Ce soir, mise en ligne de la partie 9... la suite bientôt.
CAPTION 954-9
TEXT FOR TRANSLATION / PART 9
De nouveaux me voilà perché sur mes Talons aiguilles, je marche a grand peine, moulé dans mon Tailleur et mon combiné-gaine, mes lourds faux-seins en silicone collés a mon torse. A chaque pas je vacille, je me raccroche autant que je peu a un meuble pour me dirigé vers les escaliers, suivi par Maman... je n'ose croire que je vais devoir m'accoutrée ainsi tout les jours.
Tenant la rampe d'escalier je descend les marches avec précaution. A chaque pas je sens la tension des jarretelles tirée sur mes bas... Arrivé au bas de l'escalier j'entend des voix qui proviennent du salon, celle de mon Père tout d'abord puis une seconde que je ne reconnait pas tout de suite.
Soudain je frémi, cette voix je la reconnait, cette voix c'est celle d'Henri !!!
Livide je me retourne vers Maman prêt a protesté, mais de nouveau elle me prend par le bras:
- Allons ma chérie ne fait pas attendre ton prétendant.
Tétanisé je m'avance vers le salon tout en me tordant les chevilles sur mes Talons aiguilles qui résonnent sur le carrelage. Ce bruit si caractéristique ne manque pas d'attiré l'attention, j'entend la voix de mon Père:
- Je pense que cela doit-être elle. Cela a été un peu plus long que prévu mais je pense que ma femme voulait que notre fille soit parfaite...
Entendre ces propos me dégoute, la plupart des Pères que je connait serait horrifié que leur fils devienne une Transexuelle ou une femme, mais le mien non... pire encore, il veut m'imposer cette abominable transformation !!!
Le ventre noué je fait mon entrée au salon, avec ma démarche hésitante je suis surement ridicule mais en me voyant mon Père m dit:
- Allons avance, ne soit pas timide...
Je m'exécute en bafouillant:
- Oh... oh Papa c'est grotesque... re... regarde-moi enfin...
Assis dans le canapé il rit:
- C'est ce que je fait et je te trouve délicieuse... si tu n'était pas ma fille et si je n'était déjà pas Marié.
Assis dans un fauteuil et face a mon Père, Henri me fixe et disant a mon Père sur un ton faussement réprobateur:
- Ah non, je ne vous laisserait pas vous accaparé cette adorable jeune femme...
Avec difficulté je m'avance vers le canapé et les fauteuils, sur la table basse sont posées de verres en cristal et une bouteille de champagne. Mais Henri se lève et s'approche de Moi, je me fige, perchée en équilibre précaire sur mes Talons aiguilles alors que Henri tourne autour de moi alors que je suis rouge de honte et m'efforce de ne pas fondre en larmes a la pensée de ce qui m'attend.
Henri s'arrête face a Moi:
- Je sais que c'est surement très pénible pour toi d'être vêtue en femme mais tu devra t'y faire, mes gouts en matière de vêtements et sous-vêtements sont un peu particulier mais cela mettra tes formes en valeur.
Ses mains se poses sur ma taille, sur mon ventre comprimé par le solide coutil de mon combiné-gaine, Henri souri et me dit:
- C'est bien... Je vois avec plaisir que tu est déjà bien gainée et sanglée dans tes sous-vêtements.
Son regard se pose ensuite sur mon chemisier plein a craqué sous la pression de mes faux-seins. Henri me dit avec un rictus:
"Je n'ose croire que je vais devoir m'accoutrée ainsi tous les jours..." , j'espère qu'Henri va bien le lui faire comprendre ce tous les jours , et quelque soient les circonstances , quelle humiliation .Je vois bien Eva obligée de porter des bas de contention .Très bien cette histoire ...
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