dimanche 3 novembre 2024

THE FEMINIZATION DIRECTIVE (CHAPITRE 15)

 

                                                               Chapitre 15


Alors que la 3eme semaine du concours approchait, l’atmosphère au bureau était  devenue électrique. Les femmes étaient devenues les arbitres silencieuses du destin de chacun des hommes, leurs yeux évaluant chaque mouvement, chaque geste, chaque signe de féminité  ou de son absence.

À présent, beaucoup d’entre elles savaient déjà pour qui elles voteraient à la fin du mois.

Les enjeux étaient clairs et les hommes ressentaient la pression plus intensément que jamais auparavant.

Gabrielle avait maintenant atteint le point où la transformation n’était plus seulement un rôle, c’était une réalité. La pression implacable et impitoyable de Mary avait dépouillé Greg de tout ce qui restait, ne laissant derrière elle que la femme que Mary avait créée.

Le monde de Gabrielle était réduit à un seul objectif: obéir et faire plaisir à Mary !

Gabrielle n'avait qu'un objectif, être aussi féminine que possible et éviter autant de fessées que possible, même si elle en était venue à accueillir la fessée occasionnelle comme un moyen de s’améliorer.

Chaque journée commençait avec Mary, qui inspectait l’apparence de Gabrielle avec la minutie d’un sergent instructeur des "Marines". 

Gabrielle avait apprise à restée parfaitement immobile pendant que Mary vérifiait son maquillage, sa tenue,la façon dont elle se tenait. Et tout écart par rapport à la perfection exigée par Mary était sanctionné par une fessée ferme, une punition que Gabrielle avait appris à endurer avec un étrange mélange de peur et d’acceptation. 

La douleur lui rappelait ses échecs, mais elle la motivait également à faire plus d’efforts pour atteindre les normes incroyablement élevées de Mary.

Les vêtements que Mary choisissait pour Gabrielle étaient toujours élégants et restrictifs, conçus pour accentuer les nouvelles courbes de la féminisée et la forcer à adopter la posture la plus féminine possible. 

Les jupes crayon moulantes, les talons de plus en plus hauts, les chemisiers délicats, tout était choisis pour tester son endurance a la féminisation, un rappel constant de sa nouvelle identité. Même ses sous-vêtements étaient conçus pour provoqué un inconfort maximal, avec des soutiens-gorge baleinés et a larges bretelles, et des culottes  qui resemblaient  parfois plus a des gaines.

Mary voulait faire en sorte que l'adage "Il faut souffrir pour être belle" devienne une vraie philosophie de vie pour Gabrielle.

La voix de Gabrielle avait également été soigneusement entraînée, adoucie en un ton délicat et haletant qui correspondait à son apparence. Chaque mot était pesé et choisi avec soin, chaque phrase empreinte de la soumission que Mary exigeait. 

Ses moindres pensées étaient concentrées sur ses tâches, sur la façon d’éviter les erreurs, sur la façon de plaire à Mary. Bien que le concours ne soit commencer que depuis deux semaines, pour Gabrielle, l’idée de redevenir Greg n'était plus qu'un lointain souvenir, un souvenir presque, remplacé par le besoin impérieux d’être la femme parfaite que Mary voulait qu’elle soit.

Les autres femmes du bureau avaient remarqué la transformation de Gabrielle. 

Elles avaient vu la façon dont elle se comportait, la façon dont elle obéissait à Mary sans poser de questions, la façon dont elle était devenue presque robotique dans sa féminité. Certaines admiraient son dévouement, tandis que d’autres la plaignaient de sa perte d’identité de plus en plus flagrante.

Mais il était indéniable que Gabrielle était devenue l’une des, si ce n'était même la favorite du concours, un modèle de ce que la féminisation forcée était censée accomplir.

Stéphanie avait également subi une transformation complète.

L’influence d’Emma avait fait d’elle une personne féminine à temps plein, sans aucune trace de l’homme qu’elle avait été autrefois. En dehors du travail, Stéphanie vivait comme la petite amie d’Emma, ​​un rôle qui était devenu à la fois une source de plaisir et de confusion.

Chaque soir, Emma ramenait Stéphanie à la maison, où elle enfilait la nuisette en satin sexy qu’Emma adorait tant. Les nuits se passaient dans le lit d’Emma, ​​où la féminité de Stéphanie était à la fois louée et exploitée. Emma passait ses mains sur la peau douce et lisse de Stéphanie, lui murmurant des mots doux à l’oreille, son toucher à la fois tendre et possessif. Stéphanie se sentait de plus en plus excitée par l’impact que son allure féminine avait sur Emma, ​​la façon dont Emma la regardait, la touchait, la désirait.

