Petite traduction d'une histoire trouvée sur Deviantart.
Madame Tootsie
Jack était un garçon talentueux.
Assez joli garçon, il avait les cheveux noirs courts et venait de terminer brillament ses études secondaires avec une bourse complète, cette dernière lui permettant de conjuguée a la fois études et football.
Il avait hâte d'aller à l'université, de pouvoir rencontrer des filles et de passer des nuit à faire la fête.
Son rêve d'un avenir brillant de footballeur professionnel a cependant rapidement changé de cap un après-midi d'été.
Il rentrait chez lui après un entraînement de football, ce qui l'a amené à passer devant la maison d'une certaine Mme Tootsie. Mme Tootsie était une veuve solitaire, son mari était mort d'un cancer quelques années auparavant. Il avait lui laissé beaucoup d'argent, et Mme Tootsie vivait maintenant seule dans un grand manoir.
Elle était assez jolie. Et surtout elle s'habillait avec une élégance qui était rare de nos jours. Elle portait toujours des talons hauts. Qu'elle portait Jeans, jupes, Robes ou Tailleurs, peu importait, elle portait toujours ses talons hauts d'au moins 10 CM de haut.
Elle possedait également une belle paire de seins qui était toujours mise en valeur par un profond décolleté.
Bien qu'elle fût une femme incroyablement sexy pour son âge, 41 ans. Elle était assez grossière.
Elle était très arrogante et autoritaire. Et la plupart des gens essayaient de l'éviter.
Jack aussi, mais aujourd'hui il s'est un peu trop approché.
Il marchait dans la rue tout en frappant le ballon. Il le frappait avec son genou, puis avec son pied, puis remontait jusqu'à son genou. Il essayait toujours de voir combien de fois il pouvait jongler d'affilée avant que le ballon ne touche le sol.
Ce jour-là, Mme Tootsie le regardait faire depuis la fenêtre de l'étage alors que Jack manqua le ballon avec son pied. Il essaya de le rattraper avant qu'il ne touche le trottoir, mais il finit par le frapper de côté avec le bord de son pied. Jack regarda avec horreur le ballon voler vers sa maison et s'écraser à travers la fenêtre.
Un court instant il regarda, bouche bée, le ballon rebondir plusieurs fois dans sa maison.
Puis, sans perdre plus de temps, il tourna les talons et s'enfuit en courant.
Il se souvint de l'année précédente où il avait eu sa premiere vraie rencontre avec Mme Tootsie.
Il l'avait percutée au coin d'une allée du supermarché, envoyant tous ses articles par terre. Elle l'avait regardé avec des yeux sévèere jusqu'à ce qu'il ait ramassé tous ses articles, puis elle était partie sans un mot, pensant clairement que c'était sa faute.
Il ne l'aimait plus depuis, et il ne pouvait pas imaginer ce qu'elle lui ferait si jamais elle découvrait qu'il avait cassé sa fenêtre.
Mme Tootsie se tenait au dernier étage de son manoir de quatre étages.
Elle avait regarder attentivement le ballon de Jack voler vers sa maison. Elle entendit un bruit provenant du premier étage et sut qu'une de ses fenêtres coûteuses était cassée. Elle descendit les escaliers et vit la balle sur le sol à côté d'une étagère. Il y avait autrefois un vase sur l'étagère, mais la balle l'avait fait tomber par terre.
Elle s'agenouilla sur ses talons et le regarda. Il était toujours intact, pas une égratignure dessus.
Mais Mme Tootsie se releva, et de son pied le frappa avec force, le brisant en morceaux de son talon puissant. Elle savait exactement ce qu'elle allait faire.
Jack allait payer pour la fenêtre et le vase qu'il avait cassés, et elle savait exactement comment il allait s'y prendre.
Jack croyait qu'il ne pouvait pas être attrapé. Il n'y avait aucune trace de la propriétaire de la maison et personne aux alentours de la "scène du crime".
Jack pensait que Mme Tootsie n'aurait aucune idée à qui appartenait ce ballon de foot.
Mais elle le savait déjà, Jack ne le savait pas, mais Mme Tootsie avait observé depuis la fenêtre du quatrième étage. Mme Tootsie avait de nombreux projets pour Jack. Et comme Jack essayait d'éviter sa maison pendant un certain temps, elle avait donc tout le temps de préparer son terrible plan...
Elle s'asseyait tous les jours sous le porche de la demeure, dans une chaise en bois antique.
Presque tout dans le manoir, qui datait de 1840, était vieux et très précieux.
Chaque jour Mme Tootsie regardait la route, les jambes croisées dans ses talons hauts.
