Et deux nouvelles parties...
CAPTION 1068-27
Recits et Captions de féminisation imposée ou les jolies femmes et les belles jeunes filles n'en sont pas vraiment. Bien evidement tout ici est fantasmé et la contrainte n'est qu'imaginaire. Un univers réservé aux adultes...
Voici le chapitre 5 de l'histoire "Sissy"... je rappelle au passage qu'il s'agit d'une fiction et que tout abus de ce genre sur un individu, mineur ou adulte, est strictement immoral.
CHAPITRE 5
Capitalisant sur l’épisode du défilé, Marie a préparé Camille avec les vêtements les plus féminins possibles.
Devant l’effroi du garçon, elle a décidé de ne pas aller au-delà de ce qu’il peut accepter et s’est contentée de fond de teint bien que le reste de la trousse à maquillage l’ait beaucoup tentée.
Arrivées à l’école, ce premier jour en cours d’année les oblige à passer par le bureau de la directrice. Camille est follement stressé, marie essaie de le rassurer :
- Tu vas te faire des amis, ça va aller et on en reparle ce soir ok ?
- Mme Debais ?
- Oui, j’arrive de suite. Attends-moi là, il faut que je parle à la directrice en privé. Je n’en ai pas pour longtemps.
Abandonné et anxieux, Camille reste seul dans ce couloir froid. Il regarde ses ongles rouges et se dit que Marie a bien fait de lui vernir sans quoi il les aurait bien dévorés.
Pendant, un petit quart d’heure, Marie manœuvre la directrice et fait en sorte que la scolarité de son nouveau fils serve ses intentions.
- J’ai lu votre courrier et vous avez bien fait; il faut que l’on discute de la façon dont Camille peut trouver sa place dans notre lycée.
- Effectivement, c’est très particulier et j’avoue être mal à l’aise de la situation. Nous avons Camille à charge depuis très peu de temps suite au drame qui lui est arrivé. Je me suis vite rendue compte qu’il n’était pas comme les autres garçons de son âge. Vous l’avez aperçu dans le couloir : il est très féminin, dans son corps, dans ses goûts, dans ses comportements.
- Oui effectivement, je n’avais même pas compris que c’était Camille, j’ai effectivement vu une jolie jeune fille.
- Et oui… Vous savez comment sont les ados entre eux. Camille n’assume pas ce qu’elle est. Oups, pardon, vous voyez, même en parlant, je le prends pour une fille.
- Oui, ça ne doit pas être facile pour lui de savoir qui il est.
- Effectivement, il est perdu. Il est clair qu’en grandissant, il ne pourra pas lutter contre sa nature, donc je pense que ça ne sert à rien de le considérer comme un garçon lambda. Pour l’aider, on peut l’inciter à assumer sans honte ce qu’il est.
- Vous avez raison. Nous avons d’ailleurs une opportunité de part son prénom mixte. Pourquoi dire que c’est un garçon? Son allure est tellement féminine que j’avais en tête de le dispenser d’EPS et hormis cela, ce serait l’élève Camille Debais. Ainsi naturellement tout le monde va le prendre pour une fille sans lui mettre de pression ou de jugement.
- Ce serait parfait. Je ne sais comment vous remercier.
Après quelques ajustements, les deux femmes sortent.
Marie salue Camille théâtralement, simulant même des petites larmes puis c’est la directrice qui emmène le garçon efféminé vers sa nouvelle classe tout en lui faisant la conversation afin de faire connaissance..
Après quelques couloirs et quelques escaliers, c’est le grand moment. La directrice ouvre la porte de la salle de cours et s’annonce. Camille la suit tête basse avec le cœur qui bat la chamade.
Au comble de la honte, il se retrouve debout sur l’estrade devant ses nouveaux camarades de classe entre son professeur et la directrice .
- Je vous présente Camille qui vient de nous rejoindre. Je vous demande de lui réserver le meilleur accueil et de faciliter son intégration dans notre lycée. Tu peux aller t'asseoir et je vous souhaite une bonne fin de cours et une bonne journée à tous et toutes.
Hésitant, Camille s’avance et regarde du coin de l'œil, les regards le surprennent. Les garçons le regardent avec un intérêt malsain et les filles lui sourient amicalement.
Avançant de table en table, il croise le regard d’une jeune fille qui retire son sac de la table avec un petit sourire d’invitation.
Camille ne pensait pas son allure si marquée, il est en train de comprendre que tout le monde le prend pour une fille.
