lundi 9 septembre 2024

ROMAN TRADUIT: LA FEMINISATION DE TIM (CHAPITRE 5)

                                                                      

                                         

                                                                 CHAPITRE V



Quelques jours plus tard, et à sa grande joie, Tim a appris qu'il serait autorisé à quitter la clinique.

Son cœur bondit de joie à l'idée que cette mission se terminait enfin et qu'il pourrait revenir à la normale. Après cela, Rachel ferait sûrement en sorte que sa voix soit rétablie et que l'implant hormonal soit retiré.

Malheureusement, ses espoirs furent rapidement anéantis lorsqu’on lui expliqua qu’il partait uniquement pour pouvoir passer la semaine au travail et montrer à quel point il était devenu féminin. 

Il devait être une femme toute la semaine et devait ressembler et se comporter comme une secrétaire féminine.

Il espérait au départ que cela faisait partie du scénario que Rachel avait concocté et que c’était vraiment la fin de sa mission, mais au cours des jours suivants il se rendis compte que le personnel le préparait vraiment a passé une semaine toute une semaine a son travail en tant que femme.

Ses cils et ses ongles furent refaits, ses cheveux furent de nouveaux coiffés et sa teinture corrigée. Des tenues appropriées pour le travail furent sélectionnées et emballées pour lui, ainsi que des vêtements pour les soirées, des chemises de nuit et de nuisettes, son maquillage, etc...

Bref, tout ce dont avait besoin une femme !!!

Tim était au sommet de la honte, il se rendit a l'évidence et compris que toutes ces manigences n'étaient pas une blague. Rachel allait vraiment le faire aller travailler en tant que femme pendant la semaine, afin que tous ses collègues voient ce qu’on avait fait de lui.

Malgré la terreur et l'humiliation qu'il ressentait a l'idée de se montré en femme, il nourrissait l'espoir qu’à la fin de cette semaine, après avoir prouvé l’efficacité du traitement de la clinique, tout pourrait revenir à la normale et qu'après avoir rendu son rapport il n'aurait plus jamais devoir porter de vêtements de femme.

Le jour était venu pour Tim de quitter la clinique et de retourner au travail. 

Debout devant le miroir, il prit une profonde inspiration, essayant de calmer ses nerfs et ses émotions qui menaçaient de le submerger.

La jupe courte, les talons hauts, le chemisier en dentelle et le soutien-gorge rembourré accentuaient ses courbes, et il ne pouvait s’empêcher d’être stupéfait de la transformation. La sensation des tissus doux et délicats contre sa peau contrastait fortement avec la rigidité des vêtements d’homme qu’il avait portés dans le passé.

Son reflet lui renvoyait celle d'une femme élégante, a l'apparence soignée et féminine. Le maquillage accentuait ses traits, et sa coiffure féminine encadrait son visage avec grâce. Les faux cils et les ongles en acrylique témoignaient du processus intense de féminisation qu’il avait subi. 

Même la façon dont il se tenait rayonnait de féminité. Il essaya de se tenir comme un homme, mais il n’y avait jamais pensé consciemment auparavant et il ne parvenait pas à se rappeler comment se tenir différemment, il avait juste l’air ridicule si il essayait de se faire aussi masculin que possible.

Et la jupe, les talons et la restriction du soutien-gorge ne l’aidaient pas à se rappeler à quoi ressemblait une posture masculine.

À chaque instant, le cœur de Tim s’emballait et son esprit était envahi d’un mélange de honte et de peur. Il ne s’était jamais senti aussi vulnérable et humilié de sa vie, incertain de la réaction de ses collègues face au semblant de femme qu’il était devenu pendant son absence du bureau.


En entrant dans le bureau ce matin là, Tim vit avec humiliation que les yeux de ses collègues se posèrent aussitôt sur lui, des yeux emplis d’un mélange de curiosité et de surprise. Il pouvait sentir entendre leurs remarques curieuses ou amusées, voir leurs regards persistants. 

