CHAPITRE 5
Après avoir frappé à la porte de Monsieur Johnson, il m’a fait patienté avant de me rappelé quelques instants plus tard. Je me suis approché de son bureau, les pieds joints et les mains derrière le dos. Monsieur Johnson a fini de taper quelque chose sur son ordinateur avant de tourner toute son attention vers moi.
- Comment vous sentez-vous ? Votre gorge va bien ? M'a t-il demandésincèrement.
- Je vais très bien, merci. Ai-je répondu.
- Bien, je suis content de l’entendre. Que voulez-vous ?
- Je... je ne sais pas trop par où commencer…
Monsieur Johnson s’est penché en avant, les deux coudes sur son bureau. Il a froncé les sourcils alors que son visage semblait inquiet pour moi.
- Quel est mon travail ici ? Ai-je demandé.
- Vous êtes mon assistante, comme écrit dans votre contrat. A t-il répondu.
- Mais comment suis-je censé vous... assisté ?
- Et bien principalement en restant dans mon bureau... et en étant jolie. Et vous faites déjà un excellent travail dans ce domaine. Me dit Monsieur Johnson en me complimentant.
- Merci. Ai-je dit en rougissant.
- Qu'est-ce qui vous dérange ? L'aspect sois belle et tais-toi ? M'a demandé M. Johnson.
- Je suppose... en partie en tout cas. J'ai bien relu le document que vous m'avez remis et je veux juste savoir si je suis une sorte de... call-girl ou quelque chose comme ça ?
Monsieur Johnson s'est assis dans son fauteuil, l'air surpris.
- Une call-girl ? Tu crois vraiment que je t'ai embauchée comme calle-girl ?
- Eh bien, je ne sais pas... ce salaire généreux, ces vêtements, cette lingerie... il y a de quoi se posé des questions ?
- Morgan. Je ne veux pas d'une prostituée dans mon bureau... même une pute de luxe. Je te veux toi. Une superbe créature, délicate, féminine, et qui me rend complètement folle dès que je la vois. Me dit Monsieur Johnson en se levant de sa chaise.
Mes yeux ont se sont baissés et j'ai détournés instinctivement le regard alors que je continuais à rougir à cause de ses commentaires.
- Je suis dans une totale relation physique avec toi. Ai-je répondu en croisant son regard.
Mon patron a fait le tour de son bureau et s'est tenu devant moi.
- Je veux moi aussi une relation physique avec toi. Me dit-il avant de s'approcher de moi pour un baiser passionné.
Je pouvais sentir ses lèvres s'entrouvrir avant que sa langue ne rencontre timidement la mienne.
Entrouvrant mes lêvres pour recevoir sa langue, j'ai tendu ma langue et j'ai commencé à joué avec la sienne. Mon patron a pressé son corps contre le mien et m'a tenu l'arrière de ma tête pendant que nous nous embrassions au centre de son bureau.
Juste au moment où je commençais à tendre la main vers sa braguette, la porte de son bureau s'est à nouveau ouverte.
- Monsieur Johnson, j'ai le rapport que vous avez demandé... Dit Sherry en entrant.
Je sursautai avant de m'éloigner timidement de Monsieur Johnson.
- Mon Dieu, vous allez y passer toute la journée ? Dit Sherry un peu blasée.
- Je pensais vous avoir dit de frapper. Lui dit alors Monsieur Johnson en essayant de dissimulé le renflement de son pantalon.
- Je l'ai fait... Répondit Sherry.
- Eh bien, faite-le un peu plus fort la prochaine fois. Dit Monsieur Johnson sévèrement.
- Oui monsieur. Voici le rapport que vous me demandé depuis hier. Dit-elle en le posant sur son bureau à côté de lui.
- C'est tout ? A t-il demandé.
- Non... vous avez un peu de rouge à lèvres juste… ici. Dit Sherry en pointant le coin de sa lèvre.
- Merci Sherry. Dit Monsieur Johnson, pas amusé pas son attitude.
- De rien, Monsieur Johnson. Dit-elle avant de sortir du bureau et de fermer la porte.
- Elle est parfois détestable. Me dit Monsieur Johnson.
Il contourna son bureau et s'assit dans son fauteuil moelleux et me dit.
