ressort du bureau et continue son travail. Après près d'une heure, elle a enfin fini, remonte et frappe à nouveau au bureau, Thomas lui ouvre la porte et la fait rentrer, Patrick est assis derrière le bureau, Thomas pose ses mains sur les hanches de Camille et l'embrasse tendrement. Puis Camille sens que deux autres mains sont sur elle, Patrick les avait rejoint, ils s'embrassent tous les trois, puis Thomas retire son emprise sur Camille et s'occupe que de Patrick, Camille compris vite fait qu'elle devait s'occuper à autre chose, elle se mis à genoux et défait le pantalon de Thomas, prend son sexe dans sa main droite et joue avec ses boules avec sa main gauche, une fois le sexe bien gros, elle l'avale, puis le sexe de Patrick apparaît et elle le prit de sa main gauche, et alternent ses va-et-vient sur chaque sexe.
Cela fait dix minutes que Camille s'occupe de ses amours, quand ils la font se relever et lui enlève sa robe, elle se retrouve en sous-vêtement devant eux, Thomas lui retire son plug et commence à la pénétrer en douceur, Patrick se met derrière Thomas et en fait tout autant, les coups sont en simultanée, Thomas doit prendre un sacré pied de se faire prendre et de prendre. Au bout de cinq minutes les deux hommes crient leur plaisir et Camille le sien. Patrick se retire de son partenaire et viens devant Camille et la force à prendre son sexe en bouche, elle le nettoie tout en ayant celui de Thomas en elle. Puis Patrick finit par se rhabiller et Thomas prendre sa place. Une fois Thomas rhabiller, ils amènent Camille hors du bureau, ils la font descendre dans le donjon et la jets dans sa cellule où elle retrouve son matelas. La porte est refermée et entend plus aucun bris.
Camille s'allonge sur le matelas, elle réfléchit à sa situation, les fêtes de fin d'année approchent, et elle va rentrer chez ses parents pendants deux semaines, deux longues semaines sens voir ses deux amours et Maître, deux semaines sens être femme. Elle commence à avoir froid, elle n'est qu'en sous-vêtements et sa cellule n'est pas équipée de chauffage. Elle reprend sa réfection de jeune soumise amoureuse de deux beaux hommes, bien montés, qui prend soin d'elle quoiqu'elle soit dans une cellule froide, mais elle le sait bien que cela ne va pas durer.
Camille ignore depuis combien de temps elle est là, mais un bris de porte se fit entendre, et plus rien, personne ne vient la voir, elle se met à genoux sur le matelas au cas où l'un des deux voire les deux ouvre la porte, mais cinq minutes puis dix et toujours personne. Elle reste dans sa position mais est désespérée et commence à bien avoir froid. Puis au moment que l'espoir de sortir rapidement s'éloigne, une porte s'ouvrit, elle sursaute presque de peur, puis enfin sa cellule est ouverte et un Thomas est là, debout face à elle, Camille se met la plus droite possible, mais Thomas ne réagit pas.
- Suis moi soumise.
Camille se leva et le suit, ils remontent à l'étage, ils rentrent dans une nouvelle pièce où Patrick est déjà, il y a une grande baignoire au milieu. A sa surprise Thomas la déshabille entièrement, lui retire sa cage et sens un mot, il la fit monter dans la baignoire, l'eau est chaude mais supportable, qui la fait se réchauffer d'un coup, Camille s'allonge et ses deux amours son chacun de son côté, lui passe des éponges sur la totalité de son corps, ses parties intimes n'y échappent pas, elle se laisse faire, mais elle craint que cela n'ait qu'un cour répit avant la tempête sexuelle que ses deux amours ont du lui préparer.
Camille est détendue, les soins que ces deux amours lui font, lui fait du bien, l'eau chaude détend ses muscles, des vagues de plaisir lui viennent quand ils touchent son intimité. Puis après une bonne demi-heure, les deux hommes font sortir Camille de la baignoire, l'essuie avec douceur. Thomas la fait revenir de son nuage en lui remettant sa cage et un plug plus gros qu'elle portait. Patrick lui mit un bandeau sur les yeux, Camille pouvait uniquement sentir les mains douces de ces amours, parcourant la totalité de son corps.
Puis on lui fit enfiler un porte-jarretelles, des bas, un string et un soutien-gorge et l'aida à mettre une robe qu'elle sentait très courte, voire raz les fesses, et des talons très vertigineux. Les deux hommes lui enfilèrent une robe de chambre qu'elle découvre quand Patrick lui ôta son bandeau.
