mercredi 7 août 2019

RECIT: COMMENT MA FEMME S'EST FAITE DEVERGONDEE (CHAPITRE 9 ET 10)

Et voici deux nouveaux chapitres de l'histoire. Demain afin de varié un peu je mettrait en ligne la premiere partie de ma nouvelle caption.




                                                            CHAPITRE 9 



Elle s’approche de moi et me jette le contenu de son verre au visage.

- Ma puce ! Ca fait un quart d’heure, elle s’est reposée. Vas la fouetter.

Sonia se repositionne.

Le premier coup claque.

Je n’en peux plus. Le 20ème arrive. Je sanglote.

Daniel vient enlever le bâillon. Je pleure à chaudes larmes.

- Sandra, on la laisse un peu attachée, qu’elle se calme..

- Oui, elle est bien attachée de toutes façons.

Ils me laissent ainsi une heure. Puis il vient me détacher. Enlève les pinces, les menottes.

Je m’écroule par terre.

Il vient me tirer.

- Allez, relève-toi et vas te mettre à genoux devant Sandra. Vas la remercier !

J’arrive. A genoux devant ma femme, je lui embrasse les pieds spontanément et bredouille :

- Pardon…pardon et merci… Merci de m’avoir punie…




Il intervient.

- Merci QUI ?

- Merci Mademoiselle…Merci Mademoiselle…

Je me relève de ses pieds. Elle me demande.

- C’était bon ? Tu as aimé ?

- Oh oui Mademoiselle, c’était bon !

- Tu as aimé te faire fouetter ??

- Oui, j’aime le fouet.

- Très bien, je vois que tu as compris la leçon. Alors évite désormais que j’ai besoin de te punir.

- Oui Mademoiselle, j’ai compris, je serai obéissante.

Daniel ordonne.

-Mets-toi debout, mains derrière la nuque et montre ton dos à Mademoiselle !

J’obéis.

- Dis donc, ma chérie, tu ne l’as pas ratée ! Regarde moi ce dos zébré ! Félicitations !

- Merci mon amant ! J’ai adoré la fouetter ! Je crois même que je suis en train de mouiller !

Il me demande de me rhabiller. J’ai le dos en feu.

- Maintenant rentre chez toi. Tu ne vas pas dormir de la nuit à cause du fouet, nous on ne va pas dormir non plus, on va baiser ! Tu nous as bien excités comme ça.

Je rentre chez nous, me déshabille vite, regarde mon dos dans la glace. J’ai le dos complètement marqué de traces de cravache. Je me mets de la crème apaisante.

Effectivement, je dors mal la nuit.

Mais bon, je ne travaille pas le week-end, et plus que trois nuits et Sandra reviendra à la maison.

Samedi matin, je reçois un colis.

A l’intérieur, quatre pyjamas. Un à carreaux, un bleu uni, un rouge, un marron.

Je me rappelle que je vais devoir "porter ça" pour dormir.

Le téléphone sonne.

"Oui, bonjour Maître".

"Bonjour soumise. Dis-moi, je pars en balade toute la journée avec ma petite amie, et j’ai besoin de toi. Tu viens chez moi, et tu fais le ménage dedans entièrement : tu passes l’aspirateur, tu laves les sols, tu fais la poussière. Tu laves la terrasse et tu nettoies la piscine. Tu fais des lessives, il y a une semaine de linge. Et tu n’oublies pas de changer notre lit".

"Rentrerons tard vers 21 heures, tu nous prépareras à manger. Quelque chose de bon. Et tâche que tout soit fait impeccablement si tu ne veux pas être punie. Rendez-vous devant chez moi dans 10 minutes".

Je suis à l’heure devant chez lui. Sa voiture est déjà sortie. Sandra sort la première.

- Bonjour Mademoiselle.

- Bonjour soumise !

Elle s’installe devant. Elle a sa petite robe d’été à moitié transparente. On voit ses sous-vêtements. Il sort à son tour.

- Bonjour Maître

- Salut salope ! Tu as bien compris mes consignes ? Voici les clefs. Bosse bien si ne tu veux pas goûter à une nouvelle séance de cravache. Tu sais que Sandra adore te fouetter, alors fais gaffe !

Ils démarrent. Me reste donc une journée de repos à faire le domestique.

Toute la journée je m’emploie à nettoyer la maison. Puis la piscine, la terrasse. Je change le lit, fait la vaisselle. Je fais quatre machines pour le linge. Suis exténué. La fin de la journée arrive déjà. 20 heures, il me faut préparer à manger.

