CHAPITRE 9
Le mardi matin, la tension au bureau était palpable alors que l’horloge approchait des 9 heures .
Le choc de la veille en voyant Steve arriver en jupe et chemisier avait laissé les hommes restants dans un état de terreur croissante. Ils savaient tous ce qui allait arriver, leurs mentors leur avaient clairement fait comprendre qu’il n’y avait pas de place pour les demi-mesures.
Aujourd’hui, la transformation serait visible pour tout le monde.
Alors que les premiers pas résonnaient dans le couloir en direction du bureau, les femmes échangèrent des regards, certaines avec des sourires subtils, d’autres avec un mélange de curiosité et d’empathie.
La transformation des hommes de participants réticents à objets d’examen allait commencer pour de bon.
Steve fut le premier à arriver.
La robe rose qu’Emma avait choisie pour lui la nuit précédente collait à sa silhouette d’une manière à la fois étrangère et troublante. Les volants délicats le long des manches et de l’ourlet ne faisaient qu’ajouter au sentiment écrasant de féminité qui l’enveloppait maintenant.
Alors qu’il ajustait les fines bretelles sur ses épaules, il sentit le poids de la journée peser sur lui.
La soirée précédente avait été un tourbillon d’émotions et d’acceptation réticente. Emma avait été implacable, son enthousiasme presque écrasant alors qu’elle le guidait à travers chaque étape de sa transformation. Après avoir rasé jusqu’à la dernière trace de poils sous l'œil vigilant de cette dernière, Steve avait ressenti un nouveau type de vulnérabilité, comme s’il perdait bien plus que des poils.
La nouvelle coiffure qu’Emma lui avait faite, une coupe douce, presque féminine qui encadrait son visagen n’avait fait qu’approfondir son sentiment de perte de masculinité.
Mais ce n’étaient pas seulement les changements physiques qui avaient laissé Steve sous le choc. C’était la prise de conscience qu’Emma ne l’aidait pas seulement à s’habiller pour le rôle. Elle était déterminée à le modeler en quelque chose de plus, quelque chose de plus proche de son idéal de féminité.
La tenue qu’elle avait choisie pour lui aujourd’hui, une robe rose pastel claire avec des volants et un ourlet qui flirtait avec ses genoux, était un indicateur clair de jusqu’où elle avait l’intention de le pousser.
La robe ondulait à chacun de ses pas tandis qu'il avançait dans le couloir, le tissu doux effleurant ses jambes fraîchement rasées. Il sentait les talons, d'une hauteur modeste, mais très différents de ceux auxquels il était évidement habitué, le forçant à marcher d'une démarche inhabituelle.
Il avait passé toute la matinée à s'entraîner à marcher avec, une tâche sur laquelle Emma avait insisté avant de le laisser quitter son appartement.
Le silence s'installa dans le bureau lorsque Steve entra.
Tous les regards se tournèrent vers lui, admirant l'homme autrefois sûr de lui, désormais vêtu d'une délicate robe rose, le visage encadré de boucles douces, ses jambes lisses accentuées par les talons. La transformation était encore modeste, mais l'impact fut immédiat.
Steve sentit la honte apparaitre sur ses joues alors qu'il se dirigeait vers son bureau, faisant de son mieux pour ignorer les regards et les murmures qui le suivait. Ses mouvements étaient maladroits et ses pas incertains alors qu'il s'adaptait comme il pouvait à ses habits féminin.
La robe se balançait à chaque pas, effleurant ses jambes d'une manière à la fois étrange et troublante.
Et alors qu'il s'asseyait à son bureau, la sensation du tissu doux contre sa peau lui rappelait constamment le peu de chemin parcouru et le long chemin qu'il lui restait à parcourir. Il essaya de se concentrer sur son travail, mais le poids de la transformation pesait sur lui comme une enclume.
Chaque mouvement de son siège lui rappelait la robe, les talons, la sensation que son corps avait maintenant d’appartenir à quelqu’un d’autre.
Le silence fut finalement rompu par l’arrivée de l’homme suivant.
