lundi 5 août 2019

RECIT: COMMENT MA FEMME S'EST FAITE DEVERGONDEE (CHAPITRE 5 ET 6)

                                                             
                                                           CHAPITRE 5

 

- Cocu ! Vas faire la vaisselle ! Ensuite tu iras faire notre lit !

La mort dans l’âme, j’obéis, tandis qu’ils rient dans la piscine.

Je débarrasse la table, vais dans la cuisine faire la vaisselle (alors qu’il a un lave vaisselle).

Puis le plus dur arrive.

J’entre dans la chambre. Je vois tout de suite le lit en désordre.

Là où ils faisaient l’amour voici quelques minutes.

Je tire les draps. Remets les oreillers en ordre.

Tire la couette. Le lit est fait.

Quand je reviens sur la terrasse, ils sortent de l’eau.

- Cocu ! Vas chercher deux serviettes dans la salle de bain !

Je reviens avec les serviettes.

Il essuie ma femme, s’attarde sur les seins. Puis elle le sèche.

- Tu es vraiment belle Sandra. Nue, tu es encore plus belle.

- Tu es faite pour vivre nue !!

- Cocu ! A genoux et embrasse les pieds de ta femme !

J’hésite.

- Allez !! Exécution. Embrasse lui les pieds, salope !

Je m’agenouille. Embrasse plusieurs fois un pied, puis l’autre.

Elle rit.

- Relève toi !

Il regarde sa montre, sur la table.

- Mais il est déjà presque 19 heures !

Il me regarde.

- Rhabille toi !

Pendant que je prends mes vêtements, il embrasse ma femme langoureusement à pleine bouche, j’entends les bruits de succion, de langues.

Il lui caresse les hanches, les fesses.

Je suis habillé. Ils arrêtent les baisers.

- Bon ! Tu vas rentrer chez toi, et Sandra reste ici pour la nuit !

- Mais….???

- Il n’y a pas de "mais" ! C’est moi qui décide !!

- Sandra passe la nuit dans mon lit, et toi tu restes chez toi ! C’est mieux comme ça pour tout le monde !

- Mais je ne veux pas ! C’est ma femme !

- Tu fermes ta gueule et tu obéis, c’est tout ! Allez, dégage chez toi !

Sandra me dit :

- Il reste du poulet froid. Bon appétit !!

Elle éclate de rire.

Je m’en vais. Ils sont toujours nus sur la terrasse.

Arrivé chez nous, j’ai une boule au ventre et à la gorge.

Je m’aperçois que j’ai oublié mon téléphone portable.

Je vais sonner chez Daniel.

Il m’ouvre, une serviette nouée autour de la taille.

- Tu ne vas pas commencer à nous faire chier toutes les cinq minutes !!!

- J’ai oublié mon téléphone portable sur la table !

- Bon, vas le chercher et tu files chez toi !! N’essaie pas de t’incruster.

Je traverse la maison, arrive sur la terrasse, Sandra a également une serviette autour de la taille.

Je récupère mon téléphone. Il m’arrête.

- Ah, au fait, un conseil ! Cette nuit, évite de trop te branler. Ca va rien changer, et tu te fatigueras et t’épuiseras pour rien.

- Vaut mieux que tu chiales un bon coup, tu prends une douche, tu vas te coucher sans te toucher, et tu essaies de dormir, bien que je pense que la première nuit, tu vas passer une nuit blanche !

- Remarque, nous n’allons pas dormir beaucoup non plus !!

Sandra et lui éclatent de rire.

- C’est sûr que tu auras du mal à dormir en imaginant ta femme dans la maison d’à côté, pour sa première nuit dans le lit de son amant, passant cette nuit à sucer, à se faire défoncer la chatte et le cul, et à prendre du sperme partout ! Mais bon, il faudra bien t’habituer à cette situation !

Sandra s’approche de lui, mets ses deux mains sur son épaule, approche son visage.

- Oh oui, chéri… Tu me feras l’amour plein de fois… Tu me fais bien jouir, j’ai envie de toi !

Je sens les larmes monter.

Il me raccompagne à la porte. Referme à clef.

Je rentre. Seul.

Je pense à tout ça. Tout ce que j’ai vécu aujourd’hui.

Je m’assied dans le canapé. Les images défilent.

Quand nous sommes arrivés chez lui, il a embrassé ma femme sur la bouche. Ca a commencé là.

