Les chapitres de ce roman etant vraiment courts, en voici deux.
CHAPITRE 3
Debout, avec mes talons aiguilles et ma robe courte, mon maquillage et mes cheveux parfaitement coiffés, j'ai senti un creux dans mon estomac en attendant la réaction de mon nouveau patron. Lorsque ses yeux se sont fixés sur les miens, je les ai vus s'élargir avant de scanner mon corps de la tête aux pieds.
Un sourire est apparu sur son visage et a continué à s'agrandir alors qu'il observait mon apparence.
J'avais l'impression qu'une éternité s'était écoulée depuis que j'étais entrée dans son bureau, je ne pouvais plus supporter le silence.
- Qu'en pensez-vous ? Ai-je demandé nerveusement.
- Je pense que vous êtes absolument magnifique. Me complimenta Monsieur.
- Vraiment ? Ai-je dis en regardant vers le bas, intimidé.
- Oui... Je n'étais pas sûre de ce que vous seriez capable de faire en une journée avec le code vestimentaire que je vous ai imposé, mais bon sang ce que vous êtes sexy !
Bien que je portais du blush, mes joues ont pris une teinte rouge encore plus vive. J'étais incroyablement gênée mais c'était agréable d'être admirée.
- Viens ici ! M'ordonna Monsieur Johnson.
Après avoir négligement jeté mes cheveux par-dessus mon épaule, je me suis dirigée vers lui et me suis placée à côté de son fauteuil en cuir moelleux. Il a continué à me fixer tout en restant assis. En regardant autour de la pièce, je ne savais pas quoi faire alors que je recevais toute cette attention.
- Fais-moi un tour et montre-toi ! A-t-il dit, tout en se penchant en arrière sur sa chaise.
Toujours gênée, j'ai suivi son ordre, les mains jointes devant moi.
- Je ne veux pas paraître dure, mais es-tu au courant des quelques autres exigeances du code vestimentaire ? A-t-il demandé.
J'ai rougi en me justifiant:
- Oui bien sûr... J'ai un autre rendez-vous chez la coiffeuse dès ce soir après le travail pour qu'elle puissent ajouter des extensions.
- Parfait. Et pour tes ongles ?
- Je prévoyais justement de prendre rendez-vous pour demain pour une manucure. Je sais qu’ils doivent avoir une certaine longueur minimum et qu'ils doivent-être vernis avec uniquement du rouge ou du rose.
Monsieur Johnson ajusta son pantalon, je pouvais voir sa bite commencer à durcir.
Je commençai à sourire en apercevant son excitation.
- Vous voyez ce que vous me faite ? Me dit Monsieur Johnson en riant.
- Hum... Et bien Monsieur, si nous n’étions pas au travail, je me proposerais de m’en occuper pour vous. Ai-je dis en plaisantant.
- Eh bien, je n’ai pas de rendez-vous avant cet après-midi… alors pourquoi vous en tenir a de simples paroles ?
Mes yeux s’écarquillèrent avant de regarder autour de la pièce.
- Maintenant… dans votre bureau ?
- Bien sûr ! Dit-il en me prenant la main.
- Votre peau est si douce. Est-ce que vous l’hydratée ?
En utilisant ma main libre, je repoussai mes cheveux derrière mon oreille avant de répondre.
- Oui bien sûr... Je dois mettre de la lotion sur tout mon corps après l'épilation.
- Et maintenant si nous passions aux choses sérieuses ? Me dit Monsieur Johnson en tendant la main vers mon autre main.
Les yeux rivés sur lui et mes deux mains dans les siennes, je pouvais sentir la tension monter entre nous.
- Est-ce que ça se passerait si Sherry entrait ? Me suis-je inquieté.
Il m'a sourit avant de lâcher ma main gauche. Se dirigeant vers le téléphone de son bureau, il appela Sherry et mit le haut-parleur.
- Sherry ? Dit-il .
- Oui Monsieur Johnson. Répondit-elle à l’autre bout du fil.
