Avec le chapitre 3: LES ECOLIERES
LES ECOLIERES
Pour les habituer à leur nouvelle réalité, elles ont dû porter l'uniforme scolaire complet, avec blazer pour le reste du week-end.
De retour chez elles, toutes ont été choquées de constater que leurs vêtements des garçons avaient été enlevés et que seuls des vêtements féminins, comme les jupes et les robes, se trouvaient dans leurs armoires. Avec en plus, des sous-vêtements appropriés.
Gabriela, tout comme les autres nouvelles filles, a été informée par sa mère :
- Vendredi dernier, tous les autres élèves de l'école ont été informés de votre punition. Il leur a donc été demandé de vous traiter de la même manière que n'importe quel autre élève féminine, les professeurs qui dans leur totalité ont approuvés votre punition feront de même . Et si jamais par malheurs des garçons continuaient a vous traité autrement que comme des filles, alors ils recevraient la même punition que vous et devraient alors venir en classe comme des écolières. Je suis sûr que tout le monde sera agreablement surpris de voir à quel point vous êtes féminine.
Gabriela protesta mollement en désignant ses vetements de fille:
- Mais... mais je ne vais pas... pas comme ça...
Mais elle s'arrêta bien vite, trop honteuse en entendant l'écho de sa voix devenue si douce et fluette. Une voix de fille !
Sa Mère souria:
- Vivre comme une fille sera bien plus facile que tu ne le redoutes. Tu participera aussi aux cours spéciaux pour filles au cours des prochaines semaines, comme l'économie ménagère et la gymnastique féminine. D’une certaine manière, tu sera préparée à la vie de femme au foyer et de mère, tout comme n'importe quelle autre fille. Cela t'aidera à mieux comprendre les filles plus tard. Les prochaines semaines décideront de ton avenir alors profite-en et rend-nous fiers !
Puis vint le lundi !
Le premier jour en tant que fille en uniforme scolaire.
L'uniforme prescrit pour les filles consistait en une jupe courte, un chemisier blanc avec une cravate ou un nœud assorti à la jupe et un blazer blanc ou noir portant l'emblème de l'école. Et a présent ces nouvelles écolières avaient même leur nouveau prénom inscrit sur leur casier se trouvant dans le couloir de l'école.
Chacune d'elles avaient reçue 6 uniformes, qu’elles devaient quotidiennement. Auncune fille digne de ce nom ne pouvait se permettre de porté un uniforme qui n'était pas impéccable ou qui sentait la sueur.
Les nouvelles élèves se rendirent à pied à l'école, qui n'était pas loin de leur domicile.
Elles se sont retrouvées à l'entrée et ont voulu aller dans leur classe. Mais elles ont été interceptées par le directeur et invitées à venir à son bureau. Là il leur explique ce qui les attends:
- Tout d'abord, je dois vous préciser que vous ressemblées toutes à n'importe quelle autre écolière. Je suis impressionné et je ne m'attendais pas à cela. Peut-être que cela rendra les prochaines semaines plus faciles pour vous. Vos parents vous ont déjà dit à quoi vous attendre et, surtout, ce que l'on attend de vous.
Les malheureuses échangerent un regard intimidé alors que le directeur continuait.
- Je le précise encore une fois: nous attendons de vous un comportement exemplaire. Pas de farces, de bagarres ou de disputes d'aucune sorte. Est-ce clair ?
Tous les cinq hochèrent la tête.
- Bien. Je m'attends aussi à ce que vos résultats scolaires s'améliorent considérablement... et vite. A présent vous pouvez aller en cours... et tachez de ne pas perdre du temps en papotant dans les couloirs jeunes filles !
Elles se rendirent dans leur classe et comme le cours avait déjà commencé, elles frappèrent timidement a la porte avant d'êtres autorisées a entrées. Le professeur les a accueillis en disant :
- Comme c'est gentil de nous rejoindre. Je sais que vous étiez avec le directeur aussi merci de vous présenter à la classe, qui ne vous connaît pas encore !
Une a une, Gabriela, Johanna, Manuela, Valentina et Daniela se sont présentées à la classe incrédule. Les autres élèves, garçons comme filles, avaient tous du mal à croire que ces filles timides dans leurs uniformes assez courts étaient en fait les garçons et les terreurs de toute l'école la semaine dernière encore.
Le premier jour pour les nouvelles élèves s'est déroulé sans problème. Si ce n'était la honte profonde ressentie... Lors des récréations et de la pause déjeuner du midi, aucun autre élève ne s'approcha du petit groupe. C'était encore plus flagrant de la part des garçons qui se tenait le plus loin possible de cette petite bulle de féminité, comme si s'approché trop près les aurait aussitôt transformés en fille eux aussi.
