Après la caption mise en ligne tout a l'heure, voici un récit trouvé sur le site "Fessestivités.com" et que TRANSMOI... qu'autorise a publié ici. En espérant une suite...
PARTIE 1
Mon mari quitta la maison quelques années seulement après notre mariage, me laissant seule avec le fils qu’il avait eu d’une précédente union. Le voyou commença alors à se prendre pour le chef de la maisonnée et me posa de plus en plus de problèmes au fil du temps.
Excédée par son comportement de plus en plus irrespectueux envers moi, je décidais de mettre un terme à cette situation en mettant mon beau-fils au pas.
Je ne savais pas encore comment j’allais obliger mon beau-fils à m’obéir quand le destin me montra la direction à prendre. J’étais dans mon salon de beauté habituel quand deux femmes, la mère et la fille, entrèrent. On installa la mère à côté de moi pendant que la fille, un joli brin de femme brune, accaparait toute l’attention de l’esthéticienne.
La jeune fille semblait timide et parlait peu, mais la mère était plus loquace et nous nous mîmes à discuter avec animation. La conversation nous mena rapidement sur le sujet des e n f a n t s. Je lui parlais des soucis que causaient mon beau-fils et lui fit l’éloge de sa fille qui restait aussi sage qu’une image pendant que l’esthéticienne s’activait autour d’elle.
Sans que je sache d’abord pourquoi la mère se mit à rire. Je lui demandais quel était le sujet de son hilarité lorsqu’elle me révéla qu’elle n’avait pas de fille mais que la jeune femme que j’avais prise pour tel était en réalité un garçon !
Je n’en croyais ni mes oreilles, ni mes yeux. Tout chez ce garçon transpirait la féminité : sa façon de marcher, de se tenir, sa silhouette gracile, ses habits indiscutablement féminins. Le pauvre chou n’avait pas moufté lorsque sa mère avait révélé sa véritable nature.
Au contraire, les mains toujours sagement posées sur les genoux, il s’était contenté de baisser les yeux et de fixer le sol pendant que l’esthéticienne qui semblait elle aussi connaître son secret lui posait des bigoudis dans les cheveux. Je notais néanmoins le rouge qui lui colorait les joues, preuve qu’il nous avait bien entendus.
D’abord troublée par cette découverte je ne sus pas comment réagir. Puis reprenant sur moi, je sentis que ma curiosité était attisée par ce garçon féminin dont je ne pouvais à présent m’empêcher d’envoyer des œillades à la dérobée. Finalement, n’y tenant plus je demandais à sa mère quelques explications.
L’histoire qu’elle me raconta était en plusieurs points similaires à la mienne. Étant toute seule pour élever son e n f a n t elle avait décidé de l’élever comme une petite fille. Aujourd’hui, au lieu d’avoir un jeune homme turbulent et irascible, elle avait une merveilleuse fille docile qui la comblait de bonheur et sur qui elle se reposait entièrement pour les corvées ménagères.
J’étais très impressionnée par cette femme qui avait su prendre son fils en main et je ne pouvais m’empêcher de me demander si j’étais capable d’en faire de même. Il me faudrait une volonté de faire pour transformer mon beau-fils macho et querelleur en une femmelette obéissante. Mais plus j’écoutais cette femme et plus je regardais sa « fille », plus j’étais certaine que j’avais là la solution à tous mes problèmes.
Quand l’esthéticienne en eut fini avec Marie-Loue (c’était le nom que lui avait donné sa mère lorsqu’il fut évident que l’e n f a n t n’avait plus rien d’un garçon) je dus me séparer de ma nouvelle amie. Mais elle me promit avant de partir de m’aider dans l’éducation de ma « belle-fille ». Elle insista bien sur le mot et me conseilla de dès à présent penser à lui en utilisant le féminin car si la transformation risquait de prendre du temps, je devais penser sur le long terme.
C’est ainsi que je décidais de faire de mon beau-fils une jolie jeune fille bien sage et soumise à mes volontés.
CHANGEMNT DE DECOR
J’avais donc décidé de transformer mon beau-fils turbulent en une demoiselle obéissante et sage.
Je savais dès le départ que la chose n’allait pas être aisée mais je savais aussi que cela devait être fait. Non seulement pour mon bien mais également pour celui de Jonathan dont la conduite de plus en plus irresponsable allait fatalement le mener droit dans le mur.
Forte de ma rencontre avec Madame Laurent et de son efféminé de fils, je me mis à chercher tous les documents traitant du sujet. Madame Laurent m’en prêta de bon cœur quelques ’uns et je fus abasourdie par le nombre effarent d’ouvrages qui illustraient un domaine dont j’ignorais alors tout jusqu’à récemment. Je ne m’étais jamais doutée qu’autant de femmes avaient eu recours à cette méthode pour discipliner un fils récalcitrant, ou même un mari volage !