J’ai acheté de quoi faire une tarte au fromage en entrée, des steaks tartares comme plat et des profiteroles en dessert.

21 h 05. Ils arrivent.

- Ma puce, fais le tour de la maison pour voir si tout est en ordre.

- Oui mon chéri ! Ne t’en fais pas, je m’en occupe.

Il me prend à part.

- Avons encore bien baisé aujourd’hui. 3 fois ! Une fois dans la voiture et sur le capot, une fois dans les toilettes d’autoroute avec des voyeurs autour, et en revenant, dans la forêt, avec la totale, baise et sodomie ! Ah son petit cul…J’adore la sodomiser !

Sonia revient.

- C’est pas mal mais le repassage n’est pas fait !

- Je m’excuse Mademoiselle, je n’ai vraiment pas eu le temps.

- Bon, ca ira, t’as bien bossé quand même, salope. J’ai vu le repas, pas mal ! Tu vas nous servir.

- Mais au fait, mon chéri, qu’est-ce qu’elle fait habillée ???

- Sandra a raison !! Fous toi à poil immédiatement !!!

J’obéis. Je n’y avais plus pensé.

Sandra rigole.

- Ca va que tu as tout briqué. Mais arrivant et ne te trouvant pas nue, ça mérite au moins une vingtaine de coups de fouet ! Ca ira pour cette fois, mais rattrape-toi avec le service ! Il doit être parfait !

- Merci Mademoiselle. Je m’excuse encore pour le repassage.

- Très bien. Tu le feras demain. Il y en a une tonne. Pour l’instant, tu vas nous servir l’apéritif, puis le repas, nous avons faim !

Je m’emploie à leur préparer un cocktail et dresse la table à la salle à manger. Ils se tiennent la main, s’embrassent.

Puis je sers la tarte au fromage.

- Pas mal cette tarte, salope ! Mais dis donc, Sandra te dresse bien, tu deviens une vraie petite femme dis-donc !!

Sandra éclate de rire.

- Tu te gardes une part de tout, mais tu manges à la cuisine, bien sûr. Pas de vin pour toi, de l’eau du robinet.

Je leur sers le vin, puis vais à la cuisine manger, avec ma cruche d’eau.

Puis je fais le service du steak tartare avec tout ce qu’il faut.

- Délicieux, salope ! Mais tu ne vois pas que le verre à Mademoiselle est vide ? Vas la servir !

Après avoir mangé mon steak tartare, je sers les profiteroles.

- Très bien. Tu nous sers le café sous la tonnelle, tu débarrasses la table et tu fais la vaisselle.

J’obéis. Une fois tout fait, je vais les rejoindre sur la terrasse.

- Comme tu as bien travaillé, salope, tu vas avoir droit à une récompense.

Je ne dis rien.

- Tu ne me demandes pas ce que c’est ?

- Si bien sûr, Maître.

- Eh bien Sandra va aller prendre sa douche et se mettre au lit. Tu viendras avec moi la rejoindre, et tu vas me la "préparer", car j’ai une furieuse envie de la sauter !

- Comment cela, Maître ?

- Eh bien tout simplement. Tu vas lui lécher la chatte très longuement. Je veux non seulement que tu la fasses mouiller abondamment, mais également qu’elle n’en puisse plus, que tu la fasses jouir ! Et bien sûr, tu avaleras toute sa mouille.

- Ainsi, elle sera bien prête et je n’aurais plus qu’à la pénétrer pour bien la défoncer. Pendant que tu la lècheras, elle me taillera une pipe.

- Ma puce, vas te préparer, nous arrivons dans un quart d’heure.

A l’heure dite, je le suis dans la chambre. Sandra est allongée sur le lit, nue.

- Eh bien, salope, qu’est-ce que tu attends ? Allez, lèche lui la chatte !!

Il se positionne à genoux à côté de Sandra. Elle commence la fellation. Quant à moi, je commence à lui lécher le sexe.

- Surtout, applique-toi bien, salope ! Lèche la bien !!!

Je m’active autant que je peux. J’entends les bruits de succion de Sandra qui suce avidement Daniel.

Je lèche les petites lèvres, les grandes lèvres.

Sandra commence à mouiller sérieusement.

- Ah oui, salope ! Bouffe ma queue…Avale la bien…

Je décapuchonne le clitoris, le titille, le lèche…

- Oui, sors bien ta langue ! Oui, sur le gland… Oui comme ça !!