Contrairement au passé, elles ont cette fois activement participées aux cours.
La dernière leçon de la matinée était le travail manuel.
Elles ont commencé leurs cours de couture. Au début, elles étaient un peu maladroites, mais elles ont vite commencées à apprendre et à faire des progrès significatifs. Ils ont même reçu des éloges particuliers de la part de leur professeur.
Après l’école, elles rentrèrent ensemble à la maison.
Elles ont parlées de leurs désagréable expérience et ont décidé de se comporter de la façon la plus exemplaire possible afin de ne pas donner a leurs parents des motifs de prolongé cette punition !
Puis elles se séparèrent pour rentrées ches elles.
À la maison, elles otèrent leurs uniformes scolaires et les accrochèrent soigneusement dans le placard. Chacune d'elles a enfilé une robe ou une jupe avec un chemisier et s'est mis à faire ses devoirs.
Quand les devoirs furent fait, chacune d’elles est allée voir sa mère et lui a demandé de l’aider dans le ménage. Les mères ont été complètement surprises par le comportement de leurs nouvelles filles et ont volontiers accepté leur aide.
Les nouvelles filles aidaient leurs mères à préparer le dîner et à mettre la table.
Après le dîner, ils débarrassaient eux-mêmes la table et aidaient à faire la vaisselle.
Quelque chose que leurs fils n’auraient jamais fait auparavant.
Bien entendu, les parents n'étaient pas crédule et tous savaient que cette docilité n'était que de façade et purement interessée !
Mais tous comptait bien exploité au mieux la servitude de leur fille respective.
Le Mardi, a l'école, l'impression positive du premier jour s'est confirmée !
Gabriela, Johanna, Manuela, Valentina et Daniela étaient des élèves attentives qui participaient très activement en classe. Pendant les récréations, ils avaient finalement eue leurs premiers contacts en tant que fille avec les autres élèves.
Elle furent même invitées pour le week-end.
Ce qui ne serait jamais arrivé aux garçons qu'elles avaient été !
Après l'école, elles rentraient chez elles, changeaient de vêtements et faisaient leurs devoirs.
Ensuite, ils aidaient leurs mères à nettoyer la maison et encore à préparer le dîner.
Les tyrans avaient apparemment disparus et avaient été remplacés par de vrais petits anges. Les mères ont vu avec incrédulité leurs nouvelles filles se comporter complètement différemment de leurs fils auparavant.
C'est ainsi que la première semaine d'école s'est terminée pour les nouvelles filles.
En rentrant ensemble de l'école, elles ont réalisé que même si c'était très inhabituel de vivre en tant que filles, elles avaient toutes appréciées cela dans une certaine mesure. A la maison, tout était maintenant paisible et les Mamans avaient désormais des filles exemplaires.
Tous les soirs, les parents discutaient par téléphone après le coucher de leurs filles, et tous s'accordaient sur le fait que cette "Discipline du jupon" était une totale réussite et d'une efficacité redoutable.
Le Samedi, elles avaient retrouvé quelques camarades de classe au centre commercial local pour faire du shopping. Elles se sont toutes beaucoup amusées, se sont intégrés harmonieusement et ont été pleinement acceptés par leurs copines, de vraies filles, elles !
L'après-midi, elles s'asseyairent ensemble dans la gallerie commercial. Tout en mangeant des gauffres elles parlairent de choses et d'autres.
Sur le chemin du retour, les nouvelles filles ont convenu que la punition n'était finalement pas si grave. Une ou deux d'entre elles avouerent même un peu genée qu'elle aimaient assez être des filles.
Le Dimanche, elles se sont retrouvées de nouveau. Mais cette fois elles avaient revetues leurs plus belles tenues du dimanche afin de se rendre à l'église. Ensuite, ils aidairent volontiers leur mère à cuisiner le repas dominical puis, plus tard, à nettoyer la maison.
Les filles ont désormais traversées les semaines suivantes avec une certaines sérénité.
À l’école, leurs résultats s’amélioraient de plus en plus. Le danger de ne pas passé dans la classe supérieure était écarté, en fait, elles faisaient désormais toutes partie des meilleures élèves. Elles ont également beaucoup plus apprécié leurs cours, en particulier les cours typiquement féminin.
À la maison, l’impression positive s’est poursuivie.
Elles faisaient leurs devoirs, nettoyaient leur chambre, aidaient à la maison, et leurs mères ne pouvaient que s'émerveiller encore et encore de la façon dont leurs fils rebelles se sont transformés en filles exemplaires.
Elles espéraient que cette situation continue comme ça.
Hélas, les jeunes féminisées étaient devenues si exemplaires que les pauvres Mamans n'avaient aucune légitimité a pouvoir prolongé la punition.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire