CAPTION 954 (PARTIE 1)

 

Première partie de ma nouvelle caption, elle est toujours en cours d'écriture je termine la 4eme planches. Je le mettrait en ligne avec en complément le texte pour ceux qui voudrait le traduire.

                                                                       CAPTION 954-1

TEXT FOR TRANSLATION, PART 1:

Je hais ce miroir, il est énorme et occupe une grande partie du mur de la chambre a couché... je voudrait pouvoir l'enlevé mais mon homme, mon Maitre ne le veux pas. Une façon de plus pour lui de m'avilir, de me faire prendre conscience de ma déchéance. Parfois, a la vue de mon reflet il m'arrive de fondre en larmes mais la plupart du temps de détourne les yeux pour ne pas voir la créature que je suis devenue.

Un corps de femme bien en chair, un peu rond, mais qui fait le bonheur de mon Maitre. Un visage doux et gracile encadré par des cheveux blonds coupé au carré, souvent le matin j'écarte les cuisses et la glace me renvoi l'image de mon pubis parfaitement épilé. La vision de ma chatte parfois encore engluée de semence masculine me donne la nausée.

Mais le pire pour Moi ce sont sans aucun doute mes horribles seins... Une paire de mamelles lourdes et pendantes, des nichons obscène qui attire inévitablement les regards et les remarques salaces des hommes mais qui font la fierté de mon Maitre.

A ce jour je fait un bon 105 CM Bonnet E de tour de poitrine mais mon Maitre n'exclut pas de les faire grossir encore, pour lui une femelle et une esclave digne de ce nom doit-être généreusement pourvue.

Des seins d'une tels tailles nécessite d'être soutenus, Maitre me fait portée d'étroites Guêpieres ainsi que des Corsets sévèrement baleinés et lacés. Parfois ce sont de solides gaines-culotte ou des combinés en coutil rose saumon comme il s'en faisait il y a bien longtemps. Un des fétichismes de mon homme, vestige de vacances passées chez sa grand-mère quand il était enfant.

Soudain alors que je suis assise devant le miroir, la voix de mon Maitre me fait sursauté:

- Esclave Eva... ici et offre ta bouche !!!

Son ordre me fait frémir. Malgré les mois je ne m'habitue pas a ses exigeances, lui offrir mes trous a sa simple demande, me faire sodomisée ou bourrée la chatte, mais le plus éprouvant pour Moi est de prendre son sexe dans ma bouche, de lui faire une fellation, d'avalée sa semence...

Je sais pourtant que je ne pourrait me soustraire a mon devoir de soumise... Résignée je m'allonge sur le lit et soulève le drap pour découvrir la queue déjà tendue de mon Maitre. D'une voix tremblante, mêlée de honte et de répulsion je me plie a l'immonde rituel:

- Maitre, permettez vous a votre humble esclave de prendre votre queue en bouche et de vous sucé ?

Evidement il accquiesse. Malgré le dégout je commence une habile fellation, léchant ses couilles, remontant le long de sa bite... mon regard dévie sur la table de chevet, des larmes me montent aux yeux a la vue de l'autre humiliation que souhaite m'infligé mon Maitre: Un petit cadre posé sur le meuble avec a l'intérieur la photo d'un jeune homme en costume.

Ce jeune homme n'était autre que Moi. Avant ma rencontre avec Henri, celui qui allait devenir mon Maitre !

C'était il y a 3 ans environ et a l'époque je m'appellait encore Yvan. Henri est le Patron de mon Pere, je fit sa connaissance lors d'un repas auquel l'avait convié mes Parents pour parlé travail... tout du moins c'était ce que je pensait.

Etant de passage a la maison Henri se proposa de me raccompagné a mon appartement.

C'est dans sa voiture que les choses ont mal tournées, il me complimenta de façon étrange, me disant que j'était un joli jeune homme et que je pourrait etre magnifique si je prenait un peu soin de Moi. Puis il me  caressa la cuisse a travers mon pantalon, je me suis mis a protesté mais il arrêta sa voiture sur le côté de la route... j'était un jeune homme assez chétif et Henri était baraqué.

Avec force il me plaqua contre mon siège et commença a m'embrassé, d'abord dans le cou, puis il remonta sur ma joue. Je tentait vainement de le repoussé, lui frappant le torse comme je le pouvait... finalement j'ai senti le contact de ses lêvres contre les miennes:

- Humm.... non... non je ne veux pas... je... j'suis pas un PD.... Ai-je pleuré.