Après environ un mois à éviter la maison, Jack a finalement jugé qu'elle n'avait aucun soupçon et il décida de repasser enfin devant la maison. Mais le jour ou il l'a fait, Mme Tootsie était là, l'attendant de pieds ferme.
- Oh Jack ! Jack ! Par ici ma puce.
Jack se figea. Il se retourna et la vit sur le porche, encore plus attirante que jamais.
- Bonjour Mme Tootsie. Répondit-il, essayant de rendre sa voix normale.
- Veux-tu bien venir chez Moi, Jack ? J'ai une question à te poser.
Le cœur de Jack battait fort.
Elle ne pouvait pas savoir. Ce devait être une coïncidence. Pensa t-il.
Il marcha aussi normalement qu'il le pouvait dans l'allée, passa devant les énormes grilles en fer forgé qui étaient, chose rare, ouvertes. Il contourna la fontaine en pierre, traversa l'allée entourée de rosiers éclatants et monta les marches immaculées du perron, où Mlle Tootsie avait déjà quitté sa chaise pour le rejoindre.
- Bonjour Jack. Dit-elle en l'entourant de ses bras.
Elle portait un chemisier blanc, une mini-jupe noire, un bracelet blanc qui contrastait avec ses ongles rouge rubis et, bien sûr, ses talons hauts habituels.
Jack était petit, environ 1,60 m. Il s'approcha de ses seins que lorsqu'elle le serra dans ses bras, écrasant son visage contre eux.
- Viens t'asseoir ! Ordonna t-elle, désignant une chaise à côté de celle sur laquelle elle était assise.
Elle s'assit sur sa chaise et Jack s'assit sur la chaise en face d'elle. Les deux chaises avaient une petite table ronde entre elles. Mme Tootsie tendit la main par-dessus la table, attrapa les mains de Jack et les amena jusqu'au sommet de la table. Ses mains étaient chaudes et Jack était nerveux. Elle n'avait jamais été aussi gentille. Avec personne. Il le savait.
- Comment vas-tu Jack ? Demanda-t-elle avec un sourire.
- Je vais bien. Dit-il, la regardant à peine un contact visuel.
- J'ai une question pour toi Jack. Saurais-tu par hasard pourquoi ma fenêtre a été brisée ?
Le coeur de Jack se serra, puis se mit à battre à un rythme rapide.
- Non madame. Dit-il en regardant leurs mains entrelacées.
- Vraiment ?
Mme Tootsie fit un signe de tête, lui désignant un objet posé plus loin...
- C'est un beau ballon, Jack. Tu ne trouve pas ? Dit-elle en regardant le ballon de foot qu'elle avait placé pas loin de lui.
Jack devint rouge d'embarras. Mme Tootsie le fixa:
- Il ressemble étrangement au tien n'est-ce pas ? D'ailleurs qu'est-il arrivé à ton ballon ? L'aurai-tu... égaré quelque part ?
- Euhhh... non. Je le nettoie juste, j'aime prendre soin de mon équipement.
Mme Tootsie lui lança un regard noir.
- Viens avec moi Jack !
Elle se leva brusquement et, les mains de Jack toujours jointes aux siennes, le conduisit vers la fenêtre qui avait été brisée, Jack vit que les bords avaient été scotchés, afin que personne ne se coupe sur les bords tranchants du verre restant.
- Tu vois ça, Jack ? Dit Mme Tootsie, s'arrêtant devant la fenêtre. Quelqu'un a lancé un ballon de football à travers cette fenêtre. Il s'est écrasé de plein fouet et a renversé un vase antique d'une valeur inestimable."
- Un... un vase ? Questionna Jack.
- Ce vase m'a été offert par ma grand-mère, qui l'a gagné aux enchères après que le précédent propriétaire ait été tué dans un incendie. Il vaut environ 12 000 Dollars, mais sentimentalement il n'avait pas de prix a mes yeux. Dit Mme Tootsie dont la voix tremblait de colère.
Cela ressemblait plus à la Mme Tootsie qu'il connaissait.
- Tu as cassé mon vase inestimable.
- Moi ? Dit Jack, essayant de paraître innocent.
- Ne joue pas a ça avec moi. Je t'ai vu ! Je regardais par la fenêtre au quatrième étage quand tu as donné un coup de pied à travers la fenêtre et cassé mon vase. Tu as ensuite aggravé les choses en t'enfuyant et en évitant ma maison pendant un mois. Au cours de ce mois, j'ai eue tout le temps de réflechir a la façon dont-tu allais me rembourser.
- Mais... Mais je n'ai pas une telle somme... Bredouilla Jack qui réalisa tout de suite son erreur.
