dimanche 4 août 2019

RECIT: COMMENT MA FEMME S'EST FAITE DEVERGONDEE (CHAPITRE 3 ET 4)

                                                        
                                                                  CHAPITRE 3



A genoux, je dois écouter ça…
- Je vais jouir sur elle, partout… Du sperme sur ses seins, son ventre, ses fesses, ses reins, et même sur son visage… Et plus tard, je lui inonderai même la chatte de sperme ! Elle en prendra plein le ventre !!
- Tu vas voir, tu vas aimer ça d’être cocu !! Toi aussi, tu en redemanderas, tu verras !!
Il se remet à rire.
- Quand tu seras bien soumis, tu auras peut-être le droit de nous regarder baiser, et de la voir bien bouger, empalée sur mon pieu !
- Bon, il se fait tard ! Sandra va s’inquiéter ! Lève toi et rhabille-toi !
Je me lève. Il me regarde enfiler mes sous-vêtements et vêtements.
- A l’avenir, tâche d’être plus soumis ! Je te trouve encore très rebelle ! Sache que je peux te punir si je ne suis pas satisfait de toi.
Je rentre chez moi totalement abasourdi.
Ainsi, il veut ma femme. Toute cette histoire où je dois être cocu, c’est en fait pour baiser ma femme.
Mais jamais Sandra n’acceptera ses avances.
Et pourquoi dois-je lui obéir ? Encore aujourd’hui, il m’a fait mettre entièrement nu devant lui, a pris des photos perverses de moi.
Et s’il s’en servait contre moi ?
Je devrais réfléchir, et mettre les choses au point avec lui.
Le lendemain matin en me levant, je pense encore à cette histoire.
Dans la voiture pour me rendre au bureau, je reçois un SMS.
C’est lui.
"Je vais inviter ta femme à prendre le café après le déjeuner".
"Je vais commencer la drague".
Non… II continue.
Je ne sais quoi faire. Je sens cette boule revenir dans mon ventre et dans ma gorge.
Que faire ?
10 heures. Nouveau SMS.
"Je n’ai même pas eu à appeler ta femme, elle est venue me rendre un outil".
"Rendez-vous est pris pour 13h 30. Penserai à toi en la draguant".
12h 15. Au restaurant d’entreprise, j’ai peine à avaler le plat du jour.
Je n’y tiens plus. 12h 30. J’appelle Sandra. Répondeur.
L’angoisse m’étreint. Et si elle était chez lui ??
12h 45. Répondeur.
Je sors de la cantine. Rejoins mon bureau.
13h 15. Toujours répondeur.
Alors que je m’angoisse, nouveau SMS.
13h 35. "Elle vient d’arriver, plus belle et excitante que jamais !".
"Jean moulant, t-shirt moulant, talons hauts".
Il veut me rendre jaloux. Il y parvient totalement.
13h 40. SMS.
"Je prépare dans le café. Elle m’attend sur le canapé. Elle est bandante".
13h 45. SMS
"Je vais servir le café. Je te laisse. J’ai mieux à m’occuper".
J’appelle Sandra. Répondeur !
Les minutes durent des heures. Je m’imagine le pire.
Je mets la tête la première dans mes dossiers, pour occuper mon esprit.
16h 30. SMS.
"Ta femme vient de partir. Tout s’est très très bien passé !".
"Rendez-vous chez moi dès que tu sors du bureau".
A mon retour à 18 heures, je me gare directement chez lui.
Il m’ouvre, j’entre dans le salon.
Il me regarde fixement.
J’enlève mes chaussures. Mes chaussettes.
Bientôt, je suis nu. Il s’assied dans le fauteuil. Moi, face à lui, nu, place mes mains derrière ma nuque.
- Très bien. Ca commence à rentrer.
- Je suis sûr que tu es venu dans le but de me demander des explications, pas vrai ?
Je hoche la tête. Il éclate de rire.
