lundi 16 septembre 2024

ROMAN TRADUIT: LA FEMINISATION DE TIM (CHAPITRE 9 ET EPILOGUE)

 

Suite et fin de ce roman.



                                                                  CHAPITRE IX


Cette fois Alice retourna à la clinique sans protester, toutes les pensées de retour à son ancienne vie d’homme avaient été balayées par la nuit de passion avec Rachel.

Mlle Thompson est ravie des retours de Rachel sur le déroulement de leur rendez-vous. 

Alice fut surprise lorsqu’elle ajouta que son séjour à la clinique touchait à sa fin. 

Alice ne savait pas trop quoi penser de cela. Évidemment, c’était bien qu’elle retourne à une vie plus normale, mais elle ne savait plus ce que cela signifiait.

Il lui était difficile d’imaginer redevenir Tim. 

Elle se souvenait à peine de ce qu’était un homme, mais il ne lui semblait pas réel qu’elle puisse quitter la clinique et être soudainement une femme. Rachel ne voulait sûrement pas qu’elle reste une femme, mais l’idée de se faire couper les cheveux, de se faire enlever les ongles et les cils, de se débarrasser de tous ses beaux vêtements, de ses chemises de nuit  vaporeuses et de porter à nouveau des pantalons lui semblait être une déception.

Elle n’avait pas la moindre idée de ce qu’elle voulait, sauf qu’elle voulait être avec Rachel.

Alors que ses cours touchaient à leur fin et que le personnel l’aidait à se préparer à partir, tous semblaient avoir l’impression que Tim resterait une femme. 

Les employées emballaient avec un soin infinie ses vêtements et son maquillage pour qu’elle les emporte. Cela ne l’étonnait pas trop, cependant, le personnel expérimenté avait toujours l’impression qu’elle était encore en cours de transition. 

Peut-être que le traitement avait été si efficace qu’elle était vraiment devenue trans  ? 

Était-ce même possible ?

Les  jours suivants passés à la clinique furent un flou de pensées et de sentiments confus et un empressement de revoir Rachel afin d’avoir une certitude sur les choses.

Alice avait rendez-vous avec l’infirmière, pour ce qui pensait-elle, allait être le retrait de l’implant hormonal. Mais elle n’était pas sûre de ce qu’elle en pensait non plus.

Ses sentiments avaient définitivement changé,sans doute en partie à cause des hormones, mais elle n’avait aucun moyen de savoir exactement dans quelle mesure elles avaient eu un effet sur elle, à part le gonflement de ses seins provoqué par les hormones. C’était un autre sujet de profond trouble, voulait-elle vraiment cessée les hormones ?

Lors de son rendez-vous avec l'infirmiere, elle n’écouta pas vraiment ce que cette derniere disait, Alice hochait simplement la tête en signe d’approbation, sans saisir le contenu des propos qui lui était tenus. Elle fut donc surprise lorsque l’infirmière lui planta une aiguille dans le bras. 

Elle demanda ce qui se passait.

- Juste un sédatif ma chérie. Nous ne voulons pas que tu ressentes la moindre douleur lors de la procédure.

Alice commença à poser des questions sur ce qui allait se passer, mais le sédatif fit  bien vite effet et elle s'endormie rapidement.


PLUS TARD...


Alors qu'Alice se réveillait de son sommeil provoqué par le sédatif, la confusion l'envahit. 

Elle ne se souvenait plus pourquoi elle était là. Son cerveau se débattit dans un brouillard durant un moment avant qu'elle ne parvienne à demander:

- Avez-vous retiré l'implant hormonal ? 

L'infirmière avait l'air un peu confuse:

- Allons chérie ne dites pas de telles sottises. Nous ne pourrions pas l'enlever même si nous le voulions. Il est de toute façon indispensable que vous soyez sous hormones féminines...

- Mais... mais alors ? Quelle était cette procédure ? 

-  Voyons Alice, mais votre castration bien sûr... Plus de testicules donc plus d'hormones mâles pour empêchées les hormones féminines de vous rendre plus jolie, n'est ce pas ?

Alice avait le souffle coupé.

- Attends, jJe vais te chercher de l'eau. Lui dit l'infirmiere.

L'explication de l'infirmière laissa Alice abasourdie. 

L'infirmière était sortie de la pièce avant qu'Alice n'ait eu la chance de comprendre pleinement ce qu'on venait de lui dire. Les instructions récentes de Rachel avaient entraîné une altération drastique et permanente de son corps.

Elle venait d'etre castrée afin d'éliminer toute trace de testostérone, ce qui allait rendre les hormones féminines encore plus puissantes et encore plus efficace.

Dans toute autre circonstance, Alice aurait été furieuse ou dévastée par un changement aussi profond de son corps. Mais les souvenirs d’être un homme lui semblaient si lointains et surréalistes, comme s’ils appartenaient à une personne complètement différente.

Le processus de féminisation était devenu irréversible et la perspective de redevenir un homme venait de disparaitre a tout jamais. Elle sanglotait encore lorsque l’infirmière revint avec un verre d’eau. 

L’infirmière la réconforta, la rassura que la procédure avait été un succès complet et qu’elle adorerait les résultats, convaincue qu’Alice avait voulu cela mais qu'elle se sentait juste un peu dépassée par la réalité. 

Alice elle-même n’était pas entièrement sûre de ce qu’elle ressentait. De ce qu'elle voulait ou pas.

Au cours des jours suivants, Alice a dû faire face à la prise de conscience que son identité avait été irrévocablement modifiée. Les effets permanents de la castration s’imposèrent et elle ne put s’empêcher de se sentir détachée de cela. 

Elle savait qu'elle aurait dû être bouleversée, mais la féminité et la vulnérabilité qu'elle avait adoptées éclipsaient tout lien avec son identité masculine précédente. De toute évidence, elle avait dû signer un formulaire de consentement et Rachel avait pris la décision de demander à la clinique de procéder à la procédure.

Était-ce ce qu'elle voulait dire lorsqu'elle avait demandé à Alice après leurs ébats amoureux si elle voulait être sa femme ?

L'idée d'essayer de redevenir l'homme qu'elle avait été était lui semblait être un acte, une performance dont elle n'était plus capable. Elle se sentait à la dérive dans l'ambiguïté de son identité, n'étant plus un homme mais pas non plus entièrement une femme.

Alors qu'elle affrontait la nature immuable de sa transformation, Alice faisait face à une vérité profonde: elle avait été changée de façon permanente sans avoir eu le choix en la matière. Le sentiment d'autonomie qu'elle avait autrefois sur sa vie avait été remplacé par un destin qu'elle ne pouvait pas contrôler.

Les émotions étaient un mélange tumultueux de confusion, d'acceptation et même de sentiment de résignation. Elle savait qu’elle ne pourrait jamais redevenir l’homme qu’elle était autrefois, et l’idée même d’essayer de le faire lui semblait maintenant grotesque.

La féminité qu’elle avait adoptée malgré elle était devenu une partie intégrante de son identité. En se regardant dans le miroir, Alice ne voyait plus un homme mais une femme qui qui avait accepté sa féminité et s’était abandonnée à ses désirs. 

Si la permanence de la castration lui rappelait l’absence de choix, elle semblait également symboliser une étrange forme de liberté car il n’y avait plus de conflit, plus de décision à prendre. Redevenir un homme n’était plus un choix. Rachel avait décidé pour elle et elle devait rester une femme.

Au fil des jours, Alice se rendait compte que son parcours de féminisation l’avait conduite a sa vraie place. Bien que les changements aient été drastiques et parfois déstabilisants, ils avaient également éveillé des sentiments qu’elle n’avait jamais connus auparavant. Il n’y avait aucune raison de pleurer l’homme qu’elle avait été autrefois car elle pouvait à peine se souvenir de lui.

En quittant la clinique après quelques jours de convalescence, Rachel est venue la rencontrée,elle était à la fois inquiète de la réaction d’Alice après sa castration forcée  mais aussi par ce qu’elle avait fait. 

Alice n’avait même pas le courage d’être en colère à propos de ce qui s’était passé, elle était simplement heureuse d’être sortie de la clinique et de revoir enfin Rachel.

Elles ont fait l’amour à nouveau dès leur retour chez Rachel.

Rapidement Alice a repris son travail en tant que femme et elle ne pouvait s’empêcher de ressentir un mélange d’excitation et de vulnérabilité. Rachel choisissait soigneusement ses tenues, optant pour des jupes courtes, des chemisiers échancrés et transparents, ainsi que des soutiens-gorge wonderbra qui accentuaient la croissance notable de la poitrine d'Alice. 

Les effets des hormones et de la castration étaient indéniables et Alice se sentait à la fois gênée et séduite par sa féminité en évolution. Tout au long de la journée, Alice naviguait dans son environnement de travail avec grâce et assurance. Le processus de féminisation lui avait appris à accepter son charme féminin et elle s’est retrouvée avec une confiance en elle retrouvée et pleinement assumée, détail qui a suscité l’admiration de ses collègues.

Chaque soir, sa relation avec Rachel s'approfondissait.

Elles n'étaient plus seulement collègues mais amantes, vivant leur relation amoureuse avec passion. Alice se retrouva à s'abandonner à la vulnérabilité de ses sentiments tout en sachant que Rachel l'avait pourtant transformée en femme contre sa volonté. 

Paradoxalement, cette vulnérabilité la faisait se sentir encore plus féminine et soumise, comptant sur Rachel pour la guider et la soutenir. La décision de Rachel de garder Alice en tant que femme après sa mission professionelle l'excitait et l'effrayait à la fois. 

La perspective de devenir l'assistante personnelle de Rachel était à la fois séduisante et intimidante.

- Tu es devenue une femme si charmante, Alice. Lui dit Rachel un soir, les yeux remplis d'admiration.

- Je... je ne m'attendais pas à ce que ce passage a la clinique me mène jusqu'ici. Dit Alice de sa voix douce et vulnérable.

Rachel lui prit la main, rassurante. 

- Je sais que ça n'a pas été facile pour toi, mais la femme que tu es devenue est vraiment remarquable. Je ne peux plus imaginer ma vie sans toi, comme assistante mais aussi comme compagne et amante. 

Au fil des jours, Alice a envisagée son avenir avec Rachel. L'idée d'être l'assistante de Rachel, de s'habiller pour lui plaire et de répondre à tout ses besoins la remplissait d'un sentiment d'accomplissement qu'elle n'avait jamais connu auparavant.

Bien que la transformation ait été difficile,elle avait révélé a Alice des aspects d'elle-même qu'elle n'aurait jamais pu imaginer. La prise de conscience qu'elle avait trouvé sa place auprès de Rachel et en tant que femme lui procurait un sentiment de paix et de sécurité.

Alice savait que son voyage vers la féminité était loin d'être terminé. Elle était devenue la femme qu'elle n'avait jamais songée être et elle était prête à accepter sa nouvelle identité, quels que soient les défis que pouvait encore exigé Rachel.

L'avenir était désormais une toile vierge, une tapisserie de possibilités et de potentiel.



                                                                     ÉPILOGUE


Un an s'était écoulé depuis le début de la transformation d'Alice. 

Vivre en tant que femme, travailler comme assistante personnelle séduisante et soumise de Rachel, être son amante lui avait ouvert un monde de possibilités et de complexités qu'elle n'avait jamais imaginé.

Leur relation s'était approfondie en une romance intime et passionnée, Alice embrassant de tout cœur sa féminité et sa soumission à Rachel. Sa vie avait été changée à jamais et elle en était venue à chérir la femme qu'elle était devenue.

Mais le vent du changement était à nouveau sur eux.

Rachel avait une autre mission en tête pour Alice, une mission qui repousserait encore plus loin les limites de sa féminité et de se soumission envers elle.

Elle donna à Alice une pile de feuilles en lui demandant de les lires consciencieusement .

Alice apprit alors que la clinique offrait désormais un nouveau service : Il s'agissait de former des hommes à être de parfaites soubrettes entièrement soumise et obéissante, d'en faire des transsexuelles. 

Une formation rigoureuse aux taches de soubrette de 6 mois que Rachel souhaitait qu'Alice suivent afin de s'immerger plus profondément dans sa féminité et adopter un rôle plus soumis qu'elle ne l'avait jamais imaginé.

Les documents incluait également pour Alice une eventuelle opération chirurgicale de changement de sexe, une décision que Rachel n'avait pas encore prise.

La possibilité de devenir pleinement une femme entièrement selon le bon vouloir de Rachel laissait Alice à la fois excitée et inquiète. Elle savait que sa vie pouvait à nouveau changer et elle ne pouvait pas prédire où ce voyage la mènerait.

Cette fois Alice signa les documents en toute connaissances de causes

En revenant à la clinique, Alice avait accepté l'incertitude de son avenir. 

Elle était prête à apprendre et à évoluer, à subir, quitte a découvrir la féminité ultime.

La femme qu'elle était presque devenue n'était plus bridée par son identité passée. Elle était prête à accepter son destin où que cela la mène.


                                                                                                                                              FIN


dimanche 15 septembre 2024

CAPTION TRADUITE

 



ROMAN TRADUIT: MASCULINITE BRISEE (CHAPITRE 4 ET 5)

 

                                            Chapitre quatre : Une nouvelle garde-robe



Le lendemain, Stephen fut pris en charge par deux de ses collègues, Emily et Jenna.

 Amusées, elles lui annoncerent qu'elles avaient été chargées par Madame Voss des aspects plus personnels de sa transition: L'aidé a acheter sa nouvelle garde-robe !

- Nous avons une grosse journée devant nous, Stephen. Nous sommes là pour t’aider à trouver tout ce dont tu as besoin pour ta nouvelle vie. Annonça Emily, d’un ton optimiste.

Jenna était plus réservée. 

- Nous allons y aller à ton rythme. Fais-nous simplement savoir ce que tu penses de nos choix au fur et à mesure. 

Le trio se dirigea vers un centre commercial voisin connu pour sa grande variété de magasins.

En parcourant les allées animées, Stephen était, a juste raison, de plus en plus mal a l'aise.

Les vitrines de magasins étaient remplis de mannequins vêtus de la dernière mode féminine, qui semblaient être des artefacts d’un autre monde, un monde dans lequel il était sur le point de pénétrer.

Dans chaque magasin, Emily et Jenna étaient attentives et sensibles aux réactions de Stephen.

Elles commencèrent par les basiques, des sous-vêtements et des tenues simples,  avant de passer à des pièces plus complexes et sophistiquées. Elles lui montrèrent différents tissus et différentes coupes, lui expliquant ce qui pourrait fonctionner au mieux pour son nouveau physique et ce qui était populaire auprès des "femmes" de son âge.

- Tiens, essaie ça. C’est doux et confortable, et la couleur est parfaite pour ton teint. Suggéra Jenna en lui tendant un chemisier soyeux et un jean ajusté.

Dans la cabine d’essayage, Stephen fit face à son reflet avec un mélange de perplexité et de honte. Les vêtements changeaient la façon dont il se voyait, adoucissant ses traits anguleux et modelant sa silhouette pourtant encore fort masculine. C’était désorientant.

Au fil de la journée, la pile de vêtements qu’avait choisis Emily et Jenna s’est bien vite agrandie: des robes, des jupes, des chemisiers et même quelques tenues de soirée élégantes. Emily et Jenna étaient particulierement consciensieuses dans l'execution de la tache que leur avait assignée Madame Voss, s’assurant que Stephen était équipé pour toutes les occasions possibles.

Pendant ce temps, à l’insu de Stephen, un autre groupe de ses collègues féminines s’était rendues à son appartement.

Elles avaient soigneusement remplacé ses tenues masculines par des vêtements qu'elles ne portaient plus et qu'elles savaient être a sa taille. Elles ont retiré des armoires les articles qui étaient ouvertement masculins, les remplaçant par des pieces neutres ou parfaitement féminines, afin que Stephen se fonde dans sa nouvelle identité.

Lorsque Stephen rentra chez lui, fatigué mais chargé de sacs de vêtements neufs, il ouvrit la porte de son appartement et découvrit son ancienne vie balayée, gommée a tout jamais.

Sa garde-robe était complète, ses vêtements masculins avaient disparu comme s'ils n'avaient jamais existé. La réalité de sa nouvelle vie, celle d'une femme en devenir, lui frappa le visage comme une claque. Stephen sanglota piteusement a la vue des robes et des jupes suspendues dans le placard où se trouvaient autrefois ses costumes et ses cravates.

Les profonds changements étaient frappants, lui rappelant le chemin irréversible sur lequel on l'avait poussé et qu'il suivait désormais. 


                                             Chapitre Cinq : Révélations et Réactions


Stephen était encore en train de contempler la transformation surréaliste de son appartement lorsqu'il entendit le tintement familier des clés à la porte. Son cœur bondit puis se serra lorsqu'il se souvint : sa petite amie, Julia, était partie en formation pendant trois jours.

Il avait été trop déconcerté par la décision de le féminisé de Mme Voss et par l'orchidectomie subie pour lui téléphoner et elle était donc parfaitement inconsciente du bouleversement qui avait frappé la vie de Stephen pendant le bref laps de temps où elle était absente.

Quand elle franchit la porte de leur appartement, son se figra en le voyant. Son sourire s'effaça alors que ses sacs de voyage tombaient au sol avec un bruit sourd.

- Stephen ? Que se passe-t-il ? Sa voix oscillait entre confusion et inquiétude.

Rien n'aurait pu la préparer à la vue qui l'attendait. Stephen se tenait au milieu de leur salon, vêtu d'une robe fleurie qui accentuait des traits féminins qu'elle n'avait jamais remarqués auparavant. 

Ses yeux étaient écarquillés et sa bouche grande ouverte, mais aucun mot ne sortit. 

Dès qu'il la vit, il s'effondra, se précipitant dans ses bras avec un torrent de larmes.

Elle le rattrapa instinctivement, ses bras enroulant autour de sa silhouette tremblante. Julia fut frappée par un intense besoin de protection alors que les sanglots de Stephen le secouaient, sa vulnérabilité mise à nu dans une démonstration si inattendue. 

Ils s'assierent sur le canapé, Stephen se recroquevillant sur les genoux de sa compagne, ses larmes imprégnant le tissu de la jupe qu'elle portait.

- Parle-moi. Mais enfin pourquoi es-tu habillé comme ça ? Avec des vêtements de femme ?Et pourquoi diable notre appartement ressemble-t-il à ça ? Sa voix était un mélange de confusion et d'inquiétude, pas de colère.

Il fallut plus d'une heure au pauvre Stephen pour que ses pleurs se transforment en respirations tremblantes et en reniflements. Julia lui caressait les cheveux, lui murmurant des mots apaisants, attendant patiemment qu'il trouve la force de parler.

Enfin, d'une voix rauque et fragile, Stephen commença à démêler le récit des derniers jours en commençant par l'ultimatum choquant de sa patronne, l'intervention médicale qu'on lui avait fait subir, la premiere dose d'hormones, l'achat de sa garde-robe et enfin le pire... la terrible opération de réorientation sexuelle, la vaginoplastie qu'il avait accepté de subir et dont-il avait signé les documents !

Chaque mot semblait lui coûter cher, mais le besoin de partager son fardeau avec Julia était indispensable.

- La propriétaire de l’entreprise est venue au bureau. Elle n’était pas contente de mon travail, et elle… elle m’a donné un ultimatum. Cela va te paraître incroyable, mais elle veut que je fasse une transition, que... que je devienne une femme dans le cadre de mon travail. Je ne savais pas comment te le dire... j’espérais trouver comment gérer ça. 

Les yeux de Julia s’écarquillèrent, l’incrédulité se lisait sur son visage. 

- Une transition ? Comme une transition de genre ? Stephen, tu es en train de me faire croire  que tu dois devenir une femme pour ton travail !!! 

-  Ça a l’air fou, je sais. Je suis aussi choqué que toi, mais elle est sérieuse. Certaines procédures médicales ont même déjà été effectuées... Admit Stephen d'une voix pathétique.

Julia écouta, son choc initial se transformant en une mosaïque complexe d’émotions, de la colère envers ceux qui avaient imposé cela à Stephen, de la tristesse en apprenant que jamais Stephen ne pourrait être Père, que jamais il ne pourrait-etre le Père de ses enfants.. 

Alors que Stephen lui détaillait la coercition et les changements rapides et non consensuels, son cœur se serra pour lui. Pourtant Julia ne pouvait ignorer l'attirance profonde et viscérale pour la personne qui pleurait dans ses bras, une attirance qui était déroutante mais indéniable.

Une fois que Stephen eut épuisé son récit, un lourd silence plana entre eux, rempli uniquement par les sons calmes de la ville la nuit. Julia regarda Stephen:

- Je ne sais pas quoi dire, Stephen... C'est... c'est inimaginable. Murmura-t-elle, ses doigts parcourant le visage de son fiancé.

 - Mais a présent je suis là, d'accord ? Nous trouverons une solution ensemble.

Stephen hocha la tête. Ses larmes ayant laissé place à une résignation lasse. 

Julia l'aida à se lever, gardant son bras autour de lui alors qu'ils marchaient vers la chambre.

Elle l'aida à se changer pour se coucher. Elle lui tendie une nuisette et une culotte boxer qu'elle avait trouvée ou jadis Stephen rangeait ses slips et ses chaussettes, les mouvements de Julia étaient tendres et remplis d'une nouvelle compréhension de la personne que Stephen allait peut-etre devenir.


                                                                                                                      A SUIVRE...


vendredi 13 septembre 2024

ROMAN TRADUIT: LA FEMINISATION DE TIM (CHAPITRE 7 ET 8)


Les chapitres étant très courts en voici deux... 



                                                                    CHAPITRE VII


Au fur et à mesure que le parcours de féminisation d'Alice se poursuivait, elle se concentrait de plus en plus sur l'apprentissage d'être une partenaire féminine parfaite et soumise, ce qui entraîna une lutte intérieure profonde. 

Au fond d'elle-même, elle savait qu'elle était née de sexe masculin, mais les hormones et les traitements lui faisaient vivre un profond changement dans ses émotions et son identité. Alice ne pouvait s'empêcher de se sentir déchirée entre sa nouvelle féminité et son ancienne identité masculine. 

Le fait de savoir qu'elle était un homme tout en se sentant de plus en plus vulnérable et féminine, la laissait dans un état de confusion et d'incertitude.

Chaque jour à la clinique apportait de nouvelles leçons sur la maniere d'être une parfaite partenaire, féminine et soumise. Alice adoptait ces enseignements avec un mélange de curiosité et d'inquiétude. 

L'idée d'être une femme soumise était à la fois séduisante et stimulante. 

Alors qu'une partie d'elle-même embrassait l'idée d'être obéissante et aimante, une autre partie résistait à l'idée de se soumettre à qui que ce soit, même à une personne aussi séduisante que Rachel.

Alors qu'elle était poussée plus profondément dans cet aspect de la féminité, Alice se retrouva aux prises avec des sentiments contradictoires. Le processus de féminisation avait réveillé en elle des sensations et des émotions qui lui étaient inconnues et en contradiction avec le genre qui lui avait été assigné à la naissance. 

La force de ces sentiments l'empêchait de s'imaginer être avec Rachel en tant qu'homme.

La présence de Rachel pesait lourd dans ses pensées. Alice ne pouvait s'empêcher de penser à ce que ce serait de se soumettre à Rachel, d'être sa femme obéissante et aimante. 

Peu a peu, celle qui était un homme se retrouva à vouloir être une femme soumise, désireuse de satisfaire les désirs de Rachel et d'être sa partenaire dévouée. La lutte entre sa tête et son cœur s'intensifia alors qu'elle pratiquait l'art de la séduction et qu'elle acceptait sa féminité. 

Elle ne pouvait s'empêcher de remettre en question l'authenticité de ces sentiments et de se demander s'ils étaient uniquement influencés par les hormones et le traitement. 

Pourtant, a chaque jour qui passait, Alice avait du mal à se souvenir de ce que cela faisait d'être un homme. Les sensations de vulnérabilité et de féminité étaient si fortes et si réelles que ses souvenirs de son identité précédente lui semblaient lointains et flous.

Au fil des leçons, Alice a appris à être séduisante et à paraître sexuellement réceptive en tant que femme. Le processus de féminisation avait éveillé en elle une sensualité nouvelle, et elle était impatiente d'explorer cet aspect d'elle-même.

Elle a pratiqué l'art de la séduction, apprenant à utiliser ses ruses et son charme féminins pour attirer et captiver. L'idée d'utiliser sa féminité pour séduire et faire plaisir à son partenaire l'a emplie d'un étrange sentiment d'autonomie, différent de tout ce qu'elle avait jamais ressenti en tant qu'homme.

Alice a dû affronter certaines perceptions ancrées en elle, sur ce que signifiait être un homme fort et indépendant et sur la façon dont la soumission pouvait être perçue comme une faiblesse.

Alors qu'elle commencait à accepter sa féminité, Alice découvrait un sentiment d'acceptation de soi et d'autonomie. Ce voyage lui avait permis de se débarrasser des attentes de la société et d'accepter ses nouveaux désirs inattendus, quels qu'ils soient.

Chaque jour qui passait, la lutte d'Alice avec son identité devenait plus prononcée. 

Elle ressentait un terrible sentiment de perte pour l'homme qu'elle était autrefois, mais en même temps, elle ne pouvait nier l'attrait et l'authenticité de sa nouvelle féminité.

Au fil des jours passés à la clinique, Alice a pris conscience que ce qu’elle avait anticipé comme une simple mission s’était transformé en un voyage transformateur qui façonnait son identité de manière inattendue. 

Le processus de féminisation n’avait pas consisté uniquement à la faire s’habiller et à agir comme une femme, il avait été conçu pour lui permettre lentement mais sûrement de se sentir femme, à la fois émotionnellement et physiquement.

Au début, elle avait considéré le parcours de féminisation comme un jeu de rôle temporaire, un moyen de remplir sa mission en tant que Tim. Mais au fur et à mesure que les traitements se poursuivaient, elle ne pouvait ignorer le lien profond qu’elle ressentait avec sa féminité, un lien qui défiait sa compréhension antérieure de son identité masculine.

Les sentiments de vulnérabilité, de sensibilité et de profondeur émotionnelle lui étaient étrangers mais indéniablement réels.

Alice ne faisait plus seulement semblant d’être une femme ; elle en devenait une d’une manière qu’elle n’avait pas anticipée. L’authenticité de sa transformation était indéniable et elle ne pouvait échapper à la réalité de son évolution.

Alors qu'elle naviguait dans la complexité de ses émotions, Alice se retrouva confrontée à un choix profond: accepter cette nouvelle identité ou résister et s'accrocher à la sécurité de sa compréhension antérieure d'elle-même.

Chaque jour qui passait, elle se retrouvait piegée plus profondément dans la femme qu'elle devenait. L'attrait de la féminité, le désir de se soumettre et le désir d'être avec Rachel en tant que partenaire dévouée devenaient plus forts.

Avec ce nouveau sentiment de clarté, Alice fit face à la vérité: Elle ne prétendait plus être une femme, elle en devenait une, physiquement et émotionnellement. Le voyage avait déverrouillé une partie d'elle-même dont elle ignorait l'existence, et elle ne pouvait nier l'authenticité de ses sentiments.

Son cœur aspirait à être avec Rachel, à explorer les profondeurs de ses désirs en tant que partenaire soumise. La connexion qu'elle ressentait avec Rachel n'était plus un simple jeu de rôle. C'était un véritable désir d'une connexion intime et passionnée.


                                                                  CHAPITRE VIII


Deux autres semaines à la clinique passèrent dans un flou de féminité.

Mademoiselle Thompson l'informa qu'elles avaient arrangé un autre rendez-vous  avec Rachel et que cette fois, Alice devait être aussi séduisante que possible, pour mettre en pratique tout ce qu'elle avait appris au cours des dernières semaines.

A l'approche de la soirée de leur rendez-vous, Alice était nerveuse. 

Elle savait que Rachel attendait d'elle qu'elle soit séduisante et féminine, qu'elle ne lui pardonnerait aucun écart, aussi elle voulait rendre cette nuit inoubliable. La lutte intérieure entre son identité masculine et sa nouvelle féminité s'intensifiait, la laissant déchirée par un conflit interne.

Avec un mélange d'excitation et d'inquiétude, Alice passa un long moment à choisir une tenue qui accentuerait parfaitement ses courbes et mettrait en valeur sa féminité. En regardant son reflet dans le miroir, elle s'émerveillait de la femme qui la regardait, une femme qu'elle ne pouvait nier devenir.

En entrant dans le restaurant pour rencontrer Rachel, les hormones et les traitements subis rendaient difficile pour Alice de se souvenir de ce que cela faisait d'être un homme.

La sensation de féminité était si puissantes qu'Alice ne pouvait s'empêcher de l'accepter pleinement.

-  Alice, tu es absolument époustouflante. Dit Rachel, ses yeux s'attardant sur sa forme féminine.

- Merci. Répondit Alice, de sa voix douce et de plus en plus féminine.

Tout au long de la soirée, Alice se retrouva à répondre aux flirts de Rachel de la manière la plus soumise et féminine possible. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir un profond désir de faire plaisir à Rachel, de se soumettre complètement à elle.

- Est-ce que tu apprécies le processus de féminisation ma chérie ? Demanda Rachel, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres.

- C'est... c'est bien plus que ce à quoi je m'attendais et que ce qui était convenu, du moins je pense. Admit Alice, le cœur battant d'émotion.

Rachel se pencha plus près, son regard intense.

- Et qu'en est-il de ton identité masculine ? Te sens-tu toujours connecté à elle ?

Alice hésita, essayant de rassembler ses pensées.

- Je sais que je suis née homme, mais... la féminisation me fait me sentir si différente. C'est comme si... comme si je ne me souvenais même pas de ce que c'était que d'être un homme.

Les yeux de Rachel brillaient de désir.

- C'est bien le but de cette clinique, et te voir face a moi est la preuve de l'efficacité des services proposés... De mon côté je peux t'aider à oublier complètement quetu a été un homme. Dit-elle, ses mots remplis de promesses.

Cette suggestion fit frissonner Alice d'un mélange de peur et d'excitation. 

Elle savait que se soumettre entièrement à Rachel signifierait abandonner complètement son identité précédente, accepter sa féminité et devenir définitivement la femme qu'elle se sentait devenir peu a peu.

Alors que la nuit continuait, Alice se sentait perdre la bataille contre sa féminité. L'attrait d'être avec Rachel, de s'abandonner à ses désirs, était irrésistible. Elle voulait être aRachel, accepter pleinement sa féminité et réaliser les souhaits de Rachel.

Alors que la soirée touchait à sa fin, Rachel invita Alice dans sa chambre d'hôtel. 

Le cœur d'Alice battait d'impatience et de désir. Elle savait que cette décision serait un moment déterminant, qui la rapprocherait de son véritable moi. Une fois dans la chambre de Rachel, Alice ressentait un mélange de nervosité et d'excitation. Elle était prête à s'abandonner à ses désirs, à accepter sa féminité et à se soumettre complètement à Rachel.

Alors que Rachel s'approchait d'elle, l'esprit d'Alice était un tourbillon d'émotions.

- Je veux être avec toi en tant que femme. Murmura Alice, la voix emplie de vulnérabilité.

Rachel sourit, une lueur entendue dans ses yeux. 

- Alors sois à moi, Alice. Embrasse ta féminité et soumets-toi à moi pleinement. Laisse tomber le passé et embrasse l'identité de la femme que tu es devenue. 

A cet instant, Alice ressentit un sentiment de clarté et de pouvoir. Elle était prête à abandonner son identité précédente, à embrasser pleinement sa féminité et à être avec Rachel en tant que partenaire dévouée et soumise. 

