mercredi 30 octobre 2024

ROMAN TRADUIT: THE SISSY SECRETARY (CHAPITRE 7 ET 8)

 

Suite de cette histoire qui comportera 10 chapires, je viens de finir la traduction et j'ai dû remanier certain passage assez repetitif, comme l'avait signalé un lecteur.



                                                                CHAPITRE 7


Finalement vers midi Monsieur Johnson a dû sortir déjeuner avec un client, ce qui signifiait que mon plaisir était terminé. La tête sur ses genoux, j'ai joué avec sa bite et ses couilles entre mes mains.

- Je déteste vraiment faire ça, mais je dois aller rencontrer quelqu'un. M'a-t-il informé.

J'ai poussé un long soupir après avoir entendu la nouvelle.

- Si tu le souhaite tu peux rester ici aussi longtemps que tu veux, mais si tu veux tu es libre pour la journée. M'a t-il dit

- Ok.

- Est-ce que ça va aller ? A-t-il demandé.

- Oui... 

- Sherry devrait être là, alors assure-toi de partir avant elle. Me dit Richard. 

Après m'avoir dit au revoir, Monsieur Johnson a pris sa mallette et a quitté le bureau. Je suis resté assis sous son bureau, la tête sur sa chaise, longtemps après qu'il m'ait laissé seul. Je pouvais encore sentir la chaleur là où ses fesses reposaient

Près d'une demi-heure plus tard, Sherry est entrée dans le bureau pour voir comment j'allais.

- Morgan, es-tu toujours là ? Demanda-t-elle.

- Oui, ici en bas.

Sherry fit le tour du bureau et me trouva reposant, la tête sur la chaise de Richard.

- Que fais-tu ? Me demanda-t-elle.

- Je réfléchissais juste. Répondis-je.

- À propos de ?

- De Monsieur Johnson… Ai-je dit avec une lueur désinvolte dans les yeux.

Puis Sherry eue un mouvement de recul, elle grimaça:

- Mon Dieu. Tu pues encore le foutre a plein nez ! Déclara-t-elle.

-  Je sais… Nous avons eu une matinée plutôt agitée.

- Je suis absente pour le reste de la journée, alors il est temps d’y aller. Me dit Sherry.

Après avoir poussé un long soupir, j’ai répondu. 

- Ok, très bien… 

Sherry m’a aidé à me relever avant de marcher avec moi jusqu’au bureau de la réceptionniste. 

Une fois qu’elle a récupéré ses affaires, nous sommes sortis par la porte d’entrée, qu’elle a verrouillée derrière nous. Après nous être dit au revoir, nous sommes rentrés chez nous pour nous préparer pour la prochaine journée de travail.

Me réveillant plus tôt que d’habitude, j’étais excitée d’arriver au bureau et de revoir Richard.

Je voulais prendre plus de temps à choisir une tenue, afin d'être... désirable. 

Moi, un mec, je me faisait désormais belle pour un autre homme !!!

En examinant mes options, j’ai décidé d’opter pour une robe rouge moulante avec des sandales à talons aiguilles assorties. La robe était décolletée et couvrait à peine mes fesses. Avec la cage de chasteté enfermant mon membre, je n’avais pas à m’inquiéter de scotcher ma queue entre mes cuisses. 

Mais je n’ai pas réussi à trouver un moyen d’empêcher la petite bosse d’apparaître au milieu de mon corps. Après avoir essayé de tirer vainement la cage de chasteté vers l’arrière entre mes jambes, j’ai très vite réalisé qu’elle était douloureuse et inefficace pour cacher mon pénis. 

Sans la clé du cadenas qui gardait le petit objet métallique verrouillé sur moi, je n’avais pas d’autre choix que de partir au bureau ainsi alor que mon petit membre se devinait à travers le tissu. 

Quand je suis arrivé au bureau et que j’ai salué Sherry, son œil aguisé a vite remarqué la bosse entre mes jambes.

- Alors Morgan, comment vas-tu aujourd’hui ? Me demanda Sherry alors que je m’approchais de son bureau.

- Super. Et toi ? Répondis-je.

Elle lorgna vers mes entre-jambes en me disant:

- Bien… par contre toi, tu a un soucis on dirait.

Sherry baissa la voix avant de continuer.

- Tu n'aurait pas oublier de… de rentrer ton matériel aujourd’hui ? 

- En fait, je n’ai pas oublier. 

-Tu le fais d’habitude. Quand tu t'habille en meuf...

- Oui, d’habitude mais pas cette fois… 

- Et pourquoi donc ? Tu sais que tout le monde risque de remarqué ta queue avec cette robe ? Me dit Sherry sur un ton désaprobateur .

- Monsieur Johnson m’a donné une cage de chasteté à porter. Donc ça devrait allez...

-  Tu es sérieux ? 

- Oui… 

- Et ça ne te dérange pas ? Ces trucs ne sont-ils pas franchement confortable  je te signal !

- Je  vais m'y faire... Ai-je dis-je en réajustant ma cage a travers ma robe.

Sherry me regardait:

- Alors tu vas donc porter ça quand tu viendras au bureau ? 

- En fait, il l’a verrouillé hier… 

- Et la clé ? Me demanda t-elle en m’interrompant.

- Dans son bureau, enfin je crois... 

- Alors tu n'as même pas la clé et tu ne sais même pas où elle est ? 

- Non ? Je n'ai pas a l'avoir ni a savoir ou elle est.

Sherry laissa échapper un éclat de rire avant de continuer. 

- Waouh, tu as vraiment flashé sur lui, n’est-ce pas ? 

Mes joues rougirent de manière incontrôlable alors que je baissais les yeux et détournais le regard. 

- Eh bien, il est vraiment gentil et doux... Ai-je dit timidement. 

- Et surtout excité… Me dit Sherry avec un petit clin d'oeil.

J’ai souri à Sherry avant de me diriger d'un pas pressé vers le bureau de Monsieur Johnson et de frapper légèrement. Après l’avoir entendu m’appeler, je suis entrée et j’ai fermé la porte derrière moi.

- Morgan ! Comment te sens-tu aujourd’hui ? Me demanda-t-il chaleureusement.

- Vraiment bien. Dis-je en me pavanant jusqu’à son bureau et en me tenant à côté de sa chaise.

- Et la cage ? Elle n’était pas trop restrictive ? 

- Non... en fait c'est assez plaisant et en plus ça m’a fait penser à toi toute la nuit. 

- C’est mignon. Moi aussi je pensais aussi à toi. 

- Vraiment ? Et a quoi pensais-tu de moi ? 

- Je n’arrive pas à croire à quel point tu es belle et à quel point tu as apporté de la vie au bureau en si peu de temps...

 Je n’ai pas pu m’empêcher de rougir à son commentaire. Richard me souri:

- Je pensais aussi essayer autre chose avec toi si tu t’en sens capable. 

- Qu’est-ce que tu voulais essayer ? Ai-je demandé.

Il s’est levé de sa chaise et s’est approché de moi. Passant la main sous ma robe , il a glissé sa main dans ma culotte et attrapé la cage de chasteté:

- Je suis sûr qu’il y a beaucoup de pression qui s’accumule dans cette petite chose, et j’aimerais t’aider à la vider. 

- Et comment ?

M. Johnson m’a retournée et m’a penchée sur son bureau. Tout en appuyant son ventre contre mon dos, il a attrapé ma poitrine et a serré les prothèses mammaires dans mon soutien-gorge.

- As-tu déjà essayé par derrière ? M'a t-il a demandé.

- Oui, quelques fois... ai-je répondu.

- Tu veux réessayer a nouveau ?

En sentant la bosse dans son pantalon frotter contre mon derrière, mon excitation ne m'a pas permis de refuser l'offre. 

- Prends-moi...

