jeudi 11 février 2021

CAPTION 954 (PARTIE 18)

 

Partie 18 de la caption 954...



TEXT FOR TRANSLATION / PART 18:


- Il y a tellement de choses que nous allons pouvoir faire a présent que tu a décidé de devenir une femme...

 Ce fut ma première visite au salon de Diane, il y en aurait bien d'autres. Maman et Diane m'aidèrent a remettre mes vêtements, a me glissée dans mon affreux combiné-gaine, remettre mes bas... Diane ne se privant pas de me caressée de façon plus ou moins appuyée. A un moment elle me chuchota a l'oreille:

- Une fois que tu sera devenue une femme je suis persuadée que nous pourrions devenir très proche toutes les deux... j'aime aussi les femmes tu sais, tu verra il n'y a rien de plus jouissif que de se faire léchée le minou.

Puis Maman et Moi avons finalement quittées le salon pour rentré a la maison, j'en voulait beaucoup a Maman de m'avoir faite passée pour une Transsexuelle auprès de Diane, mais Maman me regarda avec mépris:

- A ta place je me remercierait plutôt de t'avoir épargnée de nouvelles humiliations... Tu imagine si j'avait dit a Diane que tu allait être obligé de le laissé transformé en femme ? Contraint de te faire poussé des nibards ? De te faire coupée la bite et fabriquée un vagin ?

J'était livide. Maman ajouta:

- Déjà que Diane n'apprécie pas beaucoup les hommes alors imagine un peu les moqueries que tu devraient endurées ! 

C'est ainsi que commença ma lente et inexorable transformation en femme.

Les semaines et les mois passants, j'appris a vivre en femme et a me comportée comme telle, apprenant a marcher avec mes talons aiguilles, a adoptée une attitude et une gestuelle féminine. Maman m'enseignait comment me maquillée, comment entretenir une Maison...

Une a deux fois par semaine je me rendait au salon de Diane pour mes séances d'épilation définitive. Pour répondre aux exigences d'Henri, mes parents me sortait régulièrement afin que je me résigne a mon sort, effrayée a l'idée d'être démasquée je faisait mon maximum pour passée pour une femme.

Cependant, mes Parents et Henri décidèrent qu'il était nécessaire de m'avilir afin de me dressée. Il me présentèrent donc a certains de leurs amis, des personnes de confiance qu'ils mirent dans la confidence. Ces derniers ne se privèrent pas de se moqué de moi, ironisant sur ma transformation en femme a venir.

Durant ces longs mois le plus épouvantable fut pour moi cet affreux traitement aux hormones, rapidement je fut en proie a de fréquentes crises de larmes, elles ne firent qu'augmentées lorsque je constatait les premiers effets du traitement sur mon corps, mes fesses et mes hanches prenant des formes féminines, mon pénis diminuant de taille, mes érections devenant de moins en moins fréquentes.

Ma voix aussi changeait, devenait plus douce et plus fluette.

Les 3 ou 4 premiers mois et a mon grand soulagement il n'y eu pas de changement notable sur mon torse, a part de leger picotements et le bout de mes seins un peu gonflés. J'espérait encore naïvement pouvoir échappée a la grosse paire de seins exigé par Monsieur Henri.

Chaque semaine ce dernier passait m'inspectée.

Je devait alors me présentée a lui, totalement nue ormis des Talons aiguilles vertigineux, le plus souvent la taille serrée dans un Corset qui rehaussait mes imposants faux-seins. Ma bite ramollie et flasque pendant lamentablement entre mes cuisses. A présent mon taux d'hormone mâle était quasiment inexistant, j'était devenue stérile et dans l'incapacité d'avoir des relations sexuelles en tant qu'homme. 

Après 4 ou 5 mois mes cheveux avaient suffisament poussés pour être coiffés de façon féminine. Accompagné de Maman, Henri me conduisit chez une de ses amies coiffeuse. C'était la première fois depuis le début de ma féminisation qu'il nous accompagnait Maman et Moi.

Chez la coiffeuse Henri me présenta en un terme bien peu flatteur: 


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