Rachel allongea Alice sur le lit, son cœur battant dans sa poitrine tandis que la présence de Rachel l'enveloppait. Elle pouvait sentir le tissu de sa robe effleurer sa peau à chaque mouvement. 

Le contact de Rachel était tendre mais déterminé alors qu'elle embrassait Alice, lui donnant l'impression d'être vraiment précieuse aux yeux de Rachel. Les doigts de Rachel traçaient des motifs délicats sur sa peau, laissant des picotements dans leur sillage. 

Chaque sensation semblait amplifiée. Multipliée par dix, par cent...

Alice leva les yeux vers Rachel avec un mélange d'admiration et de désir, ses émotions tourbillonnant dans une tempête de confusion et de désir. Elle ne s'était jamais imaginée dans cette position, mais l'expérience était indéniablement enivrante. Alice sentit ses joues rougir lorsque le contact de Rachel parcourut son corps, ses doigts effleurant sa peau  d'une manière qui la faisait se sentir incroyablement... femme !

Les lèvres de Rachel effleurèrent son cou, lui envoyant des frissons dans le dos. Alice inspira brusquement, la sensation du souffle de Rachel contre sa peau alluma un feu au plus profond d'elle-même. La tension dans la pièce était palpable, et Alice se retrouva à en vouloir plus, prise dans un tourbillon d'émotions qu'elle ne comprenait pas entièrement.

Alors que les mains de Rachel descendaient plus bas, le cœur d'Alice s'emballa.

Elle ferma les yeux, s'abandonnant aux sensations qui menaçaient de la consumer. Chaque contact, chaque caresse la faisait se sentir plus féminine, plus vulnérable et étrangement plus vivante. 

Elle fut surprise de constater à quel point il lui semblait naturel d’être traitée de cette façon, d’être touchée comme une femme.

- Alice... 

La voix de Rachel était un murmure, une mélodie qui résonna dans la pièce.

Ses yeux s’ouvrirent brusquement, croisant le regard de Rachel avec un mélange d’incertitude et de désir. Elle vit quelque chose dans les yeux de Rachel, une profondeur d’émotion qui reflétait la sienne, a ce moment-là, les frontières entre elles s’estompèrent et elle réalisa que cette connexion allait au-delà du genre ou de l’identité.

Les lèvres de Rachel rencontrèrent les siennes dans un doux baiser, un baiser auxquel elle répondit instinctivement, son cœur s’envolant alors que le baiser s’approfondissait. C’était une danse de vulnérabilité et d’intimité, un témoignage du lien tacite qu’elles partageaient.

Le contact de Rachel devint plus pressant, ses doigts habiles trouvant les endroits les plus sensibles de la féminisée, les doigts de Rachel tracèrent le long de la cuisse d'Alice, un contact à la fois délicat et affirmé, lui envoyant des tremblements de vulnérabilité.

L'infime barrière que constituait sa culotte fut retirée avec une rudesse qui fit battre le cœur d'Alice, et avant qu'elle ne s'en rende compte, elles étaient enlacées dans une étreinte fervente alors que Rachel la chevauchait.

Alors que leurs corps bougeaient ensemble, Alice ressentit un profond sentiment d'unité.

Elle n'était plus elle-même mais était un vaisseau d'émotions et de désirs, pris dans un tourbillon de sensations. Le tissu doux de ses vêtements et le contact intime des mains de Rachel ne firent qu'accroître son sentiment d'être chérie et désirée, le mélange de vulnérabilité et d'excitation la laissa trembler de besoin. Lorsque leurs corps s'immobilisèrent enfin, elles resterent allongées là, respirant lourdement, leurs émotions en ébullition.

- Veux-tu être ma femme ? Demanda Rachel, caressant le cou d'Alice. 

- Oui ! Oui... haleta Alice.

"Alors tu le seras. Mais selon mes rêgles... toutes mes regles. Exigea Rachel.

Alors qu'ils étaient allongés là, enlacés dans les bras l'un de l'autre, Alice sentit un sentiment de contentement l'envahir. Elle s'était autorisée à être vulnérable,a etre soumise, à accepter sa féminité et à s'abandonner aux émotions qui s'étaient accumulées entre elles.

Elle n'avait pas toutes les réponses, mais elle savait qu'elle n'était plus seule dans ce voyage. 

Rachel était là, avec elle, mais c'était elle qui tenait la barre... fermement.

Tim/Alice s’endormit dans les bras de Rachel, se sentant complètement féminine.


                                                                                                     A SUIVRE...


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jeudi 12 septembre 2024

ROMAN TRADUIT: MASCULINITE BRISEE (CHAPITRE 3)

                                             


                                             Chapitre trois : Décisions sous la contrainte



De retour au bureau, l’atmosphère était chargée de tension.

Comme si chacunes dans son coin, les collegues de Stephen connaissait les transformations qui avait déjà été déclenchées. Stephen était assis à son bureau lorsque Lara s’approcha, avec une expression indéchiffrable sur le visage.

- Stephen, nous devons discuter des prochaines étapes. Il est essentiel que nous agissions rapidement pour nous conformer aux directives de Madeline... Commença Lara.

Sa voix demeurrait ferme mais non dénuée d’une pointe de sympathie. 

Elle a étalé les documents sur le bureau de Stephen, il s'agissait d'une série de formulaires et de brochures médicales qui s'étalerent sous ses yeux. 

- Pour la suite tu as choix, même si c’est un choix limité. L’intervention suivante est la plus simple et s'appelle une pénectomie, cela consiste en une ablation complète du pénis.

Stephen écarquilla des yeux:

- Elle... elle veux que je me fasse coupée la... la...

Lara ne lui laissa pas le temps de répondre:

- La seconde opération est une vaginoplastie. Ablation du pénis bien entendu et création d'un vagin. Les deux s’harmoniseront parfaitement avec votre future identité, mais elles ont des implications très différentes. 

Stephen se mit a pleuré.

Lara se pencha plus près, son ton s'adoucissant.

-  Je sais que c'est dur, Stephen, mais envisage serieusement la vaginoplastie. Elle offre plus de possibilités pour une vie sexuelle épanouissante. Avec une pénectomie, ces possibilités sont beaucoup plus limitées. Avec la vaginoplastie, tu pourras obtenir une sorte de plaisir sexuel, mais avec la pénectomie, ce serait probablement une frustration sexuelle permanente sans aucun soulagement possible...

Stephen tremblait, Lara lui avait parlé de ces opérations comme si il s'agissait de traité un vulgaire dossier professionnel alors qu'il s'agissait de son integrité physique, d'une chose qui allait impacté le reste de sa vie. 

Les termes "plaisir sexuel"  et "frustration sexuelle permanente" résonnait dans son esprit, des expressions qui lui semblaient trop intimes pour etre abordées sous les lumières stériles du bureau.

Stephen sentit ses mains trembler légèrement lorsqu'il prit le stylo. Il savait qu'il ne s'agissait pas seulement de modifications physiques irréversibles, il s'agissait de la façon dont il vivrait  après la transformation. 

La décision lui semblait monumentale, bien au-delà des descriptions cliniques sur le papier.

Avec une profonde inspiration et poussée par les circonstances qui réduisaient ses options, Stephen signa les formulaires de consentement pour la vaginoplastie. A chaque fois qu'il apposait ses initiales et sa signature au bas des pages, Stephen prenait la terrible conscience qu'il s’éloignait un peu plus de l’homme qu'il était encore la veille.

Alors que Lara ramassait les formulaires, les yeux de Stephen rencontrèrent les siens:

- Nous allons programmée l’opération aussi vite que possible. Il est de toute façon inutile de respecté le delai de reflexion puisque de toute façon tu ne comptes pas t'opposée aux exigences de Madame Voss... 

Après le départ de Lara, Stephen resta sans voix, les murmure des employées du bureau autour de lui se firent clairement entendre... 

- Il semble bien que bnotre cher Stephen soit bientôt une femme... Pouffa une des filles.

L'esprit de Stephen s’emballa, il prenait conscience de l'implication de son "choix"

L’opération de changement de sexe et l’avenir en tant que femme dans ce monde qui avait déjà commencé à le traiter différemment. Plus vraiment comme un homme et pas encore comme une femme, le sentiment palpable de perdre le controle de sa vie, de son identité même.


                                                                                                      A SUIVRE...


CAPTION 1209 (PARTIE 159 ET 160)

 

2 Nouvelles parties...


                                                                   CAPTION 1209-159


CAPTION 1209-160



mercredi 11 septembre 2024

ROMAN TRADUIT: LA FEMINISATION DE TIM (CHAPITRE 6)

 


                                                                   CHAPITRE VI


Et alors que les hormones commençaient à faire leur magie au cours des semaines suivantes, Alice ressentait un tourbillon d'émotions et de sentiments contradictoires fait de résignation et de profond desespoir.

Sa voix masculine lui semblait désormais disparaitre un peu plus chaque jour, remplacée par une voix douce et féminine. Les changements dans ses cordes vocales lui permettaient de se sentir plus en phase avec la féminité qui lui était maintenant réellement imposée.

Tim/Alice compris que le jeu avait cessé.

Alors qu'il s'habituait à sa nouvelle voix et qu'il suivait un entraînement plus intense en matière de féminité, Alice se sentait se détachée de plus en plus rapidement de son identité masculine passée.

Les souvenirs de sa vie en tant que Tim, en tant qu'homme, commencait à s'estomper par le fait d'être complètement immergé dans la féminité. 

Les hormones n'avaient pas seulement un impact sur son apparence physique, mais aussi sur ses émotions et ses désirs, le faisant se sentir plus déconnecté de sa masculinité perdue.

Au fil des jours, la féminité d'Alice devenait partie intégrante de son être, indissociable de son sens de soi. Le voyage l'avait emmené bien au-delà des simples changements de surface, le transformant à un niveau émotionnel plus profond. Son sentiment d’impuissance à son retour à la clinique et la fessée l’ont poussé à accepter qu’il était là jusqu’à ce que Rachel en décide autrement et qu’il n’ait pas son mot à dire sur ce qui allait lui arriver. 

C’était un étrange sentiment presque de liberté, même si c’était le contraire.

Malgré lui, il se retrouvait parfois à savourer la joie de découvrir les subtilités d’être une femme, d’embrasser les nuances de la féminité et de se connecter à la puissance et à la force qui accompagnaient sa nouvelle identité. 

En s’acquittant de ses tâches domestiques, Alice trouvait réconfort et épanouissement dans son rôle féminin. 

Mais tout n'était pas aussi rose, Alice faisait face à des moments de doute et de vulnérabilité, il commençait à se considérer plus comme une femme que comme un homme, à peine capable de se rappeler ce que c’était que d’être un homme. 