La transformation avait atteint un point où Stephanie ne se considérait plus comme Steve. 

Le prénom Stephanie avait vite sa place, une nouvelle identité à la fois excitante et terrifiante. 

L’attention d’Emma était devenue addictive, et Stephanie se retrouva à désirer la validation qui accompagnait le fait d’être l’objet du désir d’Emma. La dynamique du pouvoir dans leur relation avait changé, Emma détenant tout le pouvoir, et Stephanie se soumettant volontairement, voire avec empressement.

La compétition entre Gabrielle et Stephanie devenait féroce. 

Toutes deux étaient complètement immergées dans leurs nouvelles identités, et il était trop difficile de prédire qui gagnerait le concours. Les femmes du bureau les observaient toutes les deux de près, notant chaque détail, chaque faux pas, chaque moment de perfection. Les votes étaient comptés en silence, et Gabrielle et Stephanie savaient toutes deux que la moindre erreur pouvait leur coûter cher.

John et David, réalisant que le concours devenait pour eux de plus en plus difficile a gagner  trouvèrent une nouvelle stratégie. Elles ont décidé de devenir de meilleures amies au travail, rigolotes et coquettes, espérant que leur démonstration exagérée de féminité impressionnerait les femmes et les aiderait à obtenir les votes indécis.

Leur plan a commencé lundi matin. 

Dès leur arrivée au bureau, elles ont fait semblant de se saluer avec des cris aigus et féminins, en se serrant fort dans leurs bras, et se complimentaient mutuellement sur leurs tenues à voix haute et excitées. Ils riaient ensemble à la moindre provocation, partageaient des ragots à voix basse et échangeaient même des conseils de maquillage devant les autres femmes.

Cela en était presque caricatural. Si bien que certaines femmes du bureau penserent que cette stratégie pouvait finir par se retournée contre eux.

Au début, leurs mentors, Claire et Jessica, furent surprises par ce changement un peu trop soudain de comportement. Mais au fil de la semaine elles commencèrent à voir le potentiel  positif de la stratégie de John et David.

Le numéro fonctionnait et c'était l'essentiel. Les autres femmes remarquaient à quel point les deux hommes étaient devenus girly et proches, et certaines semblaient même charmées par leurs facéties enjouées.

Claire et Jessica décidèrent donc d’encourager leur numéro, poussant John et David plus loin. 

Elles commencèrent à orchestrer des scénarios dans lesquels les deux hommes devaient interagir de manière de plus en plus féminine et séduisante. Elles les envoyaient faire des courses ensemble, insistant pour qu’ils se tiennent par le bras ou par la main pendant qu’ils se promenaient dans le bureau, ou organisaient des séances de "conversation entre filles" dans la salle de pause, où ils étaient encouragés à bavarder et à rire comme deux vieilles copines.

Au fil de la semaine, John et David se sentaient de plus en plus à l’aise dans leurs rôles. 

Ils flirtaient de manière enjouée devant les femmes, battant des cils, secouant leurs cheveux et même se tapant les fesses de manière enjouée. Les femmes du bureau ont commencé à dire à quel point John et David étaient mignons ensemble, à quel point leur numéro était convaincant et à quel point c’était amusant de les regarder.

Le numéro fonctionnait. John et David sentaient que la tendance tournait en leur faveur et ils continuaient à repousser les limites, sachant que chaque geste de fille, chaque échange de flirt les rapprochait de l’obtention des votes dont ils avaient besoin pour éviter de perdre.

Mais pendant que John et David étaient occupés à perfectionner leur numéro, Richard faisait face à un sentiment croissant de terreur. Malgré tous ses efforts, il était clair qu’il prenait de plus en plus de retard.

Richard était le maillon faible, celui qui avait le plus de chances de perdre.

Rachel pouvait voir le désespoir dans les yeux de Richard et elle savait pertinement que ce dernier devait faire quelque chose de drastique s’il voulait avoir une chance de rester dans la compétition. 

Mardi soir, après une journée de travail décevante, Rachel a fait asseoir Richard pour une conversation sérieuse.

- Richard, nous devons parler de tes progrès. Je sais que tu as essayé, mais il est clair que nous devons prendre des mesures plus radicales si tu veux avoir ne serait-ce qu'une  infime chance de garder ton pénis. 

Richard déglutit difficilement, la peur évidente dans ses yeux. 

- Que veux-tu dire, Rachel ? Que pouvons-nous faire d’autre ? 

Rachel hésita un instant avant d’énoncer ses suggestions.