Soudain, bite en bouche, je la sens se cabrer… Je sens sa jouissance acide arriver… Elle jouit… Lâche le bâton de chair qu’elle a en bouche, se cabre et crie…

J’avale sa jouissance.

- Eh bien voilà, salope, tu as fais jouir ma petite femme !!! Pousse-toi de là !

Il vient, prend sa queue dressée en mains, et pénètre Sandra.

Commence le va-et-vient.. La baise. Accélérant, ralentissant pour mieux la baiser ensuite.

- Rentre chez toi ! Laisse nous baiser tranquilles, pas besoin de voyeur !!

Je sors de la chambre. Sandra crie sous les coups de boutoir.

Je m’habille. Les entend.

- Vite, en levrette !!

Je m’en vais alors que je l’entend la besogner, le sommier grince en cadence.

Rentré chez moi, je vais me laver le visage. J’ai les lèvres et le menton pleins de mouille.

Alors que je me couche, je pense à eux, en train de baiser.

Nu, je commence alors à me masturber en pensant à la scène.

Au bout d’un moment, je ne peux me retenir. J’éjacule sur mon ventre.

Epuisé, je m’endors.

Je me réveille en pleine nuit, lumière de chevet allumé, ventre souillé.

Mais me rendors vite, le ventre plein de sperme.

Réveil le lendemain matin 9 heures !

J’ai reçu un SMS et trois photos.

Sur les photos prises sous différents angles, les seins à Sandra couverts de sperme ! Il y en a partout, ça coule et dégouline.

Je réponds.

"Merci pour les photos, c’est excitant".

Il ne répond pas, ils doivent dormir.

Vers midi, SMS !

C’est Sandra.

"Soumise, tu as séance de repassage toute l’après-midi, tu viens pour 15 heures".

J’arrive à l’heure. Une fois nu, Sandra me dit qu’elle a installé la planche à repasser dans le garage, ils ne veulent pas que je les dérange.

Je commence le repassage. Il y a des habits à Sandra et beaucoup à Daniel.

Au bout d’un moment, je suis interpellé par les cris. Et par le bruit du sommier.

Apparemment, pendant que je repasse le linge, ils prennent du bon temps au lit.

Ca dure tout l’après-midi ainsi.
 

 

                                                            CHAPITRE 10

 

Vers 18 heures, j’ai terminé. Comme ils ont laissé la porte de la chambre ouverte et que je ne dois pas les déranger, je frappe au mur du couloir.

- Maître, Mademoiselle ? J’ai terminé le repassage.

- Très bien, j’arrive.

Il sort avec Sandra, en peignoirs tous les deux.

- Rhabille-toi, j’ai à te parler.

Une fois habillé, ils s’installent sur le canapé.

-Mets toi en face !

Pendant que je m’installe, il caresse les cuisses à Sandra.

- Avons des choses à te dire.

- Je vous écoute, Maître.

- Bien.

- Ca fait donc une semaine que Sandra vit chez moi. Une semaine que nous passons à baiser matin, midi et soir, nuits comprises.

- Alors je ne sais pas si tu as compris, mais elle prend son pied depuis qu’elle m’a comme amant.

- Oui je sais Monsieur, Mademoiselle et vous me l’avez dit.

- Très bien. Tu commences à comprendre et accepter la situation, c’est bien.

- Alors, autant te l’annoncer tout de suite, depuis une semaine que Sandra est là, nous sommes désormais EN COUPLE.

Je fonds en larmes. Mes mains couvrant mon visage. Je hoquète, sanglote, pleure.

- Oui, ça te fait un choc, c’est normal. Il faut que tu comprennes qu’à partir d’aujourd’hui, Sandra, c’est MA FEMME.

Je ne sais plus quoi dire, à part sangloter et pleurer toutes les larmes de mon corps.

- Rassure-toi, il n’y aura pas de divorce. Sandra tient quand même un peu à toi. Ce qu’il va se passer, c’est que nous allons "faire ménage à trois". Je serai l’amant régulier à Sandra, même un peu plus, puisqu’elle fera régulièrement des stages chez moi. Toi, de ton côté, lorsqu’elle sera chez vous, tu respecteras les règles imposées : un rapport intime le mardi soir, si tu accomplis bien les préliminaires, uniquement par sodomie, et avec préservatif. Au lit, autrement, tu ne la touches plus. Et tu dors en pyjama.