La jeune fille lui chuchote alors qu’il déballe ses affaires :
- Je m’appelle Lili.
- Camille.
- Trop belle ta tunique. Enfin une fille qui sait se fringuer, c’est cool.
- heu, merci…
Perturbé que tout le monde le prenne pour une fille, le jeune garçon fait profil bas et se réfugie dans l’anonymat de la classe ne sachant comment rectifier cette erreur de jugement générale.
Dès l’intercours, Lilly l’emmène avec elle et lui présente quelques copines de classe. N’osant désavouer Lilly et mourir de honte devant ses nouveaux camarades, Camille ne contredit personne et endosse bien malgré lui son nouveau statut de fille.
Aux combles de la gêne, il se laisse emmener dans les toilettes pour filles lors de la pause pipi traditionnelle et accepte toutes les fautes d’accords et ces “e” en trop dès que l’on s’adresse à lui.
Le petit puceau passe la journée sans ressentir aucune émotion, trop sonné de cette situation et vigilant à ne pas être démasqué. C’est lorsqu’il pose ses petites fesses moulées dans son taille basse sur les sièges en cuir de la voiture Marie qu’il craque et se met à pleurer à chaudes larmes.
(Ci dessus, le jeune Camille a l'âge de 13 ans peu après son arrivé chez son Oncle et sa Tante...)
Marie se demande alors si elle n’a pas été trop trop loin, trop rapidement. Rassurant Camille d’une discussion et d’un réconfort dès leur retour à la maison, elle élabore une stratégie à toute vitesse dans sa tête. Il ne faut pas que l’enfant entre dans une résistance trop forte et refuse la situation, elle doit jouer serré et ramener la situation à son avantage.
Machiavélique, elle console Camille dès le pas de porte franchi et le prend dans ses bras pour l’accompagner sur le canapé.
- Raconte-moi Camille.
- Tout le monde croit que je suis une fille.
- Ah bon ? Comment ça s’est passé ?
- Ben ces putains de fringues, le vernis, voilà comment ça s’est passé, je veux ressembler à un garçon ! J’en ai marre !
- Calme-toi.
- Raconte-moi depuis le début. Quand la directrice t’a emmené en cours.
Camille pleurnichant et se mouchant toutes les 5 secondes avance petit à petit dans le récit de sa journée.
Marie sourit en coin, elle a compris comment manipuler, le garçon. Elle lui demande de préciser les situations pour monter un argumentaire en béton qui giflera toute envie de rébellion de la part de ce petit efféminé.
Après une petite heure de jérémiade qui sont parvenu à l’agacer, elle reprend la main :
- Donc tu me dis que à ton allure, une camarade a vu en toi une jeune fille et qu’à aucun moment tu ne l’as contre dite?
- Oui, mais je ne pouvais pas.
- Peu importe, tu me dis qu’elle a vu en toi une fille. Et tu lui donnes tort ?
- Pas vraiment je suis habillé comme une fille, c’est normal.
- Reprenons, nous sommes d’accord que lors de notre shoppping, tu n’a refusé aucun de ses vêtements.
- Mais….
- Tais-toi, laisse-moi finir
- Tu n’as pas refusé ces vêtements, c’est une chose. Ensuite, tu penses que Roger même avec ta tenue aurait été pris pour une fille?
- Ben non, mais….
- Tais-toi. Donc si elle t’as pris pour une fille, ça dépasse largement ce que tu portes. Ensuite, tu ne l’as pas contredite sur le fait que tu étais une fille. Penses-tu que Roger se laisserait considérer comme une fille?
- Non.
- Donc, tu ressembles à une fille, tu te laisses considérer comme une fille. Et ceci n’est de la faute de personne et certainement pas de cette Lilly qui me semble une gentille fille puisqu’elle t’as accueilli avec beaucoup de coeur. Donc, je pense que tu ne peux en vouloir à personne de ce qui s’est passé. Et demain? Que penses-tu faire?
- Je ne sais pas, je suis coincé, je peux pas lui dire que je suis un garçon, je vais passer pour un pédé.
- C’est une histoire de choix. Ensuite, tu n’as aucunement à avoir honte de ce que tu es. C’est comme ça.
- Mais je suis un garçon, c’est pas normal ce qui m’arrive, je veux être habillé comme un garçon.
Marie prend un air faussement surpris.
- Excuse-moi, mais tu portes un jean et une chemise, si t’as l’air d’une fille, c’est pas tes fringues, désolée de te dire ça.
- Mais ! Et le maquillage ! Et le vernis !
