samedi 10 août 2024

HISTOIRE: L'école de Mademoiselle (Par Fredpody)


Voici les deux premiers chapitres d'une histoire traitant de féminisation, et particulierement sur l'usage du Corset. Vous trouverez la totalité de cette histoire (et d'autres) sur le site de Fredpody qui s'intitule: Corsets et Tailles de guêpe.

A droite dans la colonne liens.

Pardon pour la taille du texte mais il s'agit d'un copier-coller et je n'arrive pas a reduire la taille.



                                             CHAPITRE 1: LA CONDAMNATION


Sale histoire. En rentrant chez moi, tard dans la soirée, je m'arrête dans un bistro pour commander un sandwich. Et oui, réfrigérateur vide après ce week-end chez mes parents pour fêter mes 18 ans.

Quatre clients discutent à voix haute. L'un deux m'interpelle et entreprend de me prendre pour témoins dans une discussion passionnée, mais que je n'avais pas suivi. Il voulait que je lui donne raison, mais sur quoi ?

L'ambiance est festive, je me retrouve avec un verre de bière dans les mains. On discute de tout, de foot, des impôts, du prix de l'essence et d'un tas d'autre chose. D'autres verres suivent ainsi que ces discussions sans intérêt, sans suite.

Une jeune fille entre. Un coup de coude de mon voisin qui me dit

— Chiche que tu n'oses pas allez l'embrasser.

— Mais non, je ne la connais pas.

— Justement, tu ferras connaissance, montre nous ce que tu sais faire.

— Non, ce n'est pas... je ne sais pas, je n'en ai pas envie.

— Haha ça m'étonnerais. Vus comme tu la regardes.

Je coupe court, mais cinq minutes après, il me relance, et les autres aussi.

Je finis par me lever, et je m'approche d'elle, très gêné.

— heuu bonjour mademoiselle... je... je voudrais vous embrasser.


Je m'approche et elle me gifle en hurlant. Je fais demi-tour, je m'enfuis, et je laisse tomber le groupe.

Le lendemain matin, deux policiers me demande de les suivre.

Arrivé au poste de police, un officier me signifie ma mise en examen pour viol.

— Mais je n'ai jamais violé personne !

— Vous faites partie d'une bande qui a violé Mademoiselle Elsie. Vous avez été repéré sur une vidéo dans un bistrot. On vous voit aborder Mademoiselle Elsie et vous faire gifler.

En parution immédiate avec les quatre autres hommes de cette soirée au bistro.

Le viol avait été violent. Cette jeune fille a dû être hospitalisée.

Mes protestations n'ont pas été entendues.

— Monsieur André, vous faisiez partie de la "Bande" Dit le président du tribunal.

Le violeur a été condamné à 15 ans de prison ferme.

Moi, parce que j'avais abordé en premier la jeune fille et que j'étais adulte, j'ai été condamné à 12 ans pour l'exemple.

Les autres pour complicité à 8 ans.

Me voilà en prison pour un crime que je n'avais pas commis. Bien que mon attitude envers cette demoiselle était déplacée. Mais il n'y a pas eu d'acte, je ne l'ai même pas touché.


Déjà six mois de prison. C'est infernal. Je me suis fait tabasser deux fois durant ces six mois. Plus des propositions sexuelles, drogue... Un salle type très fort, voulait que j'avale des sachets de drogue pour les faire passer dans un autre quartier de la prison. Les menaces étaient si fortes, que je refusais la promenade une fois par jour. Trop dangereux pour moi.

Six mois que je suis enfermés dans cet immense centre pénitentiaire ou règne la violence entre clans rivaux.


                CHAPITRE 2: LA PROPOSITION 


Je suis convoqué dans le bureau du directeur de la prison. C'est complètement inhabituel, personne n'est jamais convoqué dans ce bureau.

Onze prisonniers sont présents, tous entre 18 ans et 20 ans.

Le directeur nous dit sans enthousiasme.

— Je dois vous proposer un stage de réinsertion que nous impose une décision du Palais. Et se tournant vers son assistant.

— Veuillez lire le document officiel du palais !


L'assistant du directeur nous lit le texte de loi, encadrant ce programme de réinsertion. Lecture sans émotion, factuelle.

— La Reine Eugénie a décidé que certains jeunes hommes, pourront bénéficier d'un stage de rééducation en échange d'une libération anticipée.

Ils seront sélectionnés suivant plusieurs critères.

— Être âgé de 18 à 20 ans.

— Condamné à plus de 10 ans d'emprisonnement pour des délits à caractères sexuels.