John entra dans le bureau avec un sentiment d’effroi semblable à celui de Steve. Claire avait été franche et intransigeante dans ses attentes et la tenue qu’elle lui avait fournie ne laissait aucune place à la négociation.
La jupe bleu marine collait à ses cuisses, l’ourlet effleurant à peine ses genoux, tandis que le chemisier blanc était boutonné jusqu’à son cou, accentuant la gêne qu’il ressentait. Les talons étaient certes plus petits que ceux de Steve mais forçaient tout de même John à adopter une démarche plus délicate que celle à laquelle il était habitué.
En entrant dans le bureau, le cœur de John battait fort dans sa poitrine, son visage rougissant d’embarras lorsqu’il aperçut Steve déjà assis à son bureau dans sa robe rose. Voir Steve comme ça ne faisait que rendre la situation de John plus genante.
Comme ses collègues il n’y avait aucun moyen d’éviter maintenant cette féminisation.
Il était clair pour tout le monde au bureau que ce n’était pas juste un jeu, c’était une affaire sérieuse et ça ne ferait que devenir plus intense au fil des jours.
John se dirigea vers son bureau, avec des mouvements raides et maladroits. Il pouvait sentir le poids des regards sur lui, les murmures qui le suivaient pendant qu’il marchait. C’était humiliant, mais il savait qu’il n’y avait pas d’issue.
Les enjeux étaient trop élevés pour lui, et les attentes de Claire étaient strictes. Il devait aller jusqu’au bout, peu importe à quel point cela le mettait mal à l’aise.
Alors qu’il s’asseyait à son bureau, la sensation de la jupe contre ses jambes lui rappelait constamment la transformation qu’il était obligé de subir. Lui aussi essayait de se concentrer sur son travail, mais, comme Steve, l’embarras et l’inconfort rendaient la concentration difficile.
Chaque mouvement, chaque geste lui rappelait sa jupe, ses talons, la façon dont son corps lui semblait lui désormais étranger.
Richard fut le suivant à arriver, ses pas lents et délibérés alors qu’il entrait dans le bureau.
La jupe crayon gris clair que Rachel avait choisie pour lui collait à sa silhouette, l’ourlet juste en dessous de ses genoux, limitait ses mouvements et le forçait à faire des pas plus petits et plus mesurés. Le chemisier rose pâle était doux contre sa peau, le tissu délicat contrastait fortement avec les vêtements plus rugueux qu’il avait l’habitude de porter.
Les sous-vêtements en dentelle lui semblaient étranges et profondément troublants.
Rachel avait été claire sur ses attentes la nuit précédente. Richard savait qu’il n’avait pas d’autre choix que de se conformer a ses ordres, et cela ne facilitait pas les choses. En entrant dans le bureau, il sentit le poids oppressant de sa situation la réalité de ce qu'il était forcé de faire.
Richard se dirigea vers son propre bureau, ses mouvements prudents et délibérés alors qu'il s'adaptait à la jupe crayon et aux talons. L'étroitesse de la jupe l'obligea à faire de petits pas, ajoutant à son inconfort et lui faisant prendre conscience de la différence de son corps dans ces vêtements. Le chemisier, doux et délicat, ne fit qu'accroître son sentiment de vulnérabilité.
En s'asseyant à son bureau, l'étroitesse de la jupe l'obligea à s'asseoir différemment, les jambes jointes, sa posture plus guindée.
David arriva ensuite, le cœur battant à tout rompre en entrant dans le bureau.
Jessica avait clairement fait part de ses attentes la veille, et la tenue qu'elle lui avait fournie ne laissait aucune place au compromis. L'élégante jupe noire serrait ses hanches, l'ourlet tombant à quelques centimetre au-dessus de ses genoux, tandis que le chemisier couleur crème accentuait son inconfort. Les traces de son soutien-gorge délicat se devinaient à travers le tissu de son chemisier.
En entrant dans le bureau, David sentit le poids de la situation peser sur lui.
Les femmes tournèrent leur attention vers lui lorsqu'il entra.