- Nous pourrions commencer par quelque chose de plus permanent, comme des injections de collagene dans les lèvres afin de les rendre plus pulpeuse ou un maquillage permanent. Ces changements rendraient ton apparence plus féminine et t’aideraient à te démarquer. C’est certes extrême mais c’est  le seul moyen d'avoir une chance de battre tes rivaux.

Le cœur de Richard s’emballa à l’idée de changements aussi drastiques. 

Des injections dans les lèvres ? Un maquillage permanent ? Ces eventuelles modifications permanentes lui glaçait le sang . Mais quel choix avait-il ? La peur de perdre était écrasante, et il savait que s’il ne faisait rien, il serait celui qui serait le moins élu féminin.

Rachel pouvait voir l’hésitation dans les yeux de Richard et décida d’aller un peu plus loin. 

- Je sais que c’est beaucoup à encaisser, mais tu dois comprendre ce qui est en jeu. Si tu ne fais rien de radical, tu vas perdre. Et si cela arrive tu sais ce que cela signifie...

Richard frissonna à cette pensée. Être rétrogradé au rang de simple employée de bureau, devenir une secretaire et perdre son pénis... Tout ceci serait trop dur à supporter. Il regarda Rachel, la voix tremblante. 

- Je le ferai. Quoi qu’il en coûte, je le ferai. Aide-moi juste, Rachel. Je ne veux pas perdre. 

Rachel hocha la tête, un mélange de sympathie et d’amusement dans les yeux.

- Très bien. Nous commencerons donc par les injections dans les lèvres et un maquillage permanent. Ce sera inconfortable mais c'est ta seule chance. Nous te prendrons rendez-vous dès demain.

Au fil de la semaine, Richard a subi les interventions suggérées par Rachel.

Les injections pour les lèvres ont donné à sa bouche une apparence pulpeuse et boudeuse, et le maquillage permanent, en particulier l'eye-liner permanent ajoutait une touche dramatique à ses yeux. 

Les changements ont été immédiats et nettement perceptibles, donnant à Richard une allure beaucoup plus féminine qu’avant. Même si chances de ne pas être le perdant étaient toujours aussi minces.

Le malaise était intense et la prise de conscience que ces changements étaient permanents pesait lourdement sur l’esprit de Richard. La peur de perdre était toujours aussi présente mais elle était désormais aggravée par la peur de ce qu’il était en train de devenir.

Mais la seule chose qui lui restait à faire était de mener le concours jusqu’au bout, quel qu’en soit le prix.

Alors que la troisième semaine touchait à sa fin, le bureau était en effervescence quant à savoir qui allait finalement gagner le concours. 

Les femmes étaient devenues plus loquaces dans leurs discussions, régulièrement elles comparaient leurs notes sur les transformations en cours, sur les comportements des féminisées et leur engagement envers leurs nouveaux rôles. 

Gabrielle et Stéphanie étaient toujours au coude à coude, chacun incarnant si complètement sa nouvelle identité qu’il était presque impossible de se souvenir d’eux comme Greg et Steve.

La stratégie de John et David consistant à jouer le rôle de bonnes copines féminisées leur avait valu de grimpés dans le classement provisoire, mais cet acte, bien qu’efficace, était toujours considéré par certaines des femmes les plus cyniques comme un simple jeu.

Pendant ce temps, les mesures de plus en plus désespérées de Richard suscitaient à la fois pitié et dérision, alors que le bureau bourdonnait de rumeurs sur ses modifications permanentes.

Pour Gabrielle, désormais complètement dominée par Mary, elle était devenue une figure à la fois d’admiration et de peur parmi les femmes. Sa transformation était complète dans tous les sens du terme. Gabrielle ne remettait plus en question l’autorité de Mary et elle n’avait plus le temps de penser à sa vie passée en tant que Greg. 

Ses journées étaient remplies de la poursuite de la perfection féminine, et ses nuits étaient passées à réfléchir à la façon dont elle pourrait s’améliorer davantage, même si cela signifiait accepter une fessée occasionnelle.

Les souvenirs autrefois flous de Greg étaient désormais complètement éclipsés par la nouvelle identité de Gabrielle, méticuleusement façonnée par la main implacable de Mary.

Les autres femmes regardaient Gabrielle avec un mélange d’admiration et d’inquiétude. 

Certaines admiraient son dévouement et la perfection de sa transformation, tandis que d’autres s’interrogeaient sur le prix a payé  pour une soumission aussi absolue. Mais personne ne pouvait nier que Gabrielle était devenue l’incarnation même de la féminité, du moins dans le contexte de cette compétition brutale.

