Recits et Captions de féminisation imposée ou les jolies femmes et les belles jeunes filles n'en sont pas vraiment. Bien evidement tout ici est fantasmé et la contrainte n'est qu'imaginaire. Un univers réservé aux adultes...
dimanche 4 août 2019
RECIT: COMMENT MA FEMME S'EST FAITE DEVERGONDEE (CHAPITRE 1 ET 2)
Pas de captions ces prochains jours mais une histoire. La Prise en main d'un couple par un homme d'age mûr et autoritaire, il faudra attendre quelques chaptitres avant d'en savoir plus sur l'avenir du Mari. L'auteur n'avait hélas jamais achevée cette histoire (18 chapitres) mais je pense qu'elle vaux largement d'etre publiée ici.
CHAPITRE 1
Nous sommes arrivés à Toulouse, nous avions 34 ans.
Habitions alors un petit lotissement.
Notre plus proche voisin, Daniel, fringant jeune retraité de 66 ans, a tout de suite sympathisé avec nous, nous donnant quelques coups de main de bricolage, n’étant pas très doué sur ce point.
Je voyais bien qu’il matait Sandra, 1m 60, 55 kg, un bon 95b. cheveux longs, chatte de vraie blonde.
Mais bon, rien de plus que quelques regards appuyés sur certains points de son anatomie généreuse, et quelques badineries.
Tout se déclencha un certain après-midi où j’étais allé lui rendre visite et boire un verre.
Il faisait chaud ce jour là et Daniel me proposa de profiter de la piscine.
Je lui indiquai que je n’avais pas de maillot, que j’allais aller en chercher un.
- Pas besoin de te déplacer ! Sommes entre hommes, on sait ce que c’est !
Un peu hésitant, je me déshabillai entièrement et nous avons donc passé une bonne heure dans la piscine nus.
Effectivement, entre mecs, rien de bien insolite.
C’est plus tard que j’allais comprendre toute la signification et les conséquences de cette après-midi baignade.
Il se passa une dizaine de jours et j’allai rendre un outil que Daniel m’avait prêté. C’est à ce moment là qu’il m’interpella.
- Tu sais, j’ai quelque chose d’important à te dire. L’autre jour, quand nous avons fait piscine, j’ai vraiment été très très étonné en te voyant à poil : tu as vraiment une petite bite !!
J’étais stupéfait. Figé d’entendre mon voisin parler de mon anatomie.
Il est vrai que je ne suis pas gâté par la nature, loin de là. Mais me le dire comme ça, franchement, ça me gêne beaucoup.
- Est-ce que tu es conscient, Philippe, d’avoir une petite queue ??
Je ne savais pas quoi faire, quoi dire, devant une question aussi intime.
- Tu vois, tu rougis. Tu as bien compris ma question. Je répête : as-tu conscience d’avoir une petite queue ?
Tout à coup, angoissé, les larmes me montant aux yeux, je hochai la tête.
- Très bien, c’est déjà ça. Ca sera moins difficile pour toi pour la suite.
Je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire. Je ne savais plus ou me mettre.
- Nous allons voir ça. Lève-toi et déshabille toi. Entièrement.
L’ordre me figea. Est-ce que j’avais bien compris ??
Mais Daniel me ramena vite à la réalité.
- Allez, ne fais pas d’histoires. Debout et A POIL !
Je ne sais pas ce qui se produit. Je me levai mécaniquement. Comme un robot, j’enlevai ma chemise. Mon t-shirt. Mon short.
- J’ai dit TOUT, tu enlèves TOUT. Les chaussures et les chaussettes aussi.
J’obéis.
- Allez, vire le slip.
La mort dans l’âme, je fais ce qu’il me dit.
Me voilà nu devant lui.
- Mets tes mains derrière la nuque, c’est mieux comme ça.
J’étais dans le salon de mon voisin, debout, entièrement nu, les mains derrière la nuque, lui assis dans son fauteuil.
Il me fit bouger, me tourner plusieurs fois sur moi-même, marcher de long en large dans la pièce.