Je lisais tout cela avec avidité, me nourrissant des expériences des unes et des autres afin de mettre peu à peu mon plan à exécution. Enfin, un jour, je décidai qu’il était temps de passer à l’action.
Profitant de l’absence de Jonathan pour un long week-end en classe de neige, je m’activai à changer sa chambre de jeune homme sombre, désordonnée et sentant le renfermé en une charmante chambrette qui aurait arraché un cri de plaisir à n’importe quelle fillette de treize ans.
Je remplaçai son bureau de travail – chose qu’il n’utilisait d’ailleurs que rarement – par une coiffeuse surmontée d’un grand miroir devant lequel je savais qu’il passerait de nombreuses heures à se pomponner. J’y plaçai également des objets indéniablement féminins : cosmétiques, potpourri, bougie parfumée, lisseuse pour cheveux, vase de fleurs…
Ensuite je démontai son grand lit et mis dans le coin de la pièce, à côté d’une petite table à coucher, un lit plus étroit que j’habillai d’un drap rose et blanc et d’une multitude de coussins aux tons pastels et brodés de cœurs et d’autres motifs délicats.
Il me restait encore l’armoire et la décoration de la chambre mais j’admirai, non sans une certaine fierté, le travail déjà accompli. Je n’en avais pas encore terminé que la chambrette hurlait la féminité à pleins poumons, toute trace de masculin ayant été emportée en bas et empaquetée dans des sacs plastique que j’irais ensuite jeter à la décharge ou donner à des œuvres de charité selon les cas.
Je décidai de ne pas toucher à l’armoire ou à son contenu. Spacieuse et blanche, elle s’harmonisait plutôt bien avec le reste. Quant à la garde-robe qui y était entreposée elle serait bien assez tôt remplacée par des tenues plus appropriées au nouveau statut du locataire de la chambre. Je commençai donc ma dernière tâche et non la moindre : celle de redécorer entièrement la pièce.
Je n’épargnai aucun stéréotype de la féminité : poupées, dentelles, petits cadres ouvragés, vases, lampes aux motifs de fleurs, fins rideaux de dentelles, chaises aux lignes courbes et élégantes, boîte à bijoux… Tout y passa.
Tout en redécorant, je me demandais quelle serait la réaction de Jonathan devant ces changements. Je savais qu’il fallait que je reste ferme et que je ne fléchisse pas. Madame Laurent m’avait gentiment proposée son assistance mais j’avais refusé. Je voulais accomplir cela seule. Mon beau-fils devait comprendre qui commandait dans cette maison. Tant qu’il vivrait sous mon toit ce serait sous ma totale domination et mon strict contrôle. Mon toit, ma loi.
Je terminai d’apporter la touche finale à mon grand projet quand j’entendis mon bon à rien de beau-fils rentrer de son week-end de classe de neige. Je sortis discrètement de la chambre et me rendit dans la salle de séjour où je fis semblant de lire un magazine de mode. J’y avais déjà sélectionné plusieurs modèles de robes que je mourrais d’envie de voir Jonathan essayer. Mais chaque chose à son temps, il ne fallait pas se précipiter les choses mais lui laisser le temps d’apprécier à sa juste valeur sa situation.
Lorsqu’il me vit, le malotru ne me lança même pas un bonjour mais posa son sac de linge sale au pied de l’escalier s’attendant probablement à ce que j’aille moi-même placer ses affaires dans la machine à laver. Il ne se doutait pas encore que elles allaient finir dans un autre sac plastique que j’irai ensuite déposer à Emmaüs.
Il grimpa sans un mot jusqu’à sa chambre. J’attendis l’oreille tendue, impatiente et un peu nerveuse à la fois. Il ne fallut pas longtemps pour que j’entende gronder les marches d’escalier sous des pas précipités. Je vis alors débarquer un Jonathan aussi rouge qu’une tomate et à l’air furieux.
Il hurla beaucoup, m’inonda de menaces, pleura un peu, mais je tins bon. Il fallait dompter la bête avant de pouvoir la modeler à mon envie. Enfin, quand il vit que je ne reculerais pas, il serra les dents et les poings. Pendant un instant je crus qu’il allait me frapper. Je m’étais préparée à cette éventualité et ne lui laissait pas le temps d’agir.
Contrairement à ce que mon récit peut faire penser jusque-là, Jonathan est un garçon de frêle constitution, tout comme son père. Nous faisons presque la même taille tous les deux et je n’eus donc aucun mal à le maîtriser et à le basculer sur mes genoux. Là, je baissai d’un geste son pantalon et lui donnait une grande claque sur les fesses, puis deux, puis trois, puis quatre…
A chacun des claquements que produisait ma main sur son tendre fessier, je sentais une rage et une puissance dont je ne m’étais jamais doutée monter en moi. C’était comme si chaque fessée me libérait peu à peu de ce carcan de femme faible, soumise à ce monde machiste, que la société m’avait injustement étiquetée et dont j’avais fini par croire le mensonge à f o r c e de bourrage de crâne.