Les autres hommes, désormais tous habillés de leurs tenues féminines, regardèrent David avec un mélange de sympathie et de compréhension. Ils étaient tous ensemble maintenant, dans la même galère, qu'ils le voulaient ou non.
David se dirigea vers son bureau, faisant des mouvements prudents et réfléchis pour s’habituer à la jupe et aux talons. La jupe serrée l’obligeait à faire de petits pas charmant, le chemisier, doux et soyeux, ne faisait qu’accroître son sentiment de vulnérabilité et il commença à se rendre compte qu’il allait devoir faire bien plus que simplement porter des vêtements de femme.
Au fur et à mesure que la matinée avançait, le bureau s’installa dans une routine inconfortable.
Les hommes, tous maintenant vêtus des tenues que leurs mentors avaient choisies pour eux, peinaient à se concentrer sur leur travail. Le bruissement des jupes, le claquement de leurs talons sur le sol et la sensation des tissus délicats contre leur peau rappelaient constamment leur nouvelle réalité.
Il n’y avait encore aucun signe de Greg ou de Mary et les quatre hommes se demandaient ce que cela signifiait.
Il était peu probable que cela soit bon pour leurs chances de gagner ce concours.
Les femmes, quant à elles, observaient les hommes avec un mélange de curiosité, d’amusement et parfois même de pitié. Il était clair pour tout le monde que les hommes ne participaient plus seulement à un étrange défi de bureau, il s'agissait d'une transformation à grande échelle, qui exigeait un engagement total.
Les enjeux avaient été clairement définis et les hommes n'avaient d'autre choix que de s'y conformer s'ils voulaient éviter la sanction ultime.
Mais ce n'était pas seulement la tenue vestimentaire qui transformait les hommes.
C'était aussi la prise de conscience progressive qu'ils devraient aller bien plus loin s'ils voulaient éviter d'être celui qui échoue. Les murmures, les regards subtils et les sourires entendus des femmes renforçaient le fait qu'il ne s'agissait pas d'un changement temporaire.
Ils devaient pleinement accepter leur nouveau rôle, ou risquer de tout perdre.
En milieu de matinée, Steve commençait déjà à ressentir la tension de sa nouvelle identité. La robe rose qu'Emma avait choisie pour lui était autant un fardeau psychologique que physique. Chaque fois qu'il bougeait, les volants et le tissu doux lui rappelaient à quel point il était tombé bien bas. Et la prise de conscience que tout cela n'était que le début le rongeait.
Emma n'avait pas perdu de temps pour prendre le contrôle de sa transformation.
Elle arriva à son bureau vers 10 heures du matin, son sourire chaleureux mais avec une pointe d'ironie qui rendit Steve nerveux.
- Alors, comment te sens-tu, Steve ? Demanda-t-elle, avec une voix douce mais tout de même teintée d'autorité.
Steve hésita avant de répondre, conscient qu'il n'y avait pas de bonne façon de répondre.
- C'est... différent. Réussit-il à dire, essayant de paraître calme.
Emma hocha la tête d'un air approbateur.
- C'est bon à entendre. Mais nous devons aller plus loin. La robe est un bon début, mais si nous voulons gagner, nous devons nous assurer que tu es pleinement engagée...
L'estomac de Steve se serra à ses mots.
- Que veux-tu dire ?
Emma, les yeux brillants d'enthousiasme expliqua:
- Je veux dire que nous devons commencer dès maintenant à travailler sur les détails les plus fins et les plus précis de ta transformation. Il ne s'agit pas seulement de ce que tu portes, il s'agit de la personne que tu deviens. Nous devons nous assurer que chaque aspect de ton apparence reflète la féminité.
Avant que Steve ne puisse répondre, Emma lui tendit un petit sac.
- À l'intérieur se trouvent quelques produits essentiels, des choses qu'aucune femme ne peux se passé. Du maquillage, des produits de soin et quelques autres choses que tu devras commencer à utiliser quotidiennement. Nous verrons comment appliquer cela correctement pendant la pause déjeuner. Et après le travail aujourd'hui, nous nous occuperons de tes ongles car ils doivent être aussi féminins que le reste de ton corps.