— Seront exclut les condamnations pour meurtre et trafic de drogue.


La liste des candidats sera envoyée au palais avec un maximum de description.

Le Palais se réserve de faire un choix dans la liste proposée par chaque centre pénitentiaire.

La liste des prisonniers âgés de 18 à 20 ans est la suivante :

Et l'assistant lit la liste des 11 noms, dont le mien.

Le directeur reprend la parole.

— Bien que je sois en désaccord avec ce système. Je vais vous lire les conditions. Il vous appartiendra d'accepter ou non, cette proposition.


Ce stage se passe dans un domaine fermé. Chaque stagiaire aura droit à une chambre individuelle. Il n'y a pas de porte fermée ni de cachot, seul l'enceinte du domaine est fermée. Les conditions de vie sont presque normales, et ne ressemblent pas du tout aux conditions des prisons du royaume.


Si vous suivez bien le stage, vous serez libéré au bout de 5 ans, si vous ne pouvez pas suivre ce stage jusqu'au bout, c'est le retour à la prison traditionnel.

Après une pose

— Des questions !

— Monsieur le Directeur, en quoi consiste ce stage ?

— Monsieur le Directeur, c'est une blague, échanger plus de dix ans de prison contre la liberté.

— Monsieur le Directeur, il doit y avoir un piège, je suis condamné à 20 ans, et on me libérerait après 5 ans de stage ?

Il répondit.

— Je n'en sais rien et ne veux rien en savoir. J'ai l'obligation de vous proposer ce truc. Quant à moi, je ne vous libérerais pas avant le terme de votre peine. Les volontaires partiront demain au centre de rééducation. Ils seront informés de ce stage et ils pourront accepter ou revenir en prison purger le reste de leurs peines.

Le directeur se retourna vers son adjoint.

— Emmenez ces hommes dans leurs cellules, départ du fourgons demain matin.


Le fourgon cellulaire entre dans un parc et se dirige vers une grande maison. On s'arrête devant un perron monumental, un peu disproportionné. Les gardiens nous font sortir enchaînés par les poignets et les chevilles. On doit s'aligner devant ce perron ou une dame en robe longue, noir, sévère nous attend.

— Je serais brève. Je dirige cet établissement de rééducation spéciale. Deux mots pour vous informer sur la méthode appliquée ici. Ensuite, vous choisirez d'accepter cette méthode ou de retourner dans votre pénitencier.


Comme on vous l'a déjà dit. Ceux qui acceptent, mais ne peuvent pas ou ne veulent pas terminer le stage seront renvoyés dans leur pénitencier.

Ceci, est-il bien clair pour vous.

Oui, mais je ne comprends toujours pas quel est ce stage et pourquoi ces précautions et pourquoi un simple stage peut m'éviter 10 ans de prison.


— Ce stage ou cette formation est destiné à vous éduquer comme une femme. Pas superficiellement, mais en profondeur aussi bien l'esprit que le corps. À la fin de cette formation qui durera au minimum trois ans. Vous aurez l'apparence et le comportement d'une femme, ceci de manière permanente.

Quoi ? C'est quoi cette dinguerie.

— Le but, est que vous serez incapable de violenter une femme, étant devenu femme vous-même. C'est aussi vous mettre de force dans la position d'une femme à chaque instant de votre vie. Les premières expériences sont très positives. Pas un seul candidat, devenu femme n'a récidivé. Pas une seule agression sexuelle pour ces nouvelles femmes.


Il y eut des rires.

— Ouais! Ça m'aurait étonné qu'on nous libère.

— C'est débile.

— N'importe quoi, quel est le bouffon qui a pondu ce truc.

— Et M'sieux, ramenez nous à la prison, ils sont moins barges là-bas.


Passer de douze ans de prison à trois ans. Les conditions sont bizarres, mais j'ai bien envie de tenter. Si c'est insupportable, je pourrai toujours abandonner. Oui, mais alors, c'est 12 ans de prison.

On se retourne, ont marche vers le fourgon.

— Débile...

— C'est des malades...

— Des barges oui...


Je suis mes compagnons, celui qui est devant moi hésite à monter dans le fourgon. Je suis le dernier dans la fille, il met un pied sur la marche, se retourne, il ne monte pas. Il me fait face

— Je reste.

Et moi, je le suis.


Le fourgon démarre. On n'est plus que deux dans ce parc face à cette dame tout en noir. Je viens de faire un saut dans le vide. J'ai un peu de mal à respirer, la tête me tourne. Je sens bien que je viens de prendre une décision importante, qui va complètement transformer ma vie.



        

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