Il venait d'admettre son forfait !
Elle eue un sourire sadique en le ramenant vers le porche et, à sa grande horreur, elle lui fit franchir la porte d'entrée pour le poussé a l'intérieur.
Le manoir était immense, avec au milieu d'un hall d'entrée exceptionnellement grand.
Un lustre gigantesque était suspendu au-dessus. Il y avait un escalier en colimaçon blanc immaculé. L'escalier était vieux, donc il était très raide à chaque marche. Il y avait cependant une petite rampe qui tournait vers le haut avec l'escalier. À droite se trouvait une grande salle à manger. Un autre lustre magnifique (mais plus petit) était suspendu au-dessus de la table centrale. À droite se trouvait le salon. Une demi-douzaine de grands fauteuils moelleux (de différentes couleurs allant du rose vif au rose foncé au blanc) étaient positionnés autour de la pièce, avec une table basse ronde en verre de taille moyenne au centre de la pièce. Il y avait plusieurs tableaux accrochés dans le manoir qui représentaient une jeune Mme Tootsie et, dans certains cas, son défunt mari.
Derrière l'escalier se trouvaient d'autres pièces, mais Jack ne put les voir.
Mme Tootsie le conduisit dans l'escalier, tenant toujours fermement sa main. Elle le conduisit tout en haut des escaliers. Au quatrième étage. Après avoir traversé le palier, elle tourna à gauche et descendit les quelques marches qui menait a sa chambre chambre.
Elle ouvrit les doubles portes en bois brillant de sa chambre et lui saisit à nouveau la main, le conduisant à l'intérieur. Elle tourna à gauche dans sa chambre et descendit un autre petit couloir. Son dressing était sur la droite, et elle l'ouvrit de sa main libre.
Les placards étaient énorme,
Pas seulement selon les normes d'un placard, mais par rapport à la taille de la pièce en général. Il semblait environ deux fois plus grand que la chambre de Jack. Il y avait des étagères tout le long des murs, contenant des boîtes, des accessoires et des chapeaux. Sous les étagères, il y avait un support qui courait sur le pourtour de la pièce. Il y avait des robes de toutes les couleurs, des jeans, des Tailleurs de différentes matières, des jupes de différents styles et tailles, et des dizaines et des dizaines de chemisiers assortis. Et le long des murs se trouvaient des paires de talons hauts dont la hauteur était parfois incroyable.
Jack n'était pas surpris par cela. Mlle Tootsie veillait toujours à se montrée a son meilleur avantage, et maintenant il voyait à quel point elle avait du choix dans ses tenues.
- Alors qu'est-ce que tu en penses Jack ?
- Euh... C'est cool, enfin je suppose. Repondit-il.
Il ne savait pas vraiment pourquoi elle lui montrait toutes ses tenues.
- Viens avec moi, Jack.
Elle prit sa main dans la sienne, mais plus légerement qu'avant, et le conduisit à travers le dressing, ses talons hauts noirs claquant contre le sol brillamment poli et ses hanches se balançant à chaque pas.
Jack vit des centaines de combinaisons de tenues possibles parmi lesquelles Mme Tootsie pouvait choisir régulièrement. Il ne pouvait pas imaginer a quel point se réveiller le matin et devoir prendre ce genre de décision devait prendre du temps a cette femme.
Elle ne s'arrêta pas avant d'avoir atteint le fond du placard, où il y avait un tissu rouge géant qui pendait du plafond, cachant ce qu'il y avait derrière.
- Maintenant, je veux que tu te souviennes de ce moment, Jack. Parce que tu es sur le point de voir ce que ta vie est sur le point de devenir.
Elle lâcha sa main et s'avança vers le rideau. Elle tira le rideau du plafond, le laissant tomber en tas sur le sol. Les yeux de Jack s'écarquillèrent lorsqu'il réalisa ce qu'elle avait en réserve.
Sur le mur, il y avait divers crochets qui avaient été vissés. Sur les crochets se trouvaient les diverses pièces d'une tenue: Une tenue de femme de chambre.
Il y avait un crochet juste à la hauteur de sa tête, et il y avait un bandeau noir avec de la dentelle blanche.
Il y avait un crochet en dessous qui avait un tour de cou noir avec de la dentelle blanche également.
En dessous, il y avait la pièce principale de la tenue, la Robe.
C'était une robe noire assez courte, avec des épaules blanches bouffantes. Il avait un mini tablier blanc attaché sur le devant, avec une petite inscription brodée dessus: Maid Jackie.
Un détail qui aurait dût terrifié Jack et qui aurait dût lui mettre la puce a l'oreille, mais qu'il ne remarqua pas.