Alors que j'étais toujours penchée sur son bureau, Monsieur Johnson ouvrit le tiroir supérieur de son bureau et attrapa un préservatif et du lubrifiant. Après avoir baissé ma culotte, il déboucla son pantalon et fit glisser son slip. Regardant par-dessus mon épaule, je le regardai dérouler le préservatif sur sa queue et commencer à frotter le lubrifiant dessus.

- Tu as toutes sortes de jouets dans ton bureau. Quand est-ce que tu travail ? Demandai-je en riant.

- Tu serais surprise de voir à quel point je peux travailler dur parfois. Dit-il en finissant avec le lubrifiant et en le posant sur le bureau.

Avec mes mains sur son bureau, je restai penchée en avant pendant qu'il tenait mes hanches et se guidait vers mon ouverture. Je me mordait les lèvres d'impatience et d'appréhensions  en sentant la pointe de son sexe rencontrer mon trou et continuer à pousser en avant. 

Une fois son gland à l'intérieur, il s'arrêta pendant que je prenais une profonde inspiration et m'habituais à cette intrusion en moi. Après lui avoir donné le feu vert, il commença à me remplir l'arrière-train.

En poussant contre moi avec puissance et autorité, je me sentais complètement dominée par mon patron. À chaque poussée de sa part, je me sentais m’ouvrir davantage et devenir de plus en plus stimulée. Mes bras et mes jambes commençaient à faiblir alors qu’il me martelait les sphincters de toutes ses forces. 

Alors que je commençais à me pencher davantage sur son bureau, il lâcha mes hanches  m'agrippa les seins. Bien que je portais de faux seins en silicone, c’était incroyable féminisant d’être palpée qu’il me chevauchait.

Me laissant tomber dans ses bras, je me laissai aller alors qu’il me faisait allez et venir de haut en bas sur sa verge. Malgré la cage qui empêchait mon membre de grandir, je pouvais me sentir allez rapidement vers une ejaculation.

Cependant, M. Johnson m’a devancé. 

Sa bite dure comme du roc tresaillie alors qu’elle libérait toute l’excitation refoulée, sa semence envahissant mon rectum. Bien que j’étais juste au bord du plaisir, je sentis mon orgasme s’échapper alors qu’il ralentissait jusqu’à s’arrêter et finissait par se retirer.

Alors qu’il me lâchait et me laissait me tenir debout, vacillante sur mes talons hauts, je réalisai que sa rudesse avait fait des ravages sur mes faux seins.

- Je suis désolé. Me dit Richard en tenant dans sa main l'un de mes faux-seins dont le silicone était eventré.

- Ce n'est pas grave, elles étaient un peu vieilles de toute façon. Ai-je répondu en la lui prenant et en essayant de le réplacé dans mon soutien-gorge. Bien qu'il soit légèrement déformée, j'ai pensé que je pourrais le garder ainsi pour le reste de la journée.

- Je peux être un peu brutal parfois... A dit Richard, tout en retirant le préservatif et en le jetant.

- J'aime la brutalité... Ai-je dit en remontant ma culotte et en y replaçant ma cage de chasteté. 

- En plus, j'en ai quelques autres à la maison. Elles sont un plus petites, mais elles font l'affaire.

- N’est-ce pas ennuyeux de porter ces choses ? Me demanda Monsieur Johnson en s’asseyant sur sa chaise.

-Un peu... Mais je suppose que vous ne voudriez surtout pas me voir sans ? Répondis-je.

- As-tu déjà pensé a de meilleures méthodes ? Comme un traitement aux hormones ou des protheses mamaire ? Me demanda-t-il sans détour.

J'étais rouge de honte. Je n'avais jamais envisagé de telles choses mais Richard me troublait et me facinait tellement que je lui ai menti:

- Oui, bien sûr... 

- Eh bien, pourquoi ne l’as-tu pas fait ? Demanda-t-il.

- C’est cher… et les hormones sont si dures a se procurées.

- Ce n’est pas un problème. Je paierais volontiers pour ça quand aux hormones je connait plusieurs excellents medecins... Me dit M. Johnson en m’interrompant.

- Et bien, c’est très gentil de ta part, mais je ne sais pas si je pourrais accepter une offre aussi généreuse. 

- Pourquoi pas ? J’en tirerai autant de plaisir que toi. Me dit Richard

- Je n'en doute pas mais il y a l’opération elle-même, qui est assez dure pour le corps, puis les semaines postopératoires…

- Tu as déjà fait tes recherches. Dit Richard en m’interrompant à nouveau.

Nouveau mensonge ce ma part:

- Souvent.

- Alors fais-le !

- Je ne sais pas si je pourrais. 

- Qu’est-ce qui te retient ? 

- C’est juste effrayant, et si je le fait et que pour une raison quelconque je le regrette ? 

- Alors je paierai pour qu’ils soient enlevés. Rien n’est jamais permanent. 

Je serrait les lèvres en pensant à son offre. Je n’avais l’impression de n’avoir aucun arguments à a lui opposer et je commençais à me demander pourquoi ne pas franchir le pas. Après avoir pris quelques instants pour réfléchir, j'ai bredouillé:

- Tu as raison. Je devrais peut-être me lancer. Ai-je dis.

Je venait de me passer la corde au cou, d'ouvrir la boite de pandore.

Ce fut Richard qui trancha pour moi:

- Je demanderai à Sherry de te prendre un rendez-vous chez un chirurgien esthétique le plus vite possible. Tu pourras t’absenter du travail aussi longtemps que tu en auras besoin jusq'a ce que tu revienne avec une vraie poitrine.

- Tu es sûr ? 

- Absolument sûr. 



                                                                  CHAPITRE 8



Après avoir traversé la salle d’attente pour aller aux toilettes, Sherry m’a appelée au bureau de sa réceptionniste. Incapable de retenir ma vessie, je l’ai fait attendre pour me parler jusqu’à ce que je sois soulagée.

Une fois que j’ai eu fini, je me suis dirigée vers son bureau pour voir ce qu’elle avait en tête.

- Le boss... Le Boss m’a demandé de te prendre rendez-vous chez un chirurgien plastique pour... pour une augmentation mammaire ! M'a-t-elle dit, l’air choqué.

- Je sais...  Il me l'a demandé. Ai-je répondu.

-  Tu vas te faire posé des nichons ? Tu es vraiment sérieuse ? 

- Ben ouai... pourquoi ? 

- Se fringué en Nana passe encore, mais là c'est tout autre chose ! A-t-elle dit.

- Je pourrait toujours les faire enlever si ça ne me convient pas. 

- Je sais, mais… mais j’aimerais que tu y réfléchisses plus longtemps avant de te lancer tête baissée.

- Tu ressembles à ma mère…  Ai-je murmuré un peu agacé

- Peut-être que tu as besoin d’une mère en ce moment... cele t'eviterai sans doute de faire une grosse bétise. 

- J’y réfléchirai. Mais en attendant prends-moi ce rendez-vous.

- Si Mademoiselle insiste... Soupira Sherry.

Le reste de la journée s’est déroulé lentement tandis que Monsieur Johnson rattrapait son retard dans ses dossiers. Je suis rester debout à ses côtés ou assise sur une chaise en face de lui pendant la majeure partie de la journée. 

À part pour le déjeuner, Richard aimait se tenir occupé. 

Bien que je lui ai proposé de lui faire une nouvelle fellation, il a gentiment refusé, car il était vraiment en retard. Une fois que j’ai été libéré pour la soirée, je suis rentré chez moi et j’ai fait de mon mieux pour m’endormir tôt.

Le lendemain, je me suis réveillée et j’ai suivi ma routine matinale. 

Cependant, au lieu d’aller au bureau à, j’ai été à mon rendez-vous chez le médecin. 