Pour Stephanie était un autre type de transformation.

Alors que Gabrielle avait été modelée et  pétrie par une discipline stricte, Stephanie avait été séduite par sa nouvelle identité grâce à l’attention intense et de plus en plus personnelle d’Emma. 

Stephanie avait pleinement embrassé son rôle de petite amie d’Emma, ​​pas seulement à cause du concours, mais parce qu’elle se sentait étrangement attirée par la dynamique de pouvoir dans leur relation. Chaque soir, quand Emma amenait Stephanie dans son lit, les frontières entre plaisir et soumission s’estompaient. Les limites autrefois claires de l’identité de Steve n’étaient plus qu’un lointain souvenir, remplacées par le personnage de Stéphanie, une femme qui s’épanouissait grâce à l’attention et à la validation qu’Emma lui procurait.

L’approche employée par Emma avait amusée les femmes du bureau. 

Elles voyaient chez Stéphanie a la fois une transformation forcée, mais aussi une acceptation volontaire de la féminité. L’influence d’Emma était évidente, et il était difficile de contester les résultats. La transformation de Stéphanie était aussi complète que celle de Gabrielle, mais les motivations étaient différentes, ce qui ajoutait une de la complexité à la compétition et au choix du gagnant... enfin de la gagnante.

Pendant ce temps, John et David continuaient leur petit numéro de filles avec une confiance croissante. Leur décision de mettre en valeur leur amitié fonctionnait, du moins dans une certaine mesure. 

Les femmes du bureau trouvaient leurs pitreries amusantes, et l’étalage constant d’une féminité exagérée leur faisait gagner des points, ce qui poussa Claire et Jessica à les encourager à pousser le numéro encore plus loin.

Sous la direction de leurs mentors, John et David ont commencé à intégrer des comportements plus ouvertement féminins dans leur routine quotidienne. Se tenant la main en se promenant dans le bureau, échangeant des chuchotements et des rires pendant les réunions, et flirtant même avec les femmes du bureau d’une manière enjouée. 

Le numéro fonctionnait mais John et David manquait toujours de l’authenticité essentielle que Gabrielle et Stéphanie avaient atteinte.

John et David ont commencé à craindre que leur stratégie ne soit pas suffisante. 

Les femmes du bureau étaient clairement amusées, mais le divertissement à lui seul ne leur rapporterait peut-être pas les votes dont elles avaient besoin. Ils savaient qu’ils devaient faire plus d’efforts s’ils voulaient rester dans la course, et ils commencèrent donc à envisager des moyens encore plus extrêmes de démontrer leur engagement envers leur nouvelle identité. 

Leurs mentors respectives commencèrent à les pousser plus loin, les encourageant des comportements plus ouvertement féminins et suggérant même qu’ils se produisent en dehors du bureau, un peu comme Emma l’avait fait avec Stéphanie.

Richard, de son côté, avait vécu la semaine la plus sombre de sa vie et les modifications permanentes que Rachel lui avait suggérées avaient faites des ravages.

Les injections de remplissage des lèvres et le maquillage permanent lui avaient en effet donné une allure plus féminine, mais l’inconfort et la honte de savoir que ces changements étaient irréversibles pesaient lourdement sur lui. 

Malgré ses efforts Richard sentait qu’il était toujours en retard. Et pire que tout, John et David  les seuls avec qui il avait eue une maigre chance de rivalisé, prenaient lentement  mais surement leurs distances avec lui.

Rachel, bien que favorable à Richard, ne pouvait s’empêcher de trouver de l’amusement dans la situation difficile de Richard. Au début elle avait toujours gardé un certain détachement sur la situation du malheureux et bien qu’elle soit prête à l’aider à aller plus loin, elle était également réaliste quant à ses chances. 

Même si le temps avant la fin du concours était comptée, elle suggéra même a Richard des mesures encore plus drastiques, comme une chirurgie de féminisation du visage ou une opération et la pose d'implants mamaire. 

Poussé par la peur et le désespoir, Richard s’est retrouvé à envisager sérieusement ces options, même si elles le remplissaient d’effroi. 

Le Vendredi, Richard avait attient un point de rupture. La pression de se transformer, associée à la peur de perdre, devenait insupportable. 

Il a confié à Rachel qu’il était terrifié par ce qui lui arrivait, qu’il se perdait et qu’il n’était pas sûr de pouvoir y arriver.

Mais Rachel lui rappela que la seule façon d’éviter l’humiliation ultime était de continuer à avancer, aussi douloureux ou effrayant que cela puisse être.

Le week-end avant la dernière semaine du concours fut un tourbillon d’intensité et de désespoir. 

