CHAPITRE 7
Camille ignore si elle doit remettre sa robe de la veille ou non, une fois ces trois amoureux rhabillé, elle reste là, droite les mains dans le dos et toujours nue. Thomas la voyant sort un sac plastique de sa valise et le tend à Camille.
- Habille toi.
Camille prend le sac, l'ouvre et en sors une rober noir, avec des bas, un porte-jarretelles, et des talons également noirs. Elle s'habille devant eux trois sens gêne. Une fois habiller Thomas lui tend une mallette qu'elle reconnaît aussitôt.
- Sophie si tu veux bien, tu peux le regarder se maquiller, sa te donnera une première idée.
- Oui et je vais en profiter pour me refaire une beauté également.
- Vous en avez pas besoin, vous êtes belle Madame Sophie.
Tous les trois se retourne vers Camille qui viens de dire cette phrase qu'elle croyais avoir dit dans sa tête.
- Merci c'est adorable, mais je le fait comme même.
- Vous nous rejoigniez en bas.
Les deux femmes se mettent devant le miroir, et Camille commence à se maquiller devant les yeux experts de Sophie qui ne dit rien. Et après un petit moment, Camille se tourne vers Sophie qui lui sourit et qui se maquille à son tour.
- Ont y va princesse.
Sur ces mots, les deux femmes sorte de la chambre, ça fait deux fois que Sophie appelle Camille, Princesse, est-ce vrai où c'est uniquement pour la voire rougir. Elle descend et rentre dans la pièce où elles aperçoivent Thomas et Patrick en bout de table en train de prendre leur petit déjeuné. Elle s'assied en face d'eux et déjeune dans un silence de cathédrale, pourtant la salle est autant pleine que la veille.
Une fois le petit déjeuné avalé, ils remontent dans la chambre, Camille a sa main dans celle de Sophie, et Patrick et Thomas également. Au niveau de la chambre des hommes, Sophie continue et amène avec elle Camille. Elles dans une chambre quelque mettre plus loin.
La porte à peine refermé, que Sophie embrasse Camille, ses mains se baladent sur tout le corps de Camille qui en fait autant. Après un long moment, les deux femmes arrêtent leur caresse et ce regard dans les yeux.
- Camille sa te dit de venir chez moi le week-end prochain ?
- Heu oui j'aimerais, mais Thomas.
- Si tu le veux, il seront ok.
Sophie embrasse à nouveau Camille et se retire de son corps et récupère une valise qui était posée sur le lit. Puis lui reprend sa main et sorte de la chambre, et descende rejoindre Patrick et Thomas qui les attendaient près de la porte.
Tous quatre sortes de cette maison, Camille voit qu'elle est en pleine campagne, entouré d'une forêt. Puis arrivée à hauteur des véhicules, un dernier baiser à Sophie et voilà Camille qui monte à l'arrière de la voiture.
Le trajet se fait dans un silence absolu, et après vingt minutes de route, Camille commence à reconnaître la ville, puis la maison de Thomas apparaît. Une fois le véhicule garé dans le garage, les trois occupent y descendent.
Camille suit ces deux hommes, il monte directement dans la chambre, Thomas pose la valise sur le lit. Patrick s'y assied et attire Camille sur ses genoux, Thomas défait et range le contenu de la valise et les rejoint sur le lit, après un doux baiser à ses deux amours, Thomas se tourne vers Camille.
- Alors Camille, comment tu as trouver ce week-end ?
- Je suis perdu.
- Comment ça perdu ?
- Hier soir avec l'homme, j'ai rien sentie quand il me prenais, mais avec Madame Sophie c'était diffèrent, j'ai aimé lui donnée du plaisir, mais ce matin avec vous deux, j'ai retrouver ce plaisir.
- Je vois.
Patrick et Thomas caressent les bras et les joues de Camille, qui à sa tête posée sur l'épaule de Patrick. Après un moment de silence, Thomas prend la main de Camille et la fait se lever des genoux de Patrick et amène Camille dans la salle de bain, suivi de Patrick. Il déshabilla tous les deux leur soumise. Puis ils commencent à se déshabiller sous les yeux de Camille qui veut les aider, mais leurs regards noirs l'empêchent.