Sherry m'avait obtenu un rendez-vous dès le lendemain, le chirurgien étant un ami de Richard. J’étais extrêmement nerveuse d’entrer dans un cabinet de médecin habillée de manière aussi provocante, mais après ces derniers jours avec Monsieur Johnson, j’étais totalement confiante dans mon nouveau look. 

Lorsque j’ai finalement parlé au médecin de ce que j’envisageais, j’étais sûre de ma décision.

Après avoir effectué une série de tests, le médecin m'a fait un dépistage sanguin, une radio et un test de stress pour s’assurer que mon corps pouvait supporter l’opération.  Il m’a aussi dit que je serait opérer dès la semaine suivante. 

Je suis devenue rouge, cela me semblait tout de même vraiment rapide.

- Il... il n'y a pas un... un délai de réflexion en principe ? Ai-je demandé.

Le chirurgien me toisa:

- Richard exige que vous soyez siliconée dès que possible, cela vous pose un problème ?

Mon pénis a tréssauté dans ma cage de chasteté, j'ai baissé les yeux, soumise:

- Non... Non Docteur, si Richard l'exige.

Après avoir terminé mon rendez-vous chez le médecin, je me suis rendue au bureau pour parler avec mon patron et lui raconter ma conversation avec le médecin.

- Les tests sont bons, mais je doit faire l’opération la semaine prochaine... Ai-je dit.

- C’est une excellente nouvelle !  Me dit Richard sur un ton sec.

 En m’approchant de sa chaise, je me suis assis sur ses genoux et j’ai posé ma tête sur son épaule. Laissant ma main se promener jusqu’à son ventre, j’ai commencé à le caresser à travers son pantalon de costume. 

Même si il était débordé de travail, il ne pouvait ignorer mon contact.

Sa bite a commencé à grossir à chaque coup de main alors que je me penchais pour l’embrasser sur la bouche. En collant nos lèvres les unes contre les autres, je pouvais sentir ses lèvres s’entrouvrir avant que sa langue ne s’infiltre dans ma bouche. 

J’ai été submergée de désir par le goût de sa salive mêlée a la mienne alors que j’utilisais mes deux mains pour dézipper son pantalon et sortir son pénis. Une fois qu’il était libre, je me suis glissée à genoux et j’ai embrassé le bout de son membre.

Les yeux de Monsieur Johnson se fermèrent instinctivement alors que j’enroulais mes lèvres autour de sa queue et commençais à bouger ma tête de haut en bas. Ne voulant pas avoir de nouveau mon visage rempli de semence chaude et collante, je gardai ma bouche fermement autour de sa queue.  Je pouvais entendre sa respiration s’accélérer tandis que les veines de qa queue  gonflaient. 

Tandis que je lui prenais les couilles et léchais le dessous de son pénis, des gouttes de liquide pré-éjaculatoire commencèrent à couler dans ma bouche. Tout à coup, une vague de liquide chaud et crémeux commença à jaillir et à envahir ma bouche. 

Ayant une certaine expérience de la façon dont il éjaculait, je continuai à sucer et à avaler pendant qu’il se vidait complètement.

Richard glissa dans son fauteuil tandis que je retirais mes lèvres et avalais ce qui restait dans ma bouche. Levant les yeux vers lui avec des yeux pleins de désir, j'attendis patiemment qu'il redescende de son expérience euphorique.

Après quelques instants, il reporta son attention sur moi.

- Chaque fois que je pense que ça ne peut pas être mieux, tu me fait perdre la tête.

- Merci. Y a-t-il autre chose que je puisse faire pour toi ? Ai-je demandé.

Richard me fixait:

- Je parie que je peux obtenir encore un peu plus de toi... Ai-je dit avant de mettre mes lèvres autour de sa queue à nouveau.

En levant les yeux avec ma bouche pleine, je pouvais voir Richard me regarder avec un sourire narquois sur le visage. Je fermai les yeux et fis de longs et doux mouvements de haut en bas sur sa verge tout en la léchant et en la suçant à plusieurs reprises. 