- Pouvez-vous vous assurer que personne ne vienne dans mon bureau pendant la prochaine demi-heure. J’ai beaucoup de choses à expliqué à Morgan et j’ai besoin de toute son attention.
- Pas de problème Monsieur Johnson. Répondit-elle poliment.
Monsieur Johnson porta ensuite toute son attention sur moi avec un sourire chaleureux.
- Je suppose que cela fait parti de mes attributions ? Ai-je tout en regardant son bas-ventre.
Monsieur Johnson me tenait toujours fermement la main alors que je tombais à genoux et me rapprochais de sa chaise. Une fois que je fut a ses pieds, il me lâcha enfin et mit ses mains derrière sa tête tout en se relaxant.
Je pris une profonde inspiration avant de desserrer sa ceinture et de déboutonner son pantalon.
Après avoir baissé la fermeture éclair de son pantalon de costume noir, je pouvais voir sa bite pointée vers moi sous son boxer en soie. Une fois son slip abaissé, j'ai vu son pénis pour la toute première fois.
En pleine érection, il devait mesurait près de 18 CM de long avec une circonférence importante.
En mettant ma main autour de son membre chaud, je pouvais le voir et le sentir tressaillir sous mes doigts. Je laissai échapper un petit rire nerveux avant de le caresser plusieurs fois avec ma main droite.
- C'est très bien Mademoiselle... Me dit Monsieur Johnson en fermant les yeux.
En levant les yeux vers mon Patron, j'ai souri en voyant le plaisir sur son visage.
"Je suis sur le point de te faire perdre la tête" Me suis-je dit.
Je me suis penchée en avant, j'ai ouvert la bouche et j'ai tendu ma langue. J'ai pressé ma langue contre le dessous de sa queue et j'ai léché toute la longueur de son pénis avant de faire entré son gland dans ma bouche. Sa verge a aussitôt tressaillie et s'est contractée pendant que je jouais avec son membre dans ma bouche. Je pouvais sentir mon patron s'avachir dans son fauteuil alors que je commençais à faire allez et venir ma bouche de haut en bas.
Entourant son pénis de mes lèvres, je me suis assurée d'empêcher mes dents de toucher sa verge tout en glissant le long de sa tige. Ayant souvent été à la place inverse, je savais à quel point il pouvait être affreusement désagréable de sentir des dents le long de sa bite.
En comprimant son pénis avec mes lèvres, j'ai utilisé ma langue pour titillé le dessous de son membre pendant que je caressait ses couilles avec mes mains. Mon attention aux détails a très vite porté ses fruits car son sexe a commencé à laissé échappé du pré-sperme seulement quelques minutes après le début de la fellation.
J'ai sucé et avalé vigoureusement, car je savais qu'une explosion allait arriver à tout moment. En pressant légèrement ses couilles, j'ai commencé à bouger ma tête aussi vite que mon cou le permettait. Sa bite s'est durcie et tendue alors que quelques gouttes de sperme ont commencé à couler. J'ai gardé le rythme et n'ai pas abandonné jusqu'à ce que l'éjaculation complète ait projeté un liquide salé au fond de ma gorge.
La bouche pleine de liquide chaud, j'ai gardé mes lèvres autour de sa hampe tout en essayant d'avaler tout ce qu'il venait de libérer. Essayant de montrer ma reconnaissance pour ce que mon nouveau patron venait de faire pour moi, je me suis assuré de ne pas gaspiller une seule goutte de son sperme.
Après plusieurs gorgées, je pouvais sentir quelques petites gouttes supplémentaires couler de son extrémité. Tout en gardant mes lèvres pressées fermement autour de sa verge, j'ai porté ma tête vers son extrémité et lui ai donné quelques coups de langue avant de redresser ma tête.
Quand j'ai porté mon attention sur Monsieur Johnson, j'ai été surpris de le voir me regarder avec un sourire ravi. La petite quantité de sperme qui restait dans ma bouche glissa dans le mauvais passage et je commençai à tousser avec le liquide dans ma bouche.
Le sourire de Monsieur Johnson se transforma en inquiétude alors qu'il se penchait en avant et tenait mes épaules. Tombant en avant avec ma tête sur ses genoux, j'agrippai ses cuisses tout en toussant fort et fort.
Sherry a alors ouverte la porte et courut dans le bureau dans ma direction.
- Tout va bien, Monsieur Johnson ? Demanda Sherry avant d'apercevoir ma tête enfouie entre les cuisses de mon patron.
- Oh mon Dieu ! Morgan, ça va ? Me demanda Sherry, les yeux écarquillés.
Monsieur Johnson couvrit ses parties intimes alors que je tombais à quatre pattes. Après avoir toussé quelques fois de plus, je secouai la tête en signe d'approbation à Sherry pour lui faire savoir que tout allait bien.
- Sherry, je vous avait dit de ne laisser entrer personne pendant la prochaine demi-heure ! A déclaré Monsieur Johnson en boutonnant son pantalon.
- Je sais... je suis vraiment navrée mais j'ai entendu quelqu'un s'étouffer et j'ai pensé que vous aviez besoin d'aide. Je n'avais pas réalisé que c'était juste cette pauvre Morgan qui s'étouffait avec votre bite... A déclaré Sherry en me toisant et en éclatant de rire.
Après avoir repris mon souffle, j'ai pris appui sur le bureau pour me relever tout en chancelant sur mes talons hauts, me tenant à côté de Monsieur Johnson et tout en regardant Sherry, j'ai commencé à devenir rouge d'embarras.
- Mon Dieu Sherry... je suis vraiment désolé que tu aies dû voir ça. Ai-je dit en mettant ma main sur mon visage, rouge de confusion.
Elle haussa les épaules:
- Détends-toi, ce n'est pas la pire des choses que tu devras faire dans ce bureau... Je suis juste surprise que cela se soit produit aussi vite. Bon sang, depuis combien de temps travailles-tu ici ma jolie, 5 ou 10 minutes ?
- En fait, elle est arrivée tôt. Donc techniquement, elle n'a même pas encore commencé. A ajouté Monsieur Johnson en souriant.
-Bien, donc en plus elle bosse gratos... Souria Sherry avant de se retourner et de sortir du bureau.
Après avoir fermé la porte derrière elle, elle est retournée à son bureau à la réception.
- Est-ce que ça va ? Que s'est-il passé ? M'a demandé mon patron avec inquiétude.
- Je... je n'ai pas vraiment l'habitude de ce genre de chose.
- Cela va vite en devenir une... car vous êtes vraiment douée. A présent vous pouvez aller vous nettoyer.
- Merci Monsieur.
CHAPITRE 4
Après avoir quitté le bureau de Monsieur Johnson, j'ai apporté mon sac à main au toilettes et me suis placée devant le miroir. Bien que mon rouge à lèvres soit en piteux état, le reste de mon maquillage avait toujours l'air bien.
J'ai nettoyé mon visage où le rouge à lèvres avait coulé avant de redessiner une forme de cœur avec le crayon à lèvres. Penchée vers le miroir, j'ai soigneusement coloré mes lèvres avant de retourner dans la salle d'où Sherry était assise au bureau de sa réceptionniste.
En m'approchant du bureau de Sherry, je m'y suis appuyée tout en essayant de savoir comment aborder. Sherry a levé les yeux vers moi avant d'ouvrir le tiroir supérieur de son bureau.
- Ton haleine sent la bite a plein nez ! M'a t-elle dit en sortant un paquet de chewing-gum à la menthe et en m'en donnant deux ou trois.
- Merci. Ai-je dit en rougissant.
- Pas de problème. Répondit-elle.
Sentant une certaine tension entre nous, j'ai pincé les lèvres en essayant de trouver quoi dire.
- Tout va bien ? J'ai fait quelque chose qui...
Sherry a arrêté de taper sur l'ordinateur et a tourné toute son attention vers moi.
- Oui. C'est juste que je n'ai pas envie de te voir sucer la bite du patron quand j'entre dans son bureau alors s'il te plaît, sois un peu plus discrète la prochaine fois.