Au fil des jours à la clinique, la transformation d'Alice se précisait et elle s'intégrait de plus en plus dans le personnage de la femme qu'ils étaienten train de créer.

Le processus de féminisation avait non seulement modifié son apparence, mais avait également redéfini sa perception de soi, dévoilant une nouvelle compréhension et acceptation de sa nouvelle identité.

Après quelques semaines de plus à la clinique et avec l'effet des hormones, son acceptation du fait qu'elle n'avait aucun contrôle sur ce processus lui  avait presque fait oublié que son objectif était de redevenir un homme.

Un jour, le personnel l'informa qu'elle devait avoir un autre rendez-vous avec Rachel,  afin de lui montrer ses progrès. 

À l'approche du rendez-vous avec Rachel, Alice se retrouva à ressentir un mélange d'excitation et de nervosité. L'idée de passer du temps avec Rachel la remplissait d'une émotion totalement inconnue. 

Plusieurs semaines d'entraînement intense sur la façon d'être une épouse soumise et réservée l'avaient changée bien plus qu'elle ne le pensait. Aussi presque inconsciement elle voulue rendre cette soirée spéciale, pour prouver encore plus sa féminité.

Debout devant le miroir, elle choisit soigneusement sa tenue.

Une robe à la fois élégante et provocante, reflet de sa nouvelle confiance en elle . Le tissu doux et soyeux épousait ses courbes et le décolleté en montrait juste assez pour être séduisant sans être trop raccoleur.

Son maquillage était plus audacieux que jamais, avec des yeux charbonneux qui accentuaient son regard, et ses lèvres ornées d'une nuance profonde de rouge, dégageant un air de mystère et de confiance. Alice éprouva des frissons en s'habillant ainsi pour Rachel, elle voulait se rendre irrésistible à ses yeux.

Au fur et à mesure que la rencontre se déroulait, Alice fut surprise de se retrouver à flirter avec Rachel d'une manière qu'elle n'avait jamais fait auparavant. Les hormones et sa féminité désormaos exacerbée semblaient renforcer son charme, et elle répondait d'une manière plus féminine et plus enjouée aux remarques enthousiastes de Rachel.

Rachel semblait ravie de l'évolution d'Alice, ses yeux brillaient de désir.

L'alchimie entre la patronne et son employée était indéniable, et à mesure que la nuit avançait, l'atmosphère se chargeait de romantisme et d'intimité.

Alors qu'elles dinaient en tête a tête, Rachel se pencha près d'Alice:

- Tu es absolument magnifique ce soir, Alice. Murmura-t-elle, sa voix rauque de désir.

Alice rougit, son cœur s’emballa aux mots de Rachel. 

À ce moment-là, elle ne put s’empêcher de se demander ce que ce serait d’être la partenaire de Rachel, d'être... sa femme !

L’idée d’être liée avec Rachel d’une manière plus intime suscita chez Aliceun désir qu’elle n’avait jamais éprouvé auparavant.

Alors qu’elles continuaient à partager des moments intimes, Alice sentait une connexion croissante avec Rachel. Un mélange enivrant d’attirance, d’émotion, mais aussi de soumission, la fit se demander si elle pouvait vraiment esperer devenir la partenaire de Rachel, son amante.

Son esprit était rempli de pensées sur ce que pourrait être leur vie ensemble, une vie où elle embrasserait pleinement sa féminité et son amour pour Rachel.

Les hormones et la féminisation de Tim avaient bien plus réussie que ce que Rachel elle-même aurait pu prédire.  

Tim aurait catégoriquement refusé d’entrer dans la clinique s’il avait eu la moindre idée de l’impact que le traitement allait avoir sur lui. Mais avec le recul, Alice considérait presque Tim comme une personne différente, un idiot naïf pensant qu’il lui suffirait de mettre une robe et un peu de maquillage et d’écrire un rapport. 

Le traitement aux hormones avait réveillé Alice, qui sommeillait sans doute depuis toujours dans le corps de Tim et dont-il ignorait l'existence. 

L'idée d'être avec Rachel de manière romantique et passionnée était à la fois exaltante et terrifiante. Et alors que la nuit touchait à sa fin, Rachel prononça ses mots, ils étaient secs et fermes:

- Alice, j'ai l'intention de te garder auprès de moi... en tant que femme bien evidement.

Ce n'était pas une demande, mais un ordre.

Alice en eue le souffle coupé. Il y a quelques semaines à peine, une telle déclaration aurait provoqué chez elle un sentiment de terreur. Mais a présent les intentions de Rachel laissait Alice avec un sentiment d'émerveillement.

Cette féminisation l'avait amenée à ce moment délicieux, un moment où elle devait affronter ses désirs, ses sentiments et les possibilités qui l'attendaient. A chaque jour qui s'était écoulé, sa transformation l'avait amenée au-delà de toutes ses limites . 


                                                                                                                      A SUIVRE...

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mardi 10 septembre 2024

ROMAN TRADUIT: MASCULINITE BRISEE (CHAPITRE 2)


Suite du roman. Comme vous le verrez les chapitres sont en general assez court.       


                                                 Chapitre deux : Une transition rapide


Le lendemain, alors qu’il entrait dans le bureau, Stephen eut à peine le temps de prendre place a son bureau que Lara s’approcha de lui d’un pas rapide.

- Stephen, il n’y a pas de temps à perdre. Tu as des rendez-vous essentiels aujourd’hui. Il est crucial que nous commencions immédiatement votre transformation. A déclaré fermement Lara, dont le ton de sa voix ne laissant aucune place à la protestation.

Avant que Stephen ne puisse répondre, il a été conduit dans une luxueuse voiture noire qui attendait devant le bâtiment du bureau. 

La ville a défilée sous ses yeux pendant qu’ils roulaient, la destination lui étant inconnue jusqu’à leur arrivée dans un établissement médical discret. La réalité de sa situation allait s'imposée de maniere brutale. Avec un mélange de peur et de résignation il suivi Lara a l'intérieur du batiment.

À l’intérieur, il a été accueilli par un Medecin: Le Dr Elise Hammond

Stephen l'ignorait mais cette femme était une gynécologue connue pour son expertise dans les procédures de transition de genre, cette derniere a accueilli Stephen avec un calme qui n’a pas contribué à apaiser sa nervosité croissante.

- Stephen, nous avons été informés de la délicate situation dans laquelle vous êtes, et bien que cela ne soit pas très moral sur un plan éthique, ces circonstances exceptionnelles me conduise  a m'assurer que tout se passe bien pour vous... A expliqué le Dr Hammond tout en le conduisant dans une salle d'examen.

Le Docteur Hammond s'adressa a Lara qui avait tenue a être présente:

-  Aujourd’hui, nous commençons par une orchidectomie pour stopper la production de testostérone, suivie par la mise en place d'une hormonothérapie.

Lara soupira, regardant Stephen avec pitié:

- Ce sont les exigences de Madame Voss donc... 

Les mots du Medecin étaient secs, détachés, mais ils frappèrent Stephen avec l'effet d'un coup de massue. Il fut forcé de se mettre totalement nu avant d'être habillé d’une blouse d’hôpital, allongé sur le dos sur une table d'examen, les jambes calées dans des étriers, une position qu’il n’avait jamais imaginée et qu'il lui faisait penser a une femme en visite chez sa gynécologue.

Autour de lui le personnel médical se déplaçaittout en l'ignorant et tout en se préparant à l'intervention. L'anesthésie lui fit perdre connaissance avant qu'il ne puisse exprimer la moindre protestation ou poser la moindre question.

Quand il se réveilla, l'intervention était terminée.

Le Dr Hammond était là alors qu'il clignait des yeux pour chasser sa torpeur, lui offrant un doux sourire elle annonça:.

- L'orchidectomie s'est bien passée, et nous avons administré une importante dose initiale d'œstrogène. Vous vous sentirez sans doute un peu mal à l'aise le temps que votre corps s'adapte, mais c'est normal. Ce n'est que le début Stephen... Il y aura d'autres changements à la fois physiques et émotionnels.

Alors que Stephen essayait en vain de traiter et décoder ces informations , il ressentit un détachement surréaliste face a ce qui lui était arrivé. Comprenait-il seulement ce qu'on lui avait fait subir ?  

Le trajet de retour au bureau fut calme et silencieux, Lara lui laissant le temps pour absorber les événements de la matinée. Lorsqu'ils arrivèrent, le bureau semblait étrangement différent, ou peut-être était-ce lui qui avait changé.

En revenant à son bureau, ses collègues lui jetèrent des regards curieux, certains laissait transparaitre la gene, d'autres la pitié... des murmures emplissant l’air.

Stephen sentit que c'était le début d’une profonde transformation, non seulement dans son corps, mais dans son identité même. La route qui l’attendait était incertaine et semée d’embûches mais la première étape avait été franchie, irréversible et bouleversante. 

La terrible transformation pour devenir la femme que Madeline Voss exigeait qu’il soit était en cours mais Stephen était parfaitement inconscient qu’il n’y aurait pas de retour en arrière.


lundi 9 septembre 2024

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ROMAN TRADUIT: LA FEMINISATION DE TIM (CHAPITRE 5)

                                                                      

                                         

                                                                 CHAPITRE V



Quelques jours plus tard, et à sa grande joie, Tim a appris qu'il serait autorisé à quitter la clinique.

Son cœur bondit de joie à l'idée que cette mission se terminait enfin et qu'il pourrait revenir à la normale. Après cela, Rachel ferait sûrement en sorte que sa voix soit rétablie et que l'implant hormonal soit retiré.

Malheureusement, ses espoirs furent rapidement anéantis lorsqu’on lui expliqua qu’il partait uniquement pour pouvoir passer la semaine au travail et montrer à quel point il était devenu féminin. 

Il devait être une femme toute la semaine et devait ressembler et se comporter comme une secrétaire féminine.

Il espérait au départ que cela faisait partie du scénario que Rachel avait concocté et que c’était vraiment la fin de sa mission, mais au cours des jours suivants il se rendis compte que le personnel le préparait vraiment a passé une semaine toute une semaine a son travail en tant que femme.

Ses cils et ses ongles furent refaits, ses cheveux furent de nouveaux coiffés et sa teinture corrigée. Des tenues appropriées pour le travail furent sélectionnées et emballées pour lui, ainsi que des vêtements pour les soirées, des chemises de nuit et de nuisettes, son maquillage, etc...

Bref, tout ce dont avait besoin une femme !!!

Tim était au sommet de la honte, il se rendit a l'évidence et compris que toutes ces manigences n'étaient pas une blague. Rachel allait vraiment le faire aller travailler en tant que femme pendant la semaine, afin que tous ses collègues voient ce qu’on avait fait de lui.