- Mais mon pauvre Philippe, tu n’es qu’un soumis, un cocu. Ici, c’est moi qui commande !
- Tu n’es pas venu pour rien. Je vais te raconter mon après-midi avec ta femme.
- Mais avant, A GENOUX !!
J’obéis, me voilà à genoux devant lui.
- Sandra est arrivée à 13h 30 pour le café, comme prévu. Diablement sexy pour une visite à son voisin, tu sais !! Jean moulant, t-shirt moulant et transparent, soutien-gorge blanc apparent, hauts talons. Drôle de tenue pour une visite de courtoisie tu ne trouves pas ??
- Donc je lui ai offert le café, moi assis à côté d’elle sur le canapé, bien sûr. Et nous avons parlé de toi !
- Comment ça de moi ???
- Oui. De tout ce que je t’ai dis. De la taille de ta bite. Du fait que tu ne devais pas "lui faire beaucoup de mal" avec une aussi petite bite. Elle a confirmé ce que je te disais. Elle a du mal à jouir avec toi. Elle ne te sent pas !
Je me mets à éclater en sanglots. Je baisse la tête. Il continue.
- Je lui ai dis ce que je t’avais expliqué, et que tu acceptais de devenir cocu.
- Elle m’a dit "Quoi ? Il accepte que j’ai des aventures ?? Il ne m’en a jamais parlé".
- J’ai affirmé que tu faisais de progrès chaque jour, et que tu étais entré en voie de soumission.
- Elle m’a répondu que ça ne l’étonnait pas, qu’elle avait remarqué que tu avais des "tendances à ça".
- Avons parlé longuement de votre sexualité, et elle a bien convenu que la meilleure solution pour votre couple était effectivement qu’elle devienne infidèle et prenne des amants. Elle a même dit que c’était mieux pour tout le monde !
- Voilà pour l’essentiel. Je peux te dire que ses yeux brillaient et qu’elle était délivrée d’un poids ! D’ailleurs je peux te dire qu’elle a envie de queue, vu comme elle s’est habillée pour venir me voir, et comme elle m’a regardé tout l’après-midi !
- Donc il se faisait tard, je l’ai raccompagnée à la porte, et, pour lui dire au revoir, je l’ai embrassé deux fois dans le cou…!
- Elle m’a juste dit "Oh…coquin…!".
Je continue à pleurer, à sangloter.
Il revient avec l’appareil photo. Prend des clichés.
- Mets toi debout ! Va t’allonger le torse sur la table de salle à manger, et tends le cul !
- Mieux que ça ! Cambre toi ! Offre toi bien !
L’appareil mitraille.
Puis…
- Ecarte tes fesses avec tes mains !
- …Oh non…Pas ça… Je vous en prie…
- Ecarte tes fesses avec tes mains j’ai dis !!
La mort dans l’âme, mes mains arrivent sur mes fesses, les écartent.
L’appareil fait son œuvre.
- Eh bien voilà ! Quelques photos de ton petit trou !!
Je me remets en position sur la table.
- Je ne t’ai pas dis de bouger !!!
Je recommence. J’écarte mes fesses avec mes mains.
Il me laisse ainsi au moins un quart d’heure. Bois un whisky.
- C’est bon ! A genoux devant moi !
Je me mets en position.
- Donc, voilà, c’est commencé la drague de ta femme. Je vais aller crescendo et bien la chauffer encore avant le repas de dimanche.
- Ne t’inquiètes pas. Maintenant, ça va aller vite. Tu vas être cocu très vite. Elle est bien chaude, elle n’attend que ça !
- Ca suffit pour aujourd’hui ! Lève-toi et rhabille-toi. Et chez toi, pas un mot de ce que je t’ai raconté, compris ?
Je hoche la tête.
Je rentre chez moi. Ma femme est joyeuse, ne me parle de rien.
J’ai énormément de mal à m’endormir.
Le lendemain, à 10 heures, au bureau, SMS.
