lundi 8 février 2021

CAPTION 954 (PARTIE 16)

 

Comme promis la partie 16 de la caption 954. Suite demain...


                                                                     CAPTION 954-16



TEXT FOR TRANSLATION / PART 16:


Sur ce, Diane me prit le bras pour m'entrainée fermement vers une cabine.

- Alors comme ça tu te fait appellé Eva et veux devenir une femme ?

Je ne répondie pas, trop humiliée par ces propos. Mais Diane ajouta:

- Dire que je t'ai eue sur les genoux quand tu était petit garçon... si j'avait su a l'époque que tu était en fait une fille je t'aurait donnée pleins de jolies choses. Mes filles avaient des robes magnifiques qu'elles ne mettaient plus !!!

Ce fut donc comme dans un état second que je suis entrée dans la cabine de soin. Je reste un moment immobile alors que Diane se prépare, elle met du papier sur une table, prépare un gros appareil... au bout d'un moment elle se tourne vers moi:

- Eh bien tu n'ôte pas tes vêtements ? Si tu veux être toute lisse un jour il va falloir te mettre toute nue...

- Je... mais je... je ne sais pas si je doit vraiment... Ai-je rougie.

Maman, qui m'a accompagnée dans la cabine avec Diane s'approche de moi et commence a me débarrassée de mes vêtements sous le regard de Diane. Ma veste, ma jupe, puis finalement mon chemisier atterrissent sur un porte-manteaux. Les éclats de rires de Diane ne tardent pas a retentir dans la cabine lorsqu'elle me découvre affublée de mon combiné-gaine rose saumon.

Diane me fixe, son amusement est bien réel:

- Ma pauvre chérie, mais qu'est ce qui t'a prise te mettre cette horreur ? Tu a volée ces sous-vêtements dans les tiroirs de ta grand-mère ma parole ?

Je n'ose pas répondre, aidée par Maman je dégraffe mes jarretelles et ôte mes bas puis mon combiné sous les yeux de Diane. Finalement me voilà nue, seulement affublée de ma perruque et maquillée, mes faux-seins solidement collés a mon buste, la quéquette a l'air.

Diane me fixe, elle s'approche de moi pour palpée mes faux-seins. Elle fait la moue et me dit visiblement critique:

- Les vrais seront aussi gros ? Ma parole, mais tu compte te lancée dans le cinéma porno quand tu sera devenue une femme ou devenir strip-teaseuse dans une boite de nuit de Pigalle ?

Maman me regarde, j'ai l'impressions que je vais m'évanouir de honte. Maman dit a Diane en me toisant:

- Cette petite écervelée est prête a tout pour plaire a son amoureux, ce qui explique sa lingerie d'un autre temps et ses gros seins...

Diane sourie. Finalement les humiliations cessent et très vite me voilà allongée sur la petite table de soin. La grosse machine se met a ronronée alors que Diane s'approche avec un petit appareil qu'elle colle sur ma jambe, un flash lumineux crépite et une petite décharge électrique douloureuse me parcoure le mollet. Je sursaute...

Diane ria en se tournant vers Maman:

- Non mais quelle chochotte... heureusement pour elle, elle n'est pas trop poilue. Une petite trentaine de séances d'électrolyse devraient suffire.

Je suis restée ainsi deux bonnes heures. La totalité de mon corps un passa, les aisselles, les bras, les jambes, le dos, le visage... le plus douloureux fut sans aucun doute le pubis.

J'avais l'impression que l'on m'enfonçait une aiguilles chauffée a blanc, c'était un supplice abominable.

Diane suggéra a Maman de ne pas m'épilée la totalité du maillot, de me laissée une petite touffe de poils sur le pubis en argumentant:




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