Je l’ai vu ensuite la déshabiller. Elle n’a rien dit. S’est laissée tripoter.

Puis elle l’a sucé. Il l’a baisée. Devant moi. Elle a jouit avec un autre homme devant moi.

Elle l’appelle même "chéri".

J’ai les boules, les glandes.

Et moi qui ne dit rien, me laisse faire, les laisse faire.

Ensuite ma femme qui lui demande de "lui faire l’amour". L’épisode dans la chambre. Carrément "au lit".

Re-baise. En ma présence qui ne les dérange pas. Les excite, peut-être.

Voir tout ce sperme couler de sa chatte.

La voir le ventre souillé de ce même foutre. En avoir partout, des placards.

Et la voir s’amuser d’être enspermée par son amant.

La voir le sucer. L’entendre jouir lorsqu’il la possède. L’entendre crier, hurler de plaisir.

Les souvenirs de cette folle journée tournent en boucle dans ma tête.

 

20 heures.

 

Je sors sur la terrasse. Vais écarter les branches de troènes.

Ils ne sont plus sur la terrasse. Où sont-ils ? Dans la chambre ??

La fenêtre est encore ouverte, je n’entends rien. Mais ça ne veut rien dire.

La jalousie monte, me ronge. J’ai envie d’aller sonner.

Mais je n’en fais rien. Je rentre.

Je vais me faire à manger, ça m’occupera l’esprit.

Je prends le poulet froid que Sandra m’a indiqué.

Je nettoie une salade. Prépare la sauce.

Je mets la table. Une seule assiette.

Je m’écroule en pleurs sur le canapé. Je pleure pendant 1/2 heure.

Sanglotant, je vais chercher le poulet, la salade.

Essuie mes larmes. M’attable.

Les premières bouchées ne passent pas.

Je sors sur la terrasse. 20 h 45.

Ils ne sont pas dans la chambre. La fenêtre est toujours ouverte mais la pièce n’est pas allumée.

La salle à manger est allumée, le salon aussi. Ils doivent dîner.

Je reviens et tente de manger. Le poulet ne passe pas.

Je débarrasse et met tout à la poubelle.

Puis me sers un whisky. Puis deux. Un troisième.

Je sais que ce n’est pas la solution, mais je le fais.

Je retourne sur la terrasse. La fenêtre du salon est ouverte.

J’entends des bruits de couverts qui s’entrechoquent.

Je les entends parler et rire.

Assis sur le bord de la porte-fenêtre je bois mon verre de whisky, la bouteille à côté de moi.

Je ne tiens pas en place. Trop angoissé.

Je me lève, vais dans le salon, allume la télé. M’assied sur le canapé, verre à la main, bouteille à proximité.

Film policier. Je n’arrive pas à me concentrer.

Je regarde l’heure. 21h 50.

Je cours voir sur la terrasse.

Le salon est dans le noir, la chambre, fenêtre ouverte, est allumée !

Ils sont dans la chambre !

Je rentre. Dans le canapé, j’éclate en sanglots.

Pleure à chaudes larmes. Je n’en peux plus.

22h 20.

Je retourne sur la terrasse, écarte les troènes.

Les volets de la chambre sont fermés à moitié, fermés en "A". La chambre est toujours allumée, avec une lumière moins forte, sans doute les lampes de chevet.

Il fait chaud. La fenêtre doit être ouverte. Mais je n’entends rien.

Je reste la tête dans les troènes. Les minutes passent.

Tout à coup, j’entends un gémissement. Puis plusieurs. Puis un cri.

Ils sont en train de faire l’amour.

C’est trop. Je me recule, je rentre, ferme la porte-fenêtre.

Puis fonds en larmes sur le canapé.

Au bout d’un moment, je fais ce qu’il m’a suggéré : je vais prendre une douche. Reste longtemps sous l’eau.

J’ai l’impression qu’elle me purifie, purifie ma femme souillée de sperme.

Je me sèche et vais me coucher, nu.

J’éteins et tente de dormir. Pas moyen. Je me tourne et me retourne.

Je pense à ce qui se passe à côté. Sandra en train de le sucer. Sandra empalée sur sa bite. Sandra criant, hurlant, jouissant.

Je me lève, me sers un verre et revient me coucher.

Je vais lire, pour me calmer.

Les articles du magazine défilent. Je le termine. En commence un autre que je dévore vite.

Puis encore un autre. Et un autre verre.

Minuit 05.

J’ouvre la porte fenêtre. Mets la tête dans les troènes.

La chambre est toujours allumée. Mais aucun bruit. Il fait frais. Il a du fermer la fenêtre.

Nu sur la terrasse, j’ai froid, maintenant. Et puis ça ne servira à rien que je reste ici à regarder leur fenêtre de chambre allumée.

Je me fais plus de mal que de bien. Je rentre.

Je me couche et lis encore et encore.

Minuit 40.

L’alcool commence à faire son effet.

Je m’endors.

Je dors mal. Je me retourne souvent.

Suis réveillé.

3 h 15. Je n’y tiens plus. J’enfile mon peignoir, vais dehors.

Chambre toujours allumée !! Ce n’est pas possible.

Je rentre. Je pleure.

Au lit, je fais une vraie crise de larmes.

Puis finis par m’endormir au milieu des sanglots.

7h 15. Le réveil du portable me sort du sommeil agité de cette nuit.

Immédiatement, je me rends compte de la situation : suis seul dans notre lit.

Ma femme a passé la nuit chez son amant.

Drôle de façon de commencer la journée.

Je prends ma douche et vais me préparer le petit-déjeuner.

7h 45. SMS !

"Avant de partir au boulot, dépose devant ma porte la pochette à maquillage à Sandra et sa brosse à cheveux".

SMS !

"On a baisé toute la nuit comme des fous ! Elle est bonne, ta femme, elle aime la bite, je peux te le dire ! Je lui ai mis le dernier coup à 6 heures !".

Je bois mon café et mange mes tartines.

Je m’apprête et vais dans la salle de bains chercher les affaires à Sandra.

Sors la voiture.

J’entre dans le jardinet à Serge, devant, et dépose la trousse à maquillage et la brosse à cheveux à Sandra devant la porte.

Quand je pense que ma femme est là dedans.

L’angoisse monte.

Je m’en vais au bureau.

Tout à mon travail, j’arrive à m’occuper l’esprit. Ca va mieux.

11 h 45. SMS !

"Avons passé une très belle nuit. Sandra a voulu baiser sans arrêt ! Complètement accroc à ma queue la petite !".

"Putain ce qu’elle est bonne !! Me suis régalé. En plus elle aime sucer, elle m’a pompé comme une reine".

"Et puis quelle paire de miches ! Quel cul !!".

11h 55. SMS !

"Petite surprise pour toi. Prises à l’instant".

Jointes au SMS, deux photos.

Sur la première, Sandra, entièrement nue, sur le lit, dort en chien de fusil. Il n’y a plus ni drap du dessus ni couette.

Sur la seconde, ses fesses en gros plan.

 

 

                                                              CHAPITRE 6

 

L’angoisse remonte immédiatement. Les larmes également.

SMS !

"Maintenant, c’est fait. Tu es vraiment cocu. Tu vois ce que ça fait de découvrir sa femme, nue, dans le lit d’un autre mec !"

"Si tu n’avais pas eu une petite bite, et que tu aies su t’en occuper, ce ne serait peut-être pas arrivé".

"Ta femme s’est faite baiser toute la nuit. Mais tu sais, ce n’est qu’un début, crois-moi. Il va falloir t’habituer à bien d’autres choses !".

Il m’envoie un nouveau SMS.

"Ah ! Petite précision que tu vas apprécier ! Avons pratiqué plusieurs fois la sodomie ! Sa petite chatte est déjà "bonne", mais alors, j’ai adoré prendre son petit cul ! J’ai adoré défoncer son petit trou, il est bien serré, quel pied !".

" Je lui ai même jouis une fois dans le cul !".

Je fonds en larmes. J’essuie vite ces larmes et vais pleurer dans les toilettes.

SMS !

"Et puis, elle "bouge" bien ! Avons fait toutes les positions ! Au lit, elle est vraiment déchaînée ! Avons baisé à peu près de 22 heures à 6 heures du matin, quasiment sans interruption, juste attendre que je recharge les batteries, lol !".

Je continue à pleurer, assis sur l’abattant des toilettes.

SMS !

"Tu ne réponds pas ??".

Je tape sur le clavier.

"Que voulez-vous que je vous dise ? Que j’ai honte ? Que je pleure ? Que je suis jaloux ? Que j’ai mal ? Vous le savez déjà !".

SMS !

"Tu me fais rire. Oui, tu peux avoir honte ! Savoir que sa femme se fait défoncer la chatte et le cul par son voisin qui a 30 ans de plus qu’elle, et qu’elle jouit, tu peux vraiment avoir honte !"

"Jaloux ? Ma pauvre soumise, ça c’est fini ! Tu es cocu, alors ta jalousie, tu peux l’oublier."

Je ne réponds pas.

Je n’irai pas à la cantine. Mes collègues sont partis déjeuner, je m’enferme dans mon bureau.

12h 50.

SMS !

Deux photos.

Sandra sous la douche. Sur une photo elle fait "coucou" de la main.

13 h 20. SMS !

Deux photos.

On voit Sandra assise sous la tonnelle, seins nus, juste vêtue de la culotte noire en dentelle qu’elle portait hier. Elle lève son verre de champagne sur la première, et mange une tartine de foie gras sur la deuxième.

Nouveau SMS.

"A ta santé et bon appétit ! Après le repas, allons sans doute aller faire une petite "sieste crapuleuse", je crois que Sandra en a très envie d’après ce qu’elle vient de me dire !".

"Elle me charge aussi de te dire qu’elle a passé une très bonne nuit, et que ça ne lui était pas arrivé depuis longtemps".

Je fonds en larmes.

Nouveau SMS.

Deux photos.

Les seins à Sandra en gros plan, et un gros plan de son entrejambe, la culotte noire en dentelle.

Et ce texte : "Avec ça, tu peux aller aux toilettes et te faire du bien, lol !".

SMS !

"Au fait, pendant les pauses de baise, avons beaucoup parlé de toi, Sandra et moi. Tu sais, beaucoup de choses vont changer te concernant. De nouvelles choses, de nouvelles règles qu’il faudra respecter".

Je lui réponds.

"Qu’est ce que vous avez encore inventé ? Vous voulez quoi ? Encore me soumettre plus ? Me faire encore plus mal ?".

SMS !

"Déjà, tu ne me parles pas sur ce ton ! Tu seras puni pour ça. Et puis vu ta nouvelle situation de cocu, tu dois comprendre que ta vie, notamment de couple, va changer. On en parlera ce soir".

"Quant à te soumettre, bien sûr que ta soumission va évoluer. Tu es encore bien rebelle, et tu as des tas de choses à apprendre. Je vais m’en occuper sérieusement, crois-moi !".

"D’ailleurs, Sandra a son portable sur la table, tu vas immédiatement lui envoyer un texto pour lui dire que tu es heureux d’être cocu, lui demander si tout va bien, etc… Dépêche toi d’envoyer ça, ne me fais pas attendre !".

Le salaud. Jusqu’où ira-t-il ?

Je commence à rédiger le texto. Je vais mettre ce qu’il veut. Les larmes coulent.

"Bonjour ma chérie. J’espère que tout va bien et que tu as pris du plaisir à cette soirée. Tu me manques terriblement. Je t’aime. Bisous.".

J’envoie.

Quelques minutes passent. SMS !

"Sommes écroulés de rire, Sandra et moi ! Vraiment ptdr ! Qu’est-ce que c’est que ce texte ? Une carte de Saint-Valentin ? Tu lui envoie un texto HARD, compris ?? Avec ce que je t’ai demandé, et des détails. Si tu ne fais pas ca tu seras puni encore plus durement".

Je fonds en larmes.

J’écris.

"Hello Sandra ! Je suis très heureux que tu aies un amant. J’aime être cocu. Daniel m’a dit que vous aviez baisé toute la nuit et que tu avais pris ton pied. C’est tout ce que je souhaite pour toi."

J’envoie.

SMS !

"Ah, c’est déjà beaucoup mieux ! Sandra va te répondre !".

SMS !

"Bonjour mari cocu. Heureuse que tu aies enfin pris conscience de ta condition de cocu. Ca devait arriver. Tu ne te rends pas compte que tu es fais pour être cocu ??".

"Effectivement, j’ai pris un pied d’enfer cette nuit ! Nous nous sommes envoyés en l’air toute la nuit, avons fait l’amour comme des fous !".

"Daniel a vraiment une grosse et belle queue, et il sait s’en servir, LUI !! J’adore quand il me prend, je le sens bien, j’aime sa bite !".

SMS. C’est lui.

"Envoie lui en un autre. Dis lui que tu as aimé nous voir baiser".

J’écris.

"Je voulais te dire aussi que j’ai pris beaucoup de plaisir à vous voir faire l’amour, hier. J’ai aimé te voir avec Daniel, prendre du plaisir".

SMS !

"Me faire baiser à fond devant toi, c’était mon rêve depuis très longtemps. Je n’ai pas été déçue, je te le dis ! Baisée par mon amant devant toi, A POIL et à genoux, soumis, quel pied d’enfer, je t’assure !!!".

SMS. C’est lui.

"Bon. Il est 14 heures. Sandra est impatiente. Nous allons donc aller dans la chambre, "jouer au docteur".

SMS !

Aucun texte. Juste une photo.

Je regarde.

Juste la culotte noire en dentelle à Sandra, posée sur la table…

Je me jette à nouveau dans mon travail.

16 h 10. SMS !

Un texte et deux photos.

"Travaux pratiques terminés".

Sur le photos, le sexe et le bas ventre à Sandra maculés de sperme.

SMS !

"Tu vois, ta formation de cocu continue !".




La journée de travail se termine.

18 heures. Je rentre ma voiture dans le garage et vais sonner chez Daniel.

Je rentre. Il me conduit sur la terrasse. Sandra est assise, en peignoir.

Je l’embrasse rapidement, un petit bisou sur la bouche.

"Et alors ? Tu n’as rien oublié quand tu rentres chez moi ?".

La mort dans l’âme, je commence à me déshabiller.

Je suis bientôt nu.

-Reste debout. Mains derrière le dos".

-Avec Sandra, nous avons décidé d’un certain nombre de choses, de mesures te concernant. Dont une immédiate que je t’annoncerai tout à l’heure".

-Tu vas également être puni pour m’avoir manqué de respect tout à l’heure".

-Mais je ne vous ai pas manqué de respect. Comprenez moi, j’étais angoissé".

-Tais-toi. Tu seras puni".

-Sandra, tu peux y aller, je vais lui parler".

Sandra se lève, s’habille et sort.

- A genoux, mains derrière le dos !".

- Bien. Donc, je t’annonce la première mesure. Nous sommes lundi. Sandra passera toutes les nuits de la semaine ici, jusqu’à la nuit de dimanche à lundi inclus.

Je fonds en larmes, me jette à ses pieds, attrape ses chevilles.

- Non ! Je vous en supplie, je vous en supplie ! Pas ça ! Non ! Je ne veux pas… Je vous en supplie… Je vous en supplie...".

Il dégage ses pieds.

- Dégage de mes jambes et remets toi en position ! Tout de suite !!

J’obéis, en larmes.

- Sandra sera donc dans mon lit toute les nuits de cette semaine. Et comme tu as été insolent et que tu m’as mal parlé, en plus, elle vient s’installer chez moi pour la semaine !

J’éclate en sanglots.

- Oh non…..non… non…. NON…

- J’ai dis ! Ca t’apprendra à désobéir à mes ordres ! Au départ, elle ne devait passer qu’une autre nuit avec moi, mais j’espère que le fait qu’elle couche avec moi toutes les nuits de la semaine et vienne s’installer ici te mettra un peu de plomb dans la cervelle et t’incitera à obéir !

Je pleure. Je hurle.

Il me met une gifle. Je continue.

Il rentre. Revient avec une paire de menottes.

Me prend les mains, les met devant et m’attache.

-Lève toi !

Je suis debout, en larmes, au bord de la crise de nerfs. Nu et menotté.

Il prend le tuyau d’arrosage.

L’ouvre au maximum et m’arrose. Ca dure au moins un quart d’heure.

L’eau est assez froide. Je suffoque, manque de tomber.

Il arrête le jet. Va dans la remise, revient avec une corde.

Il passe la corde au milieu de la chaîne des menottes et me conduit à l’entrée de la tonnelle.

Là, il passe la corde en haut sur l’armature. Tire dessus, mes bras se tendent, suis bras levés face à l’entrée de la terrasse. Ruisselant. Il bloque la corde.

- Bon ! Tu vas rester un moment comme ça. Et tu vas te calmer !!

Il part un moment. Me laisse en position.

Puis revient.

- Tiens ! J’ai quelque chose pour toi, cocu !


                                                                                                  A SUIVRE...

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