- Tu parles : t’as juste l’air moins blanc et moins triste que d’habitude! Et le vernis, c’est pas une manucure. T’as toujours les mains dans les poches, personne n'a rien vu.
Camille est dépité, tous ses arguments sont démontés un à un par Marie. Le garçon est mitigé entre la sensation de contradictions par principe et la dose de vérité des propos de Marie. En tout cas, plus il déballe sa détresse, plus il la sent inappropriée. Effectivement, c’est lui qui a laissé la méprise s’installer et cette méprise ne serait pas arrivée à la plupart des garçons, il a peut-être réellement un souci avec son corps s’il se retrouve dans cette situation.
Marie voit les larmes se tarir, et la réflexion occuper l’esprit du jeune efféminé. Il est temps pour elle de s’arrêter là et de l’abandonner à la médiation.
Ce n’est qu’au moment du repas et par l’intermédiaire de Roger que le sujet revient sur le tapis. Selon les directives de sa femme, il en rajoute une couche. Pas vraiment intéressé par le sort du jeune garçon, il y voit plutôt la possibilité de se faire tailler une bonne pipe ce soir si sa femme est satisfaite de son soutien.
- J’ai appris ta journée un peu difficile Camille. j’en suis désolé.
- Merci Monsieur Roger..
- Mais tu sais, chacun sa vie. Tu n’as pas à essayer de respecter des codes si ça ne te correspond pas. Si tu as une apparence féminine, c’est comme ça. Il n’y a aucun souci. Ce qui serait ridicule, ce serait certainement que tu te forces à ressembler à ce que tu n’es pas. Je ne peux que t'inviter à faire ce qui te semble le plus normal quand tu retourneras à l’école demain et de suivre cette voie.
- Je pense que vous avez raison, mais je ne sais pas encore ce que je dois faire.
- Tu le sentiras, ne te force pas.
Sa femme boit du petit lait. Si Camille suit le conseil, ce sera gagné. Elle ne le voit pas avoir la force de caractère pour affronter ses camarades. Elle pense plutôt que Camille va se laisser faire et ne pas s’opposer à cette méprise.
Petite pause dans la cpation 1068. En attendant la suite voici une caption complete...
CAPTION 1069-1
Voici un artiste que je viens de découvrir avec le premier épisode de sa BD intitulée "Aaron/Erin"... a téléchargé sur le site SVS Comics via KEEP2SHARE ou sur le site E-HENTAI
WickedWon - Erin (svscomics.com)
. [WickedWon] - Erin - E-Hentai Galleries
Et voici le chapitre 4 de "Sissy" envoyée par hhnylons.
CHAPITRE 4
Et La méthode fonctionne et finie par portée ses fruits. A l’aise dans ses fringues, Camille oublie totalement son image assexuée et commence même à apprécier de regarder les vitrines et les devantures des magasins.
Marie pense aussi à elle et se rend dans un magasin de lingerie.
D’abord gêné, Camille se détend, laissant Marie converser avec la vendeuse tout en restant en retrait. Troublé par cet univers si féminin et si délicat, Il regarde les guêpières, les ensembles, les déshabillés... il se sent légèrement émoustillé ce qui l’interpelle. Jamais de sa courte vie, il n’avait ressenti ce type d’excitation légèrement charnelle.
Marie amusée constate le trouble de son neveu et décide d’en jouer.
Elle questionne la vendeuse qui lui conseille quelques ensembles puis file dans la cabine d’essayage. Camille attend patiemment la tête basse regardant en coin toutes les magnifiques pièces de lingerie de ce boudoir. Il reste bouche bée lorsque Marie sort de la cabine vetue d'un ensemble sexy composé d'un slip, d'un soutien-gorge et d'un porte-jarretelle.
Le garçon trouve cette femme magnifique. Malgré la quarantaine elle garde un corps parfait et entrenu à faire rougir de jalousie pas mal de petites pimbèches de 20 ans.
- Je te plais ?
Manquant de s’étrangler, Il éructe un oui ne sachant si c’est la réponse adéquate.
- C’est beau la lingerie, surtout faut pas hésiter si ça te plait. Nous pourrons en discuter... c'est tellement plus jolie que ces horreurs que porte les hommes, ou bien les jeunes garçons.
Après une pause elle ajoute afin de testé l'adolescent:
- Tu n'a jamais essayé des sous-vetements féminins ? Ceux de ta Mere par exemple ? Tout les garçons le font c'est naturel...
Marie s’amuse de voir ses sourcils froncés, soudain elle réalise que c'est peut-etre une erreur de rappellé a Camille le décès encore récent de sa Mere. Mais le garçon ne réagi pas.
Marie en profite pour changé de sujet, enfin pas vraiment. Elle dit a Camille:
- Tu sais si jamais quelque chose te plait... cela ne me gene pas. Bien au contraire.
La vendeuse s'insinue dans la conversation. Amusée elle s'adresse a Marie:
- Je viens justement de recevoir la toute nouvelle collection pour les adolescentes...
Camille craint d’avoir compris l’allusion et préfère ne pas creuser la discussion. Marie déambule devant lui sans pudeur puis essaie un joli déshabillé. Camille se sent de plus en plus excité, les joues empourprées, il détourne le regard pour ne pas aggraver son cas, mais Marie fait exprès de solliciter son avis.
La vendeuse qui connaît bien Marie trouve la situation un peu singulière, mais la gêne du jeune garçon la fait sourire.
En sortant du magasin, Camille apprécie la fraîcheur de l’extérieur et d’être sorti de cette panade. La fin de journée est moins humiliante pour lui, Marie l’équipe d’un smartphone et d’un laptop en vue de scolarité prochaine. Ce couple a des moyens financier qui impressionne Camille, Marie achète tout ce qu’elle veut sans regarder le moindre prix. Jamais il n’a vu autant d’argent défiler en une journée.
De retour à la maison, l’ambiance est festive et détendue. Marie confie à Roger le plaisir qu’elle a eu à faire les boutiques avec Camille, ainsi que leur complicité naissante. Pas dupe, Roger feint de ne pas comprendre le côté surjoué et cautionne sa femme en complimentant Camille.
Il pousse même le bouchon en lui faisant promettre un défilé personnel dès le lendemain. D’abord gêné, Camille accepte voulant prolonger le sourire sur le visage de ses nouveaux parents.
Dimanche, vers 16h00 Roger s’impatiente auprès de Camille :
- Bon et mon défilé?
- Heu, oui, pardon, j’avais oublié.
- Mouais, je crois plutôt que tu aurais préféré éviter.
- Non, pas du tout.
- Tant mieux, je suis impatient. Marie ! Viens voir ma chérie !
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Peux-tu aider Camille à se mettre en valeur ? C’est l’heure de mon défilé.
- Oh, génial ! Viens Camille, on va te faire toute belle !
Impossible pour Camille de répondre à Marie sur ses fautes d’accord répétitive et c’est anxieux qu’il se fait accompagner dans sa chambre.
- Déshabille-toi. On va te faire jolie... comme à la fashion week.
Maintenant rôdé aux exigences de Marie, Camille se dénude sans pudeur et s’installe à la coiffeuse. Marie excitée part dans un monologue saoulant qui berce le jeune garçon hébété et l’incite à se laisser faire mollement.
Marie travaille ses cheveux blonds qui ont gagné quelques centimètres depuis son arrivée. En parallèle, Camille contemple ses ongles en train de sécher maintenant recouvert d’un rouge intense. Il sait que Marie féminise sa coupe de cheveux, et c’est bien pour ça qu’il se concentre sur ses ongles et refuse de regarder le miroir.
Surpris, il a un mouvement de recul quand Marie commence à lui appliquer du fond de teint.
- Ben quoi ?
- C’est pas de trop ? Déjà les ongles, c’est trop fille non ?
- Ce n’est jamais trop fille pour toi ! Et puis, même les hommes se maquillent pour passer à la télé alors ne commence pas à chouiner ; regarde-moi !
Marie sait à la perfection varier ses émotions et paraît d’une seconde à l’autre enjouée ou terriblement inquiétante selon ce qu’elle cherche à provoquer chez Camille.
Manipulé, le garçon se tait et obéit immédiatement craignant ses foudres. Devant sa reddition immédiate, Marie enfonce le clou comme à son habitude, elle le maquille abondamment mais avec goût. Quand enfin Camille ouvre les yeux et se regarde, il échappe un cri de surprise. La transformation est sidérante.
Si Marie l’avait simplement déguisé en fille, son envie de révolte se serait manifestée.
Là, il voit une fille ; c’est bien lui, il se reconnaît complètement mais impossible de croire qu’il s’agit d’un garçon. Les talents et le soin de Marie en ont fait une fille crédible et élégante. La finesse du maquillage, sa nouvelle coupe garçonne presque sexy lui souffle toute envie de rébellion.
- Qu’est-ce que tu es jolie, tu as vraiment un visage magnifique facile à maquiller, c’est une chance. Par contre, tes dents. quelle horreur !
- Camille s'étonne mais répond fierement:
- Mes dents ? Mais qu'est ce qu'elles ont ? Je n'ai pas une seule carie !
Marie le toise:
- Je n'en doute pas. En revanche elles partent dans tous les sens et c'est épouvantable. A mon humble avis il te faut surement un appareil dentaire pour corriger tout cela.
Camille est pâle comme un linge, il s'imagine déjà affublé d'un tel engin dans la bouche et les moqueries qui vont avec et dont sont si friands les adolescents.
- Mais... mais je... je veux pas d'appareil !
Marie lui tire l'oreille:
- C'est à moi seule de juger ce dont tu as besoin et ceci tant que tu vivras sous notre toit. T'avoir à charge est déjà un bien lourd fardeau alors ne commence pas à nous créer des problèmes... et puis t'en fait pas, même avec un appareil dentaire je suis sûre que tu seras mignonne à croquer !
Pour la seule fois où il a tenté de s’opposer, Marie lui a bien fait comprendre sa position. Sonné, il ne dit pas un mot, et n’a même pas fait attention au terme "Mignonne" employée par sa tutrice..
Après quelques minutes d’un silence pesant, Marie reprend la main et lui tendant un jean et une tunique :
- Allez, ça va aller... tu vas t’y faire. Le plus dur, c’est le début. Quand tu auras intégré ce que nous attendons de toi, je suis sûre que tu adoreras ta nouvelle vie.
Embrumé dans ses pensées et ses doutes, Camille passe sa première tenue et se présente à Marie qui l’ajuste.
- Roger va être bluffé. Je vais l’appeler, reste-là.
Toute excitée, elle descend les marches 4 à quatre et se précipite vers son mari.
- Chéri, viens, Camille est prête. Trop bien, une vraie fille, un truc de dingue!
- Calme-toi un peu. Je comprends que ça t’amuse, mais t'exagère pas un peu ?
- Pas du tout, il a un corps de fille... c'est a si trompé, ormis peut-etre quelques détails qui lui manque. Je te le dit, ce Camille est de la vraie pâte a modelée... il est même prêt à avoir un appareil dentaire si j’en ai envie figure-toi !
- Hein ?
- Laisse tomber et viens voir la petite merveille que je suis en train de créer.
Amusé et rieur, Roger suis sa femme et prend place dans le chesterfield insatllé sur le palier de l’étage.
- Camille, tu peux sortir !
Après quelques secondes, le jeune garçon s’approche penaud, se triturant les doigts et le regard bas. Il craint de susciter les moqueries de Roger mais c’est plutôt l’inverse qui se produit.
Roger est effaré. Il ne le reconnaît pas. devant lui il a une fille pré ado, belle comme un coeur et sapée à la mode avec son jean moulant, ses sneakers compensées et sa tunique échancrée. Il en reste sans voix alors que Marie saute au plafond :
- Je te l’avais dit hein ? Génial non ?
- Effectivement, je suis surpris, c’est pour le moins réussi.
Également surpris, Camille relève la tête et découvre les yeux exorbités de Roger qui lui confirme :
- Tu es magnifique Camille. J’aime beaucoup. Mais ne sois pas géné, approche un peu, déambule, tourne-toi. C'est un défilé alors fais pas ta timide.
Un peu gauche, le jeune garçon se prête au jeu occultant totalement le féminin une nouvelle fois employé. Il a maintenant bien conscience que ces fautes d’accord vont devenir systématique et qu’il ne pourra rien n’y faire.
Tenue après tenue, il en arrive même à se détendre et à apprécier les commentaires dithyrambiques de Roger et Marie sur sa plastique impeccable.
Après quelques romans consacrés a la soumission féminine, Allanah Avluva nous renviens avec un nouveau roman de féminisation dans lequel un homme va assouvir le rêve de sa vie et entré au service d'un Maitre de maniere permanente pour devenir Chantal, la soubrette...
Disponible sur amazon au format Kindle pour seulement 2,69 euros !
Voici quelques pages prises au hasard afin de vous mettre en appêtit.
Double dose aujourd'hui avec 4 parties de la caption.
CAPTION 1068-11
Voici les deux premieres parties de ma nouvelle caption, elle sera assez longue puisque 22 parties ont déjà été écrite. J'alternerait la publication de cette caption avec des BD, des récits, et des captions plus courtes...
CAPTION 1068-1