J’étais forte et je pouvais mener ma vie comme je l’entendais sans que le petit pisseux de mon lâche ex-mari ne vienne contrecarrer mes plans.
Lorsque ma colère retomba, les fesses de Jonathan étaient rougeoyantes et ses yeux emplis de larmes. Alors qu’il sanglotait misérablement je le pris dans mes bras et commençai à le bercer. Lui caressant les cheveux, je lui expliquai calmement qu’à partir de maintenant il devrait m’obéir s’il voulait à continuer à vivre sous mon toit. Il venait à peine d’atteindre sa majorité et bien sûr, enfant gâté qu’il était, n’avait toujours aucune idée de comment survivre au monde extérieur. Son père lui avait toujours passé tous ses caprices et il n’avait par conséquent jamais eu à se soucier d’argent ni à travailler pour en gagner.
Lorsque j’eus fini de lui expliquer, je lui demandai d’aller se coucher dans sa chambre car il était privé de dîner pour avoir élevé la voix contre moi. A ma surprise, il s’exécuta sans broncher, la tête basse, les yeux rivés au sol, évitant mon regard. Jamais je ne m’étais sentie aussi bien de toute ma vie qu’en ce moment-là. Encore aujourd’hui, dans les moments de doute, il me suffit de me rappeler cette image pour savoir que j’ai pris la bonne décision lorsque j’ai commencé à transformer mon rebelle beau-fils Jonathan en ma délicieuse sissy Julie-Jeanne.
Ce jour-là, je venais de gagner une grande bataille mais ce n’était que la première d’une longue série. J’avais bien d’autres projets concernant l’avenir de Jonathan. La pauvre puce n’en avait aucune idée.
BLONDE, COULEUR D'UNE SISSY
Cela faisait maintenant une semaine que j’avais remodelé la chambre de Jonathan, mon beau-fils turbulent, afin qu’elle corresponde mieux à mes desseins le concernant. En effet, elle ressemblait à présent une chambre de fillette gâtée plus qu’à celle d’un jeune homme de dix-huit ans. Il n’avait plus essayé de se rebeller depuis que je l’avais renversé sur mes genoux et lui avait administré la correction de sa vie.
Pourtant, je sentais qu’il me fallait rapidement passer à l’étape suivante si je voulais garder le contrôle de la situation. Il évitait de plus en plus la maison, rentrant de plus en plus tard, et pas toujours en état de sobriété. Parfois il ne rentrait pas du tout.
Malgré son caractère, ou peut-être à cause de cela, c’était un beau garçon. Pas dans le genre viril et musclé, mais il avait gardé ce quelque chose d’e n f a n t i n dans ses traits qui accrochait souvent l’œil des filles. Je supposais qu’il écumait les bars avec ses amis et que parfois une femme aux mœurs légères succombait à son charme enfantin et ses mots doux susurrés au creux du cou.
Au moins ne les ramenait-il plus à la maison. Le décor de sa chambre l’emplissait de honte et il devenait rouge jusqu’à la racine des cheveux chaque fois que je la mentionnais. Quoi qu’il en soit il fallait mettre un terme à ses habitudes nocturnes au plus vite. L’urgence était d’autant plus grande que Madame Laurent me pressait sans cesse pour que je poursuive sa transformation.
J’attendis donc un soir, jusqu’à très tard dans la nuit, le retour du mécréant. Il n’était pas loin de trois heures du matin lorsque j’entendis gratter à la porte. Il fallut cinq minutes à Jonathan pour insérer la clé dans la serrure et pousser le battant. Je vis immédiatement qu’il avait trop bu encore une fois. Ses yeux vitreux, sa démarche hésitante et ce demi-sourire bêta en témoignaient. Parfait. Pour une fois l’ivresse dont il était victime jouerait en ma faveur.
J’étais assise dans le grand fauteuil, silencieuse lorsqu’il me vit. Il parut à peine surpris, comme s’il ne me reconnaissait pas ou bien, croyait-il, n’étais-je qu’un tour de son esprit embrumé par l’alcool et dieu savait quoi d’autre. Je me levai alors et, le prenant par la main, je le conduisis jusqu’à la salle de bain.
Je le rassurais de mon mieux avec de douces paroles. Malgré ses grognements il me suivit docilement. Dans l’était où il était j’aurais pu aisément le contraindre physiquement mais je préférais ne pas avoir recours à ce genre de méthode. Il fallait que je lui montre que plus il me rendrait les choses faciles, plus cela serait également facile pour lui d’accepter les nouvelles règles qui régissaient à présent ma maison.