" J’ai invité ta femme à déjeuner chez moi, en amoureux".
Le salaud !
Je sais qu’il est inutile que je bombarde Sandra d’appels. J’ai compris. Ce serait le répondeur.
Midi. Suis au restaurant d’entreprise. SMS.
"Sandra est là. Mini-short en jean, t-shirt léger, sous-tif apparent, hauts talons. Elle a tout ce qu’il faut là où il faut".
"Ca va être chaud !".
L’angoisse.
L’après-midi se déroule.
17 heures. SMS.
"Ca y est ! J’ai emballé ta femme !"
"Deux séries de mégas pelles et galoches, c’était chaud bouillant !!".
Le soir, je me rend directement chez lui.
En deux minutes, je suis nu et à genoux.
Dans son fauteuil, whisky en main, il raconte.
"Lorsqu’elle est arrivée, je lui ai fais un bisou dans le cou. Elle m’excitait avec sa tenue, les cuisses à l’air, le cul moulé dans son short et ses seins dans le t-shirt collant".
"Avons rapidement déjeuné. Au moment où j’allais aller préparer le café, la radio a diffusé un slow "Hôtel California". Je l’ai bien sûr invitée à danser.
Dès le départ on s’est collé. J’ai commencé à l’embrasser plusieurs fois dans le cou, à lui caresser les hanches. Puis ça été la première "pelle". Suivie d’une série de pelles et galoches à n’en plus finir pendant toute la durée du slow.
Puis je l’ai entraînée et allongée sur le canapé. Nouvelles séries de pelles. Je lui ai dis "j’ai envie de toi" tout en lui pelotant les seins et l’embrassant à pleine bouche. J’ai encore dit "envie de toi"…Elle m’a répondu… "Oh oui…baise moi !"…
J’ai continué à la peloter, sa main a cherché ma braguette, elle m’a caressé la queue à travers le pantalon, m’a dit "mon salaud, tu bandes..", puis "elle est dure dis donc !!"…
- Mais je te rassure, ça n’a pas été plus loin, car la première fois, je veux la baiser devant toi, c’est important ! Et je savais que si je la déshabillais ou si je me faisais sucer, je n’aurais pas pu me retenir et je l’aurais niquée !
Je baisse la tête. Vaincu.
-Après-demain, vous venez déjeuner à la maison. Ca va être chaud, autant t’y préparer!
- Rhabille-toi et rentre chez toi, je t’ai assez vu !
Pendant que je me rhabille, il me dit :
- Tu vas voir, je vais bien m’occuper de ta femme. Elle va devenir accroc à ma bite, tu verras !
Le lendemain samedi, nous allons faire des courses le matin. L’après-midi, appel sur le portable à Sandra. Elle s’isole dans la chambre. Au bout d’un moment je l’entend rire. C’est lui, c’est sûr.
Elle sort de la chambre au bout d’une demi-heure, sans rien me dire.

Dimanche matin.
Nous prenons le petit-déjeuner, suis très très angoissé à l’idée de devoir aller déjeuner chez Daniel.
Sandra, elle, ne manifeste aucune émotion.
11 heures. Elle se prépare, se maquille.
Arrive dans le salon. Robe crème moulante, décolletée et transparente. On voit son soutien-gorge noir et sa culotte noire en dentelle. Hauts talons.
- Eh bien ? Tu dors ? Tu as vu l’heure ? Il est midi moins dix !! On y va !!
La mort dans l’âme je mets mes chaussures. Nous sortons et sonnons chez Daniel.
Il ouvre la porte, souriant. J’entre. Me retourne.
Il embrasse Sandra sur la bouche ! Un baiser rapide.
- Bonjour toi !!
- Dis-moi, tu es toute belle aujourd’hui ! Diablement sexy !! C’est pour moi que tu t’es faite si belle ??
Pour toute réponse, elle envoie un baiser de ses lèvres en sa direction !