Le cœur de Tim battait fort dans sa poitrine et il essaya de se calmer.

Puis a son soulagement, certains de ses collègues lui adressèrent des sourires et hochèrent la tête en signe de bienvenue, acceptant la transformation, tandis que d’autres semblaient déconcertés, incertains de la manière de réagir.

La peur du jugement pesait lourd, poussant Tim à se demander s’il avait fait le bon choix en acceptant ce travail pour Rachel, il essaya de se rassurer en se disant que, compte tenu de la nature de l’activité de sa patronne, aucun membre du personnel ne montrerait de réaction négativite a sa transformation provisoire.

Tout au long de la semaine, Tim a dû évolué dans ce monde étrange qu'était celui de la féminité et de la grâce, avec à la fois appréhension et fierté. Le rôle de secrétaire qu’il devait jouer lui sembla étrange au début, mais avec le temps, il s’est senti plus à l’aise pour adopter les manières et le comportement féminins qui lui venaient naturellement après son passage à la clinique.

Se sentir comme un homme alors que même sa voix masculine autrefois si familière lui semblaient désormais n'être qu'un lointain souvenir, la façon dont ses vêtements de femme le façonnait, et la maniere dont ses collègues le traitaient lui faisaient ressentir une incroyable sensation de féminité.


Les journées étaient longues, tant sur le plan du travail que sur le plan émotionel. Elles  étaint remplies d’émotions mitigées, oscillant entre honte et moment de trouble anormalement plaisante.

L’expérience lui permettait de comprendre les défis auxquels les femmes sont souvent confrontées dans les espaces dominés par les hommes, mais elle a également mis chez lui en lumière les complexités de l’identité de genre. 

L’acceptation et le soutien de ses collègues ont joué un rôle essentiel dans le renforcement de sa confiance en lui. 

Il y eut cependant des moments de gêne, comme ce jour ou en salle de pause elle surpris une discussion de ses collegues. Certains d'entre-eux parlaient de sa transformation, ils se demandaient si le prénom de Tim était toujours approprié. 

Tim senti comme une décharge électrique lui parcourir  le corps tandis que ses collegues déciderent alors de lui donner un nouveau prénom.

Désormais ils l'appelleraient... Alice.

Bien qu'elle ne fut en rien associée au choix du nouveau prénom de Tim, Rachel, comme on pouvait s’y attendre, était ravie de de la décision de ses employés. Alice était pleinement acceptée comme femme !  

Rachel exprima son enthousiasme en évoquant publiquement la possibilité de traitements supplémentaires pour améliorer le processus de féminisation de sa malheureuse employée.

Alice se retrouva pris entre le désir de plaire à Rachel et de lui obeir et le besoin, de plus en plus faible, de retrouvé sa véritable identité.


A chaque moment où il interagissait avec Rachel, Alice se retrouvait aux prises avec les implications des transformations qu’il avait subies.

L’excitation suscitée par la satisfaction de Rachel était teintée d’une prise de conscience croissante que ce parcours ne consistait plus seulement à accomplir une mission. Il avait fondamentalement changé la façon dont il se percevait. Il était heureux de voir à quel point Rachel était ravie de sa transformation, heureux d’avoir répondu à ses attentes pour cette mission. Il commença à rédiger son rapport, impatient de revenir au travail la semaine prochaine en tant qu’homme cette fois esperait-il.

Alice remarqua une acceptation et une reconnaissance croissantes de sa nouvelle identité parmi ses collègues. Ils ont accepté sa féminité et l’ont ouvertement reconnu comme Alice.

Son changement de prénom avait été ressenti comme une représentation symbolique de son évolution, une déclaration. C’était comme si ses collègues avaient oublié qu’il était un homme et qu’il voulait redevenir un homme, qu’ils l'avaient accepté désormais come une femme et rien d'autres.

Cette attitude le poussait à remettre en question sa propre santé mentale et son équilibre.