- Maquille toi ma jolie.
Elle alla devant une glace et se maquille sans pouvoir voir sa tenue, puis se coiffa et une fois prête, Patrick lui remet son bandeau et l'embrasse tendrement, Thomas lui défait sa robe de chambre et lui menotta les mains dans le dos avant de la recouvrir d'un long manteau qui lui arrive aux chevilles.
- A tu confiance en nous ?
- Oui j'ai confiance en mes Maîtres et amours.
- Parfait.
Ils sortent tous trois de la pièce, Camille se fait tirer doucement par c'est deux hommes qui l'entourent, il descende l'escalier et se retrouve dehors, ils la font monter à l'arrière d'une voiture, lui accroche sa ceinture de sécurité et après un petit moment d'attente, les hommes montent à leur tour et le véhicule se met en route, pour une destination inconnue pour Camille, mais qui a toute confiance et va vivre probablement une nouvelle aventure.
Cela fait environ vingt minutes qu'ils roulent, Camille ignore que les vitres son tinter, elle se dit que les gens doivent la prendre pour une folle avec son bandeau, et s'ils se font arrêter, comment sa va se passer. Camille s'inquiète plus pour ça que pour l'endroit où ses amours la conduisent. La voiture ralentie et prend un petit chemin cahoteux, qui fait bien sentir la présence du plug en Camille.
Au bout d'une petite minute sur se chemin, la voiture s'arrête enfin, le moteur est couper et les deux hommes en descende, Camille attends qu'on viennent la chercher, mais rien, pas un bris, personne ne parle, et aucun bris de pas se fit entendre, le seul bris que Camille entend, c'est des chants d'oiseau. Après un long moment, enfin des pas et la portière est ouverte, on lui enlève la ceinture et la fait sortir du véhicule. On la place sur le capots chaud et une main écarte la ficelle de son string, lui retire son plug et un sexe la pénètre en douceur.
Les va-et-vient se font de plus en plus rapides, puis un jet la remplis dans un cri de plaisir, le sexe se retire et un second prend la relève et la pilonne rapidement et remplit l'intimité de Camille d'un jus chaud. Le plug est remis en place, la ficelle également et revoilà Camille qui est remise dans la voiture. Une courte attente et il reparte. La voiture reprend une bonne vitesse, avant à nouveau ralentir et s'arrête, elle se dit qu'ils sont de retour à la maison, mais une voie féminine se fit entendre.
- Oui ?
- Désire.
- Je vous ouvre Monsieur.
La voiture reprend un peu de vitesse et s'arrête quelque mettre plus loin et le moteur est à nouveau coupé. Mais où sont-ils, un mot de passe pour rentrer cela doit être très privée comme endroit. Camille n'a pas le temps de se poser plus de questions qu'elle est extraire du véhicule par ses deux Maîtres. Ils font plusieurs mettre à pied avant d'arrivée niveau d'un escalier, puis s'arrête et une sonnerie se fit entendre.
- Prête Camille ?
- Oui Messieurs.
La porte s’ouvre juste à la fin de la réponse de Camille. Il rentre tous trois dans un endroit que Camille ne sait rien.
- Bonjour Messieurs et soyez les bienvenu.
- Bonjour et merci, voilà Camille, ont vous la confit.
Ont vous la confit, mais que cela veut dire, est-ce qu'il vont me laisser là jusqu'à la fin du week-end, se dit et n'a pas le temps de dire un mot qu'une main la prend et l'amène vers l'inconnu.
Camille n'a pas d'autre choix que de suivre cette personne, il s'arrête, puis une porte s'ouvre et la marche reprend, puis un nouvel arrêt et une seconde porte s’ouvrent et après quelques pas uniquement, un ordre lui est donnée par une voix féminine.
- A genoux.
Elle obéit et se met tant bien que mal à genoux, toujours les mains attacher dans le dos, puis ses pieds son attacher eux aussi à une chaîne.
- Ont viendras te chercher en temps venu, aucune parole, compris ?
- Oui Madame.
La porte se referme et le silence s'installe, puis après un temps qu'elle ne peut pas dire, la porte s'ouvre et des talons se firent entendre et les mêmes ordres donnés et une réponse toute basse d'une femme se firent à peine entendre, la porte est refermée et il y a eu encore cinq personnes, deux femmes et trois hommes à être amenées et enchaînées.
Le temps est long, et les genoux de Camille commencent à lui faire mal, le sol est que bétonner, le silence règne, puis la porte s'ouvre à nouveau et Camille sens qu'on lui détache de la chaîne pour mieux attacher ses pieds entre eux.