- Tu as vraiment une petite queue ! Tu n’as rien dans le slip dis donc !!
J’avais les larmes aux yeux mais parvenais à me retenir.
- Là où je voulais en venir, Philippe, c’est qu’avec une petite queue comme tu as, tu ne peux pas donner de plaisir à Sandra !!
- Non, elle ne doit rien sentir !!
Il me posa alors des questions très intimes sur mes rapports avec ma femme : comment je la "préparais" avant de faire l’amour, comment elle réagissait quand je la pénétrais, si je pratiquais la sodomie, etc…
- Et tu la prends combien de fois par semaine ?
- Je ne sais pas, 3 ou 4 fois…
- Je ne vais pas y aller par quatre chemins, Philippe. Je ne te cache pas que tu es très mal barré avec Sandra. Ca fait 8 ans que vous êtes ensemble et tu ne lui donnes aucun plaisir. Alors tu sais, les femmes aiment jouir. Et pour jouir, il leur faut de grosses queues. Et ce n’est pas avec ton vermicelle que tu peux lui donner du plaisir. Alors un jour, Sandra en aura assez de ne pas avoir de plaisir, elle ira voir ailleurs pour trouver un mec bien membré, et elle te quittera.
C’est ça que tu veux ??
L’angoisse montait, une boule dans la gorge, les yeux humides.
Je fis "non" de la tête.
- Très bien, tu aimes ta femme, j’en suis sûr, et tu ne veux pas la perdre. Et tu viens de prendre enfin conscience du danger.
- Donc, pour ne pas perdre Sandra, il est urgent qu’elle prenne ENFIN du plaisir.
- Il va falloir accepter une chose, Philippe : accepter d’être COCU.
Là, c’était trop. Toujours nu, toujours les mains derrière la tête, je me mis à fondre en larmes.
- Assieds toi dans le fauteuil et enlève tes mains de ta nuque. Pleure, ça te fera du bien.
Ma crise de larmes dura bien un quart d’heure. Temps durant lequel Daniel ne parla pas. Il se servit un whisky en me regardant pleurer à chaudes larmes, à poil devant lui.
Je commençais à me calmer quand il me servit un verre.
- Calme-toi. Bois ça, ça te fera du bien.
J’avalais le whisky presque d’un trait.
J’ai a peine reposé le verre qu’il ordonne :
- Debout et en position !
Je n’en crois pas mes oreilles. Je le regarde, interrogatif, hébété.
- J’ai dis debout en position bordel !!
J’obéis. Je me lève, je mets mes mains derrière la tête.
Il me fait marcher, bouger, tourner sur moi-même.
- Tu sais, tu as vraiment de la chance d’avoir croisé mon chemin. Je vais sauver ton couple, et grâce à moi, tu conserveras ta femme.
- Je suis dominateur, je vais prendre la situation en mains.
- Tiens, mets-toi à genoux, là. Mains croisées derrière ton dos, au dessus de tes reins !
Je fais ce qu’il me dit. Une boule dans la gorge. J’ai chaud.
- Tu vas être cocu. Tu sais, ça va être très difficile à accepter et à supporter. Tu devras faire preuve de beaucoup de courage pour accepter la situation. Tu devras être soumis. Obéissant. Accepter que d’autres hommes baisent ta femme, profitent de son corps.
- Tu devras accepter de la voir se faire draguer devant toi, accepter de la voir inviter des hommes chez toi, la voir et l’entendre se faire baiser dans votre lit, l’entendre jouir. Accepter aussi qu’elle découche et passe la nuit chez un amant.
- Mais tu verras, tu souffriras énormément au début. La première année sera sans doute effroyable pour toi. Tu seras profondément humilié, bafoué dans ta dignité de mari, mais au fil des mois, tu t’habitueras et tu finiras par accepter la situation. Tu n’as pas le choix de toutes façons. Et même, plus tard, tu finiras par prendre du plaisir à la situation. Tu apprécieras d’offrir ta femme à des mecs bien membrés, eux. Tu sera devenu candauliste.
Je me rebiffai.
- Non, je ne veux pas ! Sandra m’aime, elle ne veut pas d’autres hommes !!
- Mon pauvre Philippe, que tu peux être naïf… Bien sûr qu’elle t’aime, mais tu ne lui donnes aucun plaisir, voilà le "hic" !! Elle ne jouit pas avec toi ! Alors elle rêve, elle fantasme, et un jour elle ira voir ailleurs, définitivement ! Car une fois qu’elle aura goûté à un vrai mec, à une grosse queue, crois moi qu’elle ne reviendra pas avec toi !! C’est ça que tu veux ???
Je fis "non" de la tête.
- Alors fais moi confiance et OBEIS !
Il se ressert un whisky.
- Je veux t’entendre dire que tu acceptes d’être cocu. Allez.
A genoux, je ne peux sortir un seul mot. Je baisse la tête.
- Alors ?? J’écoute !
Je ne bouge toujours pas.
Il ne dit rien. Se lève, va dans une pièce, revient un appareil photo à la main.
Il commence à me photographier nu et à genoux, sous tous les angles.
- Lève-toi ! En position ! Mains derrière la nuque !
Il photographie, photographie.
- Tourne-toi, montre ton cul !
Il continue les clichés, me fait marcher.
- Très bien ! J’en ai assez pour l’instant.
Il se cale dans le fauteuil.
- Remets-toi à genoux devant moi !
J’obéis.
- Alors ? J’attends ! Tu me dis que tu acceptes d’être cocu.
- Mais….
- ALLEZ, j’ai dis !!
- Tu dis que tu acceptes d’être cocu ! Dépêche-toi ou je vais me fâcher, tu commences à m’énerver sérieusement…
J’ai honte. Toujours cette boule dans la gorge. Les larmes coulent.
- Alors !!!!!!!!!
- …. J’accepte…..
- Oui ??
-… J’accepte….J’accepte…d’être cocu…
- Eh bien voilà !! Tu vois bien que ce n’était pas si difficile ! Tu viens de faire le premier pas.
- C’est assez pour aujourd’hui. Lève-toi. Tu peux te rhabiller.
Toujours dans le fauteuil, il me regarde remettre mes vêtements.
- Je tiens à te rassurer. Tout se fera progressivement. Fais moi confiance. Je vais provoquer ça tout en douceur.
- Tu as des questions ??
- Euhh… Il faut que j’en parle à Sandra ?
- Non ! Surtout pas ! Malheureux ! Tu ferais tout foirer ! Laisse-moi faire. Je vais m’en occuper et lui présenter la chose. J’ai l’habitude. Crois-moi, elle n’attend que ça !! Mais il faut savoir lui présenter avec tact.
- D’ailleurs, toi aussi tu vas changer avec elle. D’après ce que tu m’as dis, les parties de baise, tous les deux, c’est à la "papa-maman". On se fait sucer sa petite bite et on prend son plaisir… A partir de ce soir, ça va changer ! Je veux au moins 1 heure de préliminaires pour elle avant la baise. Tu commences à la caresser doucement partout, sur tout le corps… Ensuite tu lui suces longuement les tétons, l’un après l’autre, tu l’embrasses, aussi. Ensuite tu l’embrasses délicatement, seins, poitrine, ventre, et là tu arrives sur sa chatte, et tu la lèches longuement : les grandes lèvres, les petites lèvres, le clito. Tout très longtemps, que tu la sentes mouiller, bouger, gémir… Tu n’arrêtes pas tant que tu ne la sens pas dans cet état. Ton plaisir, tu le prendras, APRES, c’est compris ??
Je suis hébété. Dans un demi brouillard je hoche la tête positivement.
- Vous viendrez déjeuner dimanche midi. Tu me laisseras faire, je m’occupe de tout. Tu ne nous "colleras" pas, il me faut quelques moments seul avec elle, que je puisse lui parler de tout ça.
Je hoche la tête.
- Très bien, rentre chez toi, et réfléchis à tout ce que je t’ai dis, mais surtout à tout ce qui va se passer bientôt. Commence à t’habituer à la situation, à ce que tu vas vivre.