Steve ressentit une vague de nausée en lui prenant le sac.
- Du maquillage ? Demanda-t-il, consterné.
Emma sourit avec sympathie, mais il n'y avait aucune douceur dans son regard.
- Oui, du maquillage. Si tu veux être convaincante en tant que femme, tu dois accepter chaque partie de cette transformation. Et cela inclut apprendre à te présenter comme une femme.
Steve ne pouvait qu'acquiescer, la réalité de la situation s'imprégnant davantage en lui.
Ce n'était plus seulement un défi humiliant, c'était une refonte complète de son identité. Et plus il s'y conformait, plus il craignait de la perdre complètement.
Alors que Steve se débattait péniblement avec la poussée incessante d'Emma vers la féminité, Gabrielle anciennement Greg, vivait une transformation beaucoup plus intense et envahissante.
Mary avait clairement fait savoir dès le début qu'elle avait l'intention de ne rien laisser de côté dans sa féminisation, et elle ne perdait pas de temps.
Le changement de nom légal avait été la première étape, un rappel brutal et irréversible que Greg était parti et que Gabrielle était là pour rester.
Ce matin-là, Mary avait poussé les choses encore plus loin. Elle lui rappella:
- Souviens-toi, tu n’es plus Greg. Tu es Gabrielle maintenant, et j’attends de toi que tu acceptes pleinement cet état de fait !
Mary a donc emmené Gabrielle dans un salon de coiffure.
L’expérience a été bouleversante pour l'ex-mâle, la terrible féminité de l’endroit en était presque étouffante. Mary a donc demandé aux stylistes a la coiffeuse du salon de relookée complètement Gabrielle: cheveux, ongles, peau, tout.
Une fois qu’ils ont eu terminé, la pauvre Gabrielle s’est à peine reconnue.
Ses cheveux avaient été coiffés en vagues douces et féminines qui encadraient son visage, la couleur s’était éclaircie en un blond chaud et miellé. Ses ongles avaient été façonnés et polis, les bords autrefois courts et négligés étaient maintenant longs et délicatement manucurés.
Le résultat final avait laissé Gabrielle se sentir comme une étrangère dans son propre corps.
Mary avait observé tout le processus avec un sourire satisfait et pervers.
- Ce n’est que le début, Gabrielle. Nous allons nous assurer que tu deviennes la femme la plus féminine de ce bureau. Tu seras méconnaissable à la fin, je t'en fait le serment.
Et tout le monde au bureau fut abasourdi lorsqu’ils virent Mary entrer dans le bureau juste avant l’heure du déjeuner, elle était accompagnée d'une belle femme dont tout le monde comprit immédiatement qu’il s’agissait de Greg désormais admirablement féminisé.
Maintenant, assise à son bureau, Gabrielle pouvait sentir les yeux de ses collègues sur elle.
Le chemisier lavande que Mary avait choisi pour elle collait à sa peau lisse, la jupe assortie serrant ses hanches, les talons qu’elle portait claquaient doucement contre le sol pendant qu’elle marchait, un rappel constant de la féminité qui lui était imposée.
L’esprit de Gabrielle s’emballait alors qu’elle essayait de se concentrer sur son travail.
L’humiliation était insupportable, mais ce qui effrayait encore plus Gabrielle, c’était la minutie avec laquelle Mary était appliquée. Il ne s’agissait pas seulement pour elle de gagner l'avilissant concours, Mary semblait déterminée à s’assurer que Gabrielle n’aurait plus jamais d’autre choix que de continuer à vivre en tant que femme, même après la fin du moi !.
Au fil de la journée, la prise de conscience qu’elle ne pourrait peut-être jamais redevenir Greg commença à s’installer avec une clarté froide et terrifiante dans l'esprit de Gabrielle.
Alors que la journée avançait, les autres hommes, John, Richard et David commencèrent à se rendre compte à quel point leurs transformations devenaient sérieuses. Ce qui semblait au départ être un défi humiliant mais temporaire semblait maintenant vouloir être quelque chose de beaucoup plus permanent.