Chacun des hommes savait que le temps était compté et que la pression pour se fondre aussi complètement que possible dans leur nouvelle identité était plus forte que jamais.  Le concours les avait poussés à bout et alors qu’ils faisaient face à la dernière ligne droite, leur anxiété n’avait jamais été aussi élevée.

Richard était en pleine panique.

La réalisation qu’il était le concurrent le plus faible, celui qui avait le plus de chances de perdre, l’avait entièrement consumé. Il pouvait à peine penser à autre chose que le denouement presque inéluctacle et chaque instant il se demandait ce qu’il pouvait faire de plus pour éviter le sort humiliant qui l’attendait s’il ne rattrapait pas son retard.

Rachel, sentant le désespoir de Richard, décida de tout donner.

Elle savait qu’ils devaient prendre des mesures drastiques si Richard voulait avoir une chance de garder son pénis. Au cours du week-end, elle s’est lancée dans la tâche de transformer Richard aussi complètement que possible, en utilisant tous les outils à sa disposition pour le propulser dans le royaume de la féminité indéniable.

La première étape a été de choisir un nouveau prénom pour son protegé. 

Rachel voulait quelque chose qui évoquerait immédiatement une image de féminité, quelque chose de délicat, indéniablement féminin. Après réflexion elle a opté pour le prénom de Lily.

Un prénom doux, élégant et parfaitement adapté à la transformation qu’elle avait en tête.

Une fois le nom choisi, Rachel n’a pas perdu de temps pour mettre le plan en marche. 

Vendredi, immédiatement après le travail, elle a emmené Lily dans un salon de tatouage où elle lui a fait faire un tatouage très visible et extrêmement féminin, un délicat motif floral rose qui montait en spirale depuis la cheville de Lily, parcourait tout le tour de son mollet en remontant et s’arrêtant finalement juste au-dessus de son genou. Un ornement impossible à cacher, un marqueur permanent de la nouvelle identité de Lily.

Mais Rachel ne s’est pas arrêtée là. Elle ne pouvait de toute façon pas se le permettre...

Samedi, elle a emmené Lily dans un salon où elle lui fit poser des ongles en acrylique, de longs ongles peints d'un rose doux qui correspondait à la couleur du tatouage. Des extensions de cils ont suivi, donnant aux yeux de Lily l'apparence d'un croisement entre betty Boop et une Pin-up.  

Des sourcils microbladés ont été ajoutés pour donner à son visage un cadre plus doux et plus féminin, le complément parfait à son nouveau look.

Ensuite ce fut le bouquet final: les extensions de cheveux. 

Rachel a choisi de longues mèches flottantes dans une nuance de blond presque platine, le genre de cheveux qui ferait tourner les têtes de tout le monde, partout où Lily irait.

Les extensions ont été appliquées avec brio, se fondant parfaitement dans les cheveux naturels de Lily et lui donnant un look à la fois glamour et indéniablement féminin.

Mais Rachel savait que les apparences seules ne suffiraient pas. 

Lily devait présenter une silhouette féminine convaincante, et cela signifiait relever le défi le plus évident. Rachel avait fait acheter a Lily  une paire de faux-seins incroyablement réalistes , ces derniers créant l'illusion d'une poitrine pleine et voluptueuse. Ces accessoires étaient si bien conçu qu'il était impossible de dire que le décolleté de Lily n'était pas réel, surtout lorsqu'il était combiné avec les décolletés plongeants que Rachel lui avait choisis pour la dernière semaine.

Puis est venue la partie la plus difficile et aussi la plus désagréable: apprendre à Lily à rentrer son pénis comme une drag queen. 

Rachel a tout d'abord abordée cette tâche avec un mélange de sérieux et d'humour, sachant qu'il était essentiel pour Lily d'avoir une apparence indéniablement féminine. Elle a appris à Lily le processus complexe de rentrer son pénis, en plaisantant afin de la motivée que cela lui donnerait ainsi un aperçu de la perte éventuelle de son pénis. 

Malgré la gene, Lily a vite appris et elle a rapidement réussi à se créer une silhouette féminine et lisse, même avec les jupes très courtes et extrêmement serrées que Rachel avait sélectionnées pour elle.

Quand Rachel a terminé, Richard/Lily était presque méconnaissable. 

La transformation était extrême mais efficace. Lily ressemblait, bougeait et se présentait comme une femme dans tous les sens du terme, et Rachel était convaincue qu'elles avaient fait tout leur possible pour donner à Lily une chance de ne pas etre battue et de finir derniere du diabolique concours.


                                                                                                              A SUIVRE....


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