Tandis que la semaine touchait à sa fin, Alice ressentait un mélange de soulagement et de fatigue. L’expérience avait été à la fois transformatrice et épuisante, et il ne pouvait s’empêcher de se demander ce que l’avenir lui réservait après tout ce temps a vivre en femme.

Ce parcours de féminisation lui avait donné une toute nouvelle perspective sur la vie, le genre et l’identité. Certes il avait toujours envie de retourner à sa vie d’homme normal, mais il ne pouvait nier que se présenter comme une femme lui donnait des sensations nouvelles et différente, et que les vêtements de femme qu’il avait portés le mettaient plus à l’aise dans son rôle feminin qu’il n’aurait jamais pu l’imaginer.

Chaque jour qui passait, il en apprenait davantage sur lui-même, mais aussi sur «Alice»... sur ses forces, ses vulnérabilités. Le voyage n’avait pas été sans difficultés mais il avait également offert des moments de découverte de soi. 

Ce chapitre incroyablement étrange de sa vie semblait toucher à sa fin.

Mais il savait aussi que cette expérience resterait gravée en lui toute sa vie. 

Tim avait découvert non seulement une nouvelle compréhension de la féminité, mais aussi une appréciation plus profonde des subtilités et de la complexité de la gente féminine.

La semaine touchait presque a sa fin lorsque Rachel a lâché la bombe:

Tim/Alice devait retourné a la clinique dès le Vendredi soir, sitôt sa semaine de travail terminée.

 Rachel était ravie de ses progrès jusqu’à présent et, bien qu’elle ait initialement prévu que cela s’arrête ici, le traitement à la clinique avait été un tel succès et elle était tellement époustouflée par la transformation de Tim en Alice qu’elle avait décidé de permettre à la clinique de continuer son travail aussi longtemps que necessaire !!!

Tim avait le cœur serré. 

Il essaya de s’y opposer, il supplia, implora Rachel de le laisser redevenir un homme, mais elle  balaya toutes ses inquiétudes et ses protestations d'un revers de main. 

Rachel lui rappela l’une des clauses des documents qu’il avait signés, selon lesquelles s’il se retirait de sa mission ou démissionnait de son emploi sans avoir travaillé pendant au moins six mois après la fin de sa féminisation, il était tenu de rembourser tous les frais liés à son envoi à la clinique. 

Elle lui montra brièvement le détail des coûts.

La suite dans laquelle il avait séjourné à la clinique était équivalente en prix à une suite dans un hôtel 5 étoiles ou l'un des meilleurs palace. 

Si l’on y ajoutait les coûts des divers traitements, les vêtements, les cosmétiques de marque coûteux utilisés en quantité, les soins de beauté, la nourriture, etc... la somme totale était faramineuse, bien plus élevée que ce qu’il pouvait gagné en un an de travail acharné.

 S’il refusait de rentrer a la clinique et de se soumettre a de nouvelles étapes, il se retrouverait démuni et sans un sou. Et s’il y retournait, les implications financières d'un éventuel non-respect du plan de Rachel ne feraient que s’accumuler.

Tim réalisa qu’il devait retourné à la clinique, qu’il ne pouvait rien y faire.


De retour à la clinique, la féminisation d’Alice continua.

Mais maintenant, après avoir réussi le test du monde du travail, venait une autre étape.

Le long et pénible apprentissage pour devenir une parfaite partenaire féminine, une épouse ou une femme de ménage. 

C’était le genre de services que la clinique fournissait, généralement aux personnes qui étaient assez avancées dans leur transition et qui recherchaient une immersion complete dans une vie de femme.

Chaque jour était rempli de leçons aussi diverses que l'accomplissement des tâches ménagères, la cuisine ou bien l’art de tenir une maison. 

Alice suivait ces enseignements avec une résignation mêlée de curiosité et d’appréhension, réalisant que ce nouveau séjour a la clinique l’emmenait plus profondément encore dans les méandres de la féminité.