John, qui avait du mal à s'habituer à la jupe bleu marine et au chemisier blanc que Claire avait choisis pour lui, se retrouva scruté par les femmes du bureau. Leurs yeux étaient perçants, leur jugement était clair.
Il ne suffisait pas de porter les vêtements, elles guettaient quelque chose de plus, quelque chose de plus profond. Et au fil des heures, John commença à comprendre qu’il devait s’engager pleinement dans la transformation s’il voulait éviter les conséquences.
Richard, toujours mal à l’aise dans sa jupe crayon et son chemisier rose pâle, avait une prise de conscience similaire. Les attentes de Rachel étaient élevées et il savait qu’elle ne se satisferait de rien de moins qu’une immersion totale. Les ajustements subtils qu’elle faisait tout au long de la journée, corriger sa posture, lui apprendre à s’asseoir et à marcher, étaient des indicateurs clairs qu’il s’agissait de bien plus que de vêtements.
Il s’agissait de devenir quelqu’un de complètement différent.
David, lui aussi, ressentait la pression.
L’intense concentration de Jessica sur sa transformation ne lui avait laissé aucune place pour se cacher. Chaque mouvement, chaque geste était scruté en détail, corrigé et affiné. La jupe noire et le chemisier couleur crème qu’il portait n’étaient que le début, Jessica lui faisait comprendre qu’il devait accepter tous les aspects de la féminité s’il voulait survivre.
Alors que la journée touchait à sa fin, les hommes se retrouvèrent confrontés à une dure réalité.
Ce n’était plus seulement un concours, c’était une transformation complète, qui exigeait un engagement total. Les vêtements, le maquillage, les changements de leur corps et de leurs comportements faisaient partie d’un processus qui les remodelerait de l’intérieur.
Et lorsqu’ils quittèrent le bureau ce soir-là, chacun d’eux sentit le poids de ce qui allait arriver.
Les enjeux n’avaient jamais été aussi élevés, et la prise de conscience qu’ils devaient pleinement assumer leur nouvelle identité s’ils voulaient conserver leur masculinité, ou ce qu’il en restait , était terrifiante.
Au moment où le bureau se vidait, la tension avait atteint son paroxysme.
Les hommes, désormais pleinement conscients de la gravité de leur transformation, n’avaient d’autre choix que de se plier aux exigences de leurs mentors.
Steve, l’esprit ébranlé par les événements de la journée, suivit les instructions d’Emma et la retrouva chez elle après le travail. La perspective d’une féminisation plus poussée le terrifiait, mais il savait qu’il n’y avait pas d’échappatoire.
Il allait devoir apprendre à se maquiller, à marcher et à parler comme une femme, et à accepter pleinement le rôle qu'Emma lui imposait.
Gabrielle, désormais pleinement consciente de la permanence de sa transformation a venir, n'avait plus aucune illusion sur les intentions de Mary. Le changement de nom, le relooking, l'implacable volonté de Mary de faire de lui une femme...
John, Richard et David devaient eux aussi accepter la dure réalité.
Ils ne pouvaient plus simplement se contenter de porter des vêtements de femme et d’espérer s’en sortir. La transformation exigeait plus, beaucoup plus. Elle les obligeait à repenser leur identité dans son intégralité, à adopter un niveau de féminité qui dépassait la simple surface.
Les enjeux étaient devenus douloureusement clairs, et la peur de l’échec et de ses conséquences planait sur eux comme un nuage noir.
En quittant le bureau ce soir-là, chaque homme était confronté à la même question : jusqu’où étaient-ils prêts à aller ?
Le concours ne consistait plus seulement à éviter une rétrogradation ou à conserver leur masculinité. Il s’agissait de devenir quelque chose qu’ils n’avaient jamais imaginé pouvoir être.
Le chemin à parcourir était long et incertain, mais une chose était claire : il n’y avait pas de retour en arrière.
L’Histoire est vraiment passionnante, évidemment on a envie d’avoir la suite.
RépondreSupprimerEn tout cas un grand merci pour ce merveilleux moment de lecture.
Emmanuel