La robe avait aussi des tonnes de jupons blancs en dessous. À droite de la robe, il y avait une paire de petits gants blanc qui se terminait autour des poignets par une jolie dentelle.
Sous la robe se trouvait des sous-vêtements noirs de femme de chambre. Il y avait beaucoup de bordures en dentelle dessus. Il y avait aussi des bas résille, qui se terminaient sur les cuisses par des larges jarretieres de dentelle blanche.
Posés sur le sol se trouvaient une paire de talons hauts. Mais ce n'était pas la même chose que ceux de Mme Tootsie, qui étaient de dix bon centimètres, ceux-ci ne faisait que 3 ou 4 CM mais même avec des talons hauts Jack serait encore beaucoup plus petit qu'elle.
Mme Tootsie regarda Jack examiner la tenue de femme de chambre. Il était sur le point de se retourner et de s'enfuir, mais Mme Tootsie s'y attendait et attrapa ses deux petits poignets avec ses fortes mains d'adulte.
- Oh non, tu ne le feras pas ! Tu ne peux aller nulle part ! Tu as cassé ma fenêtre et mon vase inestimable. Tu me dois quelques milliers de dollars que tu ne peux pas me remboursé soit, mais dans ce cas tu vas devoir vivre avec moi maintenant... Tu vas être ma femme de chambre.
Un mois que Mme Tootsie attendait ce moment, elle ajouta:
- Tu cuisineras pour moi, tu feras le ménage, la couture, le repassage, etc...Tu feras tout ce que je désire. Tu m'a bien comprise ?
- Mais... vous... vous ne croyez tout de même pas que...
Elle agita son doigt.
- Tu n'as pas le choix. Tu m'appartiens... Jackie.
- Maintenant, dit Mme Tootsie en voyant le regard défait sur le visage de Jackie. Habillez-vous rapidement ensuite vous descenderez au premier étage. J'ai un cadeau pour vous. Et descendez vos vieux vêtements quand vous viendrez... vous n'en aurez plus besoin avant longtemps !
Puis Mme Tootsie traversa la longue pièce et ferma la porte derrière elle.
Jackie regarda le mur. Il commença à retirer des objets du mur et à les disposer devant lui. Puis il enleva ses vêtements de garçon et les posa également sur le sol. Il souleva la culotte de femme de chambre française et la regarda. Elle était vraiment douce. Il se pencha et souleva une jambe, tirant la culotte à travers. Puis il fit de même avec son autre jambe, et remonta la culotte sur ses jambes avec ses deux mains. Elle était vraiment douce contre ses jambes. Elle arriva en haut et il la mit en place.
Elle n'était pas si mal. Elle couvrait la majeure partie de ses fesses et cachait plutôt bien son pénis aussi. Il baissa les yeux et ramassa les bas résille. Il s'assit et fit passer les deux extrémités des bas sur ses orteils, puis les fit glisser le long de ses jambes, laissant finalement le tissu doux et serré s'arrêter à mi-cuisse en dentelle blanche. Jackie ramassa la robe et glissa ses deux jambes dans la partie supérieure ouverte de la robe, il remonta la robe sur lui. Il glissa ses bras dans les manches blanches bouffantes et devint soudainement incroyablement honteux.
Lui, le jeune footballeur portait maintenant des sous-vêtements de femme, des bas et une robe de soubrette. Jackie ramassa les gants et les enfilas sur ses mains. C'étaient de très jolis gants. Enfin il posa le petit bandeau de soubrette sur sa tête.
Vient ensuite le défi : les talons.
Il se baissa et plaça son pied gainé de résille dans l'un des talons. Il l'attacha la petite bride de cuir autour de sa cheville, puis fit de même avec l'autre escarpins.
Quand il ramassa ses vêtements de garçon et essaya de se lever, il faillit tomber.
Il n'avait bien évidement jamais porté de talons haut auparavant, et ceux-ci étaient déjà particulièrement difficiles à porter. Jackie essaya de faire quelques pas mais eut du mal. Il continua d'essayer.
Finalement, Jackie a quitté la pièce. Ensuite, il a dû se prendre l'escalier. Il a commencé à descendre les marches en colimaçon, s'arrêtant toutes les deux marches pour se remettre sur pied. Il était au palier du deuxième étage et a trébuché. Il est tombé jusqu'au rez-de-chaussée et a atterri brusquement sur le sol en bois dur.
Il est resté assis là, les jambes écartées pendant une seconde, étourdi, jusqu'à ce qu'il réalise que Mme Tootsie se dressait devant lui. Le regardant avec des yeux moqueurs.