Je lui serre la main, rentre chez moi.
Sandra est là. Si elle savait…
CHAPITRE 2
En attendant le repas, je réfléchis à tout ce qu’il venait de se passer.
Je venais de prendre dans les dents le fait que "j’avais une petite bite".
Ce que je savais déjà, mais c’est un mec qui me l’avait dit. Brutalement.
J’étais humilié.
Pourtant je réfléchis et me dis qu’il disait sans doute vrai : ce n’est pas avec mon petit sexe que je devais donner beaucoup de plaisir à ma femme.
En plus, il m’a donné un cours, appris à faire l’amour.
Il est vrai aussi que je n’accordais pas beaucoup de temps aux préliminaires avec Sandra.
Je pensais bêtement à mon propre plaisir avec ma "petite bite".
Le repas arriva.
J’avais du mal à manger.
L’après-midi me revenait sans cesse en mémoire.
En plus de l’humiliation quant à la petitesse de mon sexe, il m’avait humilié, fait déshabiller, pris en photo entièrement nu.
Et je lui avais obéi.
En gros, il avait dit qu’il allait me dominer.
Moi, le mari, en couple, il allait me soumettre.
Mais le pire est qu’il m’a annoncé que j’allais être cocu, et que j’allais devoir l’accepter !
Le fin du fin !
Moi "cocu" !
Et il fallait en plus que je sois "cocu-content", peut-être même que je remercie ceux qui allaient baiser ma femme, pendant que nous y étions !
Car c’était ça : d’autres mecs allaient baiser ma femme !
Tout ça sous prétexte que j’avais "une petite bite".
Mais j’étais rassuré : jamais Sandra n’accepterait ça.
Le soir, dans la chambre, je commençai à entreprendre Sandra, en faisant ce qu’il voulait.
Je commençai les préliminaires, la caressant partout.
Je m’attaquai à ses seins, ses tétons, longuement.
Puis je descendis et me mis à lui lécher la chatte, encore plus longuement, jusqu’à l’entendre gémir et crier, jouir, sa mouille coulant dans ma bouche.
Après, elle me suça, et je la pris en levrette.
Excité, je n’attendis pas longtemps avant de jouir dans sa chatte trempée.
- Eh bien dis donc, tu es en forme ce soir, que se passe-t-il ?
Sandra alla se laver et s’endormit rapidement.
Quant à moi, après la douche, je mis longtemps à m’endormir.
Pensant encore à cette fichue après-midi et à tout ce qui s’était passé.
En plus, j’avais mis en œuvre, dans l’intimité, ce que Daniel m’avait ordonné !!
Le lendemain matin, tôt, je partis au travail, laissant Sandra endormie, elle cherchant un emploi.
J’étais en train de rouler que je reçus un SMS, de Daniel.
"Tu passeras me voir ce soir directement en rentrant de ton bureau, Daniel".
Que voulait-il donc ? Décidément, il ne me "lâchait pas" !
La journée se passa tranquillement.
Le soir, je fis ce qu’il me dit.
Je rentrai la voiture dans le garage et sonnai chez Daniel.
- Je t’ai dis de passer directement me voir, j’aimerais que tu comprennes ce que je te dis !
Je lui serrai la main sans répondre.
Nous entrons dans la salle à manger-séjour.
- Eh bien ? Qu’est-ce que tu attends pour te mettre à poil ?
L’ordre claqua.
Je ne bougeai pas.
- Allez, A POIL !
La deuxième fois, je commençai à faire ce qu’il voulait.
Au bout de cinq minutes, mes vêtements sur le fauteuil, j’étais entièrement nu.
- Bien. Mains derrière la nuque !!
- Il faudra que tu comprennes une chose : il faut obéir !
- Désormais, chaque fois que tu viendras chez moi sans ta femme, tu te foutras à poil dès ton arrivée, sans que je sois obligé de te le demander. C’est bien compris ??
- Euh…Oui… Oui…
- Oui Monsieur !!