Une fois dans la salle de bain, je le déshabillai et le poussai dans la baignoire. Il balbutiait toujours des mots incompréhensibles. Sa nudité semblait le mettre mal à l’aise. Il n’y avait vraiment pas de quoi vu son « équipement » et je ne me souciais donc point de ce détail. D’une main je saisis le pommeau de douche et commençai à le laver vigoureusement.
Il me fallut près d’une heure pour achever sa toilette. Non seulement je l’avais récuré des pieds à la tête mais je m’étais également occupée de raser ces horribles choses, oh combien non féminine, qui sont une vraie plaie pour toute femme qui se respecte.
Heureusement Jonathan n’avait pas grand-chose sur le corps. La partie la plus longue fut d’enlever les poils de ses jambes, là où ils étaient le plus nombreux. Une fois cela fait je vis avec effarement à quel point ses jambes douces et lisses avaient par pris l’aspect de celles d’une véritable femme. Bien sûr je ne laissai rien paraître à mon beau-fils, il commençait lentement à comprendre ce qu’il se passait en décuvant.
Mais j’étais loin d’en avoir fini avec lui. Je le f o r ç a i à s’agenouiller devant la baignoire, enfilai une paire de gant et sorti d’un placard une petite boîte. Lorsqu’il vit de quoi il s’agissait, Jonathan ouvrit de grands yeux ronds et commença à me supplier de ne pas faire ça. Les larmes brillaient dans ses yeux, prêtes à couler.
Je fus surprise des émotions que le voir dans cet état éveillait en moi. Je n’éprouvais pas de pitié, aucune. Au contraire, je jouissais de le voir ainsi à ma merci, comme la faible petite sissy qu’il allait devenir. Je sentais le contrôle total que j’avais sur lui et cela me réjouissait d’autant plus.
Il dut lire à mon expression qu’il n’y aurait pas de négociation possible. Alors, vaincu, il baissa la tête et fixa le carrelage en sanglotant doucement.
J’ouvris la petite boîte. A l’intérieur se trouvait un tube de coloration. Jonathan avait les cheveux châtains mais je trouvais que le blond platine convenait mieux à une sissy. Quelle humiliation se serait pour lui d’aller au lycée avec sa nouvelle chevelure couleur blé ! Il avait malheureusement les cheveux trop courts pour y mettre des bigoudis et leur donner de belles boucles mais cela ne serait qu’une question de temps. Je prévoyais de les laisser pousser jusqu’aux fesses ! Il n’y aurait plus alors aucun doute sur son état de garçon efféminé.
Lorsque j’eus fini, je le redressai vivement. Il avait les yeux vides, perdus. Les larmes avaient tracés des sillons sur ses joues et ses yeux ne décrochaient définitivement pas du sol.
Je le mis devant le miroir de la salle de bain et lui ordonnai de regarder, le complimentant sur sa nouvelle couleur de cheveux qui lui allait divinement bien. Quand il leva enfin les yeux, l’horreur et la surprise se peignirent simultanément à son visage. Il était tellement choqué qu’il porta les mains sur sa bouche pour étouffer un cri.
Quelle délicieuse sensation que de voir la jeune sissy se regarder pour la première fois dans la glace tout en sachant ce qu’elle était. Je ne pouvais que sourire en voyant la réaction de mon beau-fils. Je me sentais fière de mon œuvre. Elle était juste délicieuse à souhait ! J’avais à peine commençai le processus qu’on aurait déjà dit un petit bout de femme.
Je me rends compte que je pense de plus en plus à Jonathan au féminin, comme me l’avait conseillée Madame Laurent. C’était maintenant d’autant plus facile que le pauvre chou était petit à petit dénudé de ces attributs virils. A l’époque je ne lui avais pas encore donné le nom qui allait devenir celui de son alter-ego féminin : Julie-Jeanne. Mais je réfléchissais déjà à la question, sachant que l’appeler Jonathan serait bientôt ridicule.
La pauvre sissy se précipita dans sa chambre, croyant pouvoir m’échapper. Mais elle ignorait qu’une autre surprise l’attendait déjà. Pendant son absence, j’avais subtilisé tous ses sous-vêtements masculins pour les remplacer par de la délicate lingerie. Avec le sac d’affaire qu’il avait négligemment jeté en bas des escaliers, il ne lui restait plus rien d’autre à se mettre.
Je riais déjà intérieurement lorsque je l’entendis s’effondrer, en pleurs, comme une fillette de quatre ans faisant un caprice. Il venait d’ouvrir son tiroir.
A SUIVRE ?
bonjour ,
RépondreSupprimerbien sur que l'on veux la suite ! et vite en plus ! (lol)
J'en ai fait part a l'auteur, j'espere que son succèslui donnera envie de poursuivre.
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