- Vous savez, j'ai beaucoup de travail aujourd'hui, et je sais que vous avez encore quelques rendez-vous à vous rendre. Pourquoi ne pas prendre le reste de la journée pour prendre soin de vos cheveux et de vos ongles. Nous reverrons à la même heure demain, d'accord ?
- Vous êtes sûr ? Je ne suis ici que depuis une heure ? Demandai-je.
- Absolument. Bien sûr, je vais vous payer vos huit heures.
- Merci Monsieur, c'est vraiment généreux de votre part.
- Appelez-moi Richard. Me dit-il.
- Bien...Richard. Ai-je répondu avant de m'approcher de sa chaise.
Penchée sur son bureau je lui ai fait un bisou sur la joue, qui a laissé une empreinte de mon rouge à lèvres.
- Oups, je suis désolé... Ai-je dit en riant.
- Ce n'est rien. Laisse-le comme ça. M'a-t-il ordonné.
- Comme vous voulez.
Je suis sortis du bureau de Richard avant de dire à Sherry que j’allais me faire faire les ongles aujourd’hui, ainsi que les cheveux. Même si nous étions les meilleures amies du monde, nous avions l’impression que nous avions besoin de faire une pause l’une de l’autre aujourd’hui.
Après m’avoir serrée dans ses bras, Sherry retourna à son bureau et commença à taper un autre rapport.
CHAPITRE 6
Bien que ma première journée de travail ne se soit pas déroulée comme je l’espérais, j’étais impatiente de retourner au bureau le lendemain.
Après m’être fait faire les ongles en institut, je me suis rendue au salon de coiffure pour les extensions. Le rendez-vous a duré près de trois heures, mais le résultat final m’a laissée sans voix.
Le tissage d’extensions dans mes cheveux a ramené la longueur jusqu’au milieu de mon dos et a complètement transformé mon look. Tous mes rendez-vous beauté étant terminés pour la semaine, j’avais hâte de me présenter à Monsieur Johnson et de voir sa réaction.
En me réveillant le lendemain matin, j’ai commencé ma nouvelle routine par une douche et un rasage avant de me coiffer et de me maquiller. Une fois maquillé, j’ai cherché dans mon placard une minijupe rose et un haut noir, j’ai mis mon soutien-gorge avec les prothèses mamaires insérées. J’ai enfilé une culotte noire avant de m’habiller de la minijupe rose évasée et du débardeur noir. J'ai pris une paire de talons aiguilles roses et je les ai enfilés avant de me regarder dans le miroir.
De la tête aux talons, j'ai adoré l'image que je voyait.
Mon visage parfaitement peint et mes beaux cheveux blonds étaient complétés par ma jupe courte et mon haut noir moulant. Les talons aiguilles accentuaient mes jambes et me faisaient paraître plus grande et plus mince. Mes ongles rose vif m'ont donné confiance en moi, car je me sentais comme une femme bien habillée. Ma préparation terminée, je me suis dirigée vers le bureau pour voir les réactions de Sherry et de mon Patron.
En arrivant quelques minutes avant neuf heures, j'ai trouvé Sherry déjà assise à son bureau.
- Salut Sherry. Comment vas-tu aujourd'hui ? Ai-je demandé.
- Repose-moi la question après mon café. M'a t-elle a répondue.
- Richard est dans son bureau ?
- Oui, il est là depuis huit heures, comme d'habitude. Tu es ravissante aujourd'hui. J'adore tes cheveux et tes ongles ! m'a complimenté Sherry.
- Merci. Je n'arrivais pas à me décider sur la couleur à choisir, mais je suis vraiment contente de ce rose....
- C'est un peu trop girly mais très mignon !
- C’est bien ce que je voulais...
Après avoir frappé à la porte de Monsieur Johnson, j’ai attendu quelques instants avant d’entrer.
Bien qu’il soit en plein appel téléphonique, il avait l’air ravi de me voir. Tout en continuant à discuter, il m’a appelé à côté de sa chaise et a gardé les yeux rivés sur moi. M’arrêtant à côté de son fauteuil j’ai pris une pose mutine, une main sur ma hanche et passant ma langue sur mes lèvres.
Richard a souri en mettant fin à sa conversation assez brusquement.
- Ok, ça a l’air génial. Nous terminerons cela lors de notre prochain rendez-vous… Merci… À bientôt. A dit Monsieur Johnson avant de poser son téléphone sur le bureau.