- Je vous ai préparé un bon déjeuner ! Saumon fumé et blinis, carpaccio de bœuf au parmesan, et moelleux au chocolat…
Nous prenons place pour l’apéritif. Il dévore Sandra du regard. J’ai envie de me lever et partir.
Le repas se passe. Café.
- Avant le champagne, comme il fait beau, je vous propose de passer sur la terrasse pour bronzer un peu !
Arrivons sur la terrasse. Sandra s’exclame.
- Mais il faut passer chez nous chercher nos maillots !
- Pas besoin, Sandra, nous sommes entre amis. On peut bronzer en sous-vêtements, c’est tout aussi sympa !
Il enlève son short et sa chemisette. Apparaît en slip.
Sandra retire très vite sa robe. En soutien-gorge, culotte et hauts talons elle s’allonge sur le transat.
J’enlève mon pantalon, ma chemise et m’allonge en slip.


                                                         
                                                              CHAPITRE 4



Daniel rentre dans la maison, revient bientôt avec un plateau et 3 flûtes à Champagne.
Il interpelle Sandra.
- Avec une aussi jolie poitrine, tu devrais enlever ton soutien-gorge ! Tu as de beaux seins, ça serait dommage de ne pas leur faire prendre le soleil !
Il s’approche d’elle.
- Relève-toi un peu.
Elle obéit. Il passe ses mains derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge, l’enlève.
Sandra est seins nus devant lui !
Elle se rallonge tandis qu’il pose le soutien-gorge sur le dos d’une chaise, avec la robe.
Et retourne dans la maison.
Il revient avec une bouteille dans un seau à glace qu’il dépose sur la table, bien à l’ombre sous le parasol.
Revient vers Sandra.
Il saisit la culotte à deux mains, à l’élastique. Et la tire vers le bas.
- Allez ! Enlève-moi ça aussi !!
Sandra sourit et se laisse faire.
Elle est nue. N’a plus que ses hauts talons.
La culotte rejoint la robe et le soutien-gorge.
Il me regarde.
- Toi aussi ! Enlève ton slip !
J’obéis.
Tout à coup, il s’adresse à moi.
- Viens ici la soumise !
- Mets-toi ici, à genoux ! Mains dans le dos !!
Il me place devant les transat, pas loin de ma femme.
Sandra rit.
- Dis donc, tu sais lui parler, toi !!
- Oui, j’ai l’habitude de ce genre de cocus !
Il se penche, le corps sur celui de Sandra. Ils s’embrassent à pleines bouches. Quelquefois, il arrête pour l’embrasser dans le cou. Pendant les baisers, il lui caresse les côtes, les hanches…
Puis, tout à coup, il lui suce les tétons !
Sandra soupire. Gémit.
Pendant ces préliminaires, son ventre frotte sur la chatte à Sandra.
Il continue à sucer les seins et en profite pour les peloter.
- Humm… Tu en as une sacrée paire, ma salope…
Puis brusquement, il descend. Embrasse le sternum. Descend, embrasse le ventre. Le nombril.
Et descend encore. Il commence à lui lécher la chatte !
Lèche consciencieusement grandes et petites lèvres. Décapuchonne le clito, le lèche, le titille du bout de la langue. Lèche de plus en plus vite. Ralentit. Accélère.
Sandra vacille. Se pelote quelquefois les seins.
- Oh oui… C’est bon… Continue…Oui…
Ca dure un moment. Sandra convulsionne. Jouit. Mouille.
Il se lève. Sandra également.
Elle se met à genoux, pas loin de moi.
Il enlève son slip. Il bande. Une forte érection.
Et une grosse queue qui n’a rien à voir avec la mienne, hélas.
Sandra prend la bite en main, effectue deux ou trois va et vient. Libère le gland. Donne un seul petit coup de langue. Puis commence la fellation.
Prend la bite en bouche. La ressort. Sort la langue sur le gland. Le long de la verge. Vient titiller les couilles. Les embrasse. Puis reprend la bite en bouche.