Régulierement Rachel prenait des nouvelles de sa victime, de sa proie... Car a ses yeux c'est bien ce que Tim était devenu. Ravie de la transformation de plus en plus parfaite d’Alice, elle prit donc la décision d’officialiser son nouveau nom. 

Tim essaya évidement de refuser. Cette fois c’était bien autre chose que de se faire percer les oreilles ou de se faire teindre et coiffer de façon féminine.

Il s’agissait d’un document juridique qui changerait définitivement son nom officiel en Alice.


Bien sûr, sur instruction de Rachel, le personnel n’a pas voulu entendre parler de son refus et lorsqu’il a déchiré le document qu’ils lui ont présenté, il s’est soudainement retrouvé attrapé par plusieurs membres du personnel, incapable de se libérer alors qu’ils lui attachaient les mains dans le dos et le penchaient sur le bureau d’où il venait de disperser les papiers.

Alors qu’il se tortillait et suppliait, il était complètement incapable d’empêcher Miss Thompson de soulever sa jupe et de lui donner plusieurs fessées violentes sur ses fesses à travers sa culotte de satin. Il haleta sous le choc, se tortilla et protesta encore plus, à peine capable de croire que cela se produisait réellement. Mais c'était le cas.

- Tu feras ce qu'on te dit, ma fille. Tu signeras docilement ces formulaires et arrêteras de prétendre que tu es toujours ou que tu seras un jour un homme. Ce qui est grotesque lorsque l'on te regarde !

Il ne fallut pas beaucoup plus de fessées pour que la douleur commence à prendre le dessus sur le choc et l'incrédulité et il poussa un cri lorsque sa main atterrit sur ses fesses recouvertes de satin.

Il ne s'était jamais senti aussi impuissant et vulnérable, attaché et cloué au sol par deux femmes, incapable de faire quoi que ce soit pour empêcher que sa jupe ne soit soulevée ou que cette femme terrifiante ne lui inflige la terrible punition.

L'humiliation était encore bien pire que la douleur et après plusieurs autres fessées et des luttes inefficaces, il fondit en larmes et la supplia d'arrêter et de le laisser signer le document.

Après quelques instants de supplications, elle arrêta de la fesser et caressa doucement ses fesses à travers le satin.

- Bonne fille... Nous savons tous qu'au fond de toi tu veux être une fille et avoir un joli nom de fille. Je ne sais pas pourquoi tu m'as forcer a te donner une telle fessée alors que tu savais que tu allais signer de toute façon. Crois-moi, tu aimeras bien plus ton joli nouveau prénom que cet horrible nom de garçon que tu portais. Maintenant dis merci et demande-moi gentiment si tu peux signer le document et avoir un joli nouveau nom de fille. 

Il ravala ses sanglots, ses joues étaient rouges alors qu'il disait docilement en bredouillant:

- Merci, Mlle Thompson. Je suis désolé d'avoir été une vilaine fille. Puis-je signer ce formulaire pour avoir mon joli nouveau prénom ? 

- Bien sûr que tu peux, ma fille. 

Il poussa un cri alors qu'elle lui donnait une nouvelle claque sur les fesses:

-  Ce bonus est pour m'avoir obligé à te donner plus de fessées que tu n'aurais dû en avoir besoin. 

Nouvelle claque:

- Et ça, c'est pour avoir déchiré le document que je doit maintenant réimprimer !!!

Les deux autres femmes continuèrent à le maintenir au-dessus du bureau, sa jupe relevée mais caressant doucement pendant que Miss Thompson allait imprimer à nouveau les documents de changement de nom.

Quand elle revint, elles lissèrent sa jupe et détachèrent ses mains. Alice se retrouva à sangloter et à signer des documents juridiques qui changeaient officiellement son nom. L'acte lui sembla être un moment déterminant, officialisant sa transformation en tant qu'Alice.


                                                                                                                         A SUIVRE...


1 commentaire:

  1. Dommage que l'on n'ait pas plus de détail sur les changements physiques avec sa poitrine qui se développe du fait des hormones.

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