- Pour la suite, nous pratiquerons, à l’avenir, des variantes érotiques, serons un couple libertin. Nous pourrons pratiquer l’échangisme, le trio avec des hommes, ou femmes, la partouze, le gang-bang, irons en club libertin, en sauna. Bien sûr, ces pratiques seront faites entre moi et ma femme. Toi, tu n’auras droit qu’aux récits de nos escapades.

- Par contre, comme je te l’ai déjà dis, il pourra arriver que Sandra ait des amants, d’un soir ou non, qui viennent la baiser chez vous. Tu suivras donc les consignes que tu connais.

- Donc tu vas "digérer" tout ça. Je te conseille d’accepter rapidement la situation, ça t’évitera de te mettre dans des états pareils, encore que je te comprenne, toi qui étais jaloux. Ca fait un choc.

- La première chose à comprendre et admettre, c’est que Sandra n’est plus ta femme, mais la mienne. D’ailleurs, donne moi tout de suite ton alliance.

Je pleure, pleure encore.

Sandra vient près de moi, prends ma main gauche, enlève mon alliance.

Vas de l’autre côté du canapé.

- Avec un peu de chance, elle t’ira mon chéri…

Elle lui passe la bague.

- Jackpot !! Elle te va à merveille chéri !!!

- Regarde cocu, mon nouveau mec !!

Je relève à peine la tête.

- Sandra passera demain chercher des affaires, elle s’installera à moitié chez moi. Normal, puisque nous sommes désormais en couple. Le mieux est qu’elle vienne habiter à la maison du jeudi soir au dimanche. Qu’en penses-tu ?

- Snif…Mais Sandra je t’aime.. Je ne veux pas te perdre…Sniff…




- Ecoute Philippe… Mon amant me baise super bien, je kiffe sa grosse queue. Et il sait s’en servir, crois moi ! Je n’ai jamais baisé et jouit comme ça en 7 ans avec toi. Alors c’est normal que j’aille vers lui. Normalement, je devrais m’installer avec lui et divorcer. Mais il accepte qu’officiellement, sur les papiers, nous soyons encore monsieur et madame, même si je suis aujourd’hui en couple avec lui… Alors tu devrais plutôt être heureux et le remercier. D’autant que je serai à la maison les lundis, mardis et mercredis, ce n’est pas mal, non ? Alors, qu’en penses tu ?

- Sniff… Je n’ai pas le choix…J’accepte…. bouhhhhh…..

Il prend la parole.

- Très bien. Je préfère te voir comme ça, soumis, c’est plus facile. Pour les jours de présence de ma femme à la maison, le jeudi c’est bien, ça nous laisse vendredi, samedi et dimanche soit pour baiser, soit pour des expériences libertines.

- Autre chose à t’annoncer. Puisque nous sommes désormais "EN COUPLE" et que tu acceptes la situation et acceptes d’être cocu, il va falloir officialiser pour tout le monde, notamment le lotissement, que nous sommes ensemble, Sandra et moi. Aussi dès demain, allons nous montrer dehors, "montrer notre amour", c’est-à-dire nous balader en nous tenant par la main, par la taille, nous embrassant… Idem dans la ville, et auprès de nos amis respectifs.

- Sniff… Oh non...Je vous en prie, ne faites pas ça…Pas ça…Non…Je vous en supplie…Sniff…

- Hélas, c’est pourtant obligatoire, soumise. Il faut que les gens comprennent que nous sommes "en couple" Sandra et moi, et que tu es cocu.

- Ne sois pas inquiet. Ce n’est qu’un mauvais moment à passer, et ça ira vite. Une fois que les gens nous aurons vu en couple une fois ou deux, ils auront compris et ça jasera. Rien qu’au lotissement, la nouvelle se répandra comme une traînée de poudre, tu verras…

- Si on te pose des questions, tu diras que je suis devenu l’amant de ta femme, et que tu as finis par accepter la situation pour ne pas la perdre totalement. Les gens te comprendront mieux.

- Bien. Tu vas rentrer chez toi. Nous, nous allons dîner, car Sandra rentre chez vous demain lundi, et nous avons encore une belle nuit de baise qui nous attend !

Ne tenant plus debout, sous le choc, je rentre à la maison. Je ne crois pas ce que j’ai entendu. Comment vais-je pouvoir accepter tout ça ? Que ma femme vive avec lui ? Tout ça parce que j’ai eu le malheur de ne pas avoir un gros sexe.

Cette nuit là, je ne dors pas.