- Debout.
Camille arrive à se remettre debout, mais sens les mains c'est compliquer, des bruits de talon et de petit cri de surprise se font entendre, puis un bras la tire et la fait ressorti de sa cellule, et elle comprend que ces compagnons d’infortune et elle, son en ligne. Un bris de chaîne se fait à nouveau entendre, quand le bris arrive à sa hauteur, Camille comprit qu'ils sont tous reliés ensemble par les pieds.
- Avancer.
A cet ordre la file se met en route, les seuls bris sont ceux des chaînes qui tapent le sol. Il y a pas d'arrêt, et que deux virages, un à droite et le second à gauche, puis l'ordre de s'arrêter se fais entendre, tout le monde s'arrête à même temps. Les chaînes aux pieds son retiré, puis après un petit temps d'attente une personne est sortie du rang. Le silence est présent, il est coupé uniquement par les compagnons de Camille qui sont amenés elle ne sait où, mais va bientôt le découvrir par elle-même.
Elle ne peux toujours pas voir, mais la personne devant elle se fait tiré, elle sens sa dernière heure arrivée. Puis après quelques minutes, c'est a son tour d'être prise entre deux personnes, elle entend une vois masculine lui dire marche et elle bute justement dans une marche qui la fait trébucher, mais les deux hommes continu et une nouvelle fois marche est prononcer, Camille lève les jambes puis une troisièmes marches et Camille fini de monter cet escalier sens tomber.
Elle sens sous ses pieds un parquet en bois, puis on la fit arrêter et tourner sur sa gauche, elle sens qu'on lui défait son manteau et des bris se fit entendre et des compliments également. Puis une voix féminine se fit entendre.
- Je vous présente Camille, depuis quelques mois est la soumise de Maître Thomas, comme vous le voyez elle est du troisièmes sexes.
Mais comment ils peuvent le voir, elle a une robe, sert très courte, mais qui cache son intimité, qu'elle pensait en tout cas. Puis Camille doit faire un tour sur elle-même, puis son bandeau lui est enfin retiré, et elle voit une salle remplie d'une trentaine de personnes et surtout elle voit sa tenue et comprend comment ils ont pu voir son sexe. Elle est habillée d'une robe transparente, son string les également.
Puis elle est descendu de l'estrade par l'autre côté où elle y est arrivée et amenée dans une pièce où plusieurs personnes habiller comme elle, où son nu se trouvent. Elle est placée à genoux et n'ose pas regarder les autres. Après de longues minutes et de nouveau arrivent dans la pièce, plusieurs personnes rentrent, et elle voit enfin le visage de ces amours apparaître, elle a envie de pleurer mais résiste pour pas leur faire honte.
Thomas et Patrick la relève et il sorte de la pièce, font quelques pas et s'assoie sur un banc sans dossier, Camille toujours menotté est consoler par Thomas qui s'assoie à ces côtés et Patrick s’accroupir devant elle, en lui pose ses mains sur ses cuisses.
- Ma chérie nous t'aimons tous les deux tu le sais, ce qui va se passer ce soir et cette nuit ne reflétera pas ce qu'on ressent pour toi.
- Julie, comme Thomas vient de te dire, notre amour est plus important que ce que tu vas vivre ici, mais sache qu'on sera avec toi à tout moment.
- Qu'est-ce qu'il va m'arriver ?
- Toutes les personnes que tu vois dans ce hall, vont pouvoir abuser de toi, et nous de leurs soumises et soumis.
- Vous me prêter ?
- En quelque sorte oui, mais c'est pour te montrer, ce qu'il pourrait t'arriver si tu n'es pas sage avec nous.
- Mais j'ai toujours été sage.
- Oui, vois ça, comme un avertissement.
- Ma chérie, nous voulons ton bien-être, je peux comprendre que cela te choque, mais si dans un avenir proche, après tes études par exemple, tu deviens officiellement notre soumise à temps plein, alors il y aura des comportements que tu devras suivre, et ils sont plus dures que tu vis actuellement.
- Mais bien sûr nous pourrions tous arrêter et te voir comme notre femme à tous les deux et il ne serait plus questions de soumission, mais cela on le verra en temps venu.
Camille n'est pas vraiment rassurée, mais par amour elle est prête à tous, elle veut leur faire plaisir, et si cela doit passer par des orgies, alors pourquoi pas, elle a vécu tellement de choses nouvelle avec eux, qu'elle ne veut plus les quitter et découvrir encore et encore de nouvelle sensation, de nouvelles expériences.
A SUIVRE....
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