Et la partie 11....
CAPTION 954-11
TEXT FOR TRANSLATION / PART 11:
- A partir de ce jour Yvan n'existe plus, tu t'appellera... Eva.
J'était mortifié, tétanisé... une nouvelle vie, une vie de femme, commençait pour Moi. Henri me prit par le bras puis m'attira vers le canapé, il me força a m'assoire sur ses genoux sous le regard amusé de mes Parents qui s'assirent face a nous.
Maman servie le champagne, Henri prit une coupe qu'il me tendie:
- Tiens ma chérie...
D'une main tremblante je prit la coupe de champagne tout en articulant avec peine:
- Merci... Monsieur Henri.
Puis il prit une coupe et trinqua avec Moi:
- A nous !
Maman et Papa firent de même:
- A vous ! Et a notre fille Eva, puisse sa vie de femme lui apportée joie et bonheur !
J'était humiliée, il était évident que pour mes Parent j'avait bel et bien cessé d'existé en tant que jeune homme. Autant dire que ce champagne eu toutes les peines du monde a passé, assise sur les genoux d'Henri je devait sentir le contact de sa main sur mon genoux et mes jambes gainées de bas. Parfois c'était encore plus insistant, sa main se glissant sous ma jupe remontait au dessus de mes bas, effleurant ma cuisse nue, jouant avec les larges jarretelles de ma cuirasse de coutil...
A un moment sa main remonta si haut que d'instinct je me suis raide, serrant nerveusement les jambes. De son autre main il me tapota sèchement le genoux:
- Tu ne doit jamais essayée de te soustraire aux caresses d'un homme, et encore moins aux caresses de l'homme a qui tu appartient désormais... tu m'a bien comprise Eva ?
Je retient mes larmes:
- Oui... Monsieur Henri.
Puis ses attouchements se poursuivent, nouvelles caresses sur mes jambes gainées, sur ma poitrine factice a travers mes vêtements, parfois ce sont des baisers dans mon cou, le tout ponctués par des "Ma Chérie" ou "Eva"...
Maman sourie, éclate de rire en disant a mon Père:
- Regarde notre fille, tu ne la trouve pas attendrissante comme ça... dire qu'il aura fallu qu'elle attende ses 25 ans pour son premier rendez-vous galant.
- Mieux vaut tard que jamais... Ironise mon Père, nullement gêné de me voir féminisé et jeté dans les bras d'un homme.
Je m'efforce de gardée mon sang-froid, je suis prêt a explosé de rage mais je sais que cela ne mênerait a rien. Soudain Henri m'attire a lui, il m'enlace et me demande a l'oreille:
- Tu déteste les hommes n'est ce pas... cela se vois. Baiser avec eux, sucée, te faire enculée, ramonée la chatte... cette seule pensée te fait horreur n'est ce pas ?
Je n'arrive même pas a faire une phrase tant je suis submergée par le dégout:
- Je... jamais je... faire toutes ces choses... jamais je ne pourrait... cela... cela me ferait horreur... pitié ne... ne me forcé pas a... a... ne me faite pas devenir une femme... pas cela... Monsieur Henri... ne faite pas ça...
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