Malgré la terreur et l'humiliation qu'il ressentait a l'idée de se montré en femme, il nourrissait l'espoir qu’à la fin de cette semaine, après avoir prouvé l’efficacité du traitement de la clinique, tout pourrait revenir à la normale et qu'après avoir rendu son rapport il n'aurait plus jamais devoir porter de vêtements de femme.

Le jour était venu pour Tim de quitter la clinique et de retourner au travail. 

Debout devant le miroir, il prit une profonde inspiration, essayant de calmer ses nerfs et ses émotions qui menaçaient de le submerger.

La jupe courte, les talons hauts, le chemisier en dentelle et le soutien-gorge rembourré accentuaient ses courbes, et il ne pouvait s’empêcher d’être stupéfait de la transformation. La sensation des tissus doux et délicats contre sa peau contrastait fortement avec la rigidité des vêtements d’homme qu’il avait portés dans le passé.

Son reflet lui renvoyait celle d'une femme élégante, a l'apparence soignée et féminine. Le maquillage accentuait ses traits, et sa coiffure féminine encadrait son visage avec grâce. Les faux cils et les ongles en acrylique témoignaient du processus intense de féminisation qu’il avait subi. 

Même la façon dont il se tenait rayonnait de féminité. Il essaya de se tenir comme un homme, mais il n’y avait jamais pensé consciemment auparavant et il ne parvenait pas à se rappeler comment se tenir différemment, il avait juste l’air ridicule si il essayait de se faire aussi masculin que possible.

Et la jupe, les talons et la restriction du soutien-gorge ne l’aidaient pas à se rappeler à quoi ressemblait une posture masculine.

À chaque instant, le cœur de Tim s’emballait et son esprit était envahi d’un mélange de honte et de peur. Il ne s’était jamais senti aussi vulnérable et humilié de sa vie, incertain de la réaction de ses collègues face au semblant de femme qu’il était devenu pendant son absence du bureau.


En entrant dans le bureau ce matin là, Tim vit avec humiliation que les yeux de ses collègues se posèrent aussitôt sur lui, des yeux emplis d’un mélange de curiosité et de surprise. Il pouvait sentir entendre leurs remarques curieuses ou amusées, voir leurs regards persistants. 

Le cœur de Tim battait fort dans sa poitrine et il essaya de se calmer.

Puis a son soulagement, certains de ses collègues lui adressèrent des sourires et hochèrent la tête en signe de bienvenue, acceptant la transformation, tandis que d’autres semblaient déconcertés, incertains de la manière de réagir.

La peur du jugement pesait lourd, poussant Tim à se demander s’il avait fait le bon choix en acceptant ce travail pour Rachel, il essaya de se rassurer en se disant que, compte tenu de la nature de l’activité de sa patronne, aucun membre du personnel ne montrerait de réaction négativite a sa transformation provisoire.

Tout au long de la semaine, Tim a dû évolué dans ce monde étrange qu'était celui de la féminité et de la grâce, avec à la fois appréhension et fierté. Le rôle de secrétaire qu’il devait jouer lui sembla étrange au début, mais avec le temps, il s’est senti plus à l’aise pour adopter les manières et le comportement féminins qui lui venaient naturellement après son passage à la clinique.

Se sentir comme un homme alors que même sa voix masculine autrefois si familière lui semblaient désormais n'être qu'un lointain souvenir, la façon dont ses vêtements de femme le façonnait, et la maniere dont ses collègues le traitaient lui faisaient ressentir une incroyable sensation de féminité.


Les journées étaient longues, tant sur le plan du travail que sur le plan émotionel. Elles  étaint remplies d’émotions mitigées, oscillant entre honte et moment de trouble anormalement plaisante.

L’expérience lui permettait de comprendre les défis auxquels les femmes sont souvent confrontées dans les espaces dominés par les hommes, mais elle a également mis chez lui en lumière les complexités de l’identité de genre. 

L’acceptation et le soutien de ses collègues ont joué un rôle essentiel dans le renforcement de sa confiance en lui. 

Il y eut cependant des moments de gêne, comme ce jour ou en salle de pause elle surpris une discussion de ses collegues. Certains d'entre-eux parlaient de sa transformation, ils se demandaient si le prénom de Tim était toujours approprié. 

Tim senti comme une décharge électrique lui parcourir  le corps tandis que ses collegues déciderent alors de lui donner un nouveau prénom.

Désormais ils l'appelleraient... Alice.

Bien qu'elle ne fut en rien associée au choix du nouveau prénom de Tim, Rachel, comme on pouvait s’y attendre, était ravie de de la décision de ses employés. Alice était pleinement acceptée comme femme !  

Rachel exprima son enthousiasme en évoquant publiquement la possibilité de traitements supplémentaires pour améliorer le processus de féminisation de sa malheureuse employée.

Alice se retrouva pris entre le désir de plaire à Rachel et de lui obeir et le besoin, de plus en plus faible, de retrouvé sa véritable identité.


A chaque moment où il interagissait avec Rachel, Alice se retrouvait aux prises avec les implications des transformations qu’il avait subies.

L’excitation suscitée par la satisfaction de Rachel était teintée d’une prise de conscience croissante que ce parcours ne consistait plus seulement à accomplir une mission. Il avait fondamentalement changé la façon dont il se percevait. Il était heureux de voir à quel point Rachel était ravie de sa transformation, heureux d’avoir répondu à ses attentes pour cette mission. Il commença à rédiger son rapport, impatient de revenir au travail la semaine prochaine en tant qu’homme cette fois esperait-il.

Alice remarqua une acceptation et une reconnaissance croissantes de sa nouvelle identité parmi ses collègues. Ils ont accepté sa féminité et l’ont ouvertement reconnu comme Alice.

Son changement de prénom avait été ressenti comme une représentation symbolique de son évolution, une déclaration. C’était comme si ses collègues avaient oublié qu’il était un homme et qu’il voulait redevenir un homme, qu’ils l'avaient accepté désormais come une femme et rien d'autres.

Cette attitude le poussait à remettre en question sa propre santé mentale et son équilibre.

Tandis que la semaine touchait à sa fin, Alice ressentait un mélange de soulagement et de fatigue. L’expérience avait été à la fois transformatrice et épuisante, et il ne pouvait s’empêcher de se demander ce que l’avenir lui réservait après tout ce temps a vivre en femme.

Ce parcours de féminisation lui avait donné une toute nouvelle perspective sur la vie, le genre et l’identité. Certes il avait toujours envie de retourner à sa vie d’homme normal, mais il ne pouvait nier que se présenter comme une femme lui donnait des sensations nouvelles et différente, et que les vêtements de femme qu’il avait portés le mettaient plus à l’aise dans son rôle feminin qu’il n’aurait jamais pu l’imaginer.

Chaque jour qui passait, il en apprenait davantage sur lui-même, mais aussi sur «Alice»... sur ses forces, ses vulnérabilités. Le voyage n’avait pas été sans difficultés mais il avait également offert des moments de découverte de soi. 

Ce chapitre incroyablement étrange de sa vie semblait toucher à sa fin.

Mais il savait aussi que cette expérience resterait gravée en lui toute sa vie. 

Tim avait découvert non seulement une nouvelle compréhension de la féminité, mais aussi une appréciation plus profonde des subtilités et de la complexité de la gente féminine.

La semaine touchait presque a sa fin lorsque Rachel a lâché la bombe:

Tim/Alice devait retourné a la clinique dès le Vendredi soir, sitôt sa semaine de travail terminée.

 Rachel était ravie de ses progrès jusqu’à présent et, bien qu’elle ait initialement prévu que cela s’arrête ici, le traitement à la clinique avait été un tel succès et elle était tellement époustouflée par la transformation de Tim en Alice qu’elle avait décidé de permettre à la clinique de continuer son travail aussi longtemps que necessaire !!!

Tim avait le cœur serré. 

Il essaya de s’y opposer, il supplia, implora Rachel de le laisser redevenir un homme, mais elle  balaya toutes ses inquiétudes et ses protestations d'un revers de main. 

Rachel lui rappela l’une des clauses des documents qu’il avait signés, selon lesquelles s’il se retirait de sa mission ou démissionnait de son emploi sans avoir travaillé pendant au moins six mois après la fin de sa féminisation, il était tenu de rembourser tous les frais liés à son envoi à la clinique. 

Elle lui montra brièvement le détail des coûts.

La suite dans laquelle il avait séjourné à la clinique était équivalente en prix à une suite dans un hôtel 5 étoiles ou l'un des meilleurs palace. 

Si l’on y ajoutait les coûts des divers traitements, les vêtements, les cosmétiques de marque coûteux utilisés en quantité, les soins de beauté, la nourriture, etc... la somme totale était faramineuse, bien plus élevée que ce qu’il pouvait gagné en un an de travail acharné.

 S’il refusait de rentrer a la clinique et de se soumettre a de nouvelles étapes, il se retrouverait démuni et sans un sou. Et s’il y retournait, les implications financières d'un éventuel non-respect du plan de Rachel ne feraient que s’accumuler.

Tim réalisa qu’il devait retourné à la clinique, qu’il ne pouvait rien y faire.


De retour à la clinique, la féminisation d’Alice continua.

Mais maintenant, après avoir réussi le test du monde du travail, venait une autre étape.

Le long et pénible apprentissage pour devenir une parfaite partenaire féminine, une épouse ou une femme de ménage. 

C’était le genre de services que la clinique fournissait, généralement aux personnes qui étaient assez avancées dans leur transition et qui recherchaient une immersion complete dans une vie de femme.

Chaque jour était rempli de leçons aussi diverses que l'accomplissement des tâches ménagères, la cuisine ou bien l’art de tenir une maison. 

Alice suivait ces enseignements avec une résignation mêlée de curiosité et d’appréhension, réalisant que ce nouveau séjour a la clinique l’emmenait plus profondément encore dans les méandres de la féminité.


Régulierement Rachel prenait des nouvelles de sa victime, de sa proie... Car a ses yeux c'est bien ce que Tim était devenu. Ravie de la transformation de plus en plus parfaite d’Alice, elle prit donc la décision d’officialiser son nouveau nom. 

Tim essaya évidement de refuser. Cette fois c’était bien autre chose que de se faire percer les oreilles ou de se faire teindre et coiffer de façon féminine.

Il s’agissait d’un document juridique qui changerait définitivement son nom officiel en Alice.


Bien sûr, sur instruction de Rachel, le personnel n’a pas voulu entendre parler de son refus et lorsqu’il a déchiré le document qu’ils lui ont présenté, il s’est soudainement retrouvé attrapé par plusieurs membres du personnel, incapable de se libérer alors qu’ils lui attachaient les mains dans le dos et le penchaient sur le bureau d’où il venait de disperser les papiers.