Bien qu'il venait d'éjaculer, je pouvais le sentir durcir à nouveau. Après presque vingt minutes à lui chatouiller la bite et à lui donner du plaisir, il laissa finalement échapper un autre petit jet dans ma bouche. 

En levant les yeux vers Richard j'ai souri:

- Je t'avais dit que je pouvais obtenir un peu plus. Ai-je dit d'un air suffisant.

- Tu es vraiment quelqu'un de spécial. Me dit Richard en se frottant le visage.

- Merci. Dis-je en contournant le bureau jusqu'à la chaise en face de Richard.

- Ça te dérange si j'essaie de faire un peu de travail ? Me dit-il en réparant son pantalon.

- Ça ne me dérange pas du tout, fais juste comme si je n'étais pas là.

- Ça ne va pas être facile. Me dit Richard en riant.

Je lui ai souri avant de sortir mon téléphone et de parcourir les réseaux sociaux.

M. Johnson a continué à travailler dur tout l'après-midi pendant que je restais à ses côtés et attendais la moindre occasion de lui faire plaisir. Lorsque le moment de la fermeture du bureau est arrivé, nous sommes sortis ensemble et Monsieur Johnson m'a suivi jusqu'à ma voiture.

- C'était vraiment génial de t'avoir au bureau. M'a déclaré Richard.

- Et j'adore chaque minute de mon... travail. Ai-je dit en souriant de manièere aguichante.

Richard s’arrêta un instant, je pouvais voir qu’il avait quelque chose en tête.

- Il se passe quelque chose ? J'ai dit une chose qu'il ne fallait pas ? Demandai-je.

- Non…  Mais je vous ai entendu parlé Sherry et toi au sujet de l’opération mammaire et je voulais savoir ce que tu en pense. Ma décision de te faire posé des seins ne te semble pas trop... précipité ?

Je trouvait cela un peu rapide, mais je n'ai pas osé lui dire. 

 - Je veux vraiment me faire posé ses protheses ! M’exclamai-je.

- Si c'est ce que tu veux c'est parfait, mais Sherry semblait inquiète pour toi et je ne veux pas que tu aies l’impression que je te pousse à faire quelque chose. 

- Ce n’est pas du tout le cas. Répondis-je sans vraiment être sûr de ce que je pensai en réalité.

- Bien. Mais je pense qu’elle a raison de dire que tu devrais y réfléchir sérieusement avant de te lancer. J’aime bien t’avoir au bureau, mais je veux vraiment que tu prennes quelques jours de congé pour réfléchir sérieusement à tout ça. Me dit Richard.

Puis il me tendis une petite clé:

- C'est la clé de ma cage de chasteté ? Demandai-je.

- Oui. Je pense que tu devrais l’avoir pendant ta semaine de congé. 

Après avoir réfléchi un instant, je secouai la tête.

- Non. J’aime savoir que tu détiens la clé et que je suis a toi... a chaque minute.

 - Mais je pense juste que ce serait mieux si tu l’avais…

- Non. Bonne nuit Richard. Ai-je avant d’ouvrir la portière de ma voiture et d’entrer à l’intérieur.

- Morgan, je n’essaie pas de te contrarier, je veux juste que tu aies l’esprit clair pour que je sache que le choix t’appartient. Me dit Richard.

- Le choix m’appartient, et j’ai déjà décidé. Si tu ne veux pas me voir de la semaine alors je resterai à la maison. 

- Ce n’est pas ça ! Morgan attend...

Je claquai la porte et démarrai la voiture. 

Richard avait l’air visiblement bouleversé alors que je sortais du parking et rentrais chez moi. 

Des larmes coulaient sur mes joues alors que je retournais à mon appartement.


                                                                                                                            A SUIVRE...     


1 commentaire:

  1. bonsoir merci pour la réponse , et merci aussi d'avoir pris en compte mes précédent commentaires ...

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