-Oui…Monsieur…
- Bien ! Désormais, tu m’appelleras Monsieur, ou Maître ! Et terminé de me tutoyer ! Ce sera toujours "vous" quand tu t’adresseras à moi !
- Oui…Monsieur.
- Et tu te mets à poil dès que tu arrives chez moi, même s’il y a des visiteurs, compris ?
- Oui, Monsieur.
- Très bien, ça commence à rentrer on dirait. Maintenant, raconte moi ta séance de baise d’hier soir !
Je lui raconte alors mon angoisse en repensant aux événements de l’après-midi. Puis l’arrivée dans la chambre, la longueur des préliminaires, le cunnilingus, la jouissance à Sandra dans ma bouche, ma rapide éjaculation, et le fait qu’elle m’ait dit "- Eh bien dis donc, tu es en forme ce soir, que se passe-t-il ?".
- Très bien, excellent ! Tu vois que ça commence à rentrer et à payer ! Tu as vu que tu avais des lacunes, ta femme te le fait même remarquer ! C’est en bonne voie.
Il sortit de la pièce et revînt avec l’appareil photo.
- On va faire une petite séance photos si tu veux bien.
Il prit plusieurs clichés de moi.
- Mets toi en levrette par terre !
Je ne bougeai pas.
- Allez, du nerf ! A quatre pattes par terre !!
J’obéis.
- Creuse les reins ! Tends ton cul ! Mieux que ça !!
L’appareil crépite.
Maintenant, monte sur la table et mets toi encore en levrette !
Je fis ce qu’il voulait.
- Mais tends ton cul, bordel ! Offre toi !!!
J’eus ensuite droit à une série de clichés sur le canapé dans toutes les positions, même cuisses largement écartées, ma main sur le sexe, faisant mine de me caresser, mais aussi jambes levées, etc…
La suite des photos se passa à la cuisine. Nu, mais aussi avec un petit tablier blanc, lavant et essuyant la vaisselle, faisant semblant de faire la cuisine.
Puis il me conduisit à la salle de bains.
- Allez, à la douche !
Je me douchai sous l’objectif à Daniel.
- Lave toi bien le sexe !
- Lave toi le cul !
- Savonne tes seins !
Une fois terminé nous sommes revenus au salon.
- Mains derrière la nuque bon sang !!
Il s’assit dans un fauteuil, se servit un verre.
- Très bien, la situation évolue favorablement. J’ai une grande nouvelle à t’annoncer.
Je restai devant lui, interrogatif.
- Tu vas être cocu beaucoup plus rapidement que prévu. Autant battre le fer tant qu’il est chaud comme on dit, non ?
- Que voulez-vous dire ?
- Eh bien c’est très simple : je vais devenir l’amant à ta femme !
Je me pétrifiai.
- Quoi ? Comment…?
- Oui ! Tu as bien compris, Philippe. Je vais baiser ta femme et devenir son amant. Et son amant régulier !
- Mais…C’est impossible ! Vous avez le double de son âge ! Vous pourriez être son père ! Elle a 34 ans et vous 66 ! Vous avez 32 ans de plus qu’elle !!!
- Et alors ? Tu crois que ça m’empêche de baiser, d’avoir 66 ans ? Tu as vu ma queue à côté de la tienne ? Tu crois qu’elle va hésiter longtemps ??
- Mais…Je ne veux pas !!
Il se mit à rire.
- Tu crois que je vais te demander ton avis, peut-être ?
- Dès demain, quand tu seras parti au boulot, je vais l’appeler au téléphone, et je vais commencer à la "chauffer" !
- Rassure-toi, je ne vais pas la baiser tout de suite, ça se fera en ta présence, devant toi ! Je vais juste commencer à la draguer. Et crois moi que ça va aller vite ! Tu as vu les regards qu’elle me fait quand je lui parle ?
- Non…Je vous en prie… Pas vous…
- Mais je ne te demande pas ton avis tu sais ! Ta femme me plaît, j’ai envie de la baiser depuis longtemps, et crois-moi que je ne vais pas m’en priver !
- Et comme je te l’ai dis, je vais devenir son amant régulier ! Notre relation va durer dans le temps, et toi tu fermeras ta gueule !