Alors qu’il se tortillait et suppliait, il était complètement incapable d’empêcher Miss Thompson de soulever sa jupe et de lui donner plusieurs fessées violentes sur ses fesses à travers sa culotte de satin. Il haleta sous le choc, se tortilla et protesta encore plus, à peine capable de croire que cela se produisait réellement. Mais c'était le cas.

- Tu feras ce qu'on te dit, ma fille. Tu signeras docilement ces formulaires et arrêteras de prétendre que tu es toujours ou que tu seras un jour un homme. Ce qui est grotesque lorsque l'on te regarde !

Il ne fallut pas beaucoup plus de fessées pour que la douleur commence à prendre le dessus sur le choc et l'incrédulité et il poussa un cri lorsque sa main atterrit sur ses fesses recouvertes de satin.

Il ne s'était jamais senti aussi impuissant et vulnérable, attaché et cloué au sol par deux femmes, incapable de faire quoi que ce soit pour empêcher que sa jupe ne soit soulevée ou que cette femme terrifiante ne lui inflige la terrible punition.

L'humiliation était encore bien pire que la douleur et après plusieurs autres fessées et des luttes inefficaces, il fondit en larmes et la supplia d'arrêter et de le laisser signer le document.

Après quelques instants de supplications, elle arrêta de la fesser et caressa doucement ses fesses à travers le satin.

- Bonne fille... Nous savons tous qu'au fond de toi tu veux être une fille et avoir un joli nom de fille. Je ne sais pas pourquoi tu m'as forcer a te donner une telle fessée alors que tu savais que tu allais signer de toute façon. Crois-moi, tu aimeras bien plus ton joli nouveau prénom que cet horrible nom de garçon que tu portais. Maintenant dis merci et demande-moi gentiment si tu peux signer le document et avoir un joli nouveau nom de fille. 

Il ravala ses sanglots, ses joues étaient rouges alors qu'il disait docilement en bredouillant:

- Merci, Mlle Thompson. Je suis désolé d'avoir été une vilaine fille. Puis-je signer ce formulaire pour avoir mon joli nouveau prénom ? 

- Bien sûr que tu peux, ma fille. 

Il poussa un cri alors qu'elle lui donnait une nouvelle claque sur les fesses:

-  Ce bonus est pour m'avoir obligé à te donner plus de fessées que tu n'aurais dû en avoir besoin. 

Nouvelle claque:

- Et ça, c'est pour avoir déchiré le document que je doit maintenant réimprimer !!!

Les deux autres femmes continuèrent à le maintenir au-dessus du bureau, sa jupe relevée mais caressant doucement pendant que Miss Thompson allait imprimer à nouveau les documents de changement de nom.

Quand elle revint, elles lissèrent sa jupe et détachèrent ses mains. Alice se retrouva à sangloter et à signer des documents juridiques qui changeaient officiellement son nom. L'acte lui sembla être un moment déterminant, officialisant sa transformation en tant qu'Alice.


                                                                                                                         A SUIVRE...


samedi 7 septembre 2024

ROMAN TRADUIT: MASCULINITE BRISEE (CHAPITRE 1)

 

Petite surprise ce soir. Voici le premier chapitre d'un roman que je viens de finir de traduire. Je vais alterné sa publication avec des captions et la suite du roman "La féminisation de Tim".


                                                          

                                                       Chapitre un : L'ultimatum


Le vacarme des claviers et les voix étouffées des conversations concentrées emplissaient l'air du bureau tandis que Stephen s'affairait avec peine à effectuer ses tâches quotidienne.

Le bureau était un mélange esthétique de design moderne et épuré, completé par l'énergie des neuf femmes avec lesquelles il travaillait. Chaque bureau témoignait des normes méticuleuses exigées par la patronne, des bureaux clairs, organisés et dépourvus de tout superflu ou objet personnel.

Tous... à l'exception de celui de Stephen, qui comme tout les jours portait la triste preuve de son manque d'organisation et de son incomptétence. 

Ce jour-là, et comme a plusieurs reprise, il recherchait avec crainte un rapport égaré.

Alors que la porte de l'open space s'ouvrait avec autorité, toutes les têtes se tournèrent vers la silhouette imposante de Madeline Voss, la PDG. 

Sa présence était imposante, son regard perçant alors qu'elle examinait son domaine. Elle était connue pour ses normes rigoureuses et son insatisfaction face à la médiocrité. Aujourd'hui, elle était là pour assister a son inspection trimestriel, et comme a chaque fois son examen minutieux était palpable.

Stephen sentit son estomac se nouer lorsque Madeline s'approcha de son bureau.

Sa main tremblait légèrement alors qu’il cherchait le rapport égaré, espérant rectifier son erreur avant qu’elle ne s’en aperçoive.

Mais il était trop tard. Les yeux de Madeline se plissèrent alors qu’elle ramassait le document tombé au sol, ses lèvres se courbant en un froncement de sourcils désapprobateur.

- C'est précisément pour ça que j'hésite à embaucher des hommes. Soupira la PDG, la voix  teintée de déception et de lassitude.

Le cœur de Stephen s'emballa alors qu'il essayait de s'excuser, mais Madeline continua, son ton dur et décisif. 

- Je veux que ce problème soit réglé, Stephen. Et pas seulement ces soucis de rapports en retards, incomplets ou égarés... votre situation ici doit-être ré-évaluée. 

La pièce devint aussitôt silencieuse, plus aucune des employées ne tapaient sur son clavier, la tension s'épaissit alors que Stephen se tenait petrfié sur son fauteuil, déconcerté par les paroles de sa patronne.

Tout les yeux du personnel du bureau se tournerent vers lui quand Madeline lui dit sur un ton laconique:

- Je vous donne trois mois, Stephen. Quand je reviendrai, je m'attends à ne pas voir un homme incompétant devant moi... mais une femme, une femme complètement transformée. Considèré cela comme faisant partie de votre reconversion. Échouez et votre position ici sera intenable ! 

L’ultimatum pesait lourd dans l’air lorsque Madeline tourna les talons et sortit, laissant derrière elle un bureau abasourdi. Le cœur de Stephen battait à tout rompre dans sa poitrine, son esprit réfléchissant aux implications de sa demande.

Alors que le choc s’atténuait lentement, Lara la responsable de service, une femme connue pour son attitude pragmatique et sa gentillesse s’approcha de Stephen. 

Son expression était sympathique mais ferme.

- Nous allons régler ce petit soucis, Stephen. 

Lara était aussi déleguée du personnel, aussi Stephen pensa tout de suite qu'elle allait intervenir en sa faveur auprès de Madame Voss, mais ce n'était pas le cas:

- Il n'y a pas un jour a perdre aussi commençons à planifier ta transition dès aujourd'hui, étape par étape... 

Ses paroles ne firent que souligner la nature surréaliste de sa situation. 

Stephen hocha la tête, la réalité de sa situation s’installant. 

Il avait besoin de ce boulot, il était prêt a tout pour le garder. Devoir s'habiller en femme n'était pas vraiment une option qui l'enchantait, mais il était pret a faire ce petit sacrifice, qui d'après lui ne pouvait pas duré bien longtemps.

Le bureau autour de lui avait reprit son rythme de travail dans un calme et une sérénité absolue, un contraste frappant avec la tourmente qui se déroulait en lui. Alors que Lara retournait à son bureau, Stephen sentit les premiers vrais frémissements de ce que ce changement pouvait impliquer.


                                                                                                             A SUIVRE...


ROMAN TRADUIT: LA FEMINISATION DE TIM (CHAPITRE 4)

                                                                


                                                                   CHAPITRE IV


Alors que le week-end approchait, Tim apprit avec un certain soulagement la visite prochaine de Rachel à la clinique. 

Mais cette nouvelle lui fit aussi ressentir un mélange d'excitation et d'inquiétude. Il ne pouvait s'empêcher de se demander comment cette premiere rencontre depuis le début de sa féminisation allait se dérouler, et il avait désespérément besoin d'avoir la chance de discuter de ses inquiétudes avec elle. 

L'idée de passer du temps avec elle lui apportait un mélange d'émotions, car il aspirait à ses conseils et à son assurance sur le processus de féminisation.

Dans le cadre du processus de féminisation, Tim fut chargé de choisir lui-même une tenue pour leur  rendez-vous . Il se tenait devant l'armoire, entouré d'un assortiment de robes, de jupes et de chemisiers, se sentant dépassé par les choix. Il savait que cette décision serait sans doute  cruciale, car de la satisfaction on non de Rachel sur sa féminité durant ce temps qu'ils allaient passé ensemble déterminerait probablement l'avenir de son parcours.

Après mûre réflexion, Tim opta pour une robe rose pâle descendant jusqu'aux genoux qui moulait délicatement son corps et mettait en valeur le rembourrage de son soutien-gorge. Il associa la Robe à des escarpins a talons à brides qui accentuaient la finesse de ses jambes et ajoutaient une touche d'élégance à l'ensemble.

En s'admirant dans le miroir, il remarqua ses lèvres douces et brillantes, ses jolis yeux encadrées par les faux cils et les faux-ongles en acrylique qui faisaient désormais partie intégrante de son apparence.

Plus la visite de Rachel approchait et plus l'impatience de Tim grandissait.

Il était impatient de partager ses inquiétudes concernant l'intensité et la rapidité du processus de féminisation, espérant avoir l'occasion de parler ouvertement avec elle de ses doutes et de ses peurs. Lorsque Rachel arriva enfin, elle le salua chaleureusement, ses yeux brillants de fierté face aux progrès qu'il avait réalisés en si peu de temps. Le cœur de Tim battait de manière inattendue alors qu'il se tenait devant sa patronne, drapé dans la robe qu'il avait choisie.

- Oh, Tim, tu es magnifique ! s'exclama Rachel.

Sa joie était évidente. Elle ajouta, le vouvoyant a nouveau:

- Vous avez commencé cette expérience avec tellement de  grâce et de courage. Je suis si fier de vous... Peu de patronne peuvent s'en orgueillir d'avoir un employé aussi motivé.

Tim hocha la tête, il essaya de faire part de ses sentiments, mais Rachel semblait  bien trop occupée a observer sa féminité pendant leur rendez-vous qu'il n'osa pas se confier.

Il sentait la pression croissante afin de paraître aussi féminin que possible sachant que  l'observation de Rachel déterminerait l'avenir de son parcours. Il espérait que s'il semblait avoir réussi sa mission, son séjour a la clinique se terminerait vite et que sa vie pourrait revenir à la normale. 

En revanche, il craignait que son séjour se prolonge s'il n'était pas assez féminin aux yeux de Rachel. 