- C’est bon… Suce-moi bien… Dans ta bouche, comme ça… Hummm….
La fellation dure une vingtaine de minutes, c’est insoutenable pour moi d’assister à ça.
Tout à coup :
- Ca suffit comme ça ! Maintenant, je vais te PRENDRE !
Il prend deux des coussins des transat qu’il dispose par terre.
- Mets toi en levrette !
Sandra sourit et s’exécute.
Il se place derrière elle, queue dressée.
Je le vois porter sa main droite à ses lèvres pour prendre de la salive. La main passe sur la chatte à Sandra. Il la lubrifie.
Et la pénètre instantanément. Sans préservatif !!!
Sandra crie.
La bite entre. Il tient ma femme par les hanches et commence à la posséder.
Doucement d’abord, puis il accélère le rythme.
Les seins à Sandra balancent au rythme de la pénétration. Seins qu’il pelote selon son envie.
Au bout d’un moment, il se retire et s’allonge sur le dos.
- Allez ! Viens t’empaler sur ma grosse queue !
Elle ne se fait pas prier et vient sur la bite, face à lui.
Il la tient par les hanches, la fait aller et venir.
Puis, au bout d’un moment, la fais changer de sens, dos à lui.
Sandra guide même la bite dans sa chatte !!
Et la possède à nouveau en levrette.
Les coups de boutoir font leur effet.
- Ahh…Oui… baise moi bien…
- Elle est bonne, ta queue…
Puis, l’apothéose. Sandra crie, hurle, hurle sa jouissance.
Ce qui excite le mâle qui la défonce plus violemment, accélère, accélère…
- Ahh…. Je vais jouir…Ouiii….Tiens… Tiens… Prends tout….Ahh….
Il reste un moment planté en elle. Puis se retire.
Sa queue bande toujours. Il se relève, Sandra également.
Ma femme s’allonge sur le transat. Il sert le champagne.
- Ca fait du bien de tirer un coup !!
Il donne une flûte à Sandra.
- Merci chéri !
Il se sert. Ne me donne rien. Suis toujours nu, à genoux devant les transat.
Il se penche. Embrasse ma femme sur la bouche et s’allonge à côté d’elle. Lui pelote distraitement les seins. Sa queue est encore dressée !!
Tout à coup, Sandra s’écrie.
- Oh, je crois que ça coule !
Il se lève, va à la table et lui donne une feuille d’essuie tout.
A mon grand étonnement, ma femme écarte largement ses cuisses de chaque côté du transat et s’essuie la chatte ! Sans pudeur. Essuyant les petites et grandes lèvres.
- Dis donc mon salaud, tu m’as mis la dose, on dirait !!
- Tu sais, ça fait un an et demi que tu me fais bander et que j’ai envie de te sauter. Alors, le jour où ça arrive, je me vide bien les burnes !
Elle jette l’essuie tout par terre, réclame une deuxième feuille.
Puis la jette par terre.
- Mon chéri, je vais passer à la douche. Tu m’accompagnes ?
Elle se lève.
Il y a une trace de foutre sur le coussin du transat.
- Très volontiers ma puce !
Il lui passe la main au cul et me dit.
- Lève toi et vas me jeter ces papiers à la poubelle. Ensuite, tu prends une éponge dans le garage et tu nettoies cette tache de sperme sur le coussin, compris ?
Je hoche la tête. Ils disparaissent dans la maison, et je fais ce qu’il veut. Je prends les essuie tout maculés de sperme et les jette dans la poubelle et m’emploie à nettoyer le sperme sur le coussin. Il a coulé de la chatte à Sandra.
Ils reviennent. Il prend mon coussin et le place sur le transat à Sandra. Ils s’allongent. Me suis remis à genoux.
Ils discutent. Il la pelote de temps en temps.
Au bout d’une demi-heure, Sandra lui dit :
- le champagne me donne envie de faire l’amour !
Il se lève.