- Tu es… Superbe. M’a t-il complimenté.
- C’est ce que tu as dit hier. Ai-je dit en minaudant des yeux.
- C’était aussi vrai hier qu’aujourd’hui. Tu es magnifique, éblouissante, exquise et tellement sexy !
Mes joues rougirent de manière incontrôlable alors que je me prélassais dans cette pluie d’éloges.
- Merci... Ai-je dit en lui souriant.
- Viens ici. Je veux te montrer quelque chose que je viens d'acheté pour toi.
En m’approchant de lui, je m’assis sur ses genoux alors qu’il me le demandait. Je me suis sentie un peu idiote au début, mais la chaleur de ses jambes et le renflement qui grandissait dans son pantalon ont déclenché d’autres sentiments à la place.
- Je sais que coller ton petit machin entre tes jambes doit être douloureux et genant quand tu as besoin de faire pipi ici au travail, alors je t’ai trouvé autre chose qui va te facilité la vie... Me dit Richard en ouvrant le tiroir de son bureau.
- J’ai pris quelques-unes de ces cages de chasteté pour toi.
- Une cage de chasteté ? Ai-je dis, confus.
- Oui, ça va autour de ton…
- Je sais ce qu’est une cage de chasteté, mais elles ne cacheront pas vraiment mon pénis comme le fait le ruban adhésif.
- Ce n'est pas vraiment pour le cacher, bien que de toute façon ta petite chose soit difficile à voir sous cette jupe. C'est plus pour le garder en sécurité et sous mon contrôle lorsqu'elle sera verrouillée.
- Tu veux enfermer mon pénis dans une cage ? Ai-je demandé sans détour.
- Cela me semblait coquin quand j'y ai pensé, mais maintenant que tu le dis comme ça...
- L'idée est plutôt... amusante. Mais je n'ai jamais donné à personne autant de contrôle sur mon corps...
- Si tu n'es pas à l'aise avec ça, je vais jeter ces trucs. Me dit-il en attrapant quelques-unes des cages de chasteté dans sa main.
- Non... je peux toujours en essayer une. Laisse-moi voir tu veux ?
Après avoir examiné les différentes cages, j'ai eu l'impression qu'une cage en acier serait la plus adaptée. En m'asseyant sur les genoux de Richard, j'ai baissé ma culotte tout en troussant ma jupe sur mes reins.
Après avoir soigneusement retiré le ruban adhésif qui maintenait mon pénis entre mes jambes, j'ai jeté le ruban adhésif à la poubelle. Richard m'a regardé amener l'anneau en acier de la cage de chasteté sur mon membre et faire passer mes couilles à travers. Avec l'anneau autour de la base de mes parties intimes, j'ai placé la cage sur mon membre et je l'ai reliée à l'anneau.
Pendant que je tenais la cage de chasteté en place, Richard m'a tendu le petit cadenas destiné a maintenir la cage de chasteté en place lorsqu'elle était verrouillée. Après avoir entendu le petit clic du cadenas se fermant, j'ai compris que mon pénis était dorénavant sous le contrôle total de Monsieur Johnson.
L’idée d’être sous la soumission totale de mon patron, lui abandonnant l’accès exclusif à une partie du corps a allumé quelque chose en moi. Bien que je venais d’enfermer mon pénis dans une cage de chasteté, ce dernier a commencé a de désir.
Sentant la pression monter dans la cage, je l’ai tenu entre mes doigts tout en me penchant légèrement.
- Est-ce que ça va ? Me demanda Monsieur Johnson.
- Oui…C’est juste un peu serré en ce moment.
- Tu as besoin de l’enlever ? Me demanda-t-il.
- Non, je… je pense que ça ira dans quelques minutes.
- Je ne veux pas que tu aies mal.
- Arrête d’être si gentil. Tu vas tout gâcher si tu continues à me proposer de me déverrouiller.
- Sérieusement ? Me dit-il, l’air surpris.
- Oui… Sérieusement.
Mon Patron secoua la tête avant de continuer.
- Dans ce cas, remonte cette culotte et mets-toi sous mon bureau. J’ai l’impression que ma bite est sur le point d’exploser, ta bouche a donc intérêt à être là quand ça va se produire.