- Pour commencer, tu me respectes mieux que ça. A GENOUX !!
J’obéis instantanément.
Il se ressert un autre verre.
- A vrai dire, elle me plaît, ta femme. Elle a un beau cul et une sacrée paire de miches ! J’ai hâte de goûter à tout ça !
- Elle fait bien l’amour ? Elle suce bien ?
- Euhhh… Oui elle fait bien l’amour… Et oui, elle suce très très bien !
- Parfait ! Je vais pouvoir me faire essorer le poireau !
- Tu sais, dès que vous êtes arrivés, je l’ai remarquée ! Maintenant est venu le moment où je vais enfin pouvoir la mettre dans mon lit et la baiser autant que j’en aurai envie !
- Pense à ma bite entre ses seins, huumm… Et ensuite bien enfoncée dans sa chatte mouillée ! Elle va prendre sa dose et en redemander, tu verras !!
Je me mis à fondre en larmes.
- Chiale un bon coup, ça te fera du bien !
Il me laissa faire, me fît asseoir dans le fauteuil, me donna un mouchoir en papier et un verre de whisky.
- Dès demain, quand tu seras au boulot, je l’appelle et l’invite à venir boire un café. Tu vas voir que ça va aller vite et que je vais très vite "l’emballer".
Je n’en pouvais plus.
- Faites tout ce que vous voulez, je m’en fiche ! Je m’en fiche !
- Eh bien tu vois, tu commences à comprendre ! Et à accepter la situation ! C’est mieux !
- Rassure-toi : les premières fois, ça va juste être de la drague un peu poussée, et du flirt. Quand elle sera bien "emballée", alors nous pourrons penser au cul et à la baise.
- D’ailleurs vous venez dimanche midi, j’ai deux jours pour commencer à la chauffer sérieusement.
Je bois mon verre d’un trait. Il m’en ressert un immédiatement.
- Ne sois pas nerveux. Tout va bien se passer, en douceur. Tu deviendras cocu sans même t’en apercevoir.
- Tu ne t’étonneras pas : au début, il me faudra la voir souvent et que je la baise régulièrement. Il faudra asseoir notre relation, la rendre accroc à ma bite.
- Donc, je la verrai même lorsque tu seras au bureau, en ton absence, pour des séances au lit… Mais bon, je te tiendrai au courant de nos ébats, bien sûr !
Je bois le second verre.
- Tu dois accepter la situation, bien comprendre que tu es cocu. Et ne te mets pas à picoler ou à prendre des calmants, ça ne sert à rien et surtout n’arrangerait rien bien au contraire !
- Il faut que tu saches aussi que j’ai envie d’elle, et que je ne vais pas attendre longtemps. J’ai envie de la baiser, et je vais lui en mettre un coup très prochainement. Il faut donc t’y préparer mentalement. Ca va bientôt arriver.
- Mais pourquoi…Pourquoi ?
- Eh bien tout simplement parce que j’ai envie de la baiser !! Et depuis un bon moment ! Tu sais, moi aussi j’ai envie de baiser une belle nana comme ta femme ! Et puis avoue que tu as quand même de la chance : tu connais son amant, et tu sais que je vais non seulement en prendre soin, mais également lui mettre sa dose de queue !
- Comme je te l’ai dis, je ferai tout progressivement. Je vais devenir son amant régulier, la baiser une paire de mois avant d’envisager de l’offrir à d’autres hommes.
- Je veux que notre relation soit bien établie, que nous soyons véritablement en couple amant-maîtresse et toi mari-cocu.
- Vous êtes dégueulasse…
- Non, je ne suis pas dégueulasse, j’ai envie de baiser, c’est tout !
Et il éclate de rire.
Il fait tourner le whisky dans son verre en le regardant.
- Ah, quand je vais bien me faire sucer par Sandra… Ma grosse queue dans sa bouche… Sa langue sur le gland, sur les couilles… Quand je vais lui défoncer la chatte… Bien à fond… La faire crier, hurler, jouir…
A SUIVRE....
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