- Eh bien ! Pas vraiment concluant cette première sur des talons Hauts !!!
Elle a soulevé Jackie et l'a aidé à se relever.
- Regarde Jackie ! S'est-elle exclamée Mme Tootsie tout en s'acroupissant et en sortant un etrange objet de sa poche.
Relevant les jupons et baissant la culotte elle dit a Jackie:
- Une cage de chasteté !
Elle l'a rapidement mise en place a verrouillé sur le pénis. Jackie a bien essayé de l'enlever, mais il était bien verrouillé.
- Maintenant, je te possède complètement, Jackie ! Dit Mme Tootsie avec un sourire.
Mme Tootsie a rajustée la tenue de Jackie et lui a tapoté les fesses avant de lui a faire un bisou sur la joue.
- Maintenant ! Mets-toi au travail !
3 ANS PLUS TARD
Jackie avait maintenant de 21 ans... Cela faisait maintenant trois longues et terribles années que l'ex-garçon officiait comme soubrette dans le manoir de Mme Tootsie.
Après être tombé sour son emprise Mme Tootsie avait vite prise la décision de lui faire subir une opération de changement de sexe. Moins de 6 mois après son entrée au Manoir Jackie avait vu son penis etre remplacé par un vagin.
Après mûr réflexion, Mme Tootsie avait décidé de ne pas imposée a Jackie le port d'une ceinture de chasteté, l'avoir contrainte a changée de sexe était une punition largement suffisante avait-elle estimée.
Jackie avait donc la maigre consolation de pouvoir se donner de plaisir.
Mme Tootsie ne permettait jamais a Jackie de se couper les cheveux et la forçait à utiliser des shampoings et des produits de soins capillaires de qualités. Aussi les cheveux de Jackie étaient maintenant longs, brillants et raides.
Ses cheveux noirs descendaient jusqu'à ses fesses.
En parlant de fesses, elles étaient maintenant beaucoup plus rondes et plus pleines à cause des œstrogènes que Mme Tootsie faisait prendre à Jackie. L'œstrogène avait également donné à Jackie une silhouette fine et une taille étroite que Mme Tootsie se plaisait parfois a serrée dans d'étroits Corsets.
Elle lui avait même faite subir une opération risquée des cordes vocales.
Cela avait fonctionné a merveilles, et maintenant la voix de Jackie était aussi douce et soyeuse que celle de n'importe quelle autre fille. Elle avait aussi eu une opération du visage qui avait transformé le visage masculin carré de Jackie en un petit visage rond, avec de très jolies joues roses.
Jackie avait eu aussi droit a des implants mammaires pour son 19e anniversaire.
Un anniversaire qui par un heureux hasard tombait a quelques jours près a son entrée au service de Mme Tootsie.
Jackie avait maintenant une poitrine de 90 CM Bonnet qui complétait assez bien son uniforme de femme de chambre.
Jackie travaillait tous les jours avec les talons hauts auxquels elle s'était habituée, évoluée sur des Talons de 15 CM était devenu une simple formalité pour la féminisée qui époussetait, nettoyait le manoir, préparait les repas, allant même faire les courses.
Jackie était cependant autorisée à porter des vêtements normaux en public, elle avait donc le droit de choisir dans la grande garde-robe de Mme Tootsie. La tenue préférée de Jackie était un jean moulant, des bottines a talons aiguilles de 15 CM montant jusqu'au genoux, un t-shirt bleu clair décolleté et un sweat à capuche rose pâle.
Une tenue qu'elle aimait portée après qu'un joli garçon croisé dans un magasin lui ait dit qu'elle était mignonne.
Parfois, dans certains magasins, Jackie pouvait voir un des avis de recherchees que ses parents placardaient régulièrement, ces derniers gardaient toujours espoir de retrouvés leurs fils disparu.
Qui en ville aurait put imaginé en voyant la ravissante Jackie, que Jack et elle n'était en fait qu'une seule et même personne.
La ville s'étonnait juste que l'odieuse Mme Tootsie ai acceptée d'acceuillir chez elle, sa jeune et jolie Nièce devenue soudainement orpheline.
Quand a Mme Tootsie, elle n'avait jamais dit à Jackie a quelle point elle était une fille stupide.
Que le vase qu'elle avait "cassé" trois ans auparavant et soit disant hors de prix ne valait en fait quasiment rien.
Un vase acheté dans un vide-grenier pour a peine 25 dollars.
Et il n'y avait aucune raison de le dire à Jackie maintenant. La pauvre aurait certainement été effondrée d'apprendre qu'elle avait été transformée en fille et en soubrette pour 25 malheureux dollars.
FIN
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