Une fois tous trois nus, il rentre dans la cabine de douche et prenne une bonne douche bien chaude tout en s'embrasse tendrement. Thomas décroche son collier où pend une petite clé que Camille reconnaît. Un clic se fit entendre, puis la cage de chasteté lui est retiré pour la première fois depuis longtemps.
Les mains de ces deux amours se posent sur son sexe, c'est la première fois qu'ils sent occupe. Le sexe de Camille à beaucoup de mal à se gonfler, il faut plusieurs minutes aux deux hommes pour qu'il soit gonflé à son maximum, Camille grimace de plus en plus à leur caresse intime.
- Qu'est-ce qu'il a ?
- Il me fait mal.
- Qui ?
- Mon sexe.
Les deux hommes se regard étonné, la douleur commence même à être insupportable pour Camille qui se pli presque en deux. Les caresses s'arrêtent aussitôt et la douleur diminue aussi vite que le sexe dégonfle.
Après une fin de douche normale, tous les trois en sortent, se sèche et se rhabille, Camille refait son maquillage, puis ramasse la cage de chasteté qui était resté dans la douche, l'essuie comme il faut et la remet en place, et rejoint Thomas et Patrick qui était assis sur le lit à s'embrasser.
Thomas fait asseoir Camille sur ses genoux, et passe sa main sous sa robe et constat qu'elle a remis la cage, reprend la clé et défait à nouveau la cage, sous l'étonnement de Camille.
- Non Camille, tu va rester sens ta cage pour la semaine.
- Mais pourquoi, je suis si bien avec, si soumise ?
- Oui mais tu doit apprendre à vivre sens également.
- Et si ton sexe te fait encore mal en bandant cette semaine, dit le nous.
- Oui, mais depuis que je la porte, je n'ai plus bander, sauf un peu au début.
- Tu en est sur ?
- Oui.
Les deux hommes se regard et Camille pose sa tête sur l'épaule de Thomas. Leurs caresse son douce et dure un petit moment. Puis il se lève et descend dans la cuisine pour manger. Camille se trouve comme nu sens sa cage, mais si ses hommes décident, elle doit obéir et les écouter.
Le repas se déroule normalement, puis comme à son habitude Camille se lève pour faire la vaisselle mais Thomas intervient.
- Laisse Camille, ont va sens occupé.
- Mais je peux le faire, je suis la pour sa.
- Oui mais aujourd'hui.
Camille est triste de ne pas faire son travail, et elle ne comprend pas pourquoi, elle se rassoie toute triste, Patrick se lève, se met derrière elle et l'entour de ses bras. Camille est comme perdu dans ces pensées, elle réfléchit à tout le week-end, qu'est-ce qu'elle a bien fait de mal pour ne pas avoir droit à faire son travail.
Après un long moment dans les bras de Patrick et qu'ils ont fini leur café, les deux hommes amènent Camille dans leur chambre. Elle se dit qu'elle va tout faire pour leur donner du plaisir et retrouver sa cage. En rentrent dans la chambre, les deux hommes l'entourent, la déshabille puis se déshabillent eux-même sous les yeux tristes de Camille qui ne peut pas les toucher.
Une fois tous les trois nus, il se couche avec Camille au centre, les deux hommes lui caressent son corps, et dès qu'elle veut les caresser, elle à droit a une tape sur les doigts et un regard noir. Elle ne comprend plus rien, pourquoi ses deux amours lui empêchent de les toucher.
Camille se fait caresse et elle n'a pas le droit d'en faire autant, pourtant les mains de ses partenaires parcourt tout le haut de son corps, ses jambes y on droit, ses cuisses également, ce sont des caresses douces. Heureusement qu'elle a droit à les embrasser chacun leur tour.
Cette situation dure très longtemps, les deux hommes, embrasse toutes les parties de son corps, c'est la première fois qu'elle a droit à un tel traitement. Pourquoi ils l'empêchent de s'occuper d'eux. Pourquoi elle n'a pas droit à sa cage, ni à leur sexe.
Camille commence à avoir sommeil, et sens se rendre compte, elle s'endort sous les caresses des c'est deux amours, qui arrêtent leur caresse s'endorme à leur tour, entourent Camille de leur bras.
A son réveil Camille constat que ses deux amours ne sont plus dans le lit, elle décide de se lever et de se rhabiller, en sortent de la chambre elle voit la porte du bureau entre ouverte, elle s'y dirige. Elle y frappe et Patrick qui devait être juste derrière ouvrit la porte en lui fessant un grand sourire.
- Bien dormi ?
- Oui.
Elle s'approchait de lui et l'embrassait tendrement, puis s’avança vers Thomas qui était assis à son bureau, et l'embrassa également.
- Assieds toi Camille.
Elle obéit aussitôt en s’asseyent au bord d'un fauteuil et croisèrent les jambes, et Patrick s’assied dans le fauteuil à ses côtés. Un silence se fait, Camille ne sachant pas ou regarder, comment se comporter.
- Camille depuis plusieurs mois maintenant tu passe tous tes week-ends ici avec moi, puis avec nous. Les fêtes de fin d'année sont dans deux semaines, je sais que tu repars dans ta famille pour ces quinze jours, auquel tu nous manqueras.
Un nouveau silence remplit la pièce, puis Thomas reprend après une grande respiration.
- La semaine qui arrive, sera comme d'habitude, sauf que tu ne porteras pas ta cage, et je veux que tu m'informes si les douleurs reviennent, je ne veux pas que tu me ment à ce niveau-là. Puis le week-end prochain sera le dernier pour nous trois cette année, et je veux que tu réfléchis à ta situation, au week-end que tu viens de vivre, au sentiment que tu éprouves, et a ton avenir scolaire et professionnelle.
- C'est avec vous que je veux être, avec ma cage, vos sexes en moi.
Patrick pose sa main sur Camille qui commence à avoir les yeux rouge.
- Nous le savons, mais tu es encore toute jeune, tu as l'avenir devant toi, et il te reste encore une année scolaire et demi à faire avant de te lancer dans le grand bain du travail.
- Camille nous t'aimons Patrick et moi. Tu nous as apporté du bonheur depuis des semaines, mais maintenant tu dois penser à toi également.
- La seule façon de pensées à moi, c'est en vous servent, en ayant vos sexes en moi, en vous donnant du plaisir, en voyant vos sourire, je vous aime tous les deux, je veux être votre soumise, votre amour, votre salope, je veux vous appartenir, que vous me possédez moi, mon corps, mon esprit et mon âme.
Un silence très pesant se fit, les deux hommes ne sachant plus quoi dire. Camille commence à pleurer à chaude larmes, Les deux hommes la prennent dans leurs bras pour la consoler.
Après un long moment, les deux hommes se relèvent et Camille essuie ses yeux, se lève et embrasse tendrement ses deux hommes puis quittes la pièce et rentre chez elle. Ou elle s'allonge sur son lit en arrivant et réfléchit à sa situation.
En pleine réflexion elle s'endort même, et se réveille uniquement le lendemain matin, elle se lève et file sous la douche, puis c'est repartie pour une nouvelle semaine de cours, à la différence prêt, c'est qu'elle ne porte pas sa cage, qui lui fait une sensation étrange.
Comme à son habitude le lundi soir, elle appelle ses parents, prend une douche et a là vu de son sexe, Camille est triste, elle lui fait un petit lavage rapide, mais le laisse rapidement. Elle s'habille en fille pour le reste de la soirée.
Le reste de la semaine est morose, les cours l'ennuie, elle veut uniquement être auprès de ces deux amours, voire même de Sophie. Chaque soir sous la douche elle regarde avec des yeux tristes son sexe. Elle décide de se masturber, mais dès les premiers va-et-vient cela lui font mal, elle arrête et pleur sous la douche.
Le lendemain idem, elle recommence et toujours la même douleur, elle en réfère à Thomas comme y lui a demandé, le mercredi et jeudi soir elle n'ose même pas y toucher. Le vendredi arrive enfin, dans quelques heures, Camille va retrouver son rôle, ses amours, sa cage.
Les cours finis elle rentre se faire belle pour ses amours. Une fois prête, elle prend la direction de la maison, y sonne et le portail s'ouvre sans un mot. Le long de l'aller Camille est heureuse de retrouver cet endroit.
En arrivent à la porte, Patrick ouvre sens même que Camille n'a pas le temps de sonner, Patrick lui fait un grand sourire, et elle rentre en l'embrasse tendrement. Patrick ne tarde pas à lui mettre une main aux fesses.
- Bonjour toi.
- Bonjour vous.
- Comment ça été ta semaine ?
- Sans votre présence à tout les deux, elle ne peux que être nul.
Patrick la prend dans ses bras, puis montent tous les deux dans le bureau où ils retrouvent Thomas, Camille l'embrasse tendrement.
- Je vous laisse j'ai du ménage qui m'attend.
- Oui va si, tu c'est que tu est belle.
- C'est pour vous et grâce à vous que je le suis.
- Tu va resté comme sa pour faire le ménage.
Camille commence à faire la ménage en passant le balai à l'étage, quand elle passe devant le bureau elle entend les deux hommes parler. Elle sait qu'elle ne doit pas, mais elle écoute.
- Sa va être long jusqu'à la fin de ces étude.
- Oui mais nous devons pas l'empêcher de les finir, même si cela est dure pour nous.
- C'est aussi dure pour elle.
- Je le sait, j'ai envie qu'elle vient dès janvier vivre ici, commencer le traitement et le suivi mais elle est trop jeune encore.
- Oui moi aussi mais elle risque de perdre c'est parents, et lui demander de faire un choix comme celui-là.
- Je sait et elle doit le savoir également. Bref on verra se qu'en pense Dominique et on fera un bilan à la fin du week-end, de ce qu'elle en pense.
Camille ne sait plus quoi faire, quel traitement, quel suivi, qu'ils parlent, Camille à beaucoup de questions qui lui vient en tête. Elle reste quelques minutes figées dans le couloir, puis doit reprendre son travail.
Camille était dans la cuisine lorsqu'une voiture se gare devant la maison, quelques secondes après la sonnette retentit et sens réfléchir Camille ouvre la porte sur un monsieur d'une cinquantaine d'années tenant une mallette à la main.
- Bonjour mademoiselle, j'ai rendez-vous avec Thomas.
- Bonjour monsieur, je vous en pris rentré.
L'homme rentre et Camille referme la porte, puis demande à l'homme de la suivre, et ils montent à l'étage jusqu'au bureau, où Camille y frappe et fait rentrer l'homme.
- Bonjour Dominique.
- Bonjour Thomas.
- Je te présente Patrick et tu as déjà rencontré Camille.
- Oui enchanté.
- Tu peux retournée à ton travail Camille, une fois fini tu reviens nous voir.
- Bien Monsieur.
Camille sort du bureau et retourne à son travail dans la cuisine. Au bout de quinze minutes, elle remonte, et rentre dans la pièce, où les trois hommes sont assis.
Thomas invite Camille à s’asseoir à son tour.
- Camille depuis bientôt deux mois, tu ai ici tous les week-ends, tu ma apporter beaucoup de joie et de plaisir. Tu dois savoir que Patrick à déménager officiellement ici. Tu es encore jeune, tu n'as que 17 ans, et tu es encore à tes études que je souhaite que tu les réussis.
Camille écoute se que Thomas lui dit, mais elle à peur de la suite.
- J'ai demandé à Dominique de venir te rencontrer, il va te faire un bilan médico-psychologique, il te posera des questions, auxquelles que je souhaite que tu y répondes avec la plus grande sincérité.
Un silence remplit la pièce, Camille commence à trembler de peur, elle ne veut pas être séparée de c'est deux amours, elle veut continuer à les voir, à leur donner du plaisir.
- Avec Patrick nous allons sortir, Dominique je te la confis.
Thomas et Patrick se lèvent et chacun dépose un bisou sur le front de Camille. Dominique sort de sa mallette toute une pochette en carton, ou il en sort plusieurs feuilles.
- Camille, comme à dit Thomas, je vais te poser des questions, puis je te ferais un prélèvement sanguin. Es-tu prête ?
- Oui monsieur.
A SUIVRE....
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