En regardant Monsieur Johnson, ce fut mon tour de me sentir décontenancé. Après avoir avalé la salive qui s’accumulait dans ma bouche, j’ai lâché mon sexe encagé et j’ai remonté la culotte comme il l’avait ordonné.
En contournant sa chaise, je me suis mis à genoux et me suis glissé sous son bureau.
En me retrouvant face à face avec sa bite pour le deuxième jour consécutif, je l'ai saisie et lui ai donné quelques coups de langue. J'ai léché le dessous de sa bite et ses couilles, sa queue a tressailli dans ma main alors que je lui caressait les couilles d'une main et que je caressais sa bite de l'autre.
En sortant de nouveau ma langue, je l'ai pressée contre son pénis tout en le léchant à nouveau sur toute sa longueur. Cependant, quelque chose d'inattendu s'est produit la deuxième fois.
Monsieur Johnson était apparemment un peu trop excité et a explosé prématurément.
Mon corps s'est figé alors que giclée après giclée, le sperme commençait à jaillir sur mes joues, mon nez et mon front. Essayant de contenir la situation, j'ai mis mes lèvres autour de son gland alors que quelques giclées supplémentaires jaillissaient.
Avalant tout ce que j'avais dans la bouche, j'ai continué à caresser son pénis et à le sucer jusqu'à ce qu'il ait complètement fini. Le visage couvert de sperme, je suis restée à genoux sous le bureau après que Richard se soit éloigné pour que je puisse sortir.
- Est-ce que ça va là-dessous ? Tu ne t'étouffes pas une nouvelle fois au moins ? Me dit-il en se penchant pour me voir.
- Non... Non ce n'est pas ça.
- Je suis désolé. Est-ce que je me suis vidé un peu trop tôt ? Demanda-t-il.
- On peut dire ça... Ai-je dis en me penchant en avant pour me montrer.
Les yeux de Richard s'écarquillèrent lorsqu'il m'aperçut avec son foutre maculant mon visage.
- Oh mon Dieu... Tu es dans un état. Dit-il.
- Ouais... Je ne veux même pas savoir ce que Sherry va dire. Ai-je répondu.
- C'est bon. Attends juste là. Me dit-il en se levant de son siège et en remontant son pantalon.
Après être allé dans ses toilettes réservé, Richard est revenu quelques instants plus tard avec quelques serviettes en papier.
- Tiens. Dit-il en m’offrant les serviettes en papier.
- Merci. Ai-je répondu en les prenant et en essuyant un peu le liquide collant de mon visage.
- Si cela peux te faire plaisir tu es toujours aussi belle. Me dit mon patron en posant ses coudes sur son bureau.
Mes yeux se sont embués alors que j’étais assise sous son bureau, me sentant tout sauf belle.
- Merci, mais je me sens tellement gênée. Tout ce dont j'ai envie pour le moment c'est de me cacher ici pour le reste de la journée…
- Allez, il n’y a pas de quoi être gêné. On a eu un petit accident. Ça arrive. »
- Ça m’arrive trop souvent depuis hier...
- Je comprends, tu n'es pas habituée a ce genre de relations professionelles alors et si tu as envie de rentrer tôt chez toi, ça me va.
En levant les yeux vers Monsieur Johnson, j’ai senti une larme couler sur ma joue.
Je ne pouvais pas croire à quel point il avait été gentil et aimable ces derniers jours et je ne savais pas comment lui montrer à quel point je l’appréciais.
- Ne pleure pas. Je ne veux pas te voir en colère. Dit-il en se penchant en avant sur sa chaise.
- Je ne suis pas en colère… Je n’arrive juste pas à croire à quel point tu es incroyable.
Après avoir posé les serviettes en papier, j’ai tiré sa chaise vers moi.
- Qu’est-ce que tu fais ? Me demanda-t-il.
- Je te montre juste à quel point tu es incroyable. Ai-je dis avant de sortir sa bite et de la caresser à nouveau.
- Je ne sais pas si je pourrai remettre ça aussi vite... Me dit-il.
- J'ai du temps. Je commence tout juste ma journée, je pense que d'ici ce soir... Ai-je sourie avec un air coquin.
bonsoir , combien de chapitre pour cette histoire ?
RépondreSupprimer10 au Total, je viens de terminé la correction.
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