La pression pesait lourdement sur lui alors qu'ils passaient la journée ensemble. Tout au long de sa visite Rachel scrutait attentivement chaque aspect du comportement de Tim, s'assurant qu'il incarnait l'essence même de la féminité, telle qu'elle l'avait imaginée. A chaque instant Tim avait l'impression de marcher sur des œufs, craignant tout faux pas qui pourrait avoir un impact sur son avenir à la clinique ou son avenir au travail. A plusieurs reprises Tim essaya d'exprimer ses angoisses, mais le plaisir qu'éprouvait Rachel éclipsait ses inquiétudes.

Au fur et à mesure que la journée avançait, Tim se sentait déchiré entre le désir de faire plaisir à Rachel et le besoin d'exprimer ses inquiétudes. Il avait envie d'avoir une conversation franche et ouverte avec elle et finalement, pendant un moment de calme, Tim rassembla son courage pour exprimer ses angoisses.

- Rachel, je... j'ai l'impression que tout cela va trop vite... beaucoup trop vite. Je ne suis pas sûr de pouvoir suivre un tel rythme...

L'expression de Rachel s'adoucit, et elle détourna doucement et habilement les inquiétudes de Tim:

- Tu t'en sors merveilleusement bien ! C'est normal de se sentir dépassé par les événements, mais n'oublie pas que c'est une opportunité unique pour toi... pouvoir explorer pleinement la féminité n'est pas a la porté de n'importe quel homme. Et puis je crois que tu peux gérer cela avec grâce et force. J'ai une totale confiance en tes capacités...

Tim se mordit la lèvre, partagé entre le désir de faire plaisir à Rachel et le besoin d'affirmer ses limites.

- J'ai juste besoin de temps pour tout assimiler. Murmura-t-il.

Avant qu'il ne puisse continuer, Rachel intervint, son enthousiasme toujours aussi palpable.

- Tu sais Tim, je réfléchis chaque jour à la façon dont nous pouvons repousser les limites de cette transformation. Imagine les possibilités... Une immersion totale dans la féminité, l'exploration de chaque aspect de ton vrai moi. C'est tellement exaltant tu ne crois pas ? 

Le cœur de Tim se serra lorsqu'il réalisa que l'excitation de Rachel la conduisait à ignorer ses inquiétudes. Il se sentait ignoré, piégé dans un voyage qui semblait échapper à son contrôle et dont-il ignorait la destination finale.

Après le rendez-vous avec Tim, Rachel retourna voir le personnel de la clinique pour discuter de ses observations et des progrès de Tim. Malgré ses réserves, le jeune homme gardait tout de même l'espoir que Rachel prendrait en compte ses inquiétudes.

Mais Rachel était ravie de ses progrès, elle félicita le personnel de la clinique pour son dévouement et son attention aux moindres détails. Le cœur de Tim se serra lorsqu'il réalisa que ses objections étaient tombées dans l'oreille d'un sourd.

- Je pense que Tim doit poursuivre le traitement, sa transformation est vraiment remarquable, et je crois que nous pouvons repousser les limites encore plus loin. Déclara Rachel aux employées de la clinique.

Le personnel hocha la tête en signe d'accord. Les timides tentatives de Tim pour exprimer ses inquiétudes avaient été rejetées et il n'était pas question pour Rachel qu'il quitte la clinique dans l'immédiat. 

Cette nuit-là, alors qu'il était au lit, il sentit un sentiment de résignation l'envahir. 

La prise de conscience que Rachel avait décidé qu'il resterait à la clinique et continuerait le traitement le laissait impuissant et en conflit. Il se demandait si ses supplications étaient passées inaperçues ou si tout cela faisait partie du scénario du jeu de rôle, un test de sa volonté de se soumettre au processus. 

En fermant les yeux, il savait que les jours à venir apporteraient encore plus de défis, mais il comprenait également qu'il devait trouver la force de traverser ce voyage avec résilience et introspection.

Le processus de féminisation l'avait mené sur un chemin tout a fait inattendu et il se retrouvait maintenant aux prises avec les désirs de Rachel. Le cœur de Tim aspirait à une connexion plus profonde intime avec elle, mais il ne pouvait s'empêcher de se demander si elle voyait vraiment la personne qu'il était sous son extérieur féminisé.

Au fil des jours, Tim se retrouva dans un rythme de féminisation tout aussi intense et il remarqua qu’il agissait automatiquement de plus en plus de manière féminine dans ses interactions quotidiennes. La frontière entre son rôle assigné et son véritable moi s’estompait, le laissant se demander où l’un s’arrêtait et où l’autre commençait.

A l’insu de Tim et à la demande de Rachel, le personnel de la clinique décida de tester sa soumission au processus de féminisation. Un soir ils laissèrent un pyjama d’homme dans sa chambre, sachant que ce serait un moment difficile pour lui.

En découvrant le vêtement, une vague de confusion l’envahit.

Avec hésitation, il jeta un coup d’œil au pyjama, ressentant une attirance pour sa familiarité et son confort. Mais il savait aussi que le porter trahirait l’engagement qu’il avait pris envers les attentes de Rachel.

Tim est finalement tombé dans le piège qui lui avait été tendu.

Finalement il a succombé à la tentation, portant le pyjama pour homme cette nuit-là. 

Il espérait ainsi retrouver, même temporairement, un semblant de l'identité masculine dont-il trouvait tout de même la manque.

Le lendemain matin, le personnel ne manqua pas découvrir son écart.

Selon les instructions de Rachel et le formulaire de consentement qu'il avait signé, ils savaient comment gérer cette situation. Avec un mélange de sévérité et d'empathie, ils ont confronté Tim à ses actes.

- Nous sommes vraiment déçus que tu aies choisi d'enfreindre le reglement et de porter le pyjama. A déclaré Mlle Thompson, la voix mesurée. 

Puile elle ajouta:

- Nous attendons de toi que tu fasses preuve d'un engagement complet envers le processus de féminisation et ceci dans tous les aspects de ta vie. Sache que Rachel sera vite mise au courant de ton attitude déplorable !

Le cœur de Tim s'emballa, réalisant la gravité de son erreur.

- Je suis désolé. Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait. C'est juste que je me suis senti dépassé par mes émotions et je voulais quelque chose de familier... a-t-il essayé d'expliquer.

Emily intervint d'une voix douce mais déterminée:

-  Nous comprenons que cela peut être difficile, mais il est essentiel de vous conformé au chemin qui a été choisi pour vous. Le test était destiné à évaluer votre soumission au processus et vous l'avez totalement raté, c'est une énorme déception pour nous, qui avions de grands espoirs pour vous !!!

Mlle Thompson continua:

- En raison de cet écart impardonnable, nous allons devoir intensifier votre traitement de féminisation, en outre vous serez bien sûr punie pour votre transgression de cette nuit, conformément aux instructions de Rachel.

- Puni ? Que voulez-vous dire ? 

- Ne t’inquiète pas pour l’instant, ma fille. Tu le découvriras bien assez tôt, mais je te conseille vivement de ne plus faire d’erreurs ni de désobéir. 

La peur et le regret ont envahies Tim alors qu’il faisait face aux conséquences de ses actes. 

Il savait qu’il avait signé ces formulaires de consentement, acceptant les sanctions associées en cas de mauvaise conduite. Mais à ce moment-là, son engagement pesait lourdement sur lui.

Au fil de cette journée, et même si il était a la clinque que depuis peu, le traitement de féminisation de Tim s’est intensifié, avec des cours de maintien et de maquillage bien plus stricts et plus rigoureux que tout ce qu'il avait connu jusque-là. 

La discipline et les conseils du personnel sont devenus extremement rigoureux, le poussant à accepter sa féminité avec un dévouement indéfectible.


La nuit suivante, alors qu’il portait à nouveau la nuisette en satin rose à froufrous, Tim a réfléchi a ce test et son résultat. Il a compris l’importance de s'en tenir a l'accord passé avec Rachel. Il ne savait toujours pas ce qu'avait voulu dire Mlle Thompson  par « punition » et espérait que s'il se comportait bien il n'aurait jamais à le découvrir.

Mais ce ne fut pas le cas...

Tim se réveilla dans une salle d'opération de la clinique au lieu de son lit. La confusion et la terreur l'ont envahit. Il appella le personnel, mais sa propre voix lui sembla totalement inconnue, plus douce et plus féminine. 

La panique commença à s'installer chez lui lorsqu'il réalisa que quelque chose avait radicalement. Une infirmière entra dans la pièce avec une attitude complètement détachée.

-  Bonjour, Tim. J'espère que tu te sens bien. Lui dit-elle.

La voix de Tim tremblait lorsqu'il demanda: 

- Que s'est-il passé ? Pourquoi ma voix résonne-t-elle comme ça ?

L'infirmière expliqua sans la moindre compassion:

- Rachel a décidé de cette petite intervention chirurgicale afin de modifier vos cordes vocales afin de vous donner une voix plus féminine. De plus elle a demandé a ce que nous vous implantions une petite capsule qui délivrera dans votre corps de fortes doses d'hormones féminines, cela aidera à votre transformation au cours des six prochains mois.

Le choc et l'incrédulité parcoururent Tim. 

Il ne pouvait pas comprendre qu'une mesure aussi extreme et radicale ait été prise sans son consentement explicite. Il essaya de protester, mais l'infirmière balaya ses inquiétudes avec une froide indifférence.

Il savait qu'il avait signé tous les formulaires de son plein gré, mais il commençait à se rendre compte que Rachel l'avait délibérément détourné de la lecture de certaines parties de ces formulaires afin de le piegé.

Se sentant impuissant et trahi, Tim savait maintenant qu'il était captif  d'un scénarion dont il ignorait maintenant les limites. Ses émotions étaient un tourbillon de colère, de peur et de confusion. 

Au fil de la journée, Tim imagina que son corps commençait déjà à réagir aux changements hormonaux, et il ressentait un mélange de sensations physiques et émotionnelles qui lui étaient entièrement nouvelles. Ses pensées s'emballèrent, il se questionnait avec angoisse sur les implications de ces interventions chirurgicale et se demandait si Rachel avait d'autres mauvaises surprises de ce genre. 

Cette nuit-là, alors qu'il était allongé dans la salle de réveil de la clinique, portant une blouse d'hôpital, Tim ne pouvait se débarrasser du sentiment d'être privé du contrôle de son destin, de son propre corps et de son identité. Jamais il n'avait jamais anticipé des procédures aussi invasives.

Dans ce moment de vulnérabilité, il savait qu'il devait absolument trouver la force de reprendre le contrôle. Il ne s'agissait plus seulement d'accomplir une simple mission pour son travail, il se débattait maintenant pour resté un homme.

Alors qu'il s'endormait, il savait que le processus de féminisation avait pris une tournure imprévue et il ne pouvait s'empêcher de se demander où ce séjour a la clinique le mènerait.  


                                                                                                         A SUIVRE...