Je pars travailler. Pas de nouvelles. Je rentre le soir, meurtri. Sandra est bien présente.

- Sandra, ma chérie !

Je ne vois pas la gifle arriver.

- Imbécile ! C’est le divorce, que tu veux ??

- Tu veux que j’appelle mon amant ?? Tu n’as pas encore compris ?

- Comment je m’appelle ??

- Mademoiselle….mademoiselle…

- Alors arrête tes familiarités si tu ne veux pas rater le "rendez-vous du mardi", compris ?

- Oui Mademoiselle, oui.

- Tu as reçu les pyjamas, au fait ?

- Oui Mademoiselle ils sont rangés dans l’armoire.

- Très bien. Alors chaque soir, tu vas à la salle de bains enfiler ton "tue l’amour", avec un slip en dessous.

- Oui, j’ai compris.

J’ai donc commencé ce soir là ma "nouvelle vie". J’ai préparé le repas, mis et débarrassé la table, etc…

A un moment le téléphone sonne. Je décroche. Le passe à Sandra.

"C’est votre amant, Mademoiselle"

Ils discutent pendant que je fais les tâches ménagères, elle rit.

-Oui, ça va à peu près. Mais elle a du mal à accepter. Bon, cela dit, au bout d’un moment, ca viendra, il faudra bien.

- D’accord chéri, je te la passe.

- Soumise ! Mon amant veut te parler.

Je prends le téléphone.

- Je voulais t’informer que demain mardi, pendant que tu seras au travail, nous allons commencer à nous afficher en couple avec ma femme. Donc ne sois pas étonné si les gens du lotissement te regardent d’un autre œil. Nous allons nous balader et faire trois ou quatre fois le tour du lotissement main dans la main, nous nous arrêterons quelquefois pour nous embrasser quand nous verrons une voiture arriver ou quelqu’un dehors. Ensuite, une fois que deux ou trois nous aurons vus, ça va vite faire le tour…. Commencerons le matin vers 9 heures, et une autre fois l’après-midi vers 15 heures.

- Ca va être une période difficile pour toi, à cause des voisins, bien sûr, mais il faudra également t’habituer à nous voir nous balader en amoureux.

- Faites ce que vous voulez, je n’en peux plus…

- Très bien… Tu commences à comprendre…Tu acceptes la situation, c’est bien. Dis toi que tu n’as pas le choix. Alors, il faut être soumis et obéissant, c’est ton intérêt. Plus tu seras soumis, moins tu souffriras, et mieux tu seras vu par ton "ex". Il faut que les lundis, mardis et mercredis se passent bien. Sinon, elle ne voudra plus de cet arrangement et viendra vivre définitivement avec moi. C’est ce que tu veux ?

- Non…Non ! Je ne veux pas ça…Non….

- Alors respect, soumission totale et obéissance totale à nos ordres et désirs ?

- Oui...Oui… j’obéirai à tout, Monsieur.

- Très bien, j’aime mieux ça !!

- Passe moi ma femme s’il te plaît.

Je lui repasse Sandra.

- Très bien chéri. Tu as mis ça au point ? Parfait. Oui, le plus tôt est le mieux. On commence demain matin, d’accord. Et "piqûre de rappel" l’après-midi ? Oui ça vaut mieux, on double les chances. Encore qu’avec les grandes langues qu’ils ont dans le lotissement, la nouvelle va aller vite, lol !!!!

- Le cocu ? Il va s’habituer. De toutes façons, on ne lui laisse pas d’autre alternative. D’ailleurs je ne suis là les lundis, mardis et mercredis qu’à l’essai. Soit il fait ses preuves en étant soumis, obéissant, respectueux, soit l’essai peut ne pas de prolonger… Il le sait. Il a pris une baffe en rentrant ce soir, d’ailleurs… Pourquoi ? Eh bien figure toi, amour, qu’il rentre avec un grand "Sandra chérie !". Je me suis demandée si il le faisait exprès ou si il nous provoquait, mais ma main est partie toute seule. Oui, tu penses que j’ai bien fais !! OK, je lui dis. Des bisous là où tu aimes, au revoir amour !

- Mon amant veut te voir immédiatement !

J’étais en décontracté. Je m’habille. Je sonne. Il me fait entrer. Je me mets nu.