- J'avait fini avant que tu n'arrives. Ai-je dit en voulant détendre l'atmosphere.
Sherry m'a jeté un regard froid avant de répondre:
- Cela ne m'amuse pas...
- Écoute, je suis désolée. Cela n'arrivera plus. Ai-je repondu vraiment honteux.
- Ne fais pas de promesses que tu ne pourra pas tenir. A dit Sherry en se remettant à taper.
- Non, je suis sérieux. Monsieur Johnson et Moi garderons nos moments intimes en dehors du bureau. Ok ?
- Morgan, je sais que tu es blonde maintenant, mais tu n'es pas si étourdie.
- De quoi parles-tu ? Ai-je demandé.
- Quel est ton travail ici, selon toi ?
Après avoir fait une pause de quelques instants, j'ai réalisé que je ne savais pas vraiment quelles seraient mes tâches quotidiennes.
- Je doit assisté le patron ? Répondis-je.
- Pourquoi ne relis-tu pas le document que tu as signé ? Me dit Sherry.
Après lui avoir pris une copie, je m’assis dans la salle d’tout en lisant le document beaucoup plus attentivement cette fois-ci.
Bien que le contrat soit jonché de jargon juridique qui le rendait difficile à comprendre, j’ai commencé à avoir une image plus complète et guere flatteuse des raisons pour lesquelles j’avais été embauchée.
Le document indiquait clairement que mes fonctions était de satisfaire tous les besoins de mon employeur tout en restant rigoureusement conforme avec les directives du code vestimentaire. Lorsque je n’effectuais pas une tâche qui m’était confiée par mon employeur, je devais attendre à ses côtés, prête à accomplir n’importe quel ordre qu’il me donnerait.
Même si les activitées sexuelles n’étaient pas explicitement mentionné dans le document, il y était fait allusion tout au long.
Levant les yeux vers Sherry, je la fixai avec de grands yeux et beaucoup de choses en tête.
- L’as-tu relu ? Me demanda-t-elle.
- Oui…
- Et alors ? Me demanda t-elle.
- Je suis une pute en quelques sorte ? Ai-je demandé avec un visage décontenancé.
- Non... Pas du tout. Pour être une pute, il faudrait que tu t'envoie en l'air avec plein de mecs différents. Mais dans ce cas, il n’y en a qu’un. Me dit Sherry en riant aux éclats.
- Sherry, je suis sérieux…
- Moi aussi. Tu ne semblais pas avoir de problème avec ça il y a quinze minutes quand tu lui taillait une pipe. Quel est le problème maintenant ? Me demanda-t-elle.
- Je... je pensais juste qu’on flirtait, un truc sans conséquence je n’avais pas réalisé que c’était mon vrai travail. Répondis-je.
- Et alors ? Tu vas démissionner ? Me demanda-t-elle.
- Peut-être…
- Dans ce cas tu ferais mieux d’aller voir le patron et de lui dire dès maintenant avant de claqué un peu plus son argent alors. Me sermona Sherry.
- Mon Dieu… On a tellement dépensé hier. Il va être furieux contre moi… Ai-je dis en ravalant ma salive.
- Détends-toi. Avec son compte en banque bien garni ce n’est pas grave.
- Vraiment ?
- Vraiment. Me dit Sherry avec assurance.
Je me suis levée de ma chaise et j'ai commencé à marcher vers la porte de son bureau et je me suis arrêtée avec ma main sur la poignée. En me regardant, j'ai eu soudain quelques doutes sur ce que je devais faire.
Monsieur Johnson avait gentil et aimable avec moi depuis mon arrivée. J'ai proposé de lui faire une fellation avant même de savoir que c'était justement ce qu'il attendait de moi. Il a financé une garde-robe complète et a vrai dire je n'était donc pas vraiment a plaindre.
Plus je pensais à ce que je devais faire et plus j'avais l'estomac noué.
- Eh bien, tu y vas ? M'a demandé Sherry.
Après avoir secoué la tête, j'ai répondu.
- Ouais... Ouais, je vais allez le voir.
A SUIVRE...
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