- A ta disposition ! Je vais t’en remettre un coup bien volontiers !!
Il tend la main pour lever Sandra.
Me positionne à genoux devant la fenêtre.
- Viens ma puce, on sera mieux dans la chambre.
Il lui claque les fesses. Ils entrent dans la maison.
- La chambre c’est tout de suite à gauche.
Soudain, il ouvre la fenêtre.
- Tu n’auras pas l’image, mais tu auras le son, cocu !
Il revient sur la terrasse remplir les flûtes de champagne.
Sandra l’appelle.
- Dépêche toi, chéri, j’ai envie !
Elle l’appelle "chéri" et lui "ma puce". La honte me submerge. La rage, aussi.
Ils rient.
Puis j’entends Sandra soupirer. Gémir.
Il doit être passé aux "préliminaires".
- Oh oui ! N’arrête pas…Oui…C’est bon…
Sandra apprécie visiblement ce qu’il lui fait.
Puis…
- Ahhh…Tu suces bien !
- Oui…Comme ça, oui… Ta langue…Ta langue sur le gland !
- Ah c’est bon, salope, ce que tu me fais !!
Tout à coup, Sandra pousse un cri.
Il la pénètre.
Le lit commence à bouger. Le sommier aussi, en cadence.
Il doit la prendre en levrette. J’entends son bas ventre taper contre les fesses à Sandra.
Le sommier fait de plus en plus de bruit. Il accélère.
Sandra crie.
- Oh oui n’arrête pas… N’arrête pas…C’est trop bon…
- Elle est bonne, ma queue ?
- Oh oui salaud, elle est bonne !!!
- T’aimes la bite ??
- OUI ! J’aime la bite ! Défonce moi fort !!
Il accélère.
Puis ça se calme.
J’entends un froissement de drap.
Visiblement, ils changent de position. Je ne sais pas laquelle.
La baise reprend de plus belle.
- Tu sais que t’es bonne, toi ??
- Oh toi ta bite elle est bonne !!!!!
Sandra crie.
- Oh le pied que je prends !! Continue, baise moi fort !!!
Sandra hurle. Elle jouit.
- Allonge toi, et lève tes jambes sur mes épaules ! Bien haut, les jambes. Voilà.
Il la prend, le bruit du sommier redouble.
- Ahh… Oui… Je vais.. Jouir… Ca y est ! Tiens….Ahh…ouii….
Je l’entends bouger sur le lit, sans doute s’allonger à côté de ma femme, puis souffler et soupirer.
Sandra halète.
Puis ils parlent bas, et rient.
Dix minutes passent. Suis toujours à genoux, nu, mains croisées derrière le dos, face à la fenêtre de chambre restée ouverte.
Ils arrivent sur la terrasse. Il bande toujours ! Sa queue dressée.
Je suis estomaqué. Sandra a le ventre couvert de sperme !
Elle a pris trois longues traînées de foutre depuis le nombril qui ont presque atteint les seins, et son ventre, son nombril, sont couverts de sperme !
- Cocu, relève toi et sers nous du Champagne !
J’obéis.
Sandra prend le rouleau d’essuie tout, tire trois ou quatre feuilles, et commence à essuyer son ventre et sa chatte.
- Dis donc, chéri, quand tu éjacules, tu fais pas semblant, dis donc !
Et elle rit.
- Il faut dire que tu me motive, ma puce ! Quand on a une vraie bombe comme toi dans son lit, la moindre des choses est de l’honorer et de lui donner sa dose de semence !
Elle jette les essuie tout par terre.
Il me regarde et me montre les papiers du regard.
- Soumise ! Enlève moi ça !
Je prends les essuie tout souillés et vais les mettre à la poubelle dans le garage.
Ils sont maintenant assis sous la tonnelle, à côté de la piscine.
- Viens ma puce, on va piquer une tête !
Il la prend par la main, l’entraîne dans la piscine.
Il me hèle.

                                                                                                A SUIVRE...

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