- Ma femme vient de me raconter que tu avais été incorrect avec elle en rentrant ce soir. Ca commence mal ! Je sens que les lundis, mardis et mercredis vont vite s’arrêter…

- Non je vous en prie Monsieur, pas ça…

- Je vais te punir. Cette fois c’est trop grave. Je suis à deux doigts de faire installer ma femme définitivement chez moi tu sais… Alors je te donne une dernière chance.

- Tu vas prendre une punition. Tout d’abord, je vais accentuer ta soumission, je te veux vraiment obéissante à tout. Pour cela, nous allons commencer, Sandra et moi, ta FEMINISATION. C’est-à-dire que tu vas commencer à vivre et te comporter comme une femme. Ca va passer du port de sous-vêtements féminins, en passant par la lingerie, nuisettes transparentes, robes sexy et moulantes, hauts talons, porte-jarretelles et bas, etc… Cette féminisation accentuera ta soumission, tu verras, c’est radical.

- Outre cela, il va falloir aussi agir comme une femme : tu vas connaître les jeux de godes, que tu vas prendre dans le cul. Ouvrir ton petit cul fait partie intégrante de ta soumission. Godes dont tu te serviras pour apprendre la fellation.

- Ensuite, lorsque tu seras bien soumise et féminisée, habituée à tout ça, il faudra penser à rencontrer des hommes.

- NON ! Pas ça, non !!!!!

- Ecoute, je te laisse 5 petites minutes pour me donner ta réponse : la féminisation ou le divorce.

Je me mets encore à pleurer. Le temps s’écoule.

- Alors soumise, les 5 minutes sont passées. Qu’as-tu choisis ? La féminisation ou le divorce ?

- Sniff…Salaud…Salaud….

- Ta réponse, salope, vite !!!

- Sniff…La fémini…sation….

- Très bien. Prends mon téléphone, et envoie un SMS à ma femme. Avons longuement parlé de ta féminisation, elle est au courant. Tu lui envoies un SMS. Tu ne lui parles pas de la punition, mais tu lui demandes d’être féminisée.

Je prends le clavier.

"Mademoiselle. Je viens d’en discuter avec votre amant. Il se trouve que je ne suis pas encore assez obéissante, pas assez soumise. Je crois qu’il a raison. Pour être plus soumise, il faudrait que je sois féminisée. Je crois que c’est la meilleure solution pour que je devienne vraiment obéissante, comme vous le souhaitez vous et votre amant".

Il lit le SMS.

- Très bien ! Tu vois quand tu veux… Envoies !

J’envoie le message.

SMS !

"Je crois, vu ton attitude, que c’est effectivement la meilleure solution. Nous voyons ça très vite avec mon amant, et nous allons commencer ta féminisation le plus rapidement possible, car tu en as vraiment besoin".

- Parfait. Tu as vu sa réponse. Demain, on en discute et on te prend en mains très rapidement ! Rentre chez toi maintenant.

Je rentre chez moi. Sandra est au lit en train de lire.

Je passe directement à la salle d’eau. En slip, j’enfile le "tue l’amour" : pyjama veste et pantalon bleu foncé.

Je rentre dans le lit.

- Bonne nuit Mademoiselle. Dormez bien.

- Bonne nuit salope. Pense que bientôt, tu auras peut-être droit à une jolie nuisette noire transparente avec un joli string ficelle dessous. Tu seras très désirable, tu verras !

Elle rit.

Le lendemain n’est pas rose pour moi. Je pense à ce qui va se passer.

11 heures. SMS !

"Mission accomplie. Nous nous sommes baladés le matin à 9 heures durant une petite heure dans tout le lotissement. Main dans la main, se tenant par la taille, et même quelques pelles lorsque nous avons vu du monde. Je pense que 5 ou 6 personnes nous ont vus. On recommence cet après-midi".

Je vais manger le cœur serré. Ca y est, c’est engagé. Tout le monde va savoir.

17 heures. SMS !

-Avons recommencé notre petit manège. Avec succès. Les gens partaient chercher les enfants à l’école, donc plus de monde. Au moins une dizaine de gens cette fois là. C’est bien parti ! Je pense que dans quelques jours, tout le monde sera au courant !".

Je rentre quelques temps plus tard à la maison. Sandra regarde la télé. Je me mets immédiatement aux tâches ménagères. Prépare le repas. Elle me rejoint.

-Mon amant t’a raconté pour nos deux balades ? Tout s’est très bien passé. On peut dire que pas mal de gens du lotissement nous ont vu "en amoureux". Donc, tu imagines la suite. Dans quelques jours, tu seras "le cocu